Rêve Ou Réalité

La première fois que j'ai vu son cul, j'en suis tombé raide dingue. Il était petit, rond et bombé. J'aurais voulu le mordre. Je ne l'avais pas encore vu de face. Je l'ai suivi pendant une bonne heure, tâchant de ne pas me faire remarquer. Quand on passait devant une vitrine, je ralentissais pour qu'il ne me voit pas. Mais, mon reflet se profila par inadvertance, et, je vis qu'il m'avait repèré depuis un bon bout de temps.
Je vis également son image dans la vitrine. Il s'arrêta et attendit que j'arrive à sa hauteur.
- Alors ? Il te plaît ?
Je fis celui qui sursautait.
- Pardon ? fis-je. C'est à moi que vous parler ?
- Ca fait presque une heure que tu regardes mon cul ! Alors oui, c'est à toi que je parle ! Il te plaît ou pas ?
- Je reconnais que je me le ferais bien....
- Eh bien, on y va ?
- Où ?
- Ecoutes, tu veux te faire mon cul, et je te l'offre, ça te convient, ou pas ? Tu viens chez moi et tu m'encules !
Je suis resté interdit, bouche bée.
- Je t'avertis quand même, que si tu veux mon cul, il faudra que tu me donnes le tien aussi, et aussi ta bouche, tes mains, et tout le reste. J'aime les mecs câlins ! Tu devras te mettre complètement à poil, le corps offert à tous mes désirs. Alors, c'est oui ?
Je n'ai pas ajouté un mot. Il s'est dirigé vers le métro, et je lui ai emboîté le pas. Il m'a laissé passer devant. Il m'a glissé à l'oreille :
- Laisse-moi te guider...
Il m'a poussé vers une barre d'appui pour les gens qui restent debout. Il a refermé mes mains sur la barre. Aux yeux de tous les passagers, il a placé ses mains de chaque côté des miennes. Puis, il s'est collé contre moi. Je sentais sa bite raide, se glisser entre mes fesses.

Une de ses mains a quitté la barre d'appui, pour se glisser entre mes cuisses et saisir ma bite. Ses doigts saisirent la fermeture à glissière de ma braguette, se glissèrent dans mon slip, et se saisirent de ma bite. Il m'embrassait dans le cou, au vu et au su de tous les passagers. Il défit la ceinture de mon pantalon, et commença à le baisser. Tout le monde pouvait voir mon slip blanc. Se saisissant du mince sous-vêtement, il le fit glisser à mi-cuisse. Alors, il sortit sa bite et posa son gland sur mon trou. Soudain, il me dit à voix haute :
- On descend ici !
Il était déjà devant la porte de sortie. J'ai juste eu le temps de me rajuster pour descendre du wagon, devant les yeux médusés des voyageurs.
A un moment, j'ai même perdu l'équilibre, et me suis étalé, le cul à l'air. Je l'ai rejoint juste au moment de sortir de la gare. Il marchait assez vite. Il m'a fallu un petit effort pour le rattrapper.
L'escalier menant à son appartement était plûtot vetuste et désert. Il m'a fait entrer et a juste dit :
- A poil !
Je me suis déshabillé, pas lui. Une fois nu, il m'a ordonné de me mettre à genoux. J'ai obei. Il a sorti sa bite, et me l'a tendu. Je l'ai avalée. Il a passé ses mains derrière ma tête, et il s'est activé comme s'il ma baisait. Mes lèvres serrées glissaient le long de sa queue, et soudain il éjacula.
- Avale ! ordonna-t-il.
Je me suis exécuté.
Toujours à genoux, il est passé derrière moi. Il a posé ses mains sur mes épaules et m'a fait pencher en avant. Mon cul était proéminent. Il a ramené ses mains sur mes hanches, et a posé son gland sur mon trou. D'un coup de reins énergique, il s'est enfoncé entre mes fesses. Il s'est agité progressivement, de plus en plus vite. jusqu'à me saccager. J'avais mal à mon anus. en coulait. J'étais détruit.
Il s'absenta un instant, puis revint avec un seau d'eau chaude et une serviette. Il me lava entièrement et me releva. Il me tourna vers lui, m'embrassa sur la bouche, sourit, et dit :
- Maintenant, c'est à toi !
Lui m'avait agressé, moi, je lui ai fait l'amour !
Je suis retourné à son adresse. Il avait disparu. Je ne l'ai jamais revu.
Quelquefois, je rêve de lui. A-t-il jamais existé, ou ai-je imaginé toute cette histoire ?