Les Chroniques : Après La Bretagne, Toujours De La Baise, De L'Aide Et Du Hasch !!
Les chroniques de Nature Et découvert : Après la Bretagne, toujours de la baise, de l'aide et du hasch!!
Lété 1991 fut une exception. Un an après le drame qui nous avait frappés Pussy et moi, je lavais épousée -après 7 ans de vie commune moins une demi-année de rupture vite réparée. Elle était enceinte depuis plus de 7 mois et cela lui allait à ravir. Ses seins avaient pris une dimension certaine, rendant plus appétissantes que jamais ses aréoles toujours brunes de spécialiste du topless quasi permanent. Son ventre bien rond nempêchait pas dapprécier la majesté de son pubis toujours glabre et les deux grandes lèvres brunes, charnues et éternellement entrouvertes. Quant elle délaissait le bas de maillot ou la culotte, cela va de soi, et cétait désormais un peu plus rare que les années précédentes. Nous étions toujours en quête de sensations sexuelles, obéissant à nos pulsions libertaires et à nos fantasmes exhibitionnistes. Mais cette année-là, je fus un peu plus lobjet de ces jeux érotiques et lépisode qui suit restera à jamais lun des souvenirs les plus excitants quil mait été donné de vivre malgré ou grâce à sa sobriété.
Il faisait beau, début juillet. Mes beaux-parents, en voyage, nous avaient laissé leur maison, dans une petite ville en bordure de lagglomération rouennaise, tout près des bords de Seine. La veille au soir, nous avions organisé une soirée avec une vingtaine de personnes plus ou moins proches. Etaient présentes notamment ce soir-là mon amie Domi, celle avec qui Pussy et moi avons connu notre toute première expérience de triolisme HFF et par conséquent qui était linitiatrice de ma compagne au saphisme. Elle habitait La Rochelle mais venait de vivre une expérience difficile et était en froid avec son conjoint. Gigi aussi était là, tendre amie également de notre couple, à un degré à peine moins poussé, mais elle était accompagnée dun tout nouveau compagnon et dun ami à eux. Christelle, quant à elle, était lancienne colocataire de Pussy lorsque celle-ci mavait ponctuellement quitté 3 ans auparavant.
Lorsque la soirée pris fin au petit matin, seules les personnes mentionnées ci-dessus étaient destinées à dormir dans la maison. Et encore : le compagnon de Gigi et son ami avaient dû se contenter de 2 heures de sommeil pour aller rejoindre leur poste de travail. Je me réveillai en milieu de matinée et descendis vêtu dun pudique caleçon fantaisie prendre mon petit déjeuner, sans voir la moindre idée de qui était resté ou reparti, et donc inconscient de mon état de seul mâle aux environs. Bien innocemment, je testai lai ambiant et découvris avec plaisir que la douceur de cette matinée de juillet se conjuguait aux rayons du soleil pour donner envie daller se vautrer dans lherbe du jardin. Une fois mon bol de café et ma tartine beurrée avalée, je me dirigeai donc au centre du jardin, y étalait une serviette de bain, allumai le gros poste radiocassette pour y écouter le dernier Depeche Mode, fraichement sorti.
Elle nous révéla donc deux petits seins, plus blancs que sa peau café au lait, un ventre plat en harmonie avec ses jambes très fines et ses petites fesses dans leur sage culotte dentelle. Plus grande, Christelle aurait eu les mensurations idéales dune mannequin de lépoque. Classique et moyennement prude, elle était déjà allée loin dans le partage dintimité de cette matinée.
Larrivée de Gigi acheva de me troubler. Entièrement habillée, en débardeur et jean noir, les cheveux bruns et aussi courts que Domi et Patricia -ou Pussy auparavant- elle était partie pour rentrer chez elle et y attendre son julot, qui devait rentrer dans 6 ou 7 heures. Mais alors quelle sacrifiait au rituel des bises aux copines et à moi, je ne pus mempêcher de me mettre à genoux pour pouvoir poser mes lèvres sur les siennes, dans le même smack « amitié tendre » quavec Domi. Je ne sais si la vue que joffris soudainement à nos quatre invitées à mon épouse y fût pour quelque chose mais Gigi décida quelle avait bien le temps de profiter du soleil et de lambiance avec nous.
Ainsi, je me remis sur le ventre, entouré de cinq délicieuses créatures dénudées et je mefforçai de rester zen. La cassette de Depeche Mode terminée, il fallut pourtant la remplacer, mais comme je m étais assoupi, cest Pussy qui se chargea de mettre le vieux « Vienna » dUltravox. Dans mon demi-sommeil, javais abandonné toute velléité de matage sur les corps quasiment nus des cinq femelles qui mentouraient, dont trois que je connaissais intimement. En revanche, je contrôlais mal mes pensées et mes songes, et des flashs se mêlaient à ma perception du présent, le tout enveloppé dans ce qui semblait être un retour enfumé dans mes méninges, une sorte de réplique des nombreux pétards ingurgités la veille. Toujours est-il que durant environ un quart dheure, après mêtre retourné sur le dos, javais offert sans men rendre compte mon corps nu et mon sexe dressé aux yeux de mon harem de circonstance. Cest en émergeant de mon état comateux que je pris conscience de la situation et cela ne fit quaugmenter mon trouble. Dur et tendu comme on peut lêtre au réveil, excité par la présence très proche de corps féminins dénudés, je bandais sans vergogne. Domi, qui me connaissait très bien, pris sur elle de déclencher ce qui allait suivre et qui était très osé pour Patricia et Christelle. Elle effleura ma verge du dos de sa main, ce qui la fit tressaillir. En forme comme je létais, lextrémité de mon sexe atteignait mon nombril et sans être hors-norme mais ren par mon absence de pilosité, cela impressionnait mes amies. Sans ouvrir les yeux, ayant de plus mis mon bras gauche devant mon visage pour me protéger du soleil, je finis par poser ma main droite sur ma bite. Puis lentement, jenserrai mon engin. Je tirai délicatement vers le bas pour décalotter mon gland puis je redressai ma verge vers le ciel, fièrement, comme pour subjuguer mes spectatrices. Le « mmmmm » de Domi et un doux encouragement de mon épouse eurent raison de mes dernières pudeurs ; jentrepris de me branler lentement, bien à fond, nomettant pas de temps à autres de caresser mes bourses, de passer ma main entre mes cuisses, douvrir les jambes et de montrer à toutes que mon petit orifice aussi était glabre et aimait être excité.
Je sentais les regards sur mon anatomie. Pussy mapprit plus tard que Domi et elle sétait aussi caressées en nous regardant, sans que les autres ne sen aperçoivent car visiblement intéressées par ma masturbation. Au bout de longues minutes, le désir monta en moi. Ma queue commençait à tressaillir de plus en plus et ma main allait et venait de plus en plus rapidement sur ma hampe. Jusquà ce que je laisse échapper, dans un « hannnnn » de soulagement, un premier puissant jet de sperme qui se répandit sur ma poitrine, puis second qui aspergea mon flanc droit, une troisième que jorientais vers le ciel et retomba sur le bras de Domi, assise très près de moi puis un dernier sur ma cuisse. Le silence qui sensuivit mincita à rester « caché » par mon bras. Ma main droite tenait encore ma queue ramollissante mais je continuai des mouvements masturbatoires. Ma semence coulait lentement des endroits où elle était arrivée ; cest mon épouse qui pris soin de prendre sa serviette pour messuyer consciencieusement. Sans craindre les jugements de valeur, Domi lécha le bras que je lui avais aspergé. En ouvrant enfin les yeux et en baissant mon bras, je pris conscience que javais fasciné mes spectatrices et cest sans fausse modestie que je poussais lavantage en jouant encore avec ma queue demi-molle mais encore motivée, et en doigtant peu profondément mon orifice anal devant les yeux ébahis mais devenus complices de Christelle et Patricia.
La journée se continua sans Gigi enfin hélas partie peu après mais avec une Patricia et une Christelle décidées à se rincer lil le plus possible. Je restai nu toute la journée devant elles et le soir venu, alors que nous avions décidé de regarder je ne sais quel film à la télé, je me retrouvai entre mon épouse et Domi, rhabillées, sur le canapé, alors que Patricia et Christelle étaient dans chacune dans lun des fauteuils placés perpendiculairement respectivement à notre droite et à notre gauche. La simple présence de ces femmes, leurs regards gourmands, les caresses ponctuelles de mes deux voisines de canapé finirent par provoquer une nouvelle et spectaculaire érection. Domi se leva et monta dans notre chambre, situe juste au-dessus du salon. Elle mappela et après avoir demandé à Pussy si cela la dérangeait, je montai la rejoindre. Elle mattendait nue sur le lit, prête à être pénétrée sans préliminaires. Nous fîmes lamour sans discrétion et nous avions conscience que nos ébats sentendaient den bas. Quand nous eûmes terminé, je laissai Domi sendormir repue et descendis rejoindre ma compagne, toujours sagement en train de regarder le film avec nos invitées. Luisant de la cyprine de mon amie, mon sexe encore un peu gonflé reteint une fois de plus lattention de Patricia et Christelle. Pussy sen amusa et mattrapant par la verge, elle mattira près delle. Elle passa sa langue de féline sur ma queue puis la goba entière. Aussi près du regard de nos amies, stimulé par les caresses de ma femme sur mes bourses et le doigt quelle introduisait délicatement dans mon anus, je me laissai à nouveau exciter jusquà la jouissance. Jexplosai dans la bouche de ma compagne sous les regards fascinés de nos deux mateuses. Après avoir avalé la semence que javais réussi à éjaculer dans sa bouche, Pussy conclut la soirée par un prometteur « pour ce soir ce sera difficile mais on dirait que monsieur Aymeric est disposé à bander et à jouir pour qui voudra, en ce moment ! » Et nous allâmes tous dormir sagement.
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