Tout Va Bien

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

"OK, George, tu as bien travaillé et tu as terminé ta formation. Il ne reste plus qu'à ranger le matériel. Je n'ai pas besoin de toi pour cela. Occupe-toi d'envoyer ton rapport à la direction et tu pourras foutre le camp d'ici. Tu as fait assez d'heures supplémentaires cette semaine, alors tu as bien le droit de rentrer un jour plus tôt chez toi. C'est le cadeau du patron!"
Mon directeur savait que j'avais hâte de rentrer chez moi retrouver ma petite femme chérie. J'ai rapidement tapé le rapport et je l'ai envoyé en utilisant le wi-fi de l'hôtel. Ma valise était prête, je me suis précipité vers la gare pour trouver un train qui me ramènerait chez moi suffisamment tôt.
J'étais ravi de finir la semaine un jour plus tôt et de surprendre ma femme. J'ai même acheté un bouquet de fleurs pour me faire pardonner mon absence. Mon nouvel emploi faisait du bien à mes finances, mais c'était un enfer pour notre vie conjugale. Heureusement, maintenant que ma formation est terminée, mes voyages à la capitale seront réduits à quelques jours par mois.
Ma femme et moi n'avions jamais été séparés par de longues périodes, et je peux dire que cela a affecté notre union.
Maintenant, je suis imbattable sur les techniques de surveillance, le juridique, tout ça, mais à quel prix? Cindy était stressée ces derniers temps, elle était devenue agressive à mon encontre, s'énervant pour un rien, la bouche pleine de reproches. Notre vie sexuelle était tombée à zéro.
Notre rencontre ne correspond pas à l'idée qu'on se fait d'une romance. Au lycée, nous nous ignorions superbement, n'appartenant pas aux mêmes cercles d'amis, puis, après ma sortie de l'armée, nous nous sommes rencontrés par hasard. On s'est revus, elle n'avait de petit copain, j'étais seul, je lui ai demandé de sortir et nous nous sommes bien entendus.
Pour une fille aussi séduisante, j'ai été surpris quand elle m'a dit qu'elle était vierge.

J'avais connu une vie plutôt dissolue pendant mon passage dans l'armée, et même si j'étais temporairement libre de toute attache, j'avais une certaine expérience des femmes. Nous avons flirté quelques semaines et je l'ai demandé en mariage, ravi de trouver une pucelle à l'âge adulte. Elle a accepté de m'épouser mais a voulu attendre la cérémonie avant de m'offrir son pucelage. Pendant huit mois, je me suis débrouillé avec des branlettes pour patienter jusqu'à notre nuit de noces. J'étais tellement amoureux que je pensais que c'était une bonne chose.
Pendant notre lune de miel, j'étais résolu à lui assurer une excellente formation. J'ai passé des heures entre ses jambes avec ma langue et mes doigts. J'ai sucé et massé ses mamelons comme si j'étais un nouveau-né. Je me suis assuré qu'elle avait au moins trois orgasmes avant d'approcher ma bite de sa chatte. De retour à la maison, j'avais réveillé une bombe sexuelle. La première année, nous baisions comme des lapins. Nous nous sommes calmés lorsque la police nous a surpris dans l'impasse derrière le restaurant. Heureusement, ils nous ont juste adressés un avertissement, mais nous avons dû ralentir un peu.
Au bout de cinq ans de vie commune, nous pensions fonder une famille. Mais l'an dernier, simultanément, j'ai perdu mon boulot et elle a eu un nouveau directeur. C'est un ancien rugbyman, bâti comme un char d'assaut. Selon la rumeur, il aurait été embauché parce que la société pour se diversifier devait recruter davantage de représentant de minorités. Il est le seul directeur noir de la société et il a une attitude très décontractée. Heureusement, j'ai pu obtenir un emploi dans une société de services après quelques mois de chômage et je termine aujourd'hui mon trimestre de formation.
J'avais hâte de la surprendre en rentrant plus tôt à la maison. Peut-être même obtenir mon petit plaisir de l'après-midi.
La première chose qui m'a alerté c'est cette voiture inconnue garée dans notre allée. J'ai tout de suite pensé à tous ces films pornos où il y a une voiture inconnue lorsque le mari rentre tôt à la maison. Les poils sur ma nuque ont commencé à se hérisser. Je ne suis pas passé par le garage, la porte est trop bruyante. Je voulais entrer silencieusement pour lui faire la surprise d'arriver un jour plus tôt à la maison. Je suis entré par la porte de la véranda et je me suis tenu dans le corridor, silencieux, épiant les bruits de la maison.
J'ai entendu un son qui m'a fait chavirer le cœur et monter en flèche ma colère. Quand Cindy s'enflamme, elle laisse échapper ces petits grognements et c'est ce que j'entendais de la chambre à l'étage en plus des grincements du sommier. Je grimpais discrètement en sortant mon téléphone. Je voulais prendre des photos de cette chienne et de son amant en train de baiser et les mettre sur Internet. C'était probablement avec son directeur noir. Je l'ai immédiatement soupçonné parce que la fréquentation des sites pornos m'a appris que c'est toujours avec le patron qu'il se passe des trucs.
"Ooh! Oui! Remplis ma petite chatte avec ta grosse bite, bébé! Je suis ta petite pute!"
Bon sang, elle faisait pas semblant. La rage m'a envahi, en ouvrant la porte j'ai commencé à filmer la scène.
Je n'étais pas préparé à voir ce que j'ai découvert.
Ma femme était agenouillée sur le lit, les cuisses écartées, et baisait sa chatte avec un gode vibrant. Les yeux fermés, elle vivait son fantasme. Ses cris devenaient de plus en plus forts: "Vas-y, chéri! Baise-moi profond! Défonce-moi la chatte! Fais-moi un bébé! Balance ton sperme au fond de ma chatte, George, mets-moi enceinte!"
Merde! Ma femme rêvait de grossesse! Elle m'imaginait en train de la baiser et de la mettre enceinte! C'était ça son rêve, son fantasme! Elle frottait son clitoris avec le vibreur puis l'enfonçait si profondément dans sa chatte qu'il disparaissait presque.
Je suis passé de énervé à excité en deux dixièmes secondes. J'ai continué à filmer, mais c'était pour mon souvenir personnel.
Je m'éclaircis la gorge et elle sursauta en ouvrant les yeux. Son regard se fit sauvage.
"Tu rentres tôt!" dit-elle en retirant le gode de sa chatte avec un léger bruit de bouchon qui saute. Le jetant sur le côté, elle grogna:
"Déshabille-toi et viens me baiser!"
Pas besoin de me le dire deux fois. Je laissais glisser mon pantalon et mon caleçon et me dirigeai vers le lit sans les ôter. Elle se glissa au bord du matelas en écartant les jambes pour m'accueillir. Une poussée et j'étais planté jusqu'au fond. Elle était plus chaude et plus humide qu'une tornade tropicale, en moins d'une minute après mon arrivée, elle criait mon nom et je repeignais l'intérieur de sa vulve avec mes spermatozoïdes. Si elle ne prenait pas la pilule, elle était enceinte.
Je roulais sur le dos pour ôter mon pantalon et mon caleçon. Elle haletait rapidement et ses yeux brillaient d'une lueur orgasmique. Elle posa la main sur sa chatte pour endiguer une partie de mon sperme qui commençait à s'écouler.
Un rapide et chaste bisou puis elle courut à la salle de bain avec sa main sur la chatte. Quelques instant plus tard, j'ai entendu la chasse d'eau des toilettes puis l'eau couler dans l'évier. Elle est ressortie de la salle de bain entièrement nue. Elle prenait la pose, pivotant sur elle-même, et j'admirais son corps souple et musclé. Mais voir sa chatte encore un peu gonflée me donnait des palpitations.
Je lui ai tendu les bras et elle s'est précipitée, s'allongeant sur moi, me mangeant la bouche, sa langue s'enfonçant profondément. Le gode vibrait encore à côté de moi et elle le prit, essayant de l'éteindre. Cela lui prit plus d'une seconde car elle ne semblait pas trop connaître son fonctionnement. Elle le posa sur la table de nuit et me regarda avec adoration.
"Je suis si contente que tu sois rentré plus tôt! Tu ne peux pas savoir à quel point j'avais besoin de ça!" dit-elle en saisissant mon sexe.
"C'est quoi ce truc?" Ai-je demandé en montrant l'objet vibrant qu'elle avait mis de côté.
Elle m'a regardé avec un sourire coquin:
"C'est mon amant! Jeudi dernier, les filles du travail ont décidé de sortir le soir prendre un verre." dit-elle.
Mon cœur s'est serré. Une soirée entre filles? Tout le monde sait comment ça se termine. Les pattes en l'air sur la banquette arrière d'une voiture!
"Comme j'étais en manque, délaissée et un peu en colère contre toi à cause de ton absence, j'ai pensé que c'était risqué d'aller montrer mes fesses dans une boîte avec une bande de beaux mecs cherchant à s'envoyer en l'air, alors j'ai convaincu les filles de venir ici, boire des coups et faire la fête entre filles. Après quelques verres, en discutant de choses et d'autres, Sharon m'a demandé comment je m'en sortais avec mon homme si souvent absent. Je lui ai dit que c'était nul mais que ça ne devait pas durer, et que c'est à ce moment-là qu'elle a suggéré de prendre quelque chose pour "atténuer les effets". Les filles m'ont aidée à en choisir un bon et que je l'ai commandé sur Internet. Je l'ai reçu aujourd'hui et comme je ne t'attendais pas à la maison avant demain, j'ai décidé de l'essayer. Ensuite, tu arrives avec ta bite fabuleuse et tu me fais grimper au ciel. C'est génial!"
"La voiture dans l'allée?"
"Oh, c'est la voiture de Lexie! Elle est rentrée en taxi jeudi soir! Elle ne tient pas l'alcool! Elle sortait avec son mari hier soir et ils passeront la récupérer ce soir ou demain."
Nous nous sommes embrassés longuement, elle a frotté sa chatte sur ma bite reprenant de la vigueur, j'ai mis mes mains partout et nous étions prêts pour le deuxième tour. J'étais beaucoup plus passif cette fois-ci puisqu'elle me chevauchait. Je l'ai beaucoup caressé pour qu'elle soit bien chaude. Il n'y avait plus aucun ressentiment par rapport à la situation tendue que nous avions connu ces deux derniers mois. Tout rentrait dans l'ordre. Nous avons avons joui ensemble mais pas le grand frisson exceptionnel. Alors que je m'extirpais de sa chatte crémeuse, elle s'est mise à jouer avec le jus qui s'écoulait lentement d'elle, le posant sur mon ventre.
"George, chéri, je dois te parler."
MERDE! Quelque chose de grave va se produire. Ce genre de déclaration est toujours suivi de quelque chose de mauvais. Je n'avais pas envie de l'entendre dire qu'elle avait rencontré quelqu'un, ou que c'était un accident mais qu'elle m'aimait, ou un truc de ce genre!
"Devon, mon patron, est un connard et mardi, je vais aux RH porter plainte. Depuis quelque temps, il est toujours derrière mes fesses à faire des allusions sexuelles inappropriées, il me passe le bras autour de la taille dans les couloirs, quand il vient à mon bureau il se frotte contre moi. Il me suit à la cantine, sur le parking, partout … J'en peut plus, je suis à bout de nerfs! Je voulais voir les R.H. lundi, mais le directeur est absent, je dois donc attendre mardi. Éventuellement, peux-tu déjeuner avec moi lundi afin que je n'ai pas à subir ses assauts?" elle a demandé.
Je gardais sang-froid et lui adressais ce que j'espérais être un sourire chaleureux.
"Je le ferai volontiers, bébé, est-ce que c'est ça qui t'ennuie depuis quelque temps?" J'ai demandé.
"Ouais, il me met mal à l'aise depuis deux mois, depuis qu'il m'a entendu me plaindre à Sharon combien j'étais seule avec toi toujours absent. Il me harcèle, me parle de ma beauté, me dit que c'est du gâchis de dormir seule, qu'il faut que je me blottisse dans les bras d'un ami…alors j'ai décidé de porter plainte. C'est difficile parce que je ne veux pas être "cette fille" mais je ne veux pas non plus me sentir mal à l'aise au travail. Je sais que je rapporte mon stress à la maison et que tu en souffres, et je m'en excuse!"
"Bébé, tu fais ce qu'il faut faire et tu es merveilleuse! Pourquoi tu ne m'as pas dit cela auparavant?"
"Je voulais résoudre mon problème toute seule. Tu étais déjà assez stressé à cause de ton nouvel emploi. Je ne savais pas s'il était un homme juste un peu trop protecteur, naturellement affectueux. Vraiment, au début, c'était ténu. Léger. Puis il est devenu de plus en plus lourd, insistant" elle répondit. "En plus, j'avais peur que tu lui fournisses une réponse un peu trop violente, que tu lui casses la gueule. Maintenant, je m'en fous!"
J'ai souri tristement. C'est vrai! C'est de ma faute! Des fois, j'y vais un peu fort! Comme cette fois ou trois mecs un peu éméchés s'en sont pris à Cindy. Nous avons quitté le dancing et ils nous ont suivis sur le parking. Ils devaient penser qu'à trois contre un j'allais m'écraser. C'est ce jour-à que ma femme a découvert que j'avais servi dans les commandos de marine.
Nous avons pris une douche puis nous avons fait une petite sieste. Après cela nous sommes allés faire un bon dîner. Le soir, encore une partie de jambes en l'air puis une bonne nuit de sommeil.
Le weekend nous avons fait nos tâches ménagères dans et autour de la maison. Le soir, je me suis blotti contre sa femme pour dormir.
Lundi midi, je suis allé rejoindre mon épouse dans un fast-food situé à côté de son bureau pour le déjeuner. Bien sûr, son directeur noir la suivait à quelques pas derrière elle. Il n'a pas semblé surpris de ma présence et s'est planté devant Cindy, m'ignorant superbement, un sourire arrogant sur son visage. Il était bâti comme un building en marche, avec une bonne tête de plus que moi et au moins une quarantaine de kilos supplémentaires.
"Cindy, tu m'as fait courir, je suis content de t'avoir rattrapé. Je nous ai inscrits tous les deux pour une conférence de direction le week-end prochain à Marseille. Nous partirons le vendredi soir pour attaquer tôt samedi matin! J'ai pensé que tu étais le choix idéal, car tu es souvent seule" commença-t-il sans préambule. La tête de bite ne m'a pas accordé un regard. Certain que j'allais m'écraser.
"Devon, voici mon mari, George! George, voici mon patron, Devon!" nous a présenté Cindy.
"Devon, il est impossible que je parte seule avec toi! En plus, tout un week-end! George va être à la maison et je veux passer du temps avec mon mari" a-t-elle poursuivi.
"Cindy, je NOUS ai inscrit pour cette réunion. Maintenant, cette réunion OBLIGATOIRE. Tu ne veux pas avoir la réputation de quelqu'un qui ne s'intègre pas dans l'équipe. Un refus de ta part serait désastreux pour tes chances d'avancement" a asséné Devon.
Il ne semblait pas s'intéresser à ma présence.
Alors, je suis intervenu: "Devon, vous devriez nous laisser manger, Cindy et moi, je devrais arriver à la convaincre de vous accompagner à cette réunion. Pour son avancement ..."
Cindy m'a jeté un regard furax!
"Ça m'a l'air correct. Ne sois pas en retard en revenant du déjeuner, coquine. Sinon, c'est la fessée!" sourit Devon en se dirigeant vers la porte.
Je lui ai laissé faire cinq pas, puis je me suis excusé. Cindy bredouillait de colère.
Je l'ai laissé arriver jusqu'au coin du parking, près des bennes à ordures. Quelques pas rapides pour arriver discrètement derrière lui, mon coup de pied l'a atteint directement dans les reins. Alors qu'il trébuchait à quatre pattes, je le redressais pour l'entraîner dans l'allée derrière les bennes à ordures. Je l'ai déséquilibré et il a chuté. J'ai sorti mon coutelas pliant de ma poche et l'ai ouvert rapidement. Je tirais sa tête en arrière et posais le couteau sur sa gorge exposée. Je lui ai fait une estafilade, une légère entaille pour lui montrer que mon couteau était bien affûté.
"Écoute, connard", lui murmurai-je à l'oreille. "Tu vas laisser ma femme tranquille ou tu es un homme mort. J'ai passé quatre ans dans le désert à trouer le bide à des mecs beaucoup plus durs que toi, crois-moi, si tu déconnes encore, ce sera un plaisir. J'ai suffisamment de potes dans un rayon de 50 kilomètres, des mecs encore plus cinglés que moi, j'aurais même pas besoin de me salir les mains. Tu regardes dans la direction de ma femme, je te crèves les yeux. Tu lui parles, je te coupe la langue. Tu la touche, je te coupe les mains. Compris? "
Il acquiesça avec précaution car j'avais toujours mon couteau sous sa gorge. Je l'ai fait pivoter, il était bien musclé, mais un coup de pied au plexus solaire l'a empêché de se relever. J'ai ramassé un morceau de bois de palette et je l'ai frappé aussi fort que possible sur le visage. Il est tombé par terre, gémissant et sanglant. Je me suis penché, j'ai pris son portefeuille et je l'ai feuilleté. Puis je l'ai regardé:
"J'ai ton adresse, si tu veux te rebiffer je saurais où te retrouver. Maintenant, la petite histoire, deux voyous t'ont sauté dessus et ils t'ont dévalisé et frappé. Si je vois une seule miette de flic autour de moi ou de ma femme, ils ne retrouveront jamais ton cadavre. Compris? " Je grondais.
Il acquiesça en gémissant.
"Bien. Alors nous avons fini." Dis-je. Je retirais tout l'argent de son portefeuille et le mettais dans ma poche. Je jetterai le portefeuille dans la rivière plus tard pour qu'il n'y ait pas d'empreintes digitales au cas où.
"Merci pour le déjeuner!" Dis-je en m'éloignant.
Devon a eu une mauvaise semaine. Se faire agresser le lundi et virer le jeudi a été dur à avaler. Je dois admettre que j'étais un peu nerveux pendant un moment à propos des flics mais il a dû croire à mes menaces.
Cindy est enceinte. Pas le jour de mon retour mais un mois plus tard. C'est toujours une bombe sexuelle et elle m'épuise. La grossesse la rend encore plus excitée et il y a des nuits où j'apprécie son amant vibrant pour avoir un peu de repos. Tout va bien.