Une Milf Au Supermarché

Un mardi matin, une soudaine envie m’a prise et il fallait que celle-ci soit satisfaite. Je fantasmais d’aller au supermarché, séduire une femme (pas de profil particulier défini) et de finir au lit avec elle.
Et ce mardi matin donc, j’ai réfléchi un peu plus sérieusement afin d’établir « un plan » pour parvenir à mes fins. D’abord, quel jour étais-je le plus susceptible de croiser des femmes au supermarché ? Aimant les milfs, j’ai d’abord pensé au mercredi après-midi, jour des s, donc des mamans (et un peu des papas mais si peu). Mais qui dit s le mercredi, dit mamans occupées par les s (souvent déjà à l’école donc qui ne sont plus en bas âge). Et puis je me suis dis, qu’un mardi matin était peut être intéressant, si je tombais sur une femme qui m’intéressait, elle n’avait sans doute pas de tâches professionnelles à faire dans la journée et donc plutôt libre.
La question du lieu était déjà un peu réfléchie, le supermarché, mais n’habitant pas dans une ville, je n’avais que des petites/moyennes surfaces autour de moi. Pour mettre plus de chances de mon côté, j’ai donc pris la voiture pour aller dans la grande ville la plus proche pour pouvoir aller dans une vraie grande surface, et donc potentiellement plus de gens, donc plus de femmes.
J’avais aussi des courses à faire, je pris un caddie, puis ai commencé à parcourir les premiers rayons, les moins intéressants pour le quotidien (téléphones, tv, vaisselle, droguerie, …). J’ai bien vu deux jolies femmes qui m’aurait intéressé, mais mes regards n’ont pas provoqué quelque réaction que ce soit chez elles.
Je me suis dit, mais bon sang mais c’est bien sûr, pourquoi ne pas essayer les rayons habillement, puis le rayon bébé. Une seule femme regardait des vêtements, mais franchement, elle ne me plaisait pas vraiment.
Et dans le rayon bébé, quand j’y suis arrivé, une jeune maman, à peine majeure. Bien trop jeune à mon goût. Puis, faisant semblant de regarder des pots pour bébés, j’aperçu une femme, bien plus âgée que la jeune maman.

Elle avait la quarantaine, 45 ans tout au plus. Belle femme, du charme, mais qui peut passer inaperçu tout de même. Elle avait son bébé dans le chariot, environ 6 mois. Elle passe une fois devant moi, c’est le moment où je me suis rendu compte qu’elle était plutôt bien foutue, une poitrine généreuse, un corps pas très svelte mais pas mal quand même et elle portait des talons qui sculptaient bien son fessier. Elle repassa une seconde fois devant moi, qui regardait toujours les pots pour bébés. Voyant que je ne prenais rien, elle me demanda si j’avais besoin de quelque chose.
« Bonjour, lui dis-je, j’hésite un peu entre les pots avec de la viande, les pots du soir, les pots végétariens, les bios, …
- C’est vrai qu’il y a beaucoup de choix, me répondait cette jolie blonde.
- Oui en effet, et il a quel âge votre petit bout ?
- Il vient d’avoir six mois, mais ce n’est pas le mien, j’ai passé l’âge maintenant, me dit-elle
- Passé l’âge, passé l’âge… je ne sais pas…
- Qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Insista-t-elle, curieuse.
- Souvent, les femmes allaitantes ont une poitrine un peu plus généreuse avec les montées de lait
- Oui bien sûr, que voulez vous dire finalement ? me demanda-t-elle
- Vraiment ? Que vous avez de gros seins.
- Euh..., oui effectivement mais vous n’êtes pas le premier à me le faire remarquer ce matin, mais les autres hommes se sont contentés de simple regards, dont j’ai l’habitude en général. Mais rares sont les inconnus qui viennent à m’en parler…
- Il faut savoir prendre les compliments quand ils sont là.
- Merci, mais là n’est pas le problème, que cherchiez vous donc comme pots pour s ? dit-elle pour recentrer la conversation vers quelque chose de plus sérieux
- Je n’en cherche pas vraiment en réalité.
- Que faites vous dans ce rayon alors ? me demanda-t-elle, surprise
- Je flâne, je regarde un peu les belles femmes comme vous.
- Ah… ? Et mes fesses, qu’en pensez vous ? me demanda-t-elle en relevant légèrement sa robe qui tombait à mi cuisses »
À ce moment là, profitant de l’occasion, je pris sa main qui relevait sa robe pour la remonter encore davantage et toucher fermement sa fesse droite.
« Doucement…, vous avez vu où est-ce que nous sommes ? Au supermarché dans le rayon bébé. Et puis ma copine, la maman du petit, va peut-être s’inquiéter si je suis trop longue. Enfin, je lui ai proposé de m’occuper de lui pour qu’elle puisse de retrouver un peu, ça fait 6 mois qu’elle s’occupe de lui.
- Ah oui, c’est son premier ? Elle a quel âge ?
- Oui c’est son premier, me dit-elle en sortant son téléphone, regardez les photos, elle est en train d’allaiter sur celles ci. »
Ne manquant pas l’occasion, car je ne savais toujours pas si la femme qui était devant moi pourrait finir nue avec moi, je me suis aussi intéressée à la copine, plus jeune visiblement, environ 35 ans. Je pourrai ainsi savoir si ma belle milf était intéressé par moi ou pas, en piquant son orgueil, ou pas.
« Quand je vous disais que les femmes allaitantes ont de gros seins, je mens ou pas ? Elle s’appelle comment votre copine ?
- Mais dites donc, vous n’en loupez pas une, si vous voulez tout savoir, c’est Justine, elle a 34 ans et elle fait du 95E avec l’allaitement. Moi en revanche, c’est Karen et j’ai 42 ans, vous préférez laquelle ? me demanda-t-elle en mettant une main sur son sein gauche
- Moi, c’est John, c’est pas évident de choisir entre une jolie femme comme vous qui êtes face à moi et une jolie maman, très bonne, en photo. Et si vous m’emmeniez chez votre copine ?
- Bonne idée, surtout qu’elle me confiait récemment que depuis son accouchement, donc 6 mois, son homme n’avait pas osé revenir encore pour faire l’amour avec elle. Donc si vous êtes intéressé, il faut voir... »
Sur cette phrase, nous décidions alors de continuer nos courses ensemble, rapidement, pour ensuite aller chez la copine Justine qui me semblait superbe, une jolie brune aux yeux bleus, une grosse poitrine donc, et mesurant environ 1m65. Karen quant à elle, faisait environ 1m70, était blonde et avait les yeux marron très foncés, presque noirs.
Une fois les courses rangées dans nos voitures respectives, je suivais alors Karen pour aller chez sa copine.
Karen demanda en arrivant si Justine avait fini sa douche ou pas. J’entendis une voix suave, un peu rauque, répondre. En plus d’être jolie, Justine avait aussi une voix très sexy.
« Oui, enfin non, je suis encore dans la salle de bain, ça a été avec le petit ? demanda Justine.
- Oui oui, prends ton temps alors, on va ranger les courses.
- On ? demanda Justine, surprise, qui « On » ?
- Ah, oui, j’ai fait connaissance avec John au supermarché, il a proposé de venir aider un peu…
- Mais je n’ai pas pris mes vêtements dans la chambre… Je peux passer en serviette ? Il ne regarde pas ?
- Bonjour Justine, dis-je, ne vous inquiétez pas, Karen m’a montré une photo de vous en train d’allaiter. Enfin je ne tiens pas à tout voir, mais j’ai déjà vu une petite partie de…
- Oui merci j’ai compris ! Karen ! Franchement, tu montre mes seins à un inconnu ?
- Non, enfin quand tu allaites c’est pas pour montrer tes seins, c’était pour qu’il mette un visage sur la maman, car il pensait que j’étais la maman.
- Bon ok, et il est comment ton John ma belle ?
- Et bien sort, tu verras par toi même, tu me connais… dit Karen, insinuant qu’elle ne prenait pas les moins moches »
Justine sorti alors de la salle de bain avec la serviette autour d’elle, laissant apercevoir un léger décolleté. Enfin léger, quand on fait du 95E, rien n’est petit…
On se fit la bise et Justine dit à Karen :
« Oui en effet, je te connais, tu ne te trompes jamais ! Donne moi le petit, je vais le changer et m’habiller, vous pouvez prendre un café, un jus en attendant, j’en ai pour un peu de temps. Je vais lui faire un petit massage du dos, il aime beaucoup. »
Justine était donc partie dans sa chambre et nous étions là tous les deux avec Karen.
« Au fait, j’ai pas bien vu tes fesses tout à l’heure... »
Je n’eus pas fini ma phrase que Karen enlevait sa culotte et remontait sa robe au niveau de la taille, me laissant voir sa belle fente.
« Ah… je pensais avoir oublié d’acheter des fruits tout à l’heure mais ton petit abricot est magnifique ! »
Karen finissait d’enlever sa robe et je lui dégrafais son soutif. Elle commençait a se pencher pour enlever aussi ses talons, mais je lui demanda de les garder, ça fait plus sexy comme ça !
Elle prit alors sa robe et ses sous vêtements puis m’invita à la suivre dans le salon.
« Viens, John, on sera bien ici.
- Oui en effet, j’ai un peu chaud Karen, voudriez vous bien me déshabiller ? lui demandais-je en la vouvoyant à nouveau, pour former comme un jeu.
- Avec plaisir Monsieur, me dit-elle tout en me déboutonnant le jean et en m’embrassant. »
J’étais à présent nu, et Karen s’était assise de manière provocante, les jambes écartées.
« Venez John, continuant mon jeu, pénétrez moi ! »
C’est alors que je lui ai relevé les jambes tout en m’introduisant en elle. Nous avons baisé assez rapidement pensant que Justine pourrait arriver maintenant à tout instant. Ce fut rapide, intense mais si bon !
Je me retirais tout juste quand Justine sorti seule de sa chambre. Elle arrivait du couloir qui reliait le salon à sa chambre.
« Il s’est endormi, j’arrive.
- Ah… ? répliqua Karen. Mais… »
Justine arriva rapidement dans le salon et nous vit nus tous les deux allongés sur le canapé.
Je remarquais que Justine avait mis un haut très décolleté, assurément sans aucun soutif, et un slim moulant à souhait !
« Mais vous faites quoi ! Ahaha ! Karen ! Chez moi ! Tu me l’avais encore jamais faite celle-ci ! J’en peux plus. »
Justine était plié de rire, et ça ne semblait pas être si inhabituel pour autant aux yeux de Justine.
« Et bien vient nous rejoindre Justine, lui dis-je, espérant réaliser un autre fantasme, le plan à trois.
- C’est difficile de dire non en vous voyant nus tous les deux, surtout que j’ai pas baisé depuis 8 mois ! Putain, Karen t’aurais pu prévenir que tu ramenais un mec pour baiser à la maison ! »
Justine libéra sa lourde poitrine et se retrouva dénudée en un rien de temps. Karen avait invité Justine à venir lui lécher les seins et moi, je me retrouvais un peu seul, à l’écart. Je voyais donc Karen et Justine tantôt se lécher les seins, tantôt s’embrasser à pleine bouche. J’étais excité comme un fou. Je voyais leurs culs magnifiques l’un comme l’autre!
Justine étant à quatre pattes sur Karen allongée, et ayant déjà pénétré Karen, j’ai alors décidé de m’approcher du cul de Justine pour la prendre en levrette.
« Viens, baise moi John, euh, venez, baisez moi John, se reprit-elle quand Karen lui intima l’ordre de me vouvoyer, pour continuer notre jeu.
- Oh Justine, soyez correcte, je vous pénètre ! Que vous êtes bonne ! »
Je prenais Justine par la taille en continuant mes vas et vient pendant qu’elles s’embrassaient. C’était hyper excitant.
« John allongez vous, m’ordonna Karen, vous aimez les fruits de mer ?
- Oh j’adore les moules ! répondais-je
- Vous allez lécher ma moule car je dégouline de partout, je suis mouillée ! »
Je commençais à lécher Karen tandis que Justine s’était empalée sur ma queue de l’autre côté. Elles se faisaient donc à présent face et continuaient de s’embrasser, comme elles en avait a priori l’habitude.
« Karen, est-ce que John peut également lécher ma moule, la votre devrait pouvoir coulisser à merveille sur sa belle banane !
- Bien sûr Justine, allez y je vous en prie ! »
Justine me présentait sa chatte et s’était mise face à moi pour que je puisse la voir, elle et son 95E. J’en profitais alors pour malaxer ses gros seins desquels dégoulinaient un peu de lait.
Sur ma verge, Karen s’était installé dos à Justine et mettait de violent coups de reins vers le bas, de sorte que ma queue était tendue vers le bas.
Karen pouvait y aller franchement étant donné que j’avais déjà jouit en elle tout à l’heure, j’étais moins sensible et durait donc plus longtemps. Ce n’était pas pour nous déplaire avec Justine car je pouvais ainsi multiplier ses orgasmes avec ma langue tout en continuant à prendre ses seins à pleines mains, en pinçant ses tétons…
Je jouissais enfin, Karen était hors d’haleine, elle avait tout donné cette jolie milf !
Sans doute Justine était un peu jalouse de Karen dans laquelle j’avais déjà jouit deux fois. En effet, Justine n’avait pas encore eu de jouissance avec mon sexe. Elle se mis alors en levrette :
« John, pénétrez moi à nouveau et faites moi jouir ! Prenez mes hanches ! Oui ! Ah ! Comme ça oui ! »
Justine continuait ses encouragements, nous changions plusieurs fois de position pendant que Karen était partie à la douche. Nous jouissions enfin et nous nous arrêtions ensuite, épuisés, mais terriblement satisfaits !