Kristine 14 Malgré Tous Mes Efforts....

Le lendemain matin au boulot je n’en menais pas large. J’avais passé une nuit horrible. Entre la confusion de mes sentiments face à mon inconduite et la honte de l’image que j’avais renvoyée à ma fille, je n’ai pensé à prendre des calmants que trop tard. J’avais passé la nuit les yeux ouverts. Je faisais défiler les scènes les unes après les autres, j’avais du dégoût pour l’excitation extrême que j’avais ressenti en m’exhibant sur ce parking de routiers. Je me demandais comment j’avais pu en arriver là. Je savais aussi qu’au fond de moi, il y avait des envies encore inexplorés des plaisirs inassouvis. Mais étais-je réellement une femme soumise ou simplement une femme mature à la recherche de frissons? Damien était-il un mâle dominant ou un simple pervers avide de profiter de la situation?
En fouillant dans les témoignages d’autres femmes sur internet je me disais que Damien ne ressemblait en rien à un homme auquel une femme puisse se donner sans condition. Il manquait de stabilité et d’assurance. La relation que j’avais avec lui ne se basait pas sur la confiance. Et malgré mes envies, je dirais plutôt mes besoins, je ne me sentais jamais en sécurité et confiance. Malgré tout, le fait de se poser ce genre de question était la garantie que je n’avais pas aboli mon libre arbitre. C’était déjà ça!
Olivier, mon collaborateur était passé me prendre ce matin là. Je l’avais attendu au coin de la rue car je ne voulais pas que ma fille apprenne que j’avais laissé laissé ma voiture à son ex fiancé. La matinée de travail avait été aussi pénible. La non réponse d’un sous-traitant entraînait un délai supplémentaire et le patron me mettait une pression terrible. J’étais en plus souffrante de syndrome pré-menstruel. La journée ne se profilait pas bien, d’autant que Damien faisait la sourde oreille à mes appels et SMS. J’avais résolu de mettre les choses au clair avec lui. Un peu de fermeté s’imposait. Finalement un peu avant midi, il m’annonça le rendez-vous pour 12h15.


J’étais sur le parking, mais Damien n’y était pas. Plusieurs de mes collègues s’étaient proposés de me déposer. J’avais poliment refusé. Mais ma présence en talons et tailleur sur ce parking attirait visiblement l’attention et faisait naître en moi un stress qui entamait mon assurance. Finalement vingt minutes plus tard la voiture entra sur le parking mettant fin à mon attente. J’étais soulagée quand il me fit monter dans la voiture. Le stress de l’attente avait tomber ma colère. J’attendais le moment propice pour poser les limites à notre relation mais c’est lui qui prit la parole.
-Vous m’avez beaucoup déçu Kristine. Votre manière d’r de moi m’est devenue insupportable. Que suis-je pour vous? Rien qu’un sexe à votre service pour assouvir vos fantasmes quand ça vous chante?
Il était réellement en colère. Les mots se bousculaient rapides hachés sous le coup de l’émotion. Ses gestes sur le volant étaient nerveux.
-Votre fille est revenue. Vous m’avez chassé de chez vous. Vous lui avez caché notre relation car vous en avez honte. Quand nous sortons vous avez toujours peur que qu’une de vos connaissance ne nous reconnaisse. Vous ne valez pas mieux que toutes les autres. Mais, elles, au moins savent combien ça coûte...
-Que me dites vous? Je fais ce qui est dans mon pouvoir…
-Pouvoir, pouvoir! Argent, argent! Vous, les femmes bourgeoises n’avez que ce mot là à la bouche. Vos coeurs sont aussi secs que vos chattes flasques sont humides et avides de jeunes queues. Dans la chaîne hôtelière qui m’emploie, nous sommes quelques uns à arrondir nos fin mois en passant du temps avec des clientes. Des femmes comme vous Kristine. La même élégance froide, les mêmes désirs inassouvis. Les mêmes sacs à mains avec dedans les mêmes billets de 20 et de 50…
J’écoutais la suite sidérée. Il ne me regardait pas. Il m’ignorait complètement. Ce discours fiévreux s’adressait autant à moi, qu’à toutes les femmes et qu’à lui même.
- Des femmes cadres qui, de temps en temps, sur leur déplacements se font reluire pendant la semaine à l’hôtel par des jeunots fauchés avant de rentrer passer le week-end en famille.
Ni vu, ni connu! Pas de culpabilité, du cul en échange d’un peu de pognon. Une douche chaude après une baise tiédasse et on a tout effacé.
Il continuait. Son débit était rapide. Il y avait une urgence dans ses propos
- Savez vous, Kristine, ce que c’est de vendre son corps pour pouvoir se payer des études?D’être obliger de loger chez les parents de sa copine pour ne pas se retrouver à la rue. D’assister à des scènes de ménage et de faire comme si de rien n’était. De partir au milieu la nuit pour baiser des vieilles au corps flétri. Vous me trouviez parfois dur avec vous mais ce n’est rien à coté du mépris dans leur regard quand elles recomptent leurs billets en imaginant vous faire un cadeau parce que vous avez éjaculé quelques gouttes dans un préservatif et qu’elles s’imaginent que vous avez pris le pied de votre vie dans leurs chairs molles? Et vous Kristine, vous ne valez pas mieux qu’elles. Et vous voulez en plus vous faire plaindre?
-Pourquoi ne m’avez rien dit…
-Mais, Kristine, vous et vos semblables n’avez aucune idée de l’humiliation que c’est de se faire traiter de moins que rien par des parents bourgeois qui refusent de financer vos études cachant leur radinerie congénitale sous des principes catholiques d’éducation stricts. Heureusement, le sexe m’a ouvert des perspectives moins fatigante que de bosser à l’usine ou au Mac Do comme mes frères et sœurs qui docilement rentre au bercail le Dimanche et vont à la messe. Ce que je fais, on le fait quand on n’a plus scrupules, plus de morale, quand seul compte le fric pour tourner la machine. Mais chaque médaille à son revers. Les passes que je fais, parce c’est comme cela que ça s’appelle, ont profondément modifié le rapport que j’ai au monde, au travail, aux femmes. Mon sexe est à la fois une bénédiction matérielle et une malédiction morale. J’ai cru moi aussi au départ que les 80 euros que j’échangeais de quelques faveurs étaient de l’argent vite gagné. Mais petit à petit, à chaque fois, on y perd un plus de soi même.
La douche n’efface pas tout.
Il arrêté sa voiture devant son appartement.
- J’ai cru en vous, Kristine. J’ai cru à vos mots d’amour. J’ai cru à vos caresses. Vous avez été à la fois une mère de substitution et une amante. Je vous ai parfois admiré, parfois aimé. Mais maintenant je vous déteste autant je me déteste moi-même. Je vous remercie de tout, Kristine.
Il est descendu en tremblant de la voiture et s’est engouffré dans le couloir sans se retourner. Je ne m’étais doutée de rien. Comment avais- je pu laisser certains détails qui me sont revenus plus tard? La manière dont il m’évitait certains matins à son retour. Cette sorte de rage froide lorsqu’il me baisait ensuite me tordant les pointes de seins jusqu’à me faire mal. Et aussi les mots crus qui sortaient de sa bouche, ces mots qui résonnaient si fort en moi et qui me faisaient penser que je lui appartenais finalement n’étaient que des cris de rage qui s’adressaient à toutes les femmes.
Il était temps que ma vie reprenne un cours normal d’une vie normale loin de ces cris, ces pleurs et ces turpitudes charnelles. Je me suis appliquée à souffrir comme il le fallait pour exorciser les brûlures de cette passion insensée. Je me suis remise à reporter des sous-vêtement neutres, des culottes montantes que je gardais même la nuit de peur de me caresser en pensant à ces étreintes torrides qui surnageaient dans mes insomnies. Je savais que la masturbation permettrait de me calmer de retrouver un peu de sérénité mais je repoussait tant bien que mal ces tentations. Je savais que si j’y remettais le pied je sombrerais à nouveau. Mes rêves étaient sans doute torrides car je me réveillais poisseuse, l’entrejambe humide. Parfois, lorsque les heures défilaient au réveil devant mes yeux ouverts, je prenais alors la voiture au milieu de la nuit et l’autoradio accompagnait ma dérive vers les chemins, les bois, les parkings où nous avions parfois fait l’amour, et le plus souvent baisé. J’essayais de retrouver dans la fraîcheur humide de la nuit l’odeur de nos accouplements, l’écho de mes cris.
Parfois aussi, lentement, mon véhicule scrutait les lumières de son appartement. Parfois je sortais de la voiture le coeur battant et mes pas me conduisaient dans la cours intérieure où j’essayais de voir la lumière dans sa chambre cherchant au milieu des bruits de la ville les cris de celle qui m’aurait remplacée. Maintenant, la douleur disparaissait sous les habitudes du quotidien. Le manque se diluait peu à peu mais revenait parfois soudainement et se faisait brutal et mordant avant de disparaître à nouveau.
Le séjour de ma fille touchait à sa fin. Elle avait mis fin a ses remarques acerbes sur mes tenues. Elle n’avait plus de reproches à me faire sur ma conduite. Mais notre complicité d’il y a quelques années avait disparu. Nous n’étions plus une mère et une fille mais deux femmes prêtes à en découdre pour le même homme si l’occasion se représentait. En tout cas, son fiancé en Espagne devait être mûr pour la corrida… Même si elle et lui passaient beaucoup de temps au téléphone, ses absences nocturnes suivis de retour au petit matin laisser présager autre chose que des soirées entre copines.
-Tu sais, maman, nous sommes de nature différente toi et moi. Je n’attache pas tant que cela une importance à la fidélité. Toi tu es restée la femme d’un seul homme pendant tant d’année. Et même si j’aime papa, je ne comprends pas comment tu as pu rester avec lui autant de temps. Si ça avait été moi, il y a longtemps que serais partie. Comme si tu aimais les situations ambiguës, comme si tu n’étais pas capable de prendre un décision franche!
-Si tu crois que c’est si facile de partir avec des s sous le bras. Toi et ta sœur, vous priver de votre père? Comment m’auriez-vous jugée après coup? Si tu savais ce que ta sœur pense de moi et ce qu’elle m’a dit au téléphone en me disant que j’avais foutu ton père dehors alors que c’est lui qui est parti avec une autre..
-L’avis des autres, assois-toi dessus! Pense un peu à toi, au lieu d’hésiter en permanence! C’est comme pour Damien, le temps qu’il t’a fallu pour que tu puisse le faire partir. Je parie que si je n’étais pas revenue, il serait encore là. Au fait, tu savais qu’aujourd’hui il se fait entretenir par une vieille qui lui a dégotté un appart.
-Tu… .Tu l’as revu? J’étais sous le choc.
-Oui, je l’ai revu. Et malgré ce que je pense de lui, on a remis ça. Pour le fun. Je t’épargne les détails. Mais ça m’a fait du bien. J’ai tiré un point final à cette relation.
Avec le recul que me permet d'avoir ce récit, je réalise que ce qui m'a fait mal dans ce que Sophie me disait, ce n'était pas qu'il m'ait été infidèle, c'est que j'étais jalouse de ma propre fille. Tout à coup, je me sentais comme si ma vie était un échec parce que je n'avais pas réussi à la vivre pleinement. Au moins une de mes filles ne commettait pas les mêmes erreurs , mais tout ce qui me venait à l'esprit m'amenait à m'apitoyer sur mon sort. Je me sentais comme si j'avais manqué un virage et que ma vie était ratée.

Sur le coup, ma réaction a été brutale. Je suis montée dans ma chambre et me suis mise à pleurer. J'ai perdu le contrôle sur mes émotions et sur ma pensée rationnelle. Je pleurais avec de gros sanglots. Mon nez coulait, mon corps était secoué de spasme. Je ne peux que m'imaginer comment j'étais laide à ce moment. Sophie ne comprenait pas ma réaction et tentait de me consoler. Elle se fondait en excuses et elle m'a promis qu'elle cesserait de me juger ainsi. Elle me disait qu'elle ferait n'importe quoi pour se faire pardonner. Elle me caressait, me cajolait. Mais je ne cessais pas de déverser mes chaudes larmes. Je la serrais dans mes bras et j'aurais voulu lui dire que je l'aimais, mais tout ce qui sortait c'était mes sanglots.
Sophie était désormais repartie en Espagne avec l’espoir d’y trouver du boulot et d’y retrouver son amoureux. Moi pour ma part je me retrouvais seule dans la maison vide. A part mon travail , mon patron, mes collègues, je n’avais qu’une maison vide et des regrets que la tristesse des programmes télévisés ne faisaient qu’aviver.
Et puis un soir, vers 22h00 alors que je revenais d’un déplacement un peu long, fatiguée par ma journée de travail je me suis perdue en rentrant dans les travaux et les tranchées du centre ville. Finalement la déviation m’a amenée dans la rue où habitait désormais Damien. Par une coïncidence une place de parking était libre devant son immeuble. Je m’y suis garée suivant le destin qui avait guidée mes pas. Pour renforcer ma conviction d’un signe de la providence, la lumière de l’escalier s’est allumée et j’ai pu m’introduire dans l’immeuble à la suite du couple qui en sortait. Je n’ai pas pris l’ascenseur, j’ai monté l’escalier. A chaque étage j’entendais le bourdonnement des téléviseurs et quelques bribes de vie quotidienne de familles. Je me suis arrêtée le coeur battant devant la porte du cinquième gauche. Il n’y avait pas de bruit. La lumière s’est éteinte. Seul, le bouton de la minuterie brillait sue le palier. Je suis restée quelques minutes dans le noir me demandant ce que j’étais en train de faire. Il n’y avait plus de pensée en moi. J’agissais comme un robot, comme si un programme inconnu avait pris possession de moi.
Finalement, la lumière s’est allumée d’elle même, j’ai entendu des bruits de pas. Comme un robot, j’ai appuyé sur le bouton de la sonnette. Timidement. J’espérais que j’avais fait fausse route qu’il n’y avait personne. Mais soudainement, j’ai entendu le bruit du verrou suivi de l’ouverture de la porte. J’étais décomposée.
-Kristine, vous en avez mis du temps pour revenir. Je vous attendais…
Je voulais fuir. Je voulais aussi rentrer. Je voulais descendre l’escalier. Je voulais me jeter dans ses bras. Je voulais le battre à coups de poings. Je voulais qu’il m’embrasse. Mais rien de tout cela, je restais paralysée. Ma bouche s’est ouverte mais aucun son n’est sorti. J’avais tant de chose à dire. Il a posé un doigt devant mes lèvres pour me dire que les mots étaient inutiles. Il m’a pris la main avec douceur et m’a fait entrer. Il m’a guidée jusqu’à la chambre.
Dans la glace de l’armoire, il y avait mon reflet. Je ne reconnaissais pas la femme qui s’y trouvait. Damien se trouvait derrière moi dans l’ombre. La lumière de la chambre était éteint, Seule la lumière du couloir éclairait la pièce. Il a déboutonné le chemisier de la femme devant le miroir. La dentelle noire du soutien gorge cachait la blancheur des seins. Je fixais le visage de la femme comme s’il s’agissait d’une autre. J’étais étrangère à moi-même. Ses mains ont saisi mes seins, ont étiré les mamelons. La douleur liée à la morsure du plaisir se lisait dans le visage de la femme sur le miroir. J’ai senti sa bite contre mon cul. Je me suis cambrée pour sentir sa dureté contre mes fesses. Il s’est frotté simulant le coït. Mes seins pendants sous ses poussées s’agitaient dans mon reflet.
-Ne bougez pas restez comme cela.
Il a quitté quelques instants la pièce. Quand il est revenu il tenait à la main son portable et une paire de ciseaux. Lentement, il a baissé ma jupe et m’a caressée fortement l’entrejambe à travers le collant et la culotte.
-Voulez-vous que j’arrête, Kristine?
-Non, s’il vous plaît continuez.
-Continuer, quoi Kristine.
-Vous me faîtes tellement de bien.
Il filmait en même temps la scène. Il filmait mon visage déformé dans le miroir, il filmait ce reflet qui lui disait.
-Je veux vous sentir en moi, Damien. Dans ma bouche, dans mon ventre, dans mon cul si vous le désirez.
La femme du miroir vient de demander à l’amant de ma fille de m'enculer! Je suis à la fois actrice et spectatrice de la scène. L’acier des ciseaux a entamé la culotte et le collant. Je sens l’acier froid des ciseaux entre mes fesses. J’ai peur. Je tente de me redresser. Je reçois quelques claques brutales sur les fesses. Je n’aime pas cette violence. Je voudrais m’enfuir. Il a arrêté la coupure juste au niveau du bas de mes fesses. De ses deux mains il les ouvre puis crache sur mon anus. Je suis humiliée. Je devrais lui dire d’arrêter tout, que je veux m’en aller. Au lieu de çà je me cambre, je gémis comme une putain pour lui donner l'impression que je n'attends que çà, remuant du cul comme une poule en chaleur… prête pour sa bite... prête à être follement enculée.
Je baisse les yeux pour voir qu'il a sa bite dehors et qu'il la caresse tout en regardant mon cul. Un seul regard sur sa grosse bite et je sais ce que je veux: je veux qu'il me baise le cul, je veux prendre sa longue queue dans mon cul. Un frisson de peur court le long de mon échine dans la crainte qu'il me fasse mal.
- Oh mon amour… je la veux même si elle me fait un peu mal…
J'arque mon dos et présente mon cul pour que Damien pousse sa grosse bite à l'intérieur.
Je tends mon cul quand je sens son gland entrer en contact avec l'anneau de mon cul.
- OOOhhhh, vas-doucement… tout doucement… oh mon Dieu.
Il pousse un peu et je sens mon trou du cul qui s'ouvre . Saisissant le bureau avec les deux mains, je gémis de douleur autant que de plaisir, quand son gros pénis, écartèle mon anus et mes boyaux en s'enfonçant petit à petit dans mes entrailles. Je sens la douleur qui dépasse le plaisir.
- Kristine, çà va ? Sa voix remplie d'inquiétude pour moi.
Il cesse de progresser, mais reste à l'intérieur. Mon cul est en feu, des picotements parcourent mes boyaux mais la douleur s'estompe un peu. Ce sentiment de viol, de forcer mon cul à s'ouvrir sous la poussée d'une queue de cette taille fait disparaître complètement la douleur pour la remplacer par ce plaisir incomparable à tout autre, d'avoir cette bite longue et dure qui palpite dans mon cul et qui me rend folle. Je prends quelques secondes pour me reposer, m'adapter à sa taille, puis je regarde en arrière je lui att sa main qui était sur ma hanche et lui souriant faiblement.
- Ne bouge plus… laisse moi faire.
Il est aussi excité que moi, j'approche sa main de mes lèvres pour l'embrasser et il met son index dans ma bouche. Je lui suce son doigt comme une fellation et je repousse mon cul contre sa bite. Quelques centimètres de plus s'enfoncent dans mon conduit dilaté. Je ne sens pas de douleur alors je pousse encore. Je pousse encore jusqu'à sentir ses cuisses sur mes fesses. Il est complètement enfoncé dans mon cul dilaté à l'extrême et je sens sa bite palpiter dans mon corps. Le passage est fait c'est merveilleux de sentir cette queue épaisse qui envahie mes entrailles. Je m'abandonne totalement à lui. J'aime !
En gémissant je commence lentement a faire aller et venir sa grosse queue. Je m'encule moi même… je me baise le cul avec la bite Damien. Je ne sens plus aucune douleur mais des terminaisons nerveuses commencent à prendre le relais, pour m'envoyer des ondes de plaisir tout au long de mon corps d'une manière que je n'aurais jamais imaginé.
-J'aime çà... oh mon chéri... c'est si bon….
Damien a ôté son doigt de ma bouche et il me prend par les épaules .
- Oooh Kristine... ton cul... ton cul… putain c'est serré… mais alors vachement serré…
A son tour, il me tient fermement et c'est lui maintenant qui m'encule avec de longs coups de bite, la sortant pour ne laisser que son gland enserré par ma rosace et replongeant en regardant sa longue queue baiser mon cul pour disparaître avalée par mon trou intime
J'approche rapidement l’orgasme sous les coups régulier de la bite de mon beau fils dans mon cul. Je commence à perdre l'esprit.
- AAAAAhHHHH...
Je ne peux en supporter plus ! J'ai besoins de reprendre le contrôle de sa queue et de m'en servir moi-même pour le plaisir de mon cul. Une de ses mains passe entre mes jambes ouvertes et arrache ce qui reste du collant et de la culotte et se met à tripoter ma chatte. Ses doigts montent et descendent entre mes lèvres pour les écarter. Automatiquement j'écarte encore plus mes cuisses. Ses doigts fouillent ma chatte humide, sa main qui caresse tout mon bas ventre et ses 4 doigts écartent les lèvres de ma chatte pour pénétrer mon trou de devant. Je suis tellement soumise à ce moment que je lui permettrais de faire ce qu'il veut de mon corps.Il retire ses doigts dégoulinant de jus épais et il me les mets devant mes yeux.
- Regarde tu vois ta mouille qui coule sur mes doigts ? Tu veux la goûter?
La question m'a surprise, bien sûr que je veux goûter mon jus.
- Oh Oui... S'il te plaît… donne moi tes doigts que je les suce.
J'ouvre la bouche dans l'attente de ses doigts juteux mais il les met au dessus et laisse couler de longues gouttes sur ma langue tendue. Mon Dieu, quelle goût! Pourquoi j'aime tellement çà ? Immédiatement, je rentre ma langue et j'avale cette liqueur en fermant les yeux avec un gémissement de salope qui vient de mes entrailles.
- Huuummm, c'est bon…Encore s'il te plaît...
Encore une fois, je sens sa queue remuer à l'intérieur de mon cul et je réalise que mes paroles font lui de l'effet . Je souri et je suce ses doigts en passant ma langue entre eux. Sa bite durcie un peu plus et vibre a l'intérieur de mon cul et quand elle recule un peu je contracte mes muscles anneaux pour la bloquer. Et je recommence, compression…détente… Je l'entends gémir… ni lui, ni moi ne faisons des mouvements mais c'est comme si on baisait.
Une de ses mains att un de mes seins, pince mes tétons tout dur et l'autre va sur ma chatte chaude et trempée. Il colle ses doigts dans mon trou à son tour pour me faire gémir de contentement. Il a au moins 3 doigts qui fouillent ma chatte.
- Petit salaud…
Moi je ne suis plus sur terre. Mes deux trous sont remplis et fouillés en même temps . Qu'est ce que çà doit être d'avoir deux bites en même temps ? Mes organes fouillés ainsi envoie des ondes de plaisir dans mon cerveau embrumé et je ne veux pas que ça cesse !
- Continue,baise, n'arrête surtout pas ! Baise-moi les deux trous !
Je suis insatiable, me soulevant je commence à baiser moi-même mon cul avec sa bite pendant qu'il s'occupe de ma chatte avec ses doigts. Mon trou du cul est distendu mais il est lubrifié par mon jus dégoulinant de ma chatte, ce qui permet à sa grosse bite de glisser à l'intérieur de mon cul avec facilité. J'ai un peu mal mais j’avance le bassin à la limite de perdre son gland, et je recule violemment, enterrant sa grosse bite entièrement dans mon cul en touchant la base de sa queue avec mon anneau anal. Je transpire emais je travaille sa bite , dedans et dehors... dedans et dehors sans que ses doigts quittent ma chatte.
- Damien, Oh oui, baise-moi fort…
Je ne sais plus ce que je dis… je suis dans l'enfer du sexe. L’orgasme éclate comme un coup de tonnerre. Mon corps m’échappe totalement et mes terminaisons nerveuses sont en feu, chaque muscle se contracte et se détend et je jouis en hurlant mon plaisir. Je suis prise de convulsion. Mon corps échappe à mon contrôle. Je suis allongée sur le lit et mon corps tressaute. Il ne m’obéit plus. Je fais mon possible pour que ça s’arrête. Mais rien à faire je n’arrive pas à calmer les contractions de mes bras, de mes jambes de mon sexe. Je suis sourde au monde extérieur. Je dois crier, mais je n’entends rien. Damien pose sa main sur ma bouche. Au bout d’un temps incertains les contractions ralentissent et tout s’apaise.

Et puis vient le sentiment de la honte quand je prends conscience que je n’ai pas contrôlé loin s’en faut mes intestins. Lui s’est réfugié sous la douche et m’a laissée seule face au désastre. J’ai fait de mon mieux pour tout nettoyer et mettre une machine à tourner. Je me suis habillée tant bien que mal. Quand je suis partie il était devant la télé.
- Je voulais m’excuser, Damien. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
Il n’a rien dit. Il s’est levé m’a embrassé introduisant sa langue dans ma bouche. Je lui a rendu son baiser passionnément. Puis il ma repoussé puis il a saisi mon sac à main a trouvé mon portefeuille et y prélevé quelques billets.
-Revenez quand vous voulez, Kristine.

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