Kristine 14 Malgré Tous Mes Efforts....
Le lendemain matin au boulot je nen menais pas large. Javais passé une nuit horrible. Entre la confusion de mes sentiments face à mon inconduite et la honte de limage que javais renvoyée à ma fille, je nai pensé à prendre des calmants que trop tard. Javais passé la nuit les yeux ouverts. Je faisais défiler les scènes les unes après les autres, javais du dégoût pour lexcitation extrême que javais ressenti en mexhibant sur ce parking de routiers. Je me demandais comment javais pu en arriver là. Je savais aussi quau fond de moi, il y avait des envies encore inexplorés des plaisirs inassouvis. Mais étais-je réellement une femme soumise ou simplement une femme mature à la recherche de frissons? Damien était-il un mâle dominant ou un simple pervers avide de profiter de la situation?
En fouillant dans les témoignages dautres femmes sur internet je me disais que Damien ne ressemblait en rien à un homme auquel une femme puisse se donner sans condition. Il manquait de stabilité et dassurance. La relation que javais avec lui ne se basait pas sur la confiance. Et malgré mes envies, je dirais plutôt mes besoins, je ne me sentais jamais en sécurité et confiance. Malgré tout, le fait de se poser ce genre de question était la garantie que je navais pas aboli mon libre arbitre. Cétait déjà ça!
Olivier, mon collaborateur était passé me prendre ce matin là. Je lavais attendu au coin de la rue car je ne voulais pas que ma fille apprenne que javais laissé laissé ma voiture à son ex fiancé. La matinée de travail avait été aussi pénible. La non réponse dun sous-traitant entraînait un délai supplémentaire et le patron me mettait une pression terrible. Jétais en plus souffrante de syndrome pré-menstruel. La journée ne se profilait pas bien, dautant que Damien faisait la sourde oreille à mes appels et SMS. Javais résolu de mettre les choses au clair avec lui. Un peu de fermeté simposait. Finalement un peu avant midi, il mannonça le rendez-vous pour 12h15.
Jétais sur le parking, mais Damien ny était pas. Plusieurs de mes collègues sétaient proposés de me déposer. Javais poliment refusé. Mais ma présence en talons et tailleur sur ce parking attirait visiblement lattention et faisait naître en moi un stress qui entamait mon assurance. Finalement vingt minutes plus tard la voiture entra sur le parking mettant fin à mon attente. Jétais soulagée quand il me fit monter dans la voiture. Le stress de lattente avait tomber ma colère. Jattendais le moment propice pour poser les limites à notre relation mais cest lui qui prit la parole.
-Vous mavez beaucoup déçu Kristine. Votre manière dr de moi mest devenue insupportable. Que suis-je pour vous? Rien quun sexe à votre service pour assouvir vos fantasmes quand ça vous chante?
Il était réellement en colère. Les mots se bousculaient rapides hachés sous le coup de lémotion. Ses gestes sur le volant étaient nerveux.
-Votre fille est revenue. Vous mavez chassé de chez vous. Vous lui avez caché notre relation car vous en avez honte. Quand nous sortons vous avez toujours peur que quune de vos connaissance ne nous reconnaisse. Vous ne valez pas mieux que toutes les autres. Mais, elles, au moins savent combien ça coûte...
-Que me dites vous? Je fais ce qui est dans mon pouvoir
-Pouvoir, pouvoir! Argent, argent! Vous, les femmes bourgeoises navez que ce mot là à la bouche. Vos coeurs sont aussi secs que vos chattes flasques sont humides et avides de jeunes queues. Dans la chaîne hôtelière qui memploie, nous sommes quelques uns à arrondir nos fin mois en passant du temps avec des clientes. Des femmes comme vous Kristine. La même élégance froide, les mêmes désirs inassouvis. Les mêmes sacs à mains avec dedans les mêmes billets de 20 et de 50
Jécoutais la suite sidérée. Il ne me regardait pas. Il mignorait complètement. Ce discours fiévreux sadressait autant à moi, quà toutes les femmes et quà lui même.
- Des femmes cadres qui, de temps en temps, sur leur déplacements se font reluire pendant la semaine à lhôtel par des jeunots fauchés avant de rentrer passer le week-end en famille.
Il continuait. Son débit était rapide. Il y avait une urgence dans ses propos
- Savez vous, Kristine, ce que cest de vendre son corps pour pouvoir se payer des études?Dêtre obliger de loger chez les parents de sa copine pour ne pas se retrouver à la rue. Dassister à des scènes de ménage et de faire comme si de rien nétait. De partir au milieu la nuit pour baiser des vieilles au corps flétri. Vous me trouviez parfois dur avec vous mais ce nest rien à coté du mépris dans leur regard quand elles recomptent leurs billets en imaginant vous faire un cadeau parce que vous avez éjaculé quelques gouttes dans un préservatif et quelles simaginent que vous avez pris le pied de votre vie dans leurs chairs molles? Et vous Kristine, vous ne valez pas mieux quelles. Et vous voulez en plus vous faire plaindre?
-Pourquoi ne mavez rien dit
-Mais, Kristine, vous et vos semblables navez aucune idée de lhumiliation que cest de se faire traiter de moins que rien par des parents bourgeois qui refusent de financer vos études cachant leur radinerie congénitale sous des principes catholiques déducation stricts. Heureusement, le sexe ma ouvert des perspectives moins fatigante que de bosser à lusine ou au Mac Do comme mes frères et surs qui docilement rentre au bercail le Dimanche et vont à la messe. Ce que je fais, on le fait quand on na plus scrupules, plus de morale, quand seul compte le fric pour tourner la machine. Mais chaque médaille à son revers. Les passes que je fais, parce cest comme cela que ça sappelle, ont profondément modifié le rapport que jai au monde, au travail, aux femmes. Mon sexe est à la fois une bénédiction matérielle et une malédiction morale. Jai cru moi aussi au départ que les 80 euros que jéchangeais de quelques faveurs étaient de largent vite gagné. Mais petit à petit, à chaque fois, on y perd un plus de soi même.
Il arrêté sa voiture devant son appartement.
- Jai cru en vous, Kristine. Jai cru à vos mots damour. Jai cru à vos caresses. Vous avez été à la fois une mère de substitution et une amante. Je vous ai parfois admiré, parfois aimé. Mais maintenant je vous déteste autant je me déteste moi-même. Je vous remercie de tout, Kristine.
Il est descendu en tremblant de la voiture et sest engouffré dans le couloir sans se retourner. Je ne métais doutée de rien. Comment avais- je pu laisser certains détails qui me sont revenus plus tard? La manière dont il mévitait certains matins à son retour. Cette sorte de rage froide lorsquil me baisait ensuite me tordant les pointes de seins jusquà me faire mal. Et aussi les mots crus qui sortaient de sa bouche, ces mots qui résonnaient si fort en moi et qui me faisaient penser que je lui appartenais finalement nétaient que des cris de rage qui sadressaient à toutes les femmes.
Il était temps que ma vie reprenne un cours normal dune vie normale loin de ces cris, ces pleurs et ces turpitudes charnelles. Je me suis appliquée à souffrir comme il le fallait pour exorciser les brûlures de cette passion insensée. Je me suis remise à reporter des sous-vêtement neutres, des culottes montantes que je gardais même la nuit de peur de me caresser en pensant à ces étreintes torrides qui surnageaient dans mes insomnies. Je savais que la masturbation permettrait de me calmer de retrouver un peu de sérénité mais je repoussait tant bien que mal ces tentations. Je savais que si jy remettais le pied je sombrerais à nouveau. Mes rêves étaient sans doute torrides car je me réveillais poisseuse, lentrejambe humide. Parfois, lorsque les heures défilaient au réveil devant mes yeux ouverts, je prenais alors la voiture au milieu de la nuit et lautoradio accompagnait ma dérive vers les chemins, les bois, les parkings où nous avions parfois fait lamour, et le plus souvent baisé. Jessayais de retrouver dans la fraîcheur humide de la nuit lodeur de nos accouplements, lécho de mes cris.
Le séjour de ma fille touchait à sa fin. Elle avait mis fin a ses remarques acerbes sur mes tenues. Elle navait plus de reproches à me faire sur ma conduite. Mais notre complicité dil y a quelques années avait disparu. Nous nétions plus une mère et une fille mais deux femmes prêtes à en découdre pour le même homme si loccasion se représentait. En tout cas, son fiancé en Espagne devait être mûr pour la corrida
Même si elle et lui passaient beaucoup de temps au téléphone, ses absences nocturnes suivis de retour au petit matin laisser présager autre chose que des soirées entre copines.
-Tu sais, maman, nous sommes de nature différente toi et moi. Je nattache pas tant que cela une importance à la fidélité. Toi tu es restée la femme dun seul homme pendant tant dannée. Et même si jaime papa, je ne comprends pas comment tu as pu rester avec lui autant de temps. Si ça avait été moi, il y a longtemps que serais partie. Comme si tu aimais les situations ambiguës, comme si tu nétais pas capable de prendre un décision franche!
-Si tu crois que cest si facile de partir avec des s sous le bras. Toi et ta sur, vous priver de votre père? Comment mauriez-vous jugée après coup? Si tu savais ce que ta sur pense de moi et ce quelle ma dit au téléphone en me disant que javais foutu ton père dehors alors que cest lui qui est parti avec une autre..
-Lavis des autres, assois-toi dessus! Pense un peu à toi, au lieu dhésiter en permanence! Cest comme pour Damien, le temps quil ta fallu pour que tu puisse le faire partir. Je parie que si je nétais pas revenue, il serait encore là. Au fait, tu savais quaujourdhui il se fait entretenir par une vieille qui lui a dégotté un appart.
-Tu
.Tu las revu? Jétais sous le choc.
-Oui, je lai revu. Et malgré ce que je pense de lui, on a remis ça. Pour le fun. Je tépargne les détails. Mais ça ma fait du bien. Jai tiré un point final à cette relation.
Avec le recul que me permet d'avoir ce récit, je réalise que ce qui m'a fait mal dans ce que Sophie me disait, ce n'était pas qu'il m'ait été infidèle, c'est que j'étais jalouse de ma propre fille. Tout à coup, je me sentais comme si ma vie était un échec parce que je n'avais pas réussi à la vivre pleinement. Au moins une de mes filles ne commettait pas les mêmes erreurs , mais tout ce qui me venait à l'esprit m'amenait à m'apitoyer sur mon sort. Je me sentais comme si j'avais manqué un virage et que ma vie était ratée.
Sur le coup, ma réaction a été brutale. Je suis montée dans ma chambre et me suis mise à pleurer. J'ai perdu le contrôle sur mes émotions et sur ma pensée rationnelle. Je pleurais avec de gros sanglots. Mon nez coulait, mon corps était secoué de spasme. Je ne peux que m'imaginer comment j'étais laide à ce moment. Sophie ne comprenait pas ma réaction et tentait de me consoler. Elle se fondait en excuses et elle m'a promis qu'elle cesserait de me juger ainsi. Elle me disait qu'elle ferait n'importe quoi pour se faire pardonner. Elle me caressait, me cajolait. Mais je ne cessais pas de déverser mes chaudes larmes. Je la serrais dans mes bras et j'aurais voulu lui dire que je l'aimais, mais tout ce qui sortait c'était mes sanglots.
Sophie était désormais repartie en Espagne avec lespoir dy trouver du boulot et dy retrouver son amoureux. Moi pour ma part je me retrouvais seule dans la maison vide. A part mon travail , mon patron, mes collègues, je navais quune maison vide et des regrets que la tristesse des programmes télévisés ne faisaient quaviver.
Et puis un soir, vers 22h00 alors que je revenais dun déplacement un peu long, fatiguée par ma journée de travail je me suis perdue en rentrant dans les travaux et les tranchées du centre ville. Finalement la déviation ma amenée dans la rue où habitait désormais Damien. Par une coïncidence une place de parking était libre devant son immeuble. Je my suis garée suivant le destin qui avait guidée mes pas. Pour renforcer ma conviction dun signe de la providence, la lumière de lescalier sest allumée et jai pu mintroduire dans limmeuble à la suite du couple qui en sortait. Je nai pas pris lascenseur, jai monté lescalier. A chaque étage jentendais le bourdonnement des téléviseurs et quelques bribes de vie quotidienne de familles. Je me suis arrêtée le coeur battant devant la porte du cinquième gauche. Il ny avait pas de bruit. La lumière sest éteinte. Seul, le bouton de la minuterie brillait sue le palier. Je suis restée quelques minutes dans le noir me demandant ce que jétais en train de faire. Il ny avait plus de pensée en moi. Jagissais comme un robot, comme si un programme inconnu avait pris possession de moi.
Finalement, la lumière sest allumée delle même, jai entendu des bruits de pas. Comme un robot, jai appuyé sur le bouton de la sonnette. Timidement. Jespérais que javais fait fausse route quil ny avait personne. Mais soudainement, jai entendu le bruit du verrou suivi de louverture de la porte. Jétais décomposée.
-Kristine, vous en avez mis du temps pour revenir. Je vous attendais
Je voulais fuir. Je voulais aussi rentrer. Je voulais descendre lescalier. Je voulais me jeter dans ses bras. Je voulais le battre à coups de poings. Je voulais quil membrasse. Mais rien de tout cela, je restais paralysée. Ma bouche sest ouverte mais aucun son nest sorti. Javais tant de chose à dire. Il a posé un doigt devant mes lèvres pour me dire que les mots étaient inutiles. Il ma pris la main avec douceur et ma fait entrer. Il ma guidée jusquà la chambre.
Dans la glace de larmoire, il y avait mon reflet. Je ne reconnaissais pas la femme qui sy trouvait. Damien se trouvait derrière moi dans lombre. La lumière de la chambre était éteint, Seule la lumière du couloir éclairait la pièce. Il a déboutonné le chemisier de la femme devant le miroir. La dentelle noire du soutien gorge cachait la blancheur des seins. Je fixais le visage de la femme comme sil sagissait dune autre. Jétais étrangère à moi-même. Ses mains ont saisi mes seins, ont étiré les mamelons. La douleur liée à la morsure du plaisir se lisait dans le visage de la femme sur le miroir. Jai senti sa bite contre mon cul. Je me suis cambrée pour sentir sa dureté contre mes fesses. Il sest frotté simulant le coït. Mes seins pendants sous ses poussées sagitaient dans mon reflet.
-Ne bougez pas restez comme cela.
Il a quitté quelques instants la pièce. Quand il est revenu il tenait à la main son portable et une paire de ciseaux. Lentement, il a baissé ma jupe et ma caressée fortement lentrejambe à travers le collant et la culotte.
-Voulez-vous que jarrête, Kristine?
-Non, sil vous plaît continuez.
-Continuer, quoi Kristine.
-Vous me faîtes tellement de bien.
Il filmait en même temps la scène. Il filmait mon visage déformé dans le miroir, il filmait ce reflet qui lui disait.
-Je veux vous sentir en moi, Damien. Dans ma bouche, dans mon ventre, dans mon cul si vous le désirez.
La femme du miroir vient de demander à lamant de ma fille de m'enculer! Je suis à la fois actrice et spectatrice de la scène. Lacier des ciseaux a entamé la culotte et le collant. Je sens lacier froid des ciseaux entre mes fesses. Jai peur. Je tente de me redresser. Je reçois quelques claques brutales sur les fesses. Je naime pas cette violence. Je voudrais menfuir. Il a arrêté la coupure juste au niveau du bas de mes fesses. De ses deux mains il les ouvre puis crache sur mon anus. Je suis humiliée. Je devrais lui dire darrêter tout, que je veux men aller. Au lieu de çà je me cambre, je gémis comme une putain pour lui donner l'impression que je n'attends que çà, remuant du cul comme une poule en chaleur
prête pour sa bite... prête à être follement enculée.
Je baisse les yeux pour voir qu'il a sa bite dehors et qu'il la caresse tout en regardant mon cul. Un seul regard sur sa grosse bite et je sais ce que je veux: je veux qu'il me baise le cul, je veux prendre sa longue queue dans mon cul. Un frisson de peur court le long de mon échine dans la crainte qu'il me fasse mal.
- Oh mon amour
je la veux même si elle me fait un peu mal
J'arque mon dos et présente mon cul pour que Damien pousse sa grosse bite à l'intérieur.
Je tends mon cul quand je sens son gland entrer en contact avec l'anneau de mon cul.
- OOOhhhh, vas-doucement
tout doucement
oh mon Dieu.
Il pousse un peu et je sens mon trou du cul qui s'ouvre . Saisissant le bureau avec les deux mains, je gémis de douleur autant que de plaisir, quand son gros pénis, écartèle mon anus et mes boyaux en s'enfonçant petit à petit dans mes entrailles. Je sens la douleur qui dépasse le plaisir.
- Kristine, çà va ? Sa voix remplie d'inquiétude pour moi.
Il cesse de progresser, mais reste à l'intérieur. Mon cul est en feu, des picotements parcourent mes boyaux mais la douleur s'estompe un peu. Ce sentiment de viol, de forcer mon cul à s'ouvrir sous la poussée d'une queue de cette taille fait disparaître complètement la douleur pour la remplacer par ce plaisir incomparable à tout autre, d'avoir cette bite longue et dure qui palpite dans mon cul et qui me rend folle. Je prends quelques secondes pour me reposer, m'adapter à sa taille, puis je regarde en arrière je lui att sa main qui était sur ma hanche et lui souriant faiblement.
- Ne bouge plus
laisse moi faire.
Il est aussi excité que moi, j'approche sa main de mes lèvres pour l'embrasser et il met son index dans ma bouche. Je lui suce son doigt comme une fellation et je repousse mon cul contre sa bite. Quelques centimètres de plus s'enfoncent dans mon conduit dilaté. Je ne sens pas de douleur alors je pousse encore. Je pousse encore jusqu'à sentir ses cuisses sur mes fesses. Il est complètement enfoncé dans mon cul dilaté à l'extrême et je sens sa bite palpiter dans mon corps. Le passage est fait c'est merveilleux de sentir cette queue épaisse qui envahie mes entrailles. Je m'abandonne totalement à lui. J'aime !
En gémissant je commence lentement a faire aller et venir sa grosse queue. Je m'encule moi même
je me baise le cul avec la bite Damien. Je ne sens plus aucune douleur mais des terminaisons nerveuses commencent à prendre le relais, pour m'envoyer des ondes de plaisir tout au long de mon corps d'une manière que je n'aurais jamais imaginé.
-J'aime çà... oh mon chéri... c'est si bon
.
Damien a ôté son doigt de ma bouche et il me prend par les épaules .
- Oooh Kristine... ton cul... ton cul
putain c'est serré
mais alors vachement serré
A son tour, il me tient fermement et c'est lui maintenant qui m'encule avec de longs coups de bite, la sortant pour ne laisser que son gland enserré par ma rosace et replongeant en regardant sa longue queue baiser mon cul pour disparaître avalée par mon trou intime
J'approche rapidement lorgasme sous les coups régulier de la bite de mon beau fils dans mon cul. Je commence à perdre l'esprit.
- AAAAAhHHHH...
Je ne peux en supporter plus ! J'ai besoins de reprendre le contrôle de sa queue et de m'en servir moi-même pour le plaisir de mon cul. Une de ses mains passe entre mes jambes ouvertes et arrache ce qui reste du collant et de la culotte et se met à tripoter ma chatte. Ses doigts montent et descendent entre mes lèvres pour les écarter. Automatiquement j'écarte encore plus mes cuisses. Ses doigts fouillent ma chatte humide, sa main qui caresse tout mon bas ventre et ses 4 doigts écartent les lèvres de ma chatte pour pénétrer mon trou de devant. Je suis tellement soumise à ce moment que je lui permettrais de faire ce qu'il veut de mon corps.Il retire ses doigts dégoulinant de jus épais et il me les mets devant mes yeux.
- Regarde tu vois ta mouille qui coule sur mes doigts ? Tu veux la goûter?
La question m'a surprise, bien sûr que je veux goûter mon jus.
- Oh Oui... S'il te plaît
donne moi tes doigts que je les suce.
J'ouvre la bouche dans l'attente de ses doigts juteux mais il les met au dessus et laisse couler de longues gouttes sur ma langue tendue. Mon Dieu, quelle goût! Pourquoi j'aime tellement çà ? Immédiatement, je rentre ma langue et j'avale cette liqueur en fermant les yeux avec un gémissement de salope qui vient de mes entrailles.
- Huuummm, c'est bon
Encore s'il te plaît...
Encore une fois, je sens sa queue remuer à l'intérieur de mon cul et je réalise que mes paroles font lui de l'effet . Je souri et je suce ses doigts en passant ma langue entre eux. Sa bite durcie un peu plus et vibre a l'intérieur de mon cul et quand elle recule un peu je contracte mes muscles anneaux pour la bloquer. Et je recommence, compression
détente
Je l'entends gémir
ni lui, ni moi ne faisons des mouvements mais c'est comme si on baisait.
Une de ses mains att un de mes seins, pince mes tétons tout dur et l'autre va sur ma chatte chaude et trempée. Il colle ses doigts dans mon trou à son tour pour me faire gémir de contentement. Il a au moins 3 doigts qui fouillent ma chatte.
- Petit salaud
Moi je ne suis plus sur terre. Mes deux trous sont remplis et fouillés en même temps . Qu'est ce que çà doit être d'avoir deux bites en même temps ? Mes organes fouillés ainsi envoie des ondes de plaisir dans mon cerveau embrumé et je ne veux pas que ça cesse !
- Continue,baise, n'arrête surtout pas ! Baise-moi les deux trous !
Je suis insatiable, me soulevant je commence à baiser moi-même mon cul avec sa bite pendant qu'il s'occupe de ma chatte avec ses doigts. Mon trou du cul est distendu mais il est lubrifié par mon jus dégoulinant de ma chatte, ce qui permet à sa grosse bite de glisser à l'intérieur de mon cul avec facilité. J'ai un peu mal mais javance le bassin à la limite de perdre son gland, et je recule violemment, enterrant sa grosse bite entièrement dans mon cul en touchant la base de sa queue avec mon anneau anal. Je transpire emais je travaille sa bite , dedans et dehors... dedans et dehors sans que ses doigts quittent ma chatte.
- Damien, Oh oui, baise-moi fort
Je ne sais plus ce que je dis
je suis dans l'enfer du sexe. Lorgasme éclate comme un coup de tonnerre. Mon corps méchappe totalement et mes terminaisons nerveuses sont en feu, chaque muscle se contracte et se détend et je jouis en hurlant mon plaisir. Je suis prise de convulsion. Mon corps échappe à mon contrôle. Je suis allongée sur le lit et mon corps tressaute. Il ne mobéit plus. Je fais mon possible pour que ça sarrête. Mais rien à faire je narrive pas à calmer les contractions de mes bras, de mes jambes de mon sexe. Je suis sourde au monde extérieur. Je dois crier, mais je nentends rien. Damien pose sa main sur ma bouche. Au bout dun temps incertains les contractions ralentissent et tout sapaise.
Et puis vient le sentiment de la honte quand je prends conscience que je nai pas contrôlé loin sen faut mes intestins. Lui sest réfugié sous la douche et ma laissée seule face au désastre. Jai fait de mon mieux pour tout nettoyer et mettre une machine à tourner. Je me suis habillée tant bien que mal. Quand je suis partie il était devant la télé.
- Je voulais mexcuser, Damien. Je ne sais pas ce qui ma pris.
Il na rien dit. Il sest levé ma embrassé introduisant sa langue dans ma bouche. Je lui a rendu son baiser passionnément. Puis il ma repoussé puis il a saisi mon sac à main a trouvé mon portefeuille et y prélevé quelques billets.
-Revenez quand vous voulez, Kristine.
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