Ma Copine De Jeu...
En ce mercredi matin, au lieu de me trouver à mes cours, je suis dans ma garçonnière. Cest-à-dire au sous-sol de mon bâtiment, dans un local déserté par son propriétaire et dont jai pris mes quartiers. Laménageant de quelques vieux meubles que les locataires du bâtiment ont mis au rebus. Dont un vieux sommier en maille de fer où je suis allongé. Chevauchant un vieux traversin que ma mère avait mis au rebus et dont jai récupéré. Que jai recouvert dun collant pour être plus soyeux et que je me faisais un plaisir sans limite de chevaucher. À la recherche de fortes sensations.
Mais ce matin là il était écrit que jallais être surpris en flagrant délit par Véronique. Une jeune voisine tout fraîchement débarqué dans le quartier. Et que depuis quelques jours, jétais devenu son centre dintérêt. Jolie créature mais pas moins délurée. Encore hier, je me suis aperçu quelle a une manière particulière un peu appuyée de me regarder dans les yeux. Jai feint de ne pas comprendre. Non par absence totale dintérêt, mais parce quelle ne ma pas paru assez passionnante pour que je membarrasse dune aventure supplémentaire.
Surtout quà cette époque javais deux liaisons très poussé avec des voisines mariée. Brigitte dans les 35 ans mariée à un chauffeur routier toujours en déplacement et mère de jumelles. Bernadette proche de la cinquantaine mariée elle-aussi et mère de trois s. Avec la première nous cultivions notre relation chez elle pendant labsence de son mari. Alors quavec la seconde cétait un peu plus compliqué. Cela se faisait dans le cabanon de son jardin.
Je couchais avec elles par intermittence. Cétait une époque où je plaisais énormément aux dames matures. Avec mon visage au trait fin, très efféminée. Une taille étroite, aux larges épaules. Mais malheureusement cétait une semaine sans. Pour divers empêchements, aucune des deux ne pouvaient me consacrer du temps de baise.
Véronique ma observé, la tête un peu renversée en arrière, la nuque appuyée au chambranle.
- Merci me fit-elle. Et elle quitta les lieux. Me laissant seul avec ma souillure à essuyer.
Elle na pas attendu longtemps pour revenir me voir dans ma garçonnière. Seulement vingt quatre heures plus tard
- Tu ne joues pas aujourdhui ? Ma-t-elle lancé à peine franchis la porte.
- Non, je tattendais.
- Parce que tu savais que jallais venir ?
- Oui, sinon je ne serais pas là, tiens !
- Ah oui ! Fit-elle, en faisant passer sa robe par-dessus sa tête. Restant en collant et soutien-gorge. Puis elle est venue sallonger en face de moi sur le sommier de mailles.
- Désape-toi ? Me fit-elle dun ton autoritaire, alors quelle a écarté les cuisses, tout en me regardant avec malice, provocatrice. Elle sest caressée à travers le nylon. Limprégnant deffluves de désir comme pour exciter mes sens. Je lai regardé à la fois troublé, excité, jai pu admirer son sexe par transparence. Jai bandé comme un taureau, alors quelle a continué à se donner du plaisir. Ses bouts de doigts sont devenus luisante de mouille. Ne pouvant pas me retenir plus longtemps, je me suis porté jusquà elle. Mon nez tout proche de son sexe humide. Humant les odeurs envoutantes que dégager son intimité.
Délicatement, jai tiré son collant vers le bas. Le faisant glisser
Lentement le long de ses jambes afin de profiter de ce moment hallucinatoire. Une fois récupéré, je nai pas manqué de le porter à mes narines afin de détester les effluves de son intimité, mais aussi de ses pieds.
Comme une fois nest pas coutume cela ma émoustillé. Au point de sortir ma queue de son nid. Tout en la regardant avec désir, jai commencé à me lastiquer. Menivrant des effluves que dégager le nylon. Lentement, par de petits va-et-vient, ma main a pompé ma verge raide dexcitation. Le fait quelle ma regardé en se touchant mexcitait au plus haut point. Très vite jai senti monter en moi, le plaisir. Elle, comme moi, nous avons gémis de plus en plus fort puis, ny tenant plus, dans un long spasme de plaisir je me suis laissé aller en jouissant très fort. De mon méat, sont sortis de longues guirlandes de semence qui se sont écrasé par la suite sur le sol de terre battue. Jai continué à haleter tellement le plaisir a été intense. Puis, après avoir repris nos esprits, nous nous sommes rajustés. Jai assisté auprès de Véronique pour garder son collant.
- Je te le laisse mais à une condition.
- Oui
vas-y ?
- Quand ce revoie demain, à la même heure
- Daccord pour demain
- Alors, à demain, fit-elle en refermant la porte derrière elle.
Avec lâme légère de ce moment de sensualité partagé, je suis resté un moment sur le sommier avec en tête un souvenir rempli de désir, dexcitation, à avoir de nouveau envie de humer de nouveau le collant sur toutes ses coutures. Très vite je fus submergé dune envie de me procurer un petit plaisir solitaire tout en me remémorant ce qui cétait passé quelques instant plus tôt avec Véronique.
Le lendemain, elle fut pile au rendez-vous. Elle mapparut en imperméable bien trop long pour elle. Sans doute celui de sa mère ou de sa sur aînée. Quel drôle didée. Puis après lavoir déboutonné dun coup dépaule elle le fit glisser jusquau sol.
- Quest-ce que tu attends pour me montrer de nouveau ta bite.
Lopération exécutée, elle sest accroupi entre mes jambes. Avec une adresse dexperte elle ma malaxé les couilles, tout en chatouillant le bord de mon anus avec son majeur.
- Tu aimes ?
- Jadore
Sans préliminaire, la coquine a pris linitiative dintroduire une phalange, puis deux dans mon rectum. En parfaite expérimentée, elle les fit tourner dans un mouvement de vissage et de dévissage, tout en pressant mon gland de son autre main. Jétais aux anges. Jétais dans un tel état dexcitation que je lui ai proposé de la mettre dans son cul.
- Tu mas dit que tu adorais ce que je te faisais ?
Une manière narquoise de me faire comprendre quelle ne voulait pas de ma queue dans son fion. La pression de ses doigts sur mes couilles se fit de plus en plus intense, ainsi que les mouvements de ses doigts dans mon anus. Jai succombé, en éjaculant sans quelle est eu à me toucher la queue.
Sans me laisser le temps de récupérer, quelle ma demandé
Dembrasser et de caresser sa poitrine. Sous ma langue et mes doigts, jai senti pointer le bout de ses seins à travers les fine mailles. Elle a ouvert largement ses cuisses. Aussitôt émoustillé, jai sentis monter rapidement une nouvelle belle érection. La jeune affamée na pas tardé à balader ses mains sur mes cuisses. Ses deux gros globes étaient dans linstant très ferme. Se dressant fièrement. Comme deux grosses oranges rondes et dures. Avec au sommet un mamelon foncé doù émergeait un petit téton excité. Je lai soulagé de sa chemise de nuit, et jai aspiré son gros mamelon dans ma bouche. Travaillant son téton à petits coups de langue en tirant dessus de temps en temps entre mes lèvres. Elle a soupiré.
Puis me prenant au dépourvus, elle ma échappé pour mieux s'agenouiller devant mes jambes, et placer ses lèvres luisante de salive autour de son pénis. Jai senti sa langue chaude et humide senrouler autour de mon gland. Jai pu me contenir pour ne pas hurler, tant que cétait délicieux. Elle sest mise à me sucer lentement. Faisant bien monter et descendre sa tête comme une bonne petite salope. Je nai pas pu résister de fermer les yeux comme pour mieux savourer sa caresse.
Son regard a capturé le mien pour ne plus le lâcher. Jai brièvement gémi. Sentant que la jouissance allait de nouveau être au rendez-vous. Jai agité mon ventre, de plus en plus nerveusement. Jai soupiré plus fort quand mon sperme a jailli du méat.
Véronique ma but jusquà ma dernière goutte de semence. Fière delle, du devoir accomplie. Elle sest redressée avant de se rajuster. Me donnant rendez-vous pour le lendemain à 18h00...
Comme prévus la veille, elle sest présentée à moi sous un aspect nouveau. Elle était vêtue dune courte jupe en jean bleu marine et dun léger corsage blanc. Jétais admiratif. Elle sest avancée jusquà moi, alors que jétais assis sur le sommier. Ma prit le visage entre ses mains et ma embrassé comme si nous sortions ensemble. Introduisant sa langue dans ma bouche. Elle respirait très vite. Elle ma fait mallonger sur le sommier et ôta mon pantalon, pour mieux se poser sur moi de tout son long. Puis elle sest mise à bouger doucement. Frottant son pubis contre ma verge. Je nai pas tardé à sentir des picotements daises me submerger.
Elle sest redressée, pour se positionner à califourchon sur moi. La jupe relevée si haut que je maperçus quelle navait pas mis de culotte. Comme elle navait pas mis non plus de soutien-gorge. Elle a placé ses lèvres intimes de chaque côté de ma verge intimes. Son sexe dégorgé de mouille. Véronique a bougé davant en arrière, ondulant du bassin. Puis elle se mit à monter et descendre à un rythme régulier. Ma verge nageait dans le bonheur. Je laurais bien fourré, mais jattendais quelle prenne linitiative de le faire. Ses yeux humides ont plongé au plus profond des miens comme pour prendre possession de mon âme. Puis elle sest laissé tomber sur moi. Ses seins effleurant mon visage. Jai soulevé son haut, et sucé les mamelons.
- Oui
comme ça. Que tu fais son bien
Ma bouche a cherché les tétons, que jai sucés avidement. Le corps de Véronique sest soulevée. Elle a crié son plaisir.
- Oui, vas-y, fais-moi tout ce que tu veux
jai envie de tout
Je nai pas pu résister de glisser mon index le long de la raie de ses fesses pour atteindre lanus. Un râle de plaisir sest échappé de sa bouche quand ma première phalange à investi le lieu moite.
- Fais tout ce que tu veux
mets moi tes doigts bien à fond
oui
Véronique a agrippé mon poignet pour mempêcher de me retirer de lanus. De son autre main, elle ma masturbé. Excité comme jamais, je me suis dégagé pour me placer en face delle. Elle a comprit tout de suite mon intention. Jai insinué la pointe de ma verge à lentrée du rectum. Dilaté par lenvie et par mes caresses. Il a laissé passer le gland sans aucune difficulté. Je me suis enfoncé totalement en elle. Les couilles sont allées sécraser contre ses fesses. Jai imprimé de longs et puissants mouvements. Cherchant à menfoncer le plus loin que je pouvais. Les ondes de plaisir provoqués par son anus ont eu pour effet de me faire éjaculer.
Jai eu dautre relation avec Véronique. Bien quelle se soit fiancée avec un banquier. Une bonne partie aux dires de sa mère. Mais malheureusement pour lui, hélas ! sa coquine raffolait de ma langue dans sa chatte. De ma queue dans son cul. Laissant lautre pour son cher et tendre
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