Agathe, La Collègue, À La Piscine
Aujourdhui, une nouvelle histoire, sortie de mes pensée, encore une fois.
Dans le cadre de mon travail, je côtoie parfois, quelques secondes, des hommes et des femmes, qui eux aussi font leur boulot. Nétant pas dans le même secteur dactivité, ce genre de relations se résume souvent à un regard en forme de bonjour, voire la plupart du temps à un « Bonjour » ou plus rarement « Bonjour comment allez vous ? ».
Un matin, je croise une jeune femme, et il me semble que je la croise tous les mardi depuis quelques semaines, au même endroit pour la même chose. Et les semaines précédentes, je navais pas ment fait attention à elle, me contentant des formules de courtoisies courtes évoquées ci-dessus. Mais ce matin-ci, elle ma salué dun « Bonjour, comment allez vous ? » un peu plus marqué que dhabitude avec un léger sourire, agréable. Jai répondu dun simple « Ca va bien merci et vous ? » puis nous nous sommes éloignés lun de lautre comme souvent dans ce lieu.
Et puis, les minutes suivantes, je repensais agréablement au joli sourire de cette femme qui finalement mavait plu, je me disais en réfléchissant et en layant observé plus que dhabitude, quelle était plutôt jolie, mais plus éloignée de mes « standards » habituels de beauté. Un peu plus petite que moi, 1m60-65, environ 30-35 ans, les trais plutôt fins, des lunettes aux montures plutôt fines mais qui donnaient un look légèrement strict ou sérieux, je ne sais pas. Physiquement relativement fine, plus en tout cas que les femmes pourvues de poitrines volumineuses et de fessiers rebondis que jaffectionne en général.
Donc, effectivement, ne collant pas avec le genre de femmes qui me plaisent habituellement. Mais celle-ci, peut-être avec son simple sourire, des yeux pétillants ou que sais-je encore, mavait tapé dans lil. Je me promettais de faire plus attention la prochaine fois afin dengager quelque chose et voir quelle serait sa réaction.
La semaine suivante, le même jour de la semaine, je la revoyais au même endroit.
« Salut, je vais bien et toi
euh vous plutôt ! corrigea-t-elle.
- Si cela ne te dérange pas on peut se tutoyer, je vais bien, merci. Jai remarqué la semaine dernière quon se voyait toujours le même jour ici au même endroit.
- Ah
oui effectivement, je me suis fait la même réflexion hier soir en pensant à ma journée daujourdhui. Moi cest Agathe.
- Pour ma part, cest John. »
Puis un petit silence sinvita dans notre conversation, je la vis rougir légèrement et sourire du coin des lèvres au moment où je lui indiquais mon prénom. Je la sentais hésiter à reprendre la conversation, je laidais donc dun :
« Oui ?
- Oh non rien, je vais retourner au boulot, bonne semaine !
- Si si dites moi, dis-je naturellement en reprenant le vouvoiement, jai 2min.
- Daccord, me dit-elle toujours un peu émoustillée et les joues rosies, est-ce quon pourrait se revoir en dehors de létablissement un autre jour ?
- Avec plaisir ! Où ça ?
- Quest-ce qui te plairais
euh
John ?
- Raisonnablement dans un bar pour un café ou au resto, mais cest tellement classique... »
Elle me répondit par un rire affirmatif.
« Est-ce quil y a un jour dans la semaine où tu ne travailles pas ? Je peux peut-être me libérer pour quon se rencontre à la piscine ? Ça te dis ?
- Oh ! Je suis pas ment à laise dans ces endroits là, me répondit-elle.
- Cest dommage, jaime beaucoup le sauna/hammam, les jets massants, as-tu déjà essayé ?
- Non je nai jamais essayé, mais en fait en y réfléchissant, découvrir cet environnement avec toi, oui pourquoi pas ! Lundi prochain je suis libre jusquà 15 heures, ça va pour toi ?
- Oui, rendez vous à 10 heures ?
- Daccord, jai hâte ! me dit-elle, pleine de vie. »
Nous ne nous échangions pas nos numéros mais le rendez vous était fixé et cétait bien là le principal.
Le lundi suivant, jarrivais sur le parking de la piscine à 9h56 précise. Japerçu Agathe qui mattendait déjà devant lentrée de la piscine.
Je la rejoins ensuite en lui demandant sil était possible de se retrouver après les vestiaires afin de limiter le nombre de personne pouvant nous voir ensemble. Elle était daccord et allait me poser la même question. Je la suivais à quelques mètres décart pour aller au guichet puis pour se diriger vers les vestiaires.
En arrivant aux vestiaires, je remarquais que son slim lui moulait à merveille son petit cul, pas énorme mais ses fesses étaient bien formées, pas trop rebondies mais rondes quand même. Je croisais son regard en entrant dans mon vestiaire en me demandant ce qui allait se passer ce matin à la piscine.
En ressortant, elle nétait visiblement pas encore prête, alors je ne me pressais pas pour mettre mes affaires dans le casier.
« Ca y est, je suis prête, me susurra-t-elle à loreille, en arrivant discrètement derrière moi.
- Ok, on va prendre une douche ?
- Oui vas-y je te suis, me dit-elle avec son sourire plein de charme. »
Nous prenions donc chacun notre douche face à face, à quelques deux ou trois mètres de distance. Agathe aimait bien me sourire, et je lui répondais toujours par un autre sourire. Jaimais beaucoup ses sourires, je ne savais pas quels étaient leurs buts, peut-être quAgathe était comme ça avec tout le monde ou est-ce que linstant présent, ma présence, lui procurait du plaisir, de la détente.
Nous nous sommes ensuite dirigés vers la piscine, en allant sassoir sur la « banquette » avec jets massants. On discutait de tout et de rien, de son boulot, du mien, de nos vies personnelles avec leurs hauts et leurs bas. Et plus le temps passait, plus javais limpression quelle se rapprochait de moi, et moi delle.
Bien que le rapprochement physique sétait établi, rien dans notre conversation pouvait laisser filtrer ce qui se passait sous leau.
Agathe ne se doutait pas de se quil se passait sous mon boxer mais elle souriait toujours autant, je sentais quelle se détendait vraiment, riait un peu puis de plus en plus au cours de la conversation.
« Ça te dis quon aille au hammam, tu verra cest sympa, on est un peu dans le noir, dans la brume de la vapeur deau, lambiance est calme, un peu plus intime
- Jai peur de me sentir un peu oppressée, tu pense que ça va aller ?
- Tu verra bien, si ça ne te conviens pas on essaiera le sauna, et puis tu nes pas seule, je suis là pour toi
»
Nayant rien formalisé par la parole sur nos intentions mutuelles, Agathe me répondit afin de clarifier un peu ce quil se passait :
« Ah oui ? Ça me fait plaisir dentendre ça, mais je pense que tu as remarqué tout autant que moi que tu sembles marié et moi aussi
- Oui effectivement, cest peut-être ça qui me séduit aussi un peu chez toi, le fait de savoir que tu es dans la même position que moi, à égalité. Après tout, il ny a pas de mal à se faire du bien, lui dis-je, pour quelle comprenne un peu plus mon envie.
- Ta façon de voir les choses me convient, je nen étais pas sure encore, mais on est sur la même longueur donde visiblement... »
Et nous arrivions vers le hammam, vide. Je lui indiquais que les gens en général sont assis quand il y a du monde, mais certains nhésitent pas à sallonger pour se détendre.
« Je vais mallonger, tu peux tassoir ici et je mets mes jambes sur toi si ça te dis ?
- Bien sûr, bonne idée ! lui répondis-je »
Nous étions donc aussi proche ici dans le hammam que tout à lheure aux jets massants.
On ne parlait plus, se contentant de latmosphère humide.
Je glissais donc mon majeur sous son bas de maillot de bain pour venir caresser son petit félidé
Je la regardais à ce moment en cherchant son sourire qui me plaisait tant depuis le début. En plus du sourire, elle commençait à se caresser les seins, et je compris à ce moment quon risquait de ne pas rester si sage que nous en avions lair au début.
Cest la première fois quil y avait si peu de monde dans le hammam, pas une personne nétait venue depuis 1/2h. Elle me demanda alors :
« Allonge toi sil te plait, jai une petite envie
»
Agathe se mis à quatre pattes, libéra ma queue de mon boxer et commença une fellation. Cétait réellement excitant, se faire sucer par une quasi-inconnue 1h auparavant, on dira une collègue de travail quon ne connaît que par le regard. Et le moins que lon puisse dire, cest que ce nétait pas une petite envie
« Agathe, susurrais-je, si tu vas jusquau bout, vient membrasser avant davaler sil te plait
- Humm, oui
jaime beaucoup embrasser un homme après lavoir pompé... »
Agathe sétait maintenant transformé en petite salope, continuant de plus belle afin de me faire jouir le plus vite possible. Agathe est ensuite venue pour exécuter ma requête, nous nous embrassions, léchions et le sperme coulait de nos bouches
« John, on va dans une douche sil te plait, jai envie que tu me fourre ta queue dans mon vagin. »
Difficile de refuser une telle requête !
Je la suivais et nous sommes arrivés dans une douche fermée. Je la dénudais complètement et commençait à lui lécher les seins
« Sil te plait, prend moi tout de suite jai trop envie de toi ! »
Mais je continuais de prendre mon temps, je voulais faire monter encore le plaisir doucement, la faire frémir avant de bouillir
Agathe, comprenant quelle devait prendre son mal en patience, mavait aussi enlevé le boxer et me plaquait de temps en temps le bassin contre elle, pour bien sentir ma queue sur son pubis. Cétait de plus en plus excitant !
Je commençais à la tourner pour avoir son cul face à ma queue et Agathe me dit alors :
« John, tu nas pas accédé à mon envie tout à lheure, je vais être obligé de te sanctionner... »
Et Agathe se mis à genou pour entamer une nouvelle fellation. Elle sarrêta assez vite mais cétait suffisant pour mexciter et enfin lenfiler :
« Vas-y cette fois-ci ! Prend moi sauvagement ! »
Je mexécutais alors et narrêtais pas mes coups de reins dans la petite chatte dAgathe. Chaque va et vient était presque freiné par létroitesse de son vagin. Je sentais alors chaque centimètre de ma queue progresser dans un sens puis dans lautre jusquà la jouissance finale.
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