Mercredi 18 Novembre 1981
Lundi, mardi débordé, impossible daller voir Véro
Le mercredi je pus morganiser pour passer voir Véro, essayer de voir et comprendre ce qui cétait passé entre ces deux nanas. Me présentant à sa secrétaire, je fus immédiatement introduit dans le bureau de la cheffe, qui alors que je traversais le bureau et mapprochais delle pour la prendre dans mes bras et lembrasser, me fit signe de marrêter et contournant son bureau, en faisant sauter un bouton de son corsage, de façon que je la vois debout, pris sa jupe et en deux ou trois tours de hanches, celle-ci devint une ceinture, ce qui me permettait de voir quelle ne portait rien en dessous : « Cest ce que tu voulais,
hier et avant-hier je tattendais,
javais une envie folle de te voir,
que tu vois, que je fais ce que tu veux,
heureusement que tu es venu aujourdhui,
tu vois,
maintenant viens,
dis moi que tu es content que je tobéisse,
viens vite,
jai envie de toi,
donnes moi du plaisir,
et on parlera après,
». Javais eu plaisir à la draguer, et je commençais à comprendre mieux cette femme, cette femelle, qui était gourmande de sexe et qui avait peu de chose pour la satisfaire à la maison, qui plus est, dont le mari allait draguer ailleurs. Javais eu la chance dêtre là au bon moment et elle ne demandait quune chose du sexe et pour cela elle faisait tout pour se satisfaire et satisfaire son amant donc moi. Je décidais de faire au mieux pour la satisfaire et sachant quelle était sensible des seins, je lui dis : « Je veux gouter à tes seins,
» sans hésiter elle ouvrit son corsage et prenant ses seins à pleines mains elle me les tendit : « Tiens,
prends les,
suces les,
jaime quand tu me têtes,
cest bon
» et penché en avant pendant que ma bouche soccuper de ces deux beaux nénés, javais laissé glisser ma main vers son entrejambe et avais pu la poser, sans problème, sur sa chatte et commençais à la caresser. Les deux opérations en même temps firent que son rythme de respiration commença à saccélérer,
Les tétons sétaient durcis et si je les mordillais avec douceur, les cuisses sétant légèrement écartées, je noubliais pas de suivre la tendre et chaude fente des lèvres de son minou, qui semblait vouloir shumidifier.
Moi : « Montes sur la table,
je veux sentir ton odeur,
ta chatte,
je vais te bouffer la chatte,
dis moi que tu en as envie,
»
Nétant pas loin, je laidais à sasseoir sur la table pendant quelle disait : « Oui,
occupes toi de ma chatte,
fais ce que tu veux,
lèches moi,
jaime sentir ta langue me prendre,
oui,
viens,
donnes moi du plaisir,
»
Après avoir humer, dans sa touffe, son odeur de femelle chaude, jentrepris de lécher sa chatte suivant la jolie raie de ses grosses lèvres gonflées et le bout de ma langue la pénétra pour avoir le goût de sa mouille, et voyant quelle était bien humide, jenfonçais deux doigts dans sa chatte, alors, se laissant aller sur le dos, le compas de ses cuisses largement ouvertes, elle soffrait à moi avec : « Oui,
prends moi,
jaime te sentir,
oui,
donnes moi du plaisir,
»
Je me mis à la masturber avec entrain, plus ça allait plus elle coulait, plus elle semblait souvrir. « Oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
»
Moi : « Après ce sera à toi,
je veux prendre ta bouche,
je veux que tu me suces,
»
Véro : « Oui,
tout ce que tu voudras,
ne tarrêtes pas,
je vais,
OOOOHHHH,
OUIIIIIII,
» elle se cambra, ses cuisses se refermèrent brutalement ce qui lui fit comme un bon gros spasme. Quelques minutes plus tard, elle se redressa, se laissant glisser de la table, elle vint contre moi : « Jai aimé,
laisses moi faire,
à ton tour sur la table,
» Le short et le caleçon furent évacués rapidement et moi en appui sur la table, elle entrepris de soccuper de « popol » Doigts, langue, lèvres, soccupèrent avec une douce énergie de lengin, qui devenait dur et semblait avoir pris du volume quand elle le prit en bouche et commença à le pomper, il ne fallut pas beaucoup de temps avant que je sente une telle pression que dune seule giclée, je me vidais et remplissais sa bouche de mon plaisir, quelle avala sans hésiter. Enfin se relevant, elle revint contre moi : « Jai aimé te donner ma bouche,
le temps court,
il faut que tu partes,
mais reviens rapidement,
»
Moi : « Oui,
mais tu mavais dit que tu voulais me parler,
cest quoi,
»
Véro : « Jallais oublier,
B doit partir en fin de semaine.
Mi : « Tu en as parlé à AL,
»
Véro : « Non,
pas encore,
mais tu peux le faire,
»
Moi : « Je préfère que ce soit toi,
»
Un corsage qui se ferme, une jupe qui retrouve sa place, un léger baiser sur les lèvres, jétais parti.
- Le soir
Je rentrais tard et comme dhabitude AL était là à soccuper à préparer ses cours. Un léger baiser et : « Comment cest passé la journée,
tu as vu Véro,
»
Moi : « Non,
»
AL, brutalement : « Jean,
pas la peine de me mentir,
je sais que tu couches avec,
je ne tai pas fait de reproches et pour cause,
avec ce quelle a la maison,
étant normale, je dirais,
cest normal quelle cherche ailleurs,
alors,
»
Moi : « Mais,
»
AL : « Tu vois, quand tu rentres des chantiers,
tu sens le chantier,
si vous avez utilisé du ciment, tu sens le ciment,
si vous avez fait des
oui des enrobés,
tu sens le bitume,
et aujourdhui, il y a au-dessus du ciment une légère effluve deau de Cologne,
et que je sache, seule Véro utilise cette eau,
on est daccord,
»
Moi penaud : « Bon daccord,
je lai vue,
»
AL : « Je ne te reproche rien,
ça pourrait être mal vue de mon coté,
elle cherche ce quelle na pas chez elle,
bien,
alors,
»
Moi : « Bon,
B doit partir en manuvres en fin de semaine et ce pour plusieurs jours,
si tu veux lui en parler,
libre à toi,
»
AL : ironiquement « Ainsi, tu pourras profiter de ce départ,
pour toccuper de Véro,
elle doit être ravie,
chaude comme elle est,
»
Moi : « OK,
tas fini,
» et elle partit à rire en me proposant un petit apéritif avant le diner.
Au cours du diner le cas Véro revint sur la table.
AL : « Je vais aller la voir,
on ne peut pas la laisser seule,
es-tu daccord,
»
De toutes les façons, daccord ou pas, AL ferait ce quelle voulait donc jétais daccord.
Du reste de la semaine, il me fut impossible de faire un saut pour voir Véro et le vendredi soir AL me dit quelle avait vue Véro, que B partait samedi matin pour une semaine complète. Elles avaient donc décidé que samedi soir, on se retrouverait au club, mais de façon à éviter les cancans, nous arriverions tous les trois ensembles. Nous sommes amis, son mari est parti,
donc à priori pas de mauvaises pensées.
➢ Samedi 21 novembre 1981
Comme décidé, nous sommes arrivés ensemble et nous nous sommes mis à notre table habituelle,
Passé les premières danses, bien serrées et bien chaudes avec AL, jinvitais Véro, qui dailleurs ne manquait pas de cavaliers, et nous arrivâmes sur la piste, et sans hésiter Véro se colla à moi et les premiers pas faits : « Tu sais, je tai espéré toute la fin de semaine,
je me suis ennuyé de toi,
jespère que tu vas te rattr ,
où, il faut que jaille te voir à ton bureau,
»
Moi, glissant ma jambe entre les siennes : « Tu sais bien que jaurai aimé,
mais on ne paye pas à ne rien faire,
et actuellement on a quelques problèmes,
mais je vais faire un effort,
»
Véro : « Je vois,
non, je sens que tu veux bien commencer la soirée,
continues,
jaime ta jambe,
cest bien de mexciter,
mais il faudra aller jusquau bout,
tu sais que je suis seul ce soir,
»
Moi : « Ça, je sais,
mais je ne sais si AL serait daccord, pour mabandonner,
dans tes bras,
à sa façon de danser,
je ne pense pas que ce soit possible,
»
Véro : « Serres moi fort,
jai envie de toi,
depuis mercredi, je ne penses quà ça,
je sens ta place,
débrouilles toi,
»
Moi : « Tu veux sortir,
» mais la série était terminée, retour à la table
Retour à la table, où ces dames trouvèrent quelles avaient soif et quen honnête homme efficace, je me devais de les abreuver rapidement. Je me propulsais vers le bar où le garçon saffairait à distribuer des boissons. Jétais arrivé alors que cétait certainement un moment de réapprovisionnement, car il y avait un monde fou.
Moi : « Tu ne penses pas que tu pousses un peu,
»
AL : « Disons, que je sais que tu en as envie,
je pense quelle aussi,
et jai comme, qui dirait que, limpression que je serais capable de ne rien voir,
de ne pas voir labsence de mon mari pendent,
un temps raisonnable,
»
Moi : « Cest de la provocation,
»
AL : « Non,
cest de lincitation,
»
Moi : « Tu es folle,
ou quest ce que tu prépares,
»
AL : « Serais-tu méfiant,
jai toujours étais honnête avec toi,
ce nest pas une vacherie,
je taime trop,
»
Moi : « Cest tentant,
» et nous retournâmes à notre table.
A peine arrivé, Véro était prête pour la série suivante. Elle était déchainée, collée contre moi, ma jambe entre les siennes, à chaque passage elle se frottait et plus ça allait plus sa respiration saccélérait, pour vers la deuxième danse me dire : « Viens,
tu as envie de moi,
je le sens,
moi aussi,
je suis folle denvie de toi,
viens,
jattends ce moment depuis mercredi,
»
Moi : « Et AL,
que lui dire,
»
Véro : « Rien,
elle regarderas ailleurs,
»
Il y avait quelque chose qui me dépassait, AL incitait et même insistait, Véro disait ne pas sen soucier,
jétais un peu dépassé. Il devait y avoir quelque chose entre elles, mais quoi,
Je me décidais, un peu par provocation, et aussi car cette salope de Véro avait tout fait pour que jai une trique douloureuse, gonflée à éclater. Enfin, je lui dis OK, fin de la danse on se quitte direction le 4*4. Comme dit comme fait.
Echangisme bureau sans capote
En allant au parking, VERO SE REMÉMORA comment tout ça avait été possible. « Quand AL, sétait faite annoncée, je me demandais ce quelle voulait, sachant quavec B leur nuit cétait male passée, elle voulait, certainement que jabandonne Jean ».
En fait, en entrant, AL était tout sourire, elle lui fit la bise et demanda des nouvelles, puis on sinstalla à la table de conférence et le dialogue reprit :
AL : « Je sais que Jean est venu te voir mercredi »
Véro : « Il te la dit,
»
AL : « Non,
jai senti ton eau de Cologne,
tu sais sans doute que ça cest mal passé avec B, ... Bien, affaire terminée, nen parlons plus,
Jai appris également que B sera absent pour au moins une semaine,
on a pensé avec Jean que samedi, pour que tu ne sois pas seule, tu viennes avec nous au club, nous sommes amis, personne ny verra à redire,
Je pense que cest une bonne solution pour vous,
Jean est ton amant, on le sait,
Ce quil apprécie chez nous, toi et moi, la brune et la blonde, cest quon aime le sexe, quil sait avec nous prendre son plaisir et nous en donner,
daccord. »
Et elle posa sa main sur mon bras. Un peu surprise je ne dis rien et elle continua
« Depuis mercredi, disons que je nai rien fait pour quil mapproche, tu vois ce que je veux dire, pensant que samedi il aurait de grandes envies et que te retrouvant il lui viendrait lidée de te proposer une sortie dans la parking, comme vous lavez déjà fait. Etant donné les circonstances et que cela se produise, disons que je ne verrais rien. »
AL nétait plus là, elle suivait son idée, sa respiration sétait un peu accélérée,
Tout à coup il vint lidée que AL me tendait, peut-être, sans sen rendre compte clairement, une perche, me proposant une sorte de marché, elle fermait les yeux pour samedi et peut-être plus et je moccupais delle,
je trouvais lidée drôle, excitante,
jétais la maitresse de son mari, elle soffrait à être mon amante,
Instinctivement et sans réfléchir plus avant, pendant quelle parlait, je me penchais et posais mes lèvres sur les siennes,
Quelques secondes dhésitations et ses lèvres sentrouvrirent, souvrirent et nos langues firent connaissance. Ce fut un baiser surprenant, excitant et même extrêmement tendre. Je me levais, elle se leva et je la pris dans mes bras, on se colla lune à lautre, pour un nouveau baiser plus fougueux, puis je descendis le long de son cou, elle frissonna. Jai hésité, mais au point ou nous en étions, il fallait y aller. Je la poussais contre la table et je remontais sa jupe, elle maida à la coincer et je glissais une main dans son entrejambe, quelle ouvrit avec un soupir de plaisir, et tombais sur sa petite culotte, que je sentie légèrement humide. Sentant cela, je me dis que cétait gagné. Alors que je mefforçais de lui enlever, je lui dis : « Tu portes encore çe truc,
» Elle : « Pas tout le temps,
Au lycée, je ne pourrais pas ne pas en avoir,
» Quand il fut enlevé, la regardant, je le portais à mon nez et reniflais son odeur et ce pour lui dire : « Tu sens bon,
tes toute chaude,
» Elle, toujours en appui sur la table, les cuisses écartées : « Arrêtes,
tu me rends folle,
je ne sais plus où jen suis,
»
Pour ma part jétais excitée au possible, je sentais que mon rythme cardiaque cétait accéléré, ma tête bouillonnait, tout dun coup, je voulais cette femme, elle était prête également, cétait le bon moment, je me rapprochais delle et une main sur sa chatte je la caressais, elle réagit aussitôt, écartant les cuisse avec : « Oui,
viens,
». Je dirais pratiquement instinctivement jenfonçais deux doigts dans son fourreau chaud et humide, elle était ouverte, prête à se faire prendre, prête à jouir et cest ce qui arriva rapidement : « Oui,
jaime,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
continues,
tu vas me faire jouir,
OOOOOHHHH,
OUIIIIIIII,
» et elle fut parcouru par un long frisson suivi dun spasme aussi brutal que surprenant. Quant à moi, si cela mavait un peu calmée, jaurais eu besoin dun homme pour me calmer. AL, sembla retomber sur terre ou se réveiller, elle rabattit brutalement sa jupe et me regardant dit : « Je suis folle,
je ne sais ce quil ma pris,
oublies ce quil vient se passer,
et rends moi ma petite culotte,
». Là, je nétais pas daccord et lui répondis en tenant son petit slip : « Je la garde en souvenir,
Jai aimé ce que nous avons fait,
tu as aimé aussi,
on se reverra pour recommencer,
», elle était partie.
Jarrivais que quelques instants avant Véro et ouvrais le hayon du 4*4. A peine arrivée, elle avait déjà défait la ceinture de sa robe, qui sétait ouverte : « Regardes,
je suis comme tu aimes,
nue,
viens prends moi,
comme tu veux,
mais prends moi,
jespérais que tu viendrais,
jai tellement envie de toi,
» et elle se colla à moi. Mes mains entrèrent dans sa robe et je pouvais, ainsi, la caresser et ressentir la douceur de sa peau, ce qui ne fit quaugmenter mon envie de la prendre, mais je lui dis : « Enlèves ta robe,
»
Véro : « Mais,
non,
complétement,
»
Moi : « Oui,
complétement,
avec cette lune,
nue tu seras très belle,
»
Véro : « Non,
tu es fou,
je ne peux pas faire ça,
»
Moi : « Mais, si,
je suis sur que tu es en train de te dire pourquoi pas,
lidée te tente,
texcite,
»
Véro : « Non,
tu es fou,
on peut nous voir,
»
Moi : « Tu imagines,
tu enlèves ta robe,
tu te montres à moi, belle, nue,
tu fais un tour sur toi,
quaprès tes beaux seins,
je vois ton joli cul,
et tu viens contre moi,
pour que je te caresse
cest follement excitant,
»
Véro : Tu es complètement fou,
non,
je ne peux pas,
»
Moi : « Mais si,
tu en meurs denvie,
je suis certain que ça te fait mouiller,
dis oui,
»
Véro hésitante : « Tu es sur quon ne peut pas nous voir,
» et avant que je puisse répondre, elle commença à enlever sa robe, doucement et complètement et elle me la tendit, et la posais dans la voiture.
Elle écarta les bras en disant : « Cest ça que tu voulais,
dis moi que tu aimes,
je tourne,
dis moi que tu as envie de moi,
» Elle fit un tour complet, pendant ce tour ses bras ou plutôt ses mains se posèrent sur ses hanches pour remonter le long de son corps et terminer en prenant ses seins et comme pour les offrir. Ce corps de femme nue sous la lumière de la lune était follement excitant.
Son tour terminé, elle vint se coller contre moi, elle était chaude. Sen suivit un long baiser des lèvres mais aussi du corps. Après lavoir serré dans mes bras, je glissais une main vers sa chatte, ayant légèrement écarté les cuisses, laccès était aisé et je pus constater quelle était trempée.
Véro dans un souffle : « Tu es content,
tu es arrivé à tes fins,
je suis mouillée,
ça te plait,
viens prends moi,
tu mas excitée,
jai fait ce que tu voulais,
à toi de me satisfaire,
jespère que tu es en forme,
»
Moi : « Viens contrôler,
jai envie que tu me suces,
et que tu vérifies la forme de ce qui est à ta disposition,
»
Sans hésiter, elle sortit lengin en pleine forme avec un : « Jaime quand tes comme ça,
cest beau,
je vais voir sil est bon,
» et sans hésiter deux ou trois coups de langue sur la longueur, ce qui me faisait vibrer, puis elle attaqua avec les lèvres douces le gland, pendant que le bout de sa langue me titille le bout de la queue. Plus ça allait plus je bandais, après mavoir pompé un petit peu, elle se releva pour me dire : « Je crois, que tu es en forme,
viens prends moi,
jen ai envie,
je veux te sentir,
viens,
montes moi,
» dit-elle en se retournant et le me présentant ainsi son joli cul. Pour voir sa réaction, je lui dis : « Je vais prendre ton joli cul,
»
Aussitôt : « Non,
pas maintenant,
tu lauras après,
quand tu voudras,
maintenant baises moi,
prends ma chatte,
Elle tattend,
» Elle était prête, je navais quà me guider entre ses cuisses largement ouvertes et dun léger coup de rein je la pénétrais complètement et profondément tellement elle était ouverte et mouillée. A peine dedans, je senti quelle se contractait et semblait me bloquer en elle. Cramponné à ses fesses je commençais à la ramoner avec énergie, et rapidement : « Oui,
je te sens bien,
cest bon,
continues,
jaime que tu me prennes comme ça,
dis moi que je suis ta femelle,
et que taimes me baiser,
oui,
continues,
cest bon,
jattendais ça avec impatience,
» et très excité, je la ramonais avec énergie, et comme cela faisait partie du jeu je lui claquais les fesses : « Oui,
jaime,
encore,
oui,
baises moi fort,
éclates moi la chatte,
oui,
plus fort,
fais moi jouir,
» et je continuais, puis je me disais, que je pourrais changer de cible et lui disais : « Jai envie de prendre ton joli cul ,
je sens que je vais tenculer,
» Vive réaction de ma partenaire : « Non,
fini ce que tu as commencé,
tu auras le reste plus tard,
mais finis moi,
OOHHH,
continues,
ne tarrêtes pas,
OOOOHHHH,
. OUIIIIIIIII,
» et elle avait tellement envie de jouir que soudain elle se contracta avec un bel orgasme, qui la fit saccroupir alors que jaspergeais ses jolies fesses. Alors que Véro se relevait, je dus retenir sa robe. Ayant dans la voiture une trousse de premier secours, les dégâts furent vites réparés et nous rentrâmes au club. Et là AL, me demanda avec un petit sourire en coin : « Jespère que ça cest bien passé,
que tu as été à la hauteur,
» Là, je commençais à minquiéter, quelle ferme les yeux, bon,
mais quelle commente,
cétait ennuyeux et elle « minvita » à danser. Sur la piste, je te colle, tu me colles, on se colle,
et ma chère et tendre : « Cest drôle, je ne sens rien,
» effectivement, je navais pas encore récupéré.
De retour à la table, ces dames décidèrent quil était temps de se rentrer. Direction les voitures et à ce moment Véro dit à AL : « Tu viens avec moi,
» Quelques secondes dhésitation et celle-ci accepta. Elles étaient dans la voiture de Véro alors que jen étais à me demander ce qui cétait passé et ce que je devais faire, les poursuivre et demander des explications, ou rentrer à la maison ce que je fis et on verrait demain. Sur cette bonne résolution je rentrais me coucher, pas content du tout, mais,
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