Dégustation E

J'avais enfin franchi le pas. Ou plutôt, c'est elle qui m'y aida. Elle, c'est Candice, ma petite chérie qui, dès qu'elle avait une nouvelle idée pour me soumettre, trouvait toujours le moyen d'y arriver. Dans notre couple, très heureux, c'était souvent elle qui menait la danse lors de nos ébats.
Depuis cet après-midi un peu honteux où elle m'avait fait boire mon propre sperme, Candice ne ratait jamais une occasion de me chambrer... Et ça commençait dès le début de la journée : « Un peu de sperme dans ton café mon cœur ? » ou « Dis, je rajoute une bonne dose de sauce blanche sur ta tartine...? » étaient devenues les petites phrases habituelles qu'elle aimait me balancer à la figure lorsque nous prenions le petit-déjeuner... Imaginez alors le reste de la journée. Elle me proposait des « fraises au foutre » pour le quatre heures, ou me demandait ce que je préférais entre « un verre de blanc et un de semence » quand nous prenions l'apéritif. Bref, la garce aimait me foutre la honte et en profitait bien.
Elle devait aussi sentir que cela m'excitait, car même si je ne lui avouais pas, ma bite se dressait instantanément lorsqu'elle me sortait une de ses nouvelles brimades favorites avec son sourire canaille. Mais je préférais me taire et lui cacher mes ardeurs, car je n'avais pas tellement envie de repasser à table... J'avais bouffé assez de sperme comme ça !
Mais cela ne suffisait apparemment pas à Candice. Elle n'avait pas oublié sa promesse de me refaire goûter à ma semence. Sauf que pour cette fois, elle m'avait garanti qu'elle le ferait d'une autre façon : en me forçant à déguster sa petite chatte dans laquelle j'aurais préalablement joui... Vous voyez le tableau.
Nos rapports sexuels étaient toujours aussi intenses. Mais à chaque fois, j'avais toujours cette légère crainte mêlée d'envie qu'une fois l'acte consommé, les mains de Candice ne s'emparent de ma tête pour me diriger vers son entrejambe, et me forcer enfin à déguster son vagin souillé de sperme.

Cela devait bien arriver un jour, mais Candice prenait plaisir à retarder le moment, pour mieux me prendre par surprise. Je connaissais par cœur sa personnalité dominatrice et perverse...
Et ce fameux moment arriva. Sans crier gare bien entendu.
Nous avions prévu de passer la soirée en ville. Au programme (assez simple, car nous n'avions pas spécialement envie de voir du monde) : restaurant chic et bar à l'ambiance intime. Candice était superbe. Elle avait choisi de se vêtir d'une robe noire assez courte et moulante qui mettait bien en valeur ses formes.
Candice ne cessa de m'allumer pendant toute la soirée. Au restaurant d'abord : elle glissait sous la table ses pieds le long de mes cuisses, jusqu'à les poser sur mon entrejambe. Elle appuyait un peu fort avec ses talons, m'écrasant un peu les testicules, et prenait du plaisir à me voir pincer les lèvres et me dandiner sur ma chaise... Je me doutais bien qu'elle s'excitait aussi à l'idée de me chauffer en public. Peu avant le dessert, elle s'absenta pour filer aux toilettes. A son retour, face à sa coupe de fraises chantilly, elle m'avoua dans un murmure qu'elle avait enlevé son string.
-Il était tout trempé, pourquoi continuer à le porter... ?
Inutile de préciser que cela me fit bander comme un salaud.
Puis cela continua au bar. Nous partagions quelques cocktails tandis Candice faisait parfois mine de poser négligemment sa main sur mon sexe bien gonflé. Elle suçotait silencieusement la paille de son verre en me fixant ardemment avec cette lueur chienne dans le regard, me faisant comprendre qu'elle était assez chaude pour, si je le voulais, me prodiguer de suite une de ses pipes qui me rendaient fou. Elle me chauffait de plus en plus, et l'alcool n'aidait pas à nous calmer.
Plus nous descendions nos verres, et plus Candice jouait à la séductrice. Je ressentais cette chaleur dans ma poitrine et mon bas-ventre, ma bouche était sèche d'excitation. J'avais envie d'elle, de la prendre violemment, là, dans ce foutu bar, par terre ou sur le comptoir.
J'avais une furieuse envie de la posséder, de la baiser dans tous les sens, de jouir et de répandre ma semence en elle. Mon érection était énorme.
-Ça va mon cœur ? minauda-t-elle, de sa petite voix douce et coquine. Tu es un peu rouge... Tu as trop chaud ? Ou alors c'est l'alcool que tu ne tiens pas ? C'est vrai que ces cocktails sont un peu chargés...
-Non non, ça va, réussis-je à articuler. C'est juste que j'ai du mal à me contenir. T'es bien trop excitante ce soir...
-Ah bon ? Je te fais autant d'effet ?
Quelle garce. Elle jouait à la cruche pour que je me livre davantage, et me mettre ainsi en position de faiblesse.
-Arrête bébé. Tu sais bien que oui. Je suis sur le point d'exploser là. J'ai vraiment trop envie de toi, soufflais-je à voix basse.
Les gens autour de nous n'existaient plus. Il n'y avait que Candice et moi. Je n'avais d'yeux que pour elle.
-Tu peux attendre encore un peu mon cœur ? J'aimerais bien reprendre un verre, goûter un de ces cocktails à la cerise... Tu vas commander ?
Je me levais de suite, me pencha pour lui faire un rapide baiser, mais elle prit soudain mon visage à deux mains et me roula une pelle qui ne fit qu'accroître mon érection.
-À tout de suite bébé... me murmura-t-elle lorsque nos langues se séparèrent.
Fait chier... Quelle petite garce. Son baiser m'avait filé une gaule encore plus immense. J'allais devoir traverser tout le bar jusqu'au comptoir avec cette énorme bosse qui déformait mon futal. Candice avait fait exprès, c'était sûr. J'en eus la confirmation une fois arrivé au comptoir. Je me retournais à ce moment-là vers elle et la surpris en train d'observer le renflement de mon pantalon avec un grand sourire. Elle avait dû mater mon cul pendant que je marchais et attendait impatiemment que je me retourne pour constater que son langoureux baiser avait bien produit son petit effet. D'après la lueur de ses yeux, j'étais sûr qu'elle mouillait. Elle me confirma ça assez vite et de la plus chaude des façons.

Une fois les cocktails commandés, je revins m'asseoir auprès de ma chérie. Candice jeta un bref coup d’œil autour de nous, s'assurant que personne ne nous regardait, et sortit sa main droite de sous la table.
-Goûte ça mon cœur...
Elle fourra rapidement son majeur dans ma bouche. Je reconnus aussitôt le goût de sa petite chatte. Candice était en train de se doigter depuis que je m'étais levé... Quelle chienne. Elle fit coulisser brièvement son doigt dans ma bouche, le faisant tourner autour de ma langue, avant de le ressortir et de poser sa main mouillée sur la mienne. Le geste n'avait pas duré longtemps, quelques secondes tout au plus, mais dans ma tête, ce fut comme un feu d'artifices de sensations et de plaisir. Les battements de mon cœur s'étaient tellement accélérés et amplifiés que j'avais l'impression que ma poitrine allait exploser. J'avais failli jouir dans mon boxer. Dans un lieu public, ça aurait été la méga honte.
Je déglutis. Un mélange de ma salive et de la mouille de Candice descendit dans mon gosier. Sa cyprine était divine. Ma tête tournait. A la fois enivré d'alcool et de son excitation, je la suppliais du regard pour qu'elle finisse ce putain de cocktail et qu'on aille enfin baiser. Mais non, Mademoiselle prit encore plus son temps, histoire de bien rendre dingue son pervers de mec.
Nous rentrâmes à pied, un peu éméchés, mais très excités. Je crois bien que nous n'avions jamais marché aussi vite. J'étais en mode pilote automatique. Une main sur les fesses de Candice, je ne pensais qu'à rentrer au plus vite à la maison pour baiser ma chienne de copine qui m'avait chauffé toute la soirée.
A peine la porte ouverte, Candice sauta sur moi et m'embrassa follement. Nos souffles et halètements étaient entrecoupés de grognements et de gémissements. Elle me tirait les cheveux pendant que je dégrafais mon pantalon et baissai mon boxer. Mon sexe était dur, gonflé, presque sur le point de tout cracher. J'étais toujours debout, contre le mur de l'entrée, mes mains soutenant Candice par ses fesses.
Elle n'avait bien sûr plus de string et mouillait comme une chienne en chaleur. La pénétration se fit instantanément. Je la fis aller et venir sur mon dard pendant quelques instants, avant de la porter jusqu'au salon où je la couchais sur le tapis pour la prendre violemment en missionnaire, les yeux dans les yeux.
-Baise-moi putain ! Vas-y, défonce-moi! T'attends que ça depuis le début de la soirée mon salaud !
Candice criait, hurlait son plaisir. Rendu fou par sa voix, je la culbutais sauvagement. J'étais à moitié habillé, encore vêtu de ma chemise, le pantalon et le boxer baissé jusqu'aux chevilles. Candice portait toujours sa petite robe noire, relevée jusqu'au ventre. Un de ses magnifiques seins dépassait, emprisonné dans ma main. C'était brut, sauvage.
Puis soudain, Candice prit les devants. Elle se redressa, m'intima l'ordre de me retirer et de me coucher sur le dos. Je m'exécutai. Elle reprenait le contrôle. Aveuglé par mon excitation et mon désir de la posséder, je ne me doutais pas encore de l'issue de cette folle session de baise.
Candice vint s'empaler sur moi. Encore une fois, ma queue reçut sa chatte avec un naturel incroyable. Il y avait une compatibilité entre nos deux sexes qui me surprenait à chaque fois. Je râlais de plaisir. Candice me chevauchait en amazone, me dominant complètement.
Elle posa sa main droite sur ma bouche comme pour mes cris. Je renfilai le doigt avec lequel elle s'était masturbé au bar, et entrepris de le lécher pour avoir un peu le goût de sa chatte en bouche. Candice comprit ce que je voulais : elle retira sa main et la porta à son sexe. Ma copine se caressa le clitoris, haletante, de plus en plus vite. Elle hurla, un long cri de jouissance.
-Tiens bébé... Goûte-moi...
Elle remonta vivement sa main et fourra deux doigts dans ma bouche, son index et son majeur, qui dégoulinaient de mouille. Son goût me fit cette fois exploser. Je criais à mon tour, les doigts de Candice toujours fourrés dans ma bouche. La jouissance fut extrême, l'éjaculation très abondante. Je giclais à grandes doses dans sa petite chatte, arrosant toutes les parois de son vagin avec mon sperme. C'était trop bon de jouir en elle. Lorsque vinrent les derniers jets de foutre, je sentais mon bassin secoué de violents spasmes. J'ouvris les yeux. Et c'est là que je compris.
Candice avait cette fameuse lueur perverse dans les yeux. Elle l'avait peut-être eu toute la soirée, mais je ne m'en aperçus qu'à ce moment-là. Ce regard de garce qui annonçait que j'allais devenir le jouet de tous ses caprices lubriques.
-Bébé...
Ma voix n'était qu'un souffle suppliant... Mais suppliant de quoi ? L'implorais-je de ne pas faire ce qu'elle était sur le point de me faire subir ? Ou bien au contraire, étais-je en train d'insister pour qu'elle aille au bout de sa perversité ? Un peu des deux, je suppose.
-Je t'avais dit que ça allait arriver. Maintenant mon cœur, il est temps de passer à table...
Elle me caressait le visage et me parlait avec une voix douce et étrange, presque peinée de m'infliger une nouvelle humiliation.
-Regarde bébé, tu vas te régaler.
Je redressai la tête au moment où Candice releva son bassin. Je vis ma queue sortir de son vagin et retomber sur mon bas-ventre. Un filet de sperme liait mon gland à sa chatte, unissant encore un peu nos deux sexes. Candice, accroupie, rapprocha en quelques gestes son intimité vers mon visage. Quelques gouttes de nos fluides s'écoulèrent sur ma chemise. Plus elle remontait, plus j'en avais envie, enivré par les odeurs et l'alcool.
J'étais totalement à sa merci. Moi, allongé sur le dos, à même le sol, sur le tapis de notre salon, le froc baissé, ma chemise trempée de sueur et d'un peu de sperme. Candice, accroupie, se tenait au-dessus de mon visage, sa chatte luisante au niveau de ma bouche. Je ne pouvais que contempler et sentir son sexe humide. D'une de ses mains, Candice me caressait le visage, de l'autre les cheveux.
-Ouvre la bouche et lèche moi tout ça mon cœur. Il y a beaucoup de ton sperme dans ma petite chatte.
Elle se laissa tomber, plaquant soudain son sexe trempé sur ma bouche. Je sentis sa main tirer mes cheveux, saisissant une touffe. Son regard était braqué sur moi. Elle ne voulait pas perdre une miette du spectacle. Tout tomba dans ma bouche.
Le goût... Il n'avait jamais été aussi fort. La mouille abondante et sucrée de Candice était mêlée au parfum amer et ferme de mon propre sperme, qui coulait par grosses quantités jusqu'au fond de mon gosier. Je savais qu'encore une fois, j'allais déguster, tout boire, tout avaler. Et c'est ce que je fis, dans un état proche de la transe. Je me régalais de ces fluides et saveurs. Putain... Candice y était encore arrivé, à me faire savourer mon propre foutre, dans cette position assez humiliante.
J'essayais de respirer un peu entre deux gorgées, mais le sexe de Candice était entièrement plaqué sur ma bouche. Elle se frottait de haut en bas sur moi, ses poils pubiens chatouillant mes lèvres et effleurant le bout de mon nez. Je ne pouvais que sentir de plein fouet toutes ces senteurs intimes. La sueur de ses cuisses. Le parfum piquant de sa chatte, plus fort que d'habitude. L'arôme puissant de mon sperme, qui me rentrait directement dans les narines.
Mes cinq sens étaient ravis. J'avais le goût et l'odeur. La vision de Candice, au-dessus de moi, sa tête et ses seins pointus penchés vers moi, ses yeux brillants de perversité, son sourire malicieux et satisfait. Le toucher, une de ses mains me caressant le visage, l'autre descendant vers mon entrejambe, me flattant doucement les couilles. Et l’ouïe, avec les doux gémissements de Candice et ses petits commentaires salaces.
-Savoure le moment mon cœur... Déguste bien ma petite chatte... Tu sens comme elle est trempée ? Tu sens aussi ton sperme aussi, pas vrai petit cochon ? Tout ton foutre dégouline de ma chatte bébé... Alors bouffe-moi tout ça. C'est bon ? J'espère que tu apprécies le goût...
Candice. Avec elle, c'était à la fois le supplice et un délice. Je dégustai pendant un bon moment. Une fois l'intérieur de son vagin et son clitoris nettoyés, Candice m'adresse une petite tape sur la tête, comme on récompense un chien.
-C'est bien bébé. Tu as bien fait ton travail. Tu as apprécié ta semence de mâle ?
Je fis oui de la tête. Candice m'adressa son plus beau sourire. Elle se leva, ce qui me permit d'apprécier sa fente luisante.
-Je suis crevée mon cœur. Je vais aller me coucher. Rejoins-moi au lit si tu peux.
J’acquiesçai une nouvelle fois d'un mouvement de tête. J'étais également exténué. Candice se mit à genoux à côté de moi pour m'embrasser une dernière fois. Ce fut un baiser langoureux, passionné. Sa langue fouilla ma bouche pendant un moment, cherchant et trouvant quelques dernières traces d'elle et de moi.
-C'était très excitant, me souffla-t-elle (son haleine sentait un peu le sperme et la mouille, je n'osais imaginer la mienne). J'aimerai qu'on le fasse plus souvent de cette manière.
-Moi aussi, mon amour, murmurais-je.
Elle passa un doigt sur mes lèvres, puis se releva et partit dans la chambre. Je restai allongé un moment sur le tapis. Les yeux grands ouverts, je reprenais mon souffle petit à petit. Je passai rapidement la main sur ma bouche, essuyant en vain tous ces fluides qui collaient et coulaient sur mon menton et mes joues. Malgré l'alcool et la redescente de l'excitation, je réalisais pleinement l'ampleur de l'emprise de Candice sur moi. Ce fut une puissante expérience que je n'étais pas prêt d'oublier. Tout comme celles qui suivirent...

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