Les Avdentures De Je 65
LES AVENTURES DE DJE 65
Ep 65 : UN PROJET DE FOU
Nous étions cinquante ce soir là
Antoine et moi n'avions invité aucun étudiant, que des personnalité de la fac et de la ville, les enseignants, les deux directeurs, il y en avait toujours deux. Quelques membre du conseil dadministration de la mairie et le maire
Au dernier moment on apprenait que le gouverneur du district était encore en ville on le contactait et pour qu'il ne soit pas vexé on lui envoyait un message !
'' Monsieur le gouverneur mon ami Antoine et moi organisons ce soir une réception à notre domicile, je vous présente pour nous deux nos plus sincères excuses de ne pas vous avoir contacté plut tôt mais nous venons seulement d'apprendre à l'instant que vous étiez encore en ville
Ce serait pour nous tous un honneur si nous pouvions vous compter parmi nos hôtes
Etc ''
On avait sauvé la situation
Si nous ne l'avions pas invité il aurait pu en prendre ombrage. Il nous répondait sans tarder qu'il serait heureux d'être parmi nous. Il ne manquait donc personne. Greg bien sûr était là et Léa bénéficiait d'un passe droit, Romain le copain d'Antoine et Bob bien sûr étaient là eux aussi. Pour le reste aucun étudiant. On avait demandé à Stéphane, le majordome de Greg d'assister Charles, notre majordome et on avait fait appel à quelques extra
Cinquante, ça commence a faire du monde autour de la table ! J'avais prévu large pour le champagne nos invités savaient apprécier
On parlait de l'avancée des travaux. J'apprenais que la PK se lançait dans la construction d'une série d'installations sportive dans la périphérie de la ville.
Greg : Pour l'année prochaine nous organiserons une compétition qui durera deux semaine
Pendant les vacances d'hiver !
Moi : Deux semaines
Greg : Le nombres de participants vas sérieusement augmenter !
Antoine : Du genre
?
Greg : Cette année il y avait deux écoles invitées
Pour l'année prochaine on parle de vingt ou vingt cinq
Moi : vingt cinq
!
Greg : On prévoit jusqu'à deux mille participants
Antoine : C'est énorme
!
Le Maire : Ma ville va devenir un centre universitaire et un centre sportif de réputation mondiale.
En disant cela il avait des étoiles dans les yeux !
Greg : Mon oncle vient d'acheter des terrains gigantesques, pour l'instant c'est une friche, le sol est trop pauvre pour l'agriculture, pas boisée
On ne peut rien y faire
Le Maire : Sauf construire, je viens de signer le permis de construire
Et ça va être magnifique
Greg : Des logements pour les sportifs seront construits
Le Maire : Et on organisera des activités sportives et touristiques pendant la belle saison
Greg : Il y a beaucoup à faire
Le Maire : Un centre de remise en forme
Greg : Mon oncle achète tout ce qu'il peut dans la ville, il projette de raser la moitié de la ville
Le Maire : Les maisons sont anciennes et au niveau architecture sans intérêt. On reconstruit dans la périphérie, des lotissements modernes, des commerces, des moyens de transport
Greg : Tout le monde y gagne ! Ceux qui vendent leurs vieilles maisons, en reçoivent un bon prix en plus de la possibilité d'acheter une nouvelle maison tout en faisant une belle plus-value.
Antoine : Et les sommes mises en uvre ?
Greg : On parle de plusieurs milliards !
Ce mot '' milliard '' était suivi d'un silence par toute l'assemblée
Il y a des sommes qui donnent le vertige
Il était donc si riche que ça ce monsieur Le Conte !
C'est dans la bonne humeur que se terminait ce repas, tous les invités étaient ravis de cette soirée. J'avais un peu le vertige, oh ce n'était pas l'alcool
La foule, il y avait beaucoup de monde ce soir là
Les sujets abordés, les projets
La ville serait entièrement redessinée
Et les montants investis
J'étais au milieu de cette tempête
Pas acteur de ce projet mais, comment dire, l'opinion public me considérait comme le centre de tous ces changements
Heureusement ce soir là il y avait Léa
Elle m'entraînait dans ma chambre dès que le dernier invité était parti.
La cravate, un baiser
La chemise, une longue et douce caresse sur mon torse et un baiser
Une chaussure, un baiser
L'autre et
Les chaussettes , pareil
Elle ouvrait mon pantalon qui tombait sur le sol, une étreinte et un long baiser amoureux et passionné
Mes sous vêtements
?
J'aurais du en mettre pour une fois !
Elle me prenait par la main et m'entraînait dans la salle de bain, je me laissait aller
Elle attrapait je ne sais ou un gode ceinture
Ça je connais, avec elle c'est pas la première fois
et un gode. Elle me le mettait dans la main et le mettait en marche. C'était un gode vibrant, c'était rigolo, ce genre de truc chatouillait, je n'avais jamais joué avec un truc comme celui là. Il était en caoutchouc doux et son contact avec la peau était agréable
Plus on le serrait fort, plus on sentait les vibrations. Je me disait qu'il faudrait que je me l'essaye un jour.
Elle se levait devant moi, les jambes écartées, elle se caressait le sexe et se donnait du plaisir juste devant moi
Je sentais le désir monter en même temps que mon dispositif de chasteté se relevait sous sa pression interne !
Léa : Fait moi plaisir comme tu sais faire !
Sans aucune hésitation je m'approchais, lui donnais un baiser sur le sexe puis glissait ma langue dans tous les recoins accessibles, je savais ce qu'elle aimait ! Elle me caressait la tête, elle ne me guidait pas, je connaissais le chemin. Le chemin de son plaisir. Elle me caressait seulement les cheveux. Rapidement je la sentais frémir, je savais ce qu'il fallait faire pour cela. Elle me laissait faire un moment puis se retirait et me donnait un baiser passionné sur la bouche.
Elle était toujours devant moi, et doucement en me montrant bien ce qu'elle faisait, elle s'enfonçait le gode sur toute sa longueur
Léa : Tu vois quand il est bien à fond et que jappuie dessus comme ça, ça vibre juste au niveau de mon clitoris et très vite c'est
Wow
Divin
Elle passait de la théorie à la pratique et me montrait, elle se masturbait avec un gode juste devant moi
J'avais la tête en feu, le cul en feu, et une pression de dingue dans ma cage de chasteté ! Là elle commençait fort ! Je me disait que là elle abusait ! Je prenais le gode ceinture et relevais le bassin pour passer la sangle mais elle me le prenait des mains et se le fixait. Au moment ou elle le refermait elle levait la tête sans dissimuler son plaisir, elle avait appuyé sur le gode qui enfoncé dans son vagin ne ressortait presque pas. Ensuite elle fixait le gros gode sur le harnais et me regardait avec un regard de prédatrice devant son repas
Mon cur frappait fort dans mon thorax.
Léa : Et si on changeait un peu les règles
?
Je la regardais et mes yeux passaient de son gode qui se redressait fièrement devant elle, lui donnant une toute autre silhouette et son sourire, à ses yeux.
Elle se penchait vers moi et me demandait de me retourner et de me pencher en avant
Mécaniquement je lui obéissais
Je me retrouvais le cul hors de l'eau et le reste du corps allongé sur le sol en dehors du bain bouillonnant
Mon cur battait fort, comme jamais. Jamais avec un mec j'avais ressenti ça, ma bite ne frappait plus contre la cage de chasteté, elle semblait se ratatiner dans un recoin de la cage qui de ce fait me paraissait spacieuse comme ça ne lui était pas souvent arrivé.
Léa s'allongeait sur moi, me donnait des baisers dans le cou et caressait mon corps, mon torse, mes épaules, je sentais son gode qui se positionnait juste contre mon anus. Elle glissait une main contre mes tétons que je sentais se durcir.
Le gode me pénétrait sur tout sa longueur d'autant plus facilement qu'on ne l'avait pas choisi d'une dimension démesurée mais il faisait quand même ses dix huit centimètres
Il m'allait bien, je le sentais bien, c'était agréable Léa s'en rendait compte
Elle se penchait sur moi, je sentais ses seins qui s'écrasaient contre mon dos, la chaleur de sa poitrine, la douceur de ses mains de ses caresses, la force de ce gode ceinture et quand elle appuyait fort je l'entendais gémir et je sentais moi aussi la vibration du gode qu'elle avait en elle . Je sentais alors un léger chatouillis contre ma prostate.
Ce jeux durait un moment je tremblait, je frémissais elle me répondait en tremblant en frémissant elle aussi. Elle se retirait, revenait et c'est quand elle revenait et que le gode s'enfonçait bien à fond que le plaisir était le plus intense, pour elle aussi c'est à ce moment qu'elle gémissait, qu'elle gémissait plus fort et elle gémissait de plus en plus fort
Je jutais
Elle passait sa main sur mon sexe et le remarquait, je jutais et je jouissais
Léa : C'est la première fois que je te sens vibrer comme ça !
J'avais le souffle court ! Elle se retirait. Je me retournais face à elle
Léa : J'ai l'impression que tu as aimé !
Pour seule réponse, je la prenait dans mes bras et lui faisait un énorme câlin, je tremblais encore et elle tremblait contre moi. On restait encore un long moment dans le bain bouillonnant, on ne parlait plus, on se touchait, on se caressait, on se murmurait des mots non prononcés
C'était bon, je me sentais bien et c'était la première fois avec Léa ! Enfin la première fois dans ce sens
Plus tard de retour dans ma chambre. Confortablement installée sur un fauteuil Léa se masturbait la bite en plastique qu'elle avait gardé fixée sur le harnais.
Moi : Tu ressens vraiment quelque chose avec cette bite en plastique ?
Léa : Oui, comme je te le disais le gode que je me suis enfilé vibre et quand jappuie comme ça, ça fait un bien fou !
Je me penchais vers elle et commençais à la caresser avec beaucoup de douceur, je l'embrassais sur tout le corps
Léa : Assis toi dessus !
Sans aucune hésitation je mexécutais. Comme elle l'avait si souvent fait avec moi, je la chevauchais, me penchais sur elle, la couvrais de baiser et m'enfonçais le gode doucement
Arrivé bien à fond je me lâchais et m'appuyais de tout on poids, elle poussait un cri de plaisir et se cramponnait à mes épaules, elle en redemandait et moi aussi. Je faisais le travail, m'appuyais et me relevais avec rythme, avec vigueur, je relevais la tête, la penchais en arrière, mon souffle était fort, Léa respirait fort elle aussi.
J'accélérais le mouvement, Léa hurlais de plaisir, je hurlais moi aussi
C'est finalement ensemble qu'on devait jouir. Je la sentais trembler et se cramponner à moi et ma queue lâchait une deuxième fois un flot de sperme qui coulait à l'extrémité de ma cage. Ma queue restait à moitié molle, une grosse molle qui remplissait bien la cage mais sans exercer de pression. J'avais encore quelques convulsions au moment ou je me relevais puis me laissais tomber à côté de Léa. On se regardait et on se faisait un large sourire. Je l'avais souvent fait jouir mais c'était la première fois que le plaisir était partagé, en temps normal plus elle jouissait plus je me sentais frustré
On ne tardait pas à s'endormir. Ma nuit était bercée de plaisir, d'extases dans une ville nouvelle, moderne. Je me promenais dans un stade olympique tellement grand que les gradins semblaient s'éloigner le terrain était sans fin
Je courais et en quelques enjambées je me retrouvait de l'autre côté
On m'acclamait les gradins étaient vides mais on m'acclamait. C'était sans doute la discussion de cette soirée qui guidait ainsi mes rêves
Quelques jours plus tard je me rendais dans la concession automobile ou avec Antoine nous avions acheté notre voiture
J'avais demandé à Bob de maccompagner sans lui en donner la raison
Ça ne prenait pas beaucoup de temps, le vendeur me reconnaissait, et venait tout de suite nous saluer.
Le vendeur : Monsieur Brosso, que nous vaut le plaisir de vous revoir ? J'espère que vous n'êtes pas déçu de votre voiture ?
Moi : Bien au contraire mais voyez vous, mon jeune frère vient d'avoir ses dix huit ans et il vient de réussir son permis !
Bob : Je rêve tu veux lui offrir une
?
Moi : Oui c'est exactement ça et si ça ne te dérange pas, j'aimerais que tu la ramène à la maison, il ne sait rien !
La négociation était rapide, je choisissais un modèle début de gamme, il faut dire qu'un début de gamme dans cette marque vaut largement un bon moyen de gamme dans n'importe qu'elle autre marque
Au niveau du prix aussi
Bob : Il va certainement brailler que tu aurais pu choisir une Rolls
Moi : Ça, c'est à prévoir ! On connaît le bestiau ! Ensuite il sera très content
Bob : Ça c'est sûr !
Moi : Il me faut bien sûr toutes les options
Bob : Ça devrait le calmer un peu !
On réglait rapidement les formalités, assurance, carte grise, je faisait le chèque et on repartait
Bob était au volant de la nouvelle voiture
Quand on arrivait à l'appartement Luc venait juste de sortir, il nous voyait arriver
On se garait
Luc : Et bien dis donc Bob
Tu as une nouvelle voiture ?
Bob : Je lui dis ?
Moi : Si tu veux !
Bob : C'est pas ma voiture, c'est la tienne !
Luc ne comprenait pas tout de suite, il se retournait vers moi.
Moi : C'est pour ton anniversaire, je viens juste de te l'acheter !
Bob : Jérémy je t'adore ! Mais je peux l'essayer ? On peut aller faire un tour ?
Bob lui tendait les clés, Luc prenait le volant, Bob s'installait à côté et on ne les revoyait que le soir
Charles avait mis la table, et voyant le nombre d'assiettes je réagissait que en fait Bob était parmi nous tous les jours
On était tellement habitué à le voir que personne ne s'était rendu compte qu'il s'était installé en permanence
Et je ne parvenais plus à savoir à quel moment ça c'était passé.
Moi : Dis moi Charles ! Combien sommes-nous à vivre dans cet appartement ?
Charles : Voyons vous êtes trois
Antoine, Luc et toi !
Moi : Et Bob ?
Charles : C'est vrai que en ce moment il est ici un peu en permanence, mais c'est pas grave. Il est adorable
Moi : Il est tellement adorable qu'on ne s'en est même pas rendu compte
Charles : Ils ne vont pas trop tarder j'espère
Moi : J'espère, ils sont parti essayer la voiture !
Charles : Luc était content ?
Moi : Il en avait l'air !
Charles : Et il n'a pas braillé que c'était pas la bonne marque ?
Moi : Il a encore toute la soirée pour ça !
Décidément tout le monde connaît bien le bestiau, comme je disais plus tôt ! Charles rigolait en imaginant Luc, je rigolais aussi à cette idée.
Antoine ne tardait pas et les deux jeunes suivaient peu après
Luc avait un grand sourire, il me sautait au coup et m'embrassait sur la joue pour me remercier
Luc : Toi tu es mon frère préféré !
Moi : Je suis ton seul frère et j'ai gagné beaucoup d'argent ces derniers jours
A la fin du repas Luc décidait de sortir, en fait il ne voulait aller nul part il voulait juste rouler un peu avec sa superbe voiture neuve
Et je suis sûr d'une chose il ne donnera pas le volant à son copain Bob
Pas ce soir !
Finalement il n'avait pas braillé comme on s'y attendait du genre
'' Ouai c'est même pas une Rolls, c'est bien, je dis pas, mais la prochaine fois, j'espère que
''
Deviendrait-il mature ?
Luc et Bob ne se rendaient plus à l'école avec nous, ils prenaient la nouvelle voiture à Luc, au début il ne voulait pas laisser conduire son camarade mais rapidement il lui passait régulièrement le volant, Bob conduit très bien comme vous savez et Luc aussi
Il n'y a guère qu'au volant qu'il ne fait pas le mariole, au volant il devient très sérieux, très mature
Les deux gamins faisaient partie des rares élèves de leur âge à avoir une voiture, ils en profitaient pour frimer surtout que c'était une très belle voiture
Quelques temps plus tard
De retour à la maison, Luc et Bob avaient l'air particulièrement contents
Moi : Et bien les jeunes, on dirait que tout se passe bien pour vous
Luc : Ouai c'était génial, c'était le jour de ma séance photo
Bob : Super, et pour un après midi de travail bien payé en plus !
Moi : Vous y étiez tous les deux ?
Bob : Oui Luc a réussi a m'avoir un petit contrat. C'est génial, j'ai jamais gagné autant d'argent
Et sans me fatigué en plus !
Moi : Mais dis moi Luc tu as fait comment ?
Luc : C'est simple, l'annonceur était une filiale de la PK, une marque de vêtements de sport
J'ai téléphoné au Big Boss
S'il ne pouvait pas
Un petit contrat
Bob
Et il a dit oui !
Moi : C'est vrai qu'il ne peut rien te refuser à toi
Il est comme ça mon petit frère, Bob venait de gagner un joli chèque en un après midi
Mais c'est pas pour ça qu'on allait lui demander de participer au frais de l'appartement
Là je crois que Luc me tomberait sur la couenne et que je l'entendrait vraiment brailler
Surtout qu'il savait combien j'avais gagné ces derniers mois
De plus personne ne payait de loyer, pas plus que les service de Charles notre majordome et c'était pareil pour les frais annexes, depuis l'électricité jusqu'aux réceptions trois fois par semaine
Bon, en tous cas ça semblait définitif, Bob logeait désormais avec nous ! Finalement on n'attendrait pas le prochaine rentrée ! Ce dernier trimestre allait se terminer tranquillement, tout le monde était content. Antoine et moi étions millionnaires, Luc allait gagner une très grosse somme et même Bob était content, il n'avait rien demandé à personne et il venait d'empocher dix mille DI presque sans rien faire
Mes relations avec Léa changeaient légèrement à partir de cette période, mes relations intimes je veux dire, on avait finalement trouvé une nouvelle manière d'utiliser les jouets
Les soirées en tête à tête seraient plus chaude, moins frustrantes pour moi et tout aussi plaisantes pour elle
Je m'en régalait d'avance rien que d'y penser
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