Sandra 1

Un beau jour d’été, je décidai d’aller à la piscine municipale. J’en avais en effet marre d’ sous la chaleur lourde de ce mois d’août, qui nous infligeait un temps sans cesse gris et pluvieux, mais en prime une température lourde avoisinant les 30°c. Je me rendis donc à la piscine d’une ville voisine, avec des amis à moi. Elle était couverte et c’était tant mieux, car une fois de plus, il pleuvait à flot dehors. Nous passâmes un bon moment à nager et à nous amuser dans l’eau. Nous aurions bien aimé faire du long toboggan en colimaçon, mais nous y avions renoncé, car si il débouchait à l’intérieur, il commençait à l’extérieur. Pour faire un tour de toboggan, il fallait donc sortir dehors, et monter les longs escaliers jusqu’à son entrée. Sous la pluie, c’était pas l’idéal !

Au bout d’un moment, mes amis et mois nous mîmes de côté, nous installant sur un long coffre contenant divers objets utiles à la baignade et qui pouvait servir de grand banc, et nous livrâmes à l’une de nos activités favorites, totalement débile il faut bien le reconnaître, qui consistait à observer les filles de notre âge qui se trouvaient là, et leur donner des notes. En plus d’être pas du tout galant, ce jeu était source de pas mal de querelle entre nous, car nous étions rarement d’accord sur la note à attribuer à telle ou telle fille.

« Cette brune elle est vraiment bonne, elle vaut 15/20, affirma l’un de mes amis en montrant une fille brune non loin de là. »

« T’es fou ou quoi ? Elle est mignonne sans plus, elle vaut pas plus de 12 ! »

« 14 je dirais plutôt, intervins-je. »

S’ensuivit un long brouhaha, chacun de mes amis donnant son opinion en même temps avec véhémence et passion. Puis, le calme revint progressivement et un court silence s'installa entre nous, car nous cherchions une nouvelle fille à mater. Soudain, celui qui avait trouvé jolie la brune s'exclama :

«  Oh putain ! Je viens de voir un 20/20 plonger ! »

« Un 20/20 ? lançai je incrédule.

 »

«  Pfff... A tous les coups c'est une meuf qui vaut 15 grand max... lança d'un ton sceptique celui qui l'avait contesté tout à l'heure. »

« Bah tu vas voir, répliqua l'autre, elle va ressortir en face de nous. »

Nous attendîmes un peu, et alors sortit de l'eau une fille incroyablement sexy. Ses cheveux trempés étaient d'un roux flamboyant, et dégageaient un visage de rêve. En sortant de l'eau, elle révéla d'abord son énorme poitrine que son bikini rouge mettait en valeur plus qu'il ne la couvrait. Elle nous dévoila ensuite un ventre plat sans une once de graisse, et ensuite, en sortant totalement de l'eau, elle nous dévoila ses longues et belles jambes. Lorsqu'elle nous tourna le dos on put admirer son magnifique postérieur, rond et ferme à souhait.

La belle s'assit sur le rebord du bassin et observa l'eau avec attention, comme si elle cherchait quelqu'un parmi les nageurs. On ne l'avait vu que quelques secondes, mais je l'avais aussitôt reconnue : il s'agissait de Sandra, une amie d'April. Nous nous étions croisés il y a peu, et j'avais adoré cette rencontre. Seulement la dernière fois nous n'avions pas eu le temps de faire grand chose, et sur le coup ça m'avait un peu frustré. Mais maintenant qu'elle était là à quelques mètres de moi, j'avais l'occasion de corriger ça.

Je me tournais vers mes amis, ils étaient bouche bée.

« Omg, la bombe ! »

« J'vous l'avais dit non ? »

« Ouais sauf que tu t'es gouré. Elle vaut pas 20/20. »

« Quoi !? »

Le cri d'incrédulité et d'indignation avait été général.

« Parfaitement, s’entêta l'autre. Elle vaut au moins 30/20 ! »

Un murmure approbateur parcourut notre groupe. Nous la reluquâmes pendant un long moment. Mes amis ne se lassaient pas de l'admirer.

« Mais mate son cul putain ! »

« Moi c'est surtout ses seins qui me font rêver. »

« Moi c'est tout, elle est ultra bonne de la tête aux pieds cette meuf ! »

« Elle a un corps de rêve, je donnerai un bras pour pouvoir la toucher.
 »

« Alors toi tu tapotes son épaule pendant que moi je masse ses seins, ok ? Non mais regardez les ! Elle fait au moins du 90D ! »

« Plutôt du 95E je dirais. »

« En tout cas, je les masserais bien. »

« Moi je la baiserais bien. J'adorerais faire toutes les positions avec elle. »

Un nouveau murmure approbateur parcourut le groupe. J'eus un petit sourire et lançai :


« Je la connais. »

« Ah ouais ? »
La surprise était générale.

« Oui. Elle s'appelle Sandra. Et j'aurais même pu coucher avec elle. »

Il y eut un murmure de scepticisme général.

« Alors pourquoi tu l'as pas fait, sale mytho ? »

« J'avais une autre bombe sur le feu, mais là plus rien me retient. »

Je me levai et leur lançai d'un ton moqueur :

« Je vais vous laisser. Continuez bien à fantasmer sur tout ce que vous auriez pu faire à Sandra, moi pendant ce temps, je ferai tout ce dont vous pourriez rêver et même plus. Ciao ! »

D'un pas confiant, je me dirigeai vers Sandra, tout en priant pour qu'elle soit aussi attirée par moi que la dernière fois.

« Salut Sandra ! lui lançai je d'un ton claironnant. »

Elle se tourna vers moi, et ses beaux yeux verts brillèrent de surprise, de joie et... d'une lueur coquine.

« Oh salut toi ! répondit elle d'un ton joyeux. »

« T'as l'air contente de me voir... »

« Toi aussi... »

Elle désignait la bosse qui commençait à déformer mon caleçon de bains. Pas du tout gêné, je répliquai :

« Bien sur ! Tu es hyper sexy dans ce bikini. Je peux t'assurer que tous les mecs ici rêvent de ton corps. C'est normal que moi aussi. »

Sandra eut un petit sourire.

« Je pense que beaucoup de meufs rêvent de ton corps aussi. Qu'est ce que t'es bien foutu ! »

Ce fut à mon tour de sourire.

« C'est pour ça que t'es contente de me voir ? »

« Oui.
Je cherchais un mec, j'étais prête à me contenter d'un pas trop mal, mais là... je tombe sur un Apollon ! »

Mon pouls s'accéléra : ça se passait super bien !

« Tu veux pas rentrer seule hein ? »

Elle eut un sourire moqueur et coquin.

« T'y es pas du tout ! »

Et avant que j'aie pu lui demander ce qu'elle voulait dire, elle plongea dans l'eau. Je la suivis sans plus me poser de questions.

Nous passâmes de longues heures ensemble à la piscine. Nous nous taquinions, chautions, et faisions la course. Sandra était drôle et sympa, en plus d’être sexy, je passai donc un très agréable moment en sa compagnie. Mais cette séance de piscine fut aussi rude pour moi, car Sandra était très aguicheuse, et ne cessait de me toucher, ou de me faire de petits bisous, ou encore de me lancer des regards brûlants. J'avais hâte de passer à la suite…

Il était plus de 19h 30, et la piscine allait fermer dans moins d'une demi heure lorsque je dis à Sandra :

« Si tu veux qu'on rentre ensemble, faut pas qu'on tarde. »

« Je veux pas qu'on rentre ensemble... »

« Mais... »

Sandra m'interrompit en me mettant un doigt sur la bouche.

« T'inquiète, on va baiser ensemble, et comme des bêtes, mais on reste ici pour ça. »

J'étais très excité par ce qu'elle venait de dire.

« Tu veux qu'on baise ici ? »

« Oui ! »

« Mais tout ce qu'on pourra faire, c'est baiser 5 minutes dans les toilettes, j'en veux plus ! Je veux te sauter toute la nuit ! En plus la piscine ferme bientôt. »

« Justement ! On va se cacher, et se laisser enfermer... et alors on aura toute la piscine rien qu'à nous, et jusqu'au matin ! »

Je fus décontenancé par ce plan insensé. Et si on se faisait prendre ? Sandra perçut mon trouble, et enroula mes bras autour de mon cou, et me lança d'une voix sensuelle :

« Allez me dis pas non cette fois ! Je l'ai déjà fait plein de fois ici mais jamais avec un mec aussi sexy que toi ! Dis oui, et je te promets une nuit que t'oublieras pas ! »

Comment dire non à une telle bombe ? Malgré mon appréhension, j'acceptai.


« Ok c'est d'accord. Où est ce qu'on se cache ? »

Elle eut un sourire ravi.

« Je vais te montrer, viens. »

Elle m’emmena jusqu'à la porte extérieure, et sortit dehors. Je la suivais, perplexe. Sous la pluie battante, elle me saisit le poignet et m’entraîna vers…

« Le toboggan ? m'écriai je surpris. »

« Oui, c'est le meilleur endroit pour se cacher. »

« Euh t'es sure ? »

« Fais moi confiance, dit elle avec tant de certitude qu'elle me convainquit. »

Nous gravîmes les marches en méta, jusqu'à l'entrée du toboggan.

« Comme l'entrée du toboggan est dehors, personne ne nous verra y entrer. »

« Et comme il débouche à l'intérieur... »

« Ça nous permettra d'entrer dans la piscine, meme après sa fermeture ! »

« C'est génial ! »

« Eh oui ! »

« Et ils vérifient pas si il y a quelqu'un dans le toboggan quand ils ferment la piscine ? »

« Non, jamais ! »

Nous étions arrivés au sommet de l'escalier, juste devant l'entrée du toboggan. L'intérieur était noir comme dans un four, mais c'était fait exprès : glisser à toute vitesse dans le noir procurait de bonnes sensations.

Sans plus discuter, elle se lança dans le toboggan, disparaissant bien vite dans l'obscurité du tube qu'il formait. J'hésitais une seconde puis la suivis. Je glissais dans le noir m'enfonçant dans le tube à grande vitesse.

Soudain, au détour d'un virage, je sentis quelque chose me happer et me maintenir en place. C'était Sandra. L'eau du toboggan coulait en dessous de nous, cherchant à nous entraîne, mais nous parvenions à ne pas nous faire entraîner.

Rapidement cependant je fus distrait dans mes efforts pour ne pas glisser : Sandra et moi étions allongés sur le coté, face à face, mais le tube du toboggan était très étroit, si bien que Sandra et moi étions collés l'un à l'autre si étroitement que nous étions presque fusionnés. Ainsi mon torse musclé se pressait contre sa volumineuse poitrine, avec tant d'intensité que je sentais sa respiration soulever ses seins et les écraser contre mes pectoraux. Je sentais aussi la douceur de sa peau étroitement mêlée à la mienne, ainsi que ses jambes et ses bras, entremêles avec les miens. C'était incroyablement bandant d’être ainsi collé contre une telle bombe ! Et ça le devint encore plus : car progressivement je m'habituais à la pénombre et pus ainsi discerner le corps de rêve de la bombe serrée contre moi.

« Mon Dieu qu'est ce que t'es bonne ! »

« Tu l'es toi aussi. »

« J'ai vraiment hâte de te baiser ! »

Elle me fit un baiser fugace et me lança :

« Je te comprends, mais c'est moi qui vais te baiser »

« Tu crois ça ? April ne t'a pas raconté ce que je faisais aux filles trop prétentieuses ? »

« Si. Je sais que tu l'as dominée, mais je suis pas April. Tu vas te faire dominer ce soir. »

Sa provocation m'excita encore plus, et je me jetai sur elle et l'embrassai sauvagement. Elle me rendit mon baiser avec la même passion, se collant encore plus à moi, et dévorant mes lèvres avec ardeur.

Nous nous embrassions depuis un long moment, lorsque soudain l’eau du toboggan cessa de couler. La piscine était entrain de fermer. Avec Sandra, nous restâmes un moment attentifs, craignant qu’un des maîtres nageurs ne vérifie qu’il n’y ait personne dans le toboggan, et de nous faire prendre. De longues minutes passèrent, et rien de tel n’arriva. La ruse de Sandra fonctionnait. Nous entendîmes le bruit que faisaient les baigneurs dans la piscine diminuer, puis s’éteindre complètement. Cette fois ça y était, on s’était bel et bien enfermés à l’intérieur. Il fallut encore attendre longtemps, que les maîtres nageurs finissent de ranger tout ce qu’il y avait à ranger. Quand on entendit plus leurs voix, on attendit encore longtemps, histoire d’être sûrs qu’on pouvait descendre.

Pendant ce temps, nous nous remîmes à nous embrasser de plus en plus fougueusement, nous collant l’un à l’autre avec délice. Qu’est ce que cette fille était sexy, putain ! J’en avais une trique carrément douloureuse. Nous restâmes ainsi un long moment, jusqu’à ce que ça en soit insupportable : nous décidâmes alors de sortir du toboggan pour aller dans le petit bain, en priant pour que les maîtres nageurs soient partis.

La descente fut un peu difficile, car l’eau ne coulait plus dans le toboggan, et donc nous ne glissions plus comme avant. Une fois dans l’eau du petit bain, nous restâmes attentifs une minute : mais il semblait bien que la piscine était déserte. La lumière était éteinte, aucun bruit ne se faisait entendre, et par les baies vitrées, on pouvait voir le parking de l’entrée, totalement vide. On avait réussi notre coup : on s’était enfermés dans la piscine. Maintenant, la nuit était à nous !

Sandra s’approcha lentement de moi. J’en profitais pour l’admirer une fois de plus, mâtant sans vergogne son corps de déesse, et plongeant mon regard dans ses yeux verts, brillant d’une lueur coquine. C’était plus que je ne pouvais en supporter : je me jetais sur elle, et l’embrassais sauvagement, avant de la pousser vers le rebord du bassin. Elle s’assit dessus, et avec ferveur, je la poussais pour qu’elle s’allonge sur le carrelage, tandis que je retirais son bas de maillot. Avec vigueur, je la pénétrai, et me mis à la baiser sauvagement, allant et venant comme un fou, désireux d’enfin assouvir les désirs qui me torturaient depuis des heures.

C’était délicieux : je la culbutais à un rythme régulier, et elle gémissait comme une chienne, tandis que ses énormes seins se balançaient sous son bikini, et que son visage angélique se défigurait merveilleusement sous le plaisir que je lui apportais.

« Oh putain, qu’est-ce que tu baises bien ! lâcha-t-elle »

« Et encore, ce n’est que le début ! »

J’accélérai progressivement le rythme de mes assauts, me délectant de sentir Sandra frémir de la tête aux pieds. Ne pouvant m’en empêcher plus longtemps, je me mis à pétrir sa volumineuse poitrine à pleines mains n’en revenant pas de son énormité : je n’avais pas souvent eu de tels seins entre les mains. Je les pétrissais avec intensité, à travers son bikini, tout en la limant avec ardeur. Sandra se tortillait, les yeux dans le vague, le corps cambré, le souffle court. Elle semblait adorer ce que je lui faisais. Je ne pus m’empêcher de la provoquer :

« Je t’avais bien dit que c’était moi qui te baiserais. »

Elle réagit aussitôt : elle se redressa, me saisit par les cheveux pour me repousser. Surpris, je tombai en arrière, et finis assis dans le petit bain. L’eau était suffisamment peu profonde pour que je tienne assis dedans sans être submergé. Sandra vint sur moi, et s’empala sur ma queue en poussant un gémissement. Elle se mit ensuite à me chevaucher comme une folle, se déhanchant de gauche à droite, créant de puissants remous dans l’eau, et me toisant d’un air dominateur avec un petit sourire coquin. Je sentais que je pouvais reprendre le dessus, alors je me laissais faire un peu, car j’adorais voir son corps de rêve en action, ses hanches fines s’activer, sa poitrine se soulever, son beau visage rayonner de plaisir, quelle vision de rêve ! Lentement j’enroulais mes bras autour d’elle, attrapant ses fesses et les massant avec délectation. Sandra me fit un sourire, elle ne se méfiait pas.

Je la soulevais soudainement et la jetai dans l’eau. Puis je la saisis par les hanches, et la poussai jusqu'au rebord du bassin, mais cette fois ci, je l’étalai à plat ventre. Il était temps pour elle de se faire prendre en levrette. Je la saisis par les hanches, et la baisai puissamment, lui administrant de puissants coups de reins qui la faisaient aller et venir contre le carrelage en gémissant de plus en plus fort : heureusement que les maîtres nageurs étaient partis ! Vue de dos, elle était aussi sexy que vue de face, son fessier était à tomber raide, bombé et ferme à souhait, et j’adorais voir ses longs cheveux roux, trempés par l’eau de la piscine. Elle était la première rousse que je baisais, et je dois dire que c’était plaisant : la belle couleur de ses cheveux s’ajoutait au plaisir de la découverte. Je saisis ses cheveux, et les tirai, histoire de bien lui faire sentir que c’était moi le patron. Sandra gémissait et agitait son cul pour augmenter le plaisir. Je frissonnais de plaisir, et accélérai le tempo, histoire de pas laisser la belle reprendre le contrôle. Elle poussa un cri lorsque ma queue la lima avec soudain plus d’entrain, et se raidit, incapable de continuer ses coups de reins. Je la baisai encore et encore, faisant monter le plaisir toujours plus haut. L’orgasme ne tarda pas à arriver, il nous submergea tous les deux, et nous fis hurler.

Nous écroulâmes dans l’eau, essoufflés mais comblés.

« C’était suuuper bon ! April a pas menti, t’es vraiment doué. »

« Faut dire aussi qu’une fille aussi sexy que toi, ça donne des ailes ! »

« C’est vrai, dit-elle sans fausse modestie. Mais t’es vachement sexy toi aussi, beau gosse, bien musclé, et bordel, qu’est-ce que ta queue est bonne ! »

Je souris ravi du compliment. Sandra me fit un baiser fugace, et après s’être rhabillée, se leva en s’écriant :

« Regarde ce qu’ils ont laissé ouvert ! »

Elle courut droit vers une grande grille laissée entre-ouverte. Elle donnait sur une pile de tapis, et un tas d’objets et d’accessoires qu’on utilise pour des exercices aquatiques, tels des cerceaux, ou des frites ou autre. Sandra entra, et se mit à tirer un grand et lourd tapis.

« Avec ce truc là, on pourra aller sur l’eau, comme si c’était une sorte de radeau, expliqua-t-elle. C’est trop cool de baiser là-dessus, crois moi… Par contre, t’attends quoi exactement pour venir m’aider ? »

En effet, je restais là à la contempler : il faut dire qu’elle était légèrement penchée, de profil par rapport à moi, dans une position qui mettait superbement en valeur son corps de rêve et ses courbes ultra-généreuses. Donc oui, je restais là à baver sur cette déesse rousse, mais franchement qui pourrait me le reprocher ?

« Je préfère profiter de la vue, répliquai-je en souriant. Et m’imaginer tout ce que je vais te faire... »

« T’imaginer tout ce que moi je vais te faire, répliqua-t-elle. Je crois que tu oublies que la patronne c’est moi ici... »

J’éclatai d’un rire moqueur et répondit :

« Si j’ai oublié ça, c’est parce que c’est pas vrai… les patronnes se font pas démonter en levrette comme toi tout à l’heure, alors... »

Je ne finis pas ma phrase, car Sandra se jeta sur moi. Elle enroula ses bras autour de moi, et m’embrassa sauvagement me faisant bouillir littéralement. Je la saisis par les hanches, et lui rendis son baiser, avant de la pousser sur le tas de tapis. Je lui attrapai les mains et les plaquai contre les tapis. Elle tenta de se débattre mais ne put s’échapper de mon emprise. Je me penchai et embrassai son buste, profitant de son décolleté si alléchant. Je descendis ensuite sur son ventre plat, que j’embrassai aussi fiévreusement. Puis, je lui enlevai son bas de maillot de bains, retirai le mien, et la pénétrai. Je me mis à la baiser en missionnaire mais cette fois-ci en commençant doucement. Je prenais lentement possession de son corps, allant de plus en plus profondément en elle, lui arrachant des soupirs et grimaces de plaisir. J'accélérai progressivement le rythme, tout en la regardant droit dans les yeux, la défiant du regard. Lorsque je lui donnai un coup de rein plus puissant et rapide que les autres, et que Sandra poussa un cri de plaisir, elle chercha à se débattre. Cependant, je la tenais bien, et tout ce qu'elle put faire, ce fut s'agiter en vain pour mon plus grand plaisir : la voir se tortiller, sentir ma force nettement supérieur à la sienne la clouer sur place, et voir la petite lueur d'impuissance dans ses yeux, qu'est ce que c'était bon ! Décidé à enfoncer le clou, je me mis à aller et venir à un rythme très élevé, la baisant avec force et vigueur, la culbutant contre les tapis. Sandra se mit à gémir, puis à crier lorsque ma queue commença à cogner le fond de son intimité.

"Alors ? Tu te sens toujours la patronne ? Je t'avais bien dit que ce serait moi qui te baiserai, non ? lui lançai-je moqueur."

Elle ne répondit rien, mais chercha, en enroulant ses jambes autour de mes hanches, à atténuer la violence de mes coups de reins. Peine perdue, j'allais toujours à fond, et sa faible étreinte ne me dérengea en rien. Je prenais un pied énorme à baiser ce corps de rêve, à frémir de la tête aux pieds à chacun de mes allers-retours, à sentir mes hanches cogner contre les siennes, à la voir se tortiller dans tous les sens et à l'entendre gémir à fond. Je continuai à la baiser ainsi pendant de longues et délicieuses minutes, jusqu'à ce que je décide de changer de position.

Je la retournai, et la mis sur le ventre pour la prendre à nouveau avec ma position préférée, la levrette. Tout en la tenant par la nuque, je lui assénai de puissants coups de reins par derrière, frissonnant de plaisir. Dans cette position, j'allais plus loin en elle, et la baise était plus stimulante pour nous deux. Sandra ne gémissait plus, elle criait de toute la force de ses poumons, si bien que l'on se se ferait prendre à coup sûr si il y avait eu encore quelqu'un dans cette piscine. Elle tentait de se débattre, mais je la maintenais fermement plaquée contre les tapis, n'hésitant pas à presser sur sa nuque, et à accélérer le rythme et la sauvagerie de mes coups de reins pour l'obliger à se tenir tranquille. Si quelqu'un d'extérieur avait observé cette scène, il aurait pu croire que je violais Sandra, à me voir ainsi la baiser violemment en la tenant si solidement. La sitution, le plaisir que j'éprouvais et qui me faisait flancher sur mes jambes, et la vue de son fessier rond et ferme à souhait, me dopait littéralement, et bientôt, je me déchainai littéralement, lui assénant de très forts coups de reins, tout en allant très vite. Cette soudaine sauvagerie eut raison de Sandra, elle redressa la tête et hurla, tandis que tout son corps fut agité de violents soubresauts. Elle était entrain de jouir, et impitoyable, je fis durer ça encore et encore accélérant toujours plus, faisant complètement perdre la tête à la belle rousse. Son orgasme dura bien une demi-minute, une demi-minute de plaisir hors-norme, brûlant, explosif et insupportable. Elle ne fut libérée de cet épouvantable extase que lorsque enfin je jouis à mon tour, me déversant en elle, et m'effondrant à genoux sur le sol dans un cri d'allégresse.

Nous nous relevâmes légèrement essoufflés. Je pensais que l’on allait s’arrêter là pour un petit moment, mais Sandra ne l’entendait pas de cette oreille. Elle me poussa et me plaqua contre les tapis, avant de se mettre à califourchon sur moi. Elle m’embrassa sauvagement, la bouche, le cou, le torse, me faisant rebander en quelques secondes. Elle saisit mon sexe, et s’empala dessus avec une grimace de plaisir. Elle entama ensuite de puissants va-et-vient, me procurant un bien fou. Elle s’appliqua à immédiatement aller vite et fort sur ma queue, bien décidée à me mettre KO tout de suite pour que je ne puisse pas reprendre le dessus. Elle bondissait de haut en bas sur moi, me faisant vibrer de plaisir, et me tenait par le torse fermement, son corps passant entièrement à l’action, ses hanches s’agitant au même rythme que son ventre plat, tandis que volumineuse poitrine vibrait sous son bikini. Je voulus me redresser, mais Sandra me saisit à la gorge aussitôt et me refoula avec autorité contre le matelas, avant de se déchaîner encore plus, secouant son fessier et me baisant d’avant en arrière magnifiquement. Je poussai un cri de plaisir, et la belle rousse me lança un sourire narquois, avant d’accélérer encore le rythme, bien décidé à me faire défaillir. Elle y allait trop vite et trop fort pour que je puisse tenir longtemps, je finis par craquer et exploser dans un superbe orgasme, qui tira un sourire satisfait à Sandra, tandis que je défaillais sous ses yeux.

Nous restâmes un moment haletants et ravis de ce moment, puis Sandra en remettant son bas de maillot de bikini, lança :

« Je t’ai bien eu à la fin, hein ? Là je me sens vraiment la patronne. »

« Fais pas trop la maligne, la nuit ne fait que commencer... »

Elle eut un sourire ravi à cette idée, et désigna les tapis :

« Tu m’aides à en prendre un cette fois ? »

Nous en tirâmes un, et je lançâmes à l’eau. Il flotta, et se mit à s’éloigner. Sandra plongea, et le rattrapa à la nage. Elle grimpa dessus, et me fit signe de la rejoindre. Je plongeai à mon tour dans l’eau, et la rejoignis sur le tapis, devenu un radeau improvisé. Je me hissai dessus, et m’y allongeai, profitant de cet agréable moment sur l’eau. Puis Sandra me dit :

« Tu sais ce que j’aime avec ces tapis ? »

« Qu’ils puissent servir de radeau ? »

« Oui, mais pas seulement : j’aime que sur ces radeaux, on puisse baiser. »

Et sur ce, elle vint sur moi, me retira mon maillot de bains, et s’empala sur ma queue avec force. Elle démarra de puissants va-et-vient, me culbutant avec force contre le tapis, me procurant de délicieuses sensations. Je voulus immédiatement me révolter et prendre le contrôle, mais en essayant de me redresser, je me rendis compte que c’était difficile sur ce genre de radeau. Je faillis nous faire couler avec ma tentative, et Sandra n’eut aucun mal à me saisir à la gorge, et à me plaquer contre le tapis. Elle intensifia ses va-et-vient me baisant si fort, que le tapis s’enfonçait légèrement dans l’eau, et que nous étions parfois presque immergés. Elle y mettait toujours plus d’ardeur de sauvagerie et de passion, et me faisait tellement de bien que je criais à pleine voix, vibrais de plaisir, et ma vision se troublait. Sandra avait la pleine maîtrise de la situation, mais elle finit par commettre une erreur. Elle se pencha sur moi, et m’embrassa furieusement, tout en me tenant toujours par le cou. Je réagis aussitôt, comprenant que c’était là ma chance de reprendre le dessus. Je la saisis par les bras, et les lui mis dans le dos, et la collai contre moi, avant d’entamer de délicieux va-et-vient par en dessous, prenant enfin le contrôle de la baise. C’était un peu sportif de la baiser ainsi, mais j’étais suffisamment endurant pour tenir, et pus la faire gémir à son tour. Son beau visage était à quelques centimètres du mien, je pouvais le voir se décomposer sous le plaisir que je lui infligeais, et pus lui envoyer un sourire narquois. Elle tenta de se débattre, mais je la tenais bien, et la baisai ainsi pendant un long moment. Je finis par me lasser de la baiser ainsi, car c’était fatigant, et voulus changer de position. Je la jetai hors du radeau, et l’envoyai dans l’eau, avant de la rejoindre, plongeant du tapis.

Je vins sur elle en deux mouvements de brasse, et l’enlaçai, pour la pousser vers l’une des parois de la piscine. Elle se débattit, ne souhaitant pas me laisser diriger. Nous luttâmes un moment, coulant l’un comme l’autre, jusqu’à ce que je finisse par avoir le dessus, et parvienne à la plaquer contre la paroi du grand bassin. Elle se débattit encore, mais je collais mon corps contre le sien, et lui saisis les mains pour les tenir plaquées, afin de l’immobiliser totalement. J’eus un sourire satisfait, et lui dis d’un ton autoritaire :

« Tu vas arrêter de débattre et te laisser faire ? »

« Jamais ! »

« Aucune importance. »

Je la pénétrai à nouveau, et me mis à aller et venir en elle, la pressant à chaque fois contre la paroi, et surtout pressant mon corps contre le sien dans une étreinte étroite. Je ne pouvais pas aller très vite dans cette position, alors je tâchai d’y aller fort et puissamment, en lui donnant à chaque fois de gros coups de reins qui allaient loin en elle et la faisaient crier. Je m’écartai ensuite légèrement d’elle, pour avoir plus d’élan dans mes allers-retours, ce qui me permit d’aller plus vite, la prenant plus délicieusement que jamais. Sandra se tortilla et ses gémissements augmentèrent d’autant plus. Quant à moi, je prenais un sacré pied, frémissant à chacun de mes coups de butoir, et me réjouissant de voir Sandra prendre son pied. J’étais collé contre elle, et pouvais donc admirer son corps de rêve. Mais une partie de son corps me restait caché, alors qu’elle m’attirait énormément : sa poitrine. J’arrachai son haut de bikini avec force, la dévoilant enfin dans toute sa splendeur. Ses seins étaient énormes, ronds et fermes, un régal à observer ! Tout en continuant à baiser Sandra, me mis à les masser, les pétrissant avec délice. Puis, je me penchai sur eux, et les embrassai, les dévorant avec ferveur. Sandra m’attrapa par la nuque, et me fourra la tête au milieu d’eux, m’étouffant presque avec ces énormes obus, c’était délicieux ! Elle en profita cependant pour reprendre le dessus, profitant que je ne voyais rien pour me faire bouger comme elle l’entendait. Elle me fit tourner aisément, jouant des bras et des jambes, et me colla contre la paroi du bassin à mon tour.

Elle se mit à aller et venir d’avant en arrière, me culbutant contre la paroi du bassin, se servant de l’eau pour amplifier ses assauts. Elle me fit très vite perdre la tête, et comme elle me tenait les mains collées contre le rebord de la piscine, ça suffit pour qu’elle gardât le pouvoir. Elle me sourit d’un air coquin, et je compris qu’elle triomphait, et se réjouissait de la victoire qu’elle était entrain d’obtenir. Je voulus réagir, me débattre, mais elle me tenait solidement, et ses allers-retours me faisaient fondre de plaisir sur place. Au lieu de reprendre le dessus, je ne pus que gémir et subir ses assauts, ce qui tira un nouveau sourire à Sandra. Elle se pencha sur moi et m’embrassa langoureusement, tout en se mettant à se déhancher de gauche à droite. Elle accéléra le rythme de son baiser, y allant sauvagement, et me mordant les lèvres par moments. Puis, elle me saisit par le cou, et s’écarta légèrement de moi, pour pouvoir se déhancher plus sauvagement que jamais, dansant sur moi magnifiquement, ses énormes seins se balançant en même temps. C’était délicieux et nous gémîmes de concert, et la belle rousse accélérait à chaque fois, comme si plus elle recevait de plaisir, plus elle en voulait. Elle me saisit ensuite par la tête, et me l’enfonça à nouveau dans sa poitrine, m’obligeant pour mon plus grand bonheur à lécher et embrasser ses seins. Pendant ce temps, elle se mit à aller brutalement d’avant en arrière, bougeant ses hanches comme jamais, et s’empalant sèchement sur ma queue. Elle faisait ça très vite et très fort, et c’en fut trop pour moi : j’explosai dans un orgasme démentiel, et poussai un grand cri qui fut étouffé puis j’avais la tête dans sa poitrine. Sandra elle aussi jouit en poussant un superbe gémissement.

Elle me tira par les cheveux, pour me sortir la tête de sa poitrine, et me lança, narquoise :

« Je t’ai encore eu ! Je vais faire de toi mon soumis, tu verras ! »

« Rêve ! J’ai pas encore dit mon dernier mot ! »


A suivre…

Nous sortîmes de l’eau, encore sous le coup de notre superbe orgasme. On s’assit sur le rebord de la piscine, un peu sonnés. Nous étions elle comme moi totalement nus, mais ça ne nous gênait pas. On avait passé le stade d’être prudes entre nous.

« Faudra que je récupère mon maillot de bains un jour, dit Sandra en désignant son bikini flottant dans l’eau. »

« Je crois que le mien a coulé, rigolai-je. »

Elle me sourit, et me fit un petit bisou sur l’épaule.

« On fait quoi maintenant ? »

« Je croyais que c’était toi la patronne ? »

« Oui. Y a qu’à voir comment je t’ai baisé pour en être convaincu… »

Je lui jetai un regard noir, mais ne relevais pas. Je finis par me lever, et m’éloigner.

« Où tu vas ? demanda Sandra. »

« A la douche. Tu m’accompagnes ? »

Elle sembla hésiter. Elle devait craindre un piège. Mais elle finit par dire :

« Ok. »

On alla dans les douches, situées devant les vestiaires. On prit les gels douche qu’on avait emportés l’un l’autre, et son rinça et se savonna. En temps normal filles et garçons étaient séparées, et j’étais heureux de profiter de l’occasion pour pouvoir admirer Sandra entrain de se doucher. Elle était hyper sexy, nue, le corps ruisselant d’eau, les cheveux trempés, ses mains caressant et frottant chaque parcelle de son corps, et notamment sa poitrine, tellement alléchante.

« Tu viens par là ? »

Elle me regarda d’un air méfiant.

« Quoi ? »

« La douche c’est le pire endroit pour dominer un mec. »

Je le savais bien, mais fis mon innocent, en feignant d’être très affecté à me doucher.

« Ah bon ? »

Elle se lissa les cheveux, et me tourna le dos, continuant de se doucher et croyant sans doute que mon dernier orgasme était trop proche pour que je puisse faire quoique ce soit.

« Oui : on est debout tous les deux, ça se joue donc à la force brute essentiellement, et le mec a presque toujours l’avantage comme ça. »

« Ah bon, dis-je. »

Je m’approchai silencieusement.

« Ouais. Alors compte pas sur moi pour te faire rebander ici. »

« Trop tard, soufflai-je. »

Je m’étais approché d’elle au point d’être dans son dos. Je la saisis par les hanches, et collai ma queue contre ses fesses. Elle se raidit.

« Tu sens comme elle est dure ? dis-je. Tu es trop bonne pour qu’un mec ne bande pas au bout de cinq minutes en ta présence. »

Elle voulut se débattre, mais je la tins fermement, et m’enfonçai en elle subitement, la prenant en levrette debout. Elle poussa un petit cri, et je démarrai de puissants va-et-vient, démarrant tout de suite une baise endiablée sur un rythme élevé. La situation m’excitait terriblement : l’avoir prise par surprise, la sentir se débattre et chercher à résister, la sentir impuissante à reprendre le dessus, avoir son corps de rêve bien en vue, notamment son cul si ferme et rebondi, c’était excellent !

Je la pressai contre moi, enroulant mes bras autour de son corps, malaxant ses énormes seins par derrière, et embrassant sa nuque. Sandra tremblait de plaisir, et au bout de quelques minutes, elle cessa de se débattre, pour savourer la sensation de ma queue s’enfonçant en elle, et la limant férocement. Elle se mit à pousser de grands cris, et me supplia d’accélérer, ce que je fis avec grand plaisir. Je la fis se tenir contre le mur, pour être plus libre de mes mouvements, et pouvoir donner libre cours à toute ma puissance ma sauvagerie.

Je me mis à la bourriner comme jamais, mes hanches culbutèrent les siennes avec force, et à chaque coup de rein, nous chavirions l’un comme l’autre sous un plaisir indescriptible. Sandra était tellement sexy dans cette pose : cambrée contre le mur, le visage déformé par le plaisir, le corps ballotté par mes assauts, et notamment ses seins qui se secouaient, et son fessier que j’avais en permanence en ligne de mire ! Je finis par le claquer, de plus en plus fort, laissant parler ma sauvagerie.

« Tu comprends qui est le patron maintenant ? Et qui est la chienne ? »

Elle réagit rapidement. Elle se dégagea, et se retourna. Elle se jeta sur moi, mais je me contentai de la saisir, et de la plaquer contre le mur. Elle poussa un cri d’excitation, et je lui souris en la regardant bien droit dans les yeux.

« Tu avais raison, beauté. Quand on en vient à l’épreuve de force, c’est le mec qui gagne. Man power, comme on dit. »

Je la pris à nouveau, et démarrai un délicieux missionnaire, en la baisant contre le mur avec férocité. J’étais plus excité que jamais : dans cette position, j’avais un accès illimité à sa poitrine que je pouvais embrasser, lécher, masser, selon mon bon plaisir. Je plaquai son corps contre le mur, et le mien contre le sien, avec l’impression exquise de la démonter littéralement. Je menais une baise puissante et forte, marquant la mesure par des coups de butoir puissants, qui tapaient le fond de son intimité. Je frémissais de la tête aux pieds, le plaisir coulait à flot dans mes veines, mon sexe vibrait en coulissant dans le sien, ma peau était brûlante là où elle se frottait encore et encore contre la peau de Sandra, mes mains malaxaient ses seins fiévreusement, et mes yeux et oreilles se délectaient de la vision de la belle rousse gémissante de plaisir, qui se tordait, qui criait, et me jetait des regards éperdus, signe que même son cerveau chavirait sous le plaisir.

C’était trop bon, trop délicieux, je ne pus tenir plus longtemps avant d’exploser en elle, jouissant avec force, tandis que Sandra explosait elle aussi dans un orgasme qui la fit s’effondrer contre le mur.

Je repris ma douche, comme si rien ne s’était passé, mais savourait en réalité l’énorme plaisir que je venais de prendre. Sandra resta un moment assise par terre, visiblement sonnée. Après m’être bien douché, je m’approchais d’elle.

« Ca va ? On a du mal à se remettre ? »

Elle me jeta un petit regard.

« C’était parfait. Je pense que t’es un des mecs les plus doués que je me sois tapé. »

Je souris.

« Merci. »

Elle se redressa.

« Y a une infirmerie ici. »

« Ah ! Et alors ? »

« Et alors… y a un lit à l’intérieur… »

Je frissonnai d’excitation.

« Après ce que je t’ai mis, tu en veux encore ? »

« Oui. Et puis, je veux prendre ma revanche. »

« C’est mignon, elle croit qu’elle peut y arriver, me moquai-je. »

Elle se leva, le regard assez noir. Elle me saisit par le poignet et m’entraîna à sa suite. Elle avait l’air vraiment vexée, ça promettait pour la suite !

Sitôt arrivés à l’infirmerie, elle me se jeta sur moi, collant son corps nu contre le mien, et m’embrassa comme une folle. Elle me poussa sur le lit, et je tombai dessus, heureux de sa sauvagerie. Elle vint sur moi, ses beaux yeux vers brillant d’une flamme ardente, et s’empala sur ma queue avec un petit cri. Puis, elle démarra de puissants va-et-vient d’avant en arrière, me baisant avec force. Jusque là je m’étais laissé faire pour voir comment elle allait se comporter. Et j’étais loin d’être déçu ! A chacun de ses coups de reins, un brusque plaisir m’envahissait. Sandra était incroyablement sexy à me chevaucher comme une furie, son corps de rêve totalement dénudé s’activait pour me procurer un maximum de plaisir. Ses énormes seins se secouaient m’hypnotisant totalement. Sandra me souriait, savourant sa revanche. Elle me tenait par le cou pour accen sa domination sur moi, je tâchai de ne pas trop montrer le plaisir qu’elle me procurait, mais elle me baisait trop bien, et je lâchai des grimaces et des cris de plaisir, qui lui donnèrent un sourire satisfait.

« Tu aimes ça bébé ? Tu aimes comme je te baise ? Je t’avais dit que je serais la patronne ! »

Vexé, je voulus reprendre le dessus. Mais Sandra me saisit par les coudes, et accéléra le rythme, m’immobilisant soudainement. Elle accéléra le tempo, rendant cette baise encore plus sauvage souriant d’être totalement maîtresse de la situation. Elle se mit à me griffer le torse, en même temps que ses hanches cognaient les miennes avec force. C’était tellement bon que je me mis à crier de toutes mes forces, et à m’agiter dans toutes les directions, vibrant de plaisir. Sandra impitoyable continuait de me baiser, à grande allure alors que je semblais très proche de l’orgasme. Elle se pencha sur moi pour m’embrasser, et ce faisant, elle fit une grave erreur.

Je profitais qu’elle soit penchée sur moi pour la saisir par les dos et la retourner. Je la pris en missionnaire, me déchaînant sauvagement. Tout était allé très vite : dix secondes plus tôt, j’étais là à me faire baiser, et maintenant, c’était Sandra qui était allongée sur le lit, immobilisée et pilonnée. Je m’enfonçais en elle avec délice ravageant ce corps de rêve, me délectant de l’entendre crier. Je la tenais par le cou, lui rendant la parfaite monnaie de sa pièce. Je la regardai dans ses yeux verts, et fus ravi de voir son regard chavirer sous le plaisir que je lui apportai brusquement. Remise de sa surprise elle se mit à se débattre, cherchant à se libérer de ma prise et à reprendre le dessus. Mais je la tins avec plus de fermeté, et accélérais le rythme, histoire de définitivement la dompter. Ca fonctionnait à la perfection, Sandra se tortillait dans tous les sens sous moi, mais au fur et à mesure que mes coups de reins s’intensifiaient, c’était plus sous l’effet du plaisir que pour se débattre.

« Alors ma belle ? Tu te sens toujours la patronne ? »

Décidé à enfoncer le clou, je la retournai et la mis à quatre pattes. J’eus son postérieur bien en vue, et ça me donna une idée : je la sodomisai soudainement, entrant dans son cul si rond et ferme avec délice. Comme je la sentais toujours insoumise, je décidai d’y aller fort et rapidement, la faisant crier de plaisir. Je la tins par les épaules, pour renforcer la cadence, mais aussi pour qu’elle se sente bien chienne à être prise aussi sauvagement. Elle ne pouvait plus rien faire dans cette positon, juste subir mes assauts. Quant à moi, j’allais de plus en plus vite, pris de frénésie par le plaisir que j’éprouvais à aller venir dans ce trou si serré et étroit… J’allais plus vite que jamais, malmenant fortment Sandra,, et il finit par arriver ce qui devait arriver : la belle rousse eut un magnifique orgasme, qui la fit pousser un cri aigu, et s’effondrer sur le lit.

Je n’avais pas encore joui, alors je la retournai sur le dos, et admirai sa magnifique poitrine. Ses énormes obus, me donnaient une excellente idée pour le grand final : je les saisis, et calai mon sexe entre eux, et m’enfonçant au milieu de ces deux collines, je me mis à me branler de la plus exquise des façons. Mon sexe allait et venait dans sa poitrine et ça faisait gémir Sandra et se secouer faiblement. Elle était incroyablement sexy : allongée sur le dos, le visage sonné par son dernier orgasme, se tortillant doucement. Tout en baisant son 95E, je la toisais d’un regard dominateur, et étais ravi de voir en retour un regard soumis. Sentant le plaisir devenir trop insupportable, j’accélérai soudainement le rythme, et explosai dans un merveilleux orgasme, arrosant ses seins de ma semence.

Epuisés, haletants, on s’étendit sur le lit, et nous nous assoupîmes rapidement. On se réveilla très tôt le matin. On récupéra rapidement nos affaires, et on sortit de la piscine.

« C’était énorme, soufflai-je une fois dehors, soulagé de ne pas avoir été découvert. »

« Oh oui, lança Sandra ! Une des meilleures baises de ma vie ! »

Je souris, satisfait. On dut se séparer, chacun allant dans une autre direction. En guise d’au revoir, je l’embrassais fugacement, savourant une dernière fois ses belles lèvres. Puis je la pris par le menton et dis :

« Alors ? Qui est le patron ? »

Elle sourit :

« Je reconnais que tu m’as bien eue… mais si April a réussi à se venger, j’y arriverai moi aussi crois moi ! »

« Hâte que tu essayes en tout cas. »

On se sépara, et je rentrai chez moi. Ereinté, mais ravi de cette nouvelle aventure.

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