Les Vacances 11: Le Retour De Mon Infirmière, Mon Cousin Rentre Dans La Danse
Aujourdhui Marie Anne reprend son travail, je suis tout excité à lidée de la retrouver. Je ne me suis pas ennuyé pendant ces quelques jours mais je suis bien content de la retrouver. Surtout que depuis ce matin je suis seul, mon cousin est allé signé un contrat avec lhomme quil est allé rejoindre pendant le week end. Je me demande bien ce que mon infirmière me réserve pour aujourdhui!
Depuis ce matin je narrête pas de bander en pensant à elle et moi seul dans cette grande maison. Pour passer le temps, je sors mon ordinateur et jécris mes dernières aventures pour les partager avec vous. Ca fait, je ne sais combien de temps que je tape sur mon clavier quand jentends une voiture se garer devant la maison.
Je ne finis même pas ma phrase et range tout, dans mon caleçon je pince ma queue pour débander. Quand elle sonne, je suis derrière la porte et lui ouvre directement. Marie Anne na pas lair aussi joyeuse que dhabitude alors je lui propose de boire quelque chose pour faire une pause et savoir ce qui ne va pas. Elle accepte et ayant pitié de moi cest elle qui prépare le café.
Je brise le silence en lui demandant comment se sont passés ces derniers jours. Je commence à voir ses yeux se remplir de larmes. Je lui tends un mouchoir et lui att sa main de libre que je sers plutôt fortement pour lui faire comprendre que je la soutiens. Apres sêtre un peu calmé, elle me raconte que sa mère est malade. Heureusement elle a été pris en charge rapidement mais le traitement va être lourd.
Je la laisse parler pour quelle vide son sac et jessaye de la réconforter au maximum, Je vais même jusquà dire des conneries pour essayer de la faire sourire. Ca marche mais seulement de temps en temps, au bout dun moment de silence elle change de sujet et me dit:
« Alors comment ça sest passé avec Delphine? »
Cest linfirmière quelle ma envoyé en son absence. Je lui caresse le dos et lui répond:
« Efficace, mais je préfère quand tu toccupes de moi
»
Elle me sourit et se lève en déclamant:
« On papote mais on a dautre chose à faire.
Et elle pousse mon fauteuil roulant jusque dans la chambre. Je monte tout seul sur le lit et mon infirmière soccupe directement de mon pansement. La plaie se referme bien, il ny a pas de signe dinfection. Elle protège ma blessure pour que nous fassions ma douche.
Elle maide à enlever mon caleçon, mais sans aucune sensualité, pendant que leau chauffe. Puis elle se déshabille à son tour mais garde ses sous vêtements. Le tabouret quavez installé Laurent est toujours là alors je lutilise et je commence à me rincer. Anne Marie se rapproche et me savonne, jessaye de lui caresser le corps mais elle se dégage. A ma troisième tentatives elle me dit:
« Je ne suis pas trop dhumeur aujourdhui! »
Après un moment dhésitation je la colle contre moi, sa petite tenue se mouille rapidement et je lembrasse à pleine bouche. Quand nos lèvres se décolle je lui dit que de penser à autre chose pourrait lui faire du bien mais elle recule quand même et reprend son travail comme si de rien était. Je me laisse faire et une fois que je suis sec je roule tout seul jusquà la chambre.
Je tire un caleçon propre et en lattendant je mallonge sur mon lit pour quelle refasse mon pansement. Je lattends pendant quelques minutes qui me semble une éternité. Quand elle revient elle est uniquement entourée dune serviette, attachée au dessus de la poitrine, elle tient ses habits dans une main et je devine quelle a mis son soutien gorge et sa culotte à sécher. Sans un mot elle se dirige directement vers ma jambe et me soigne.
Une fois quelle a fini elle remonte vers ma tête en laissant ses doigts sur ma peau qui suivent le mouvement du reste de son corps. Ca mélectrise et je commence à bander, une fois à ma hauteur jatt son bras et la fais se pencher vers moi pour de nouveau lembrasser à pleine bouche. Quand je libère sa main je pose la mienne à lintérieure de ses cuisses nues et je commence à la caresser tout doucement.
Alors que nos langues dansent serrées lune contre lautre, ma main atteint son mont de Venus qui a commencé à liquéfier.
Au bout de quelques minutes, alors que nos bouches sont toujours scellées, Marie Anne fait tomber sa serviette et monte sur moi. Elle se position pour que ses grandes lèvres enlacent ma bite tendue et commence à se frotter dessus. Je pose mes mains sur son dos et la caresse au même rythme que ses mouvements. Elle mouille tellement que je sens son nectar dégouliner sur le côté de mes cuisses.
Mon infirmière prend appui sur mes épaules et sassoie bien droite sur moi pour augmenter la pression entre nos deux sexes. Jen profite pour malaxer ses seins, plus je pince ses tétons plus elle gémit. Au bout de quelques minutes je nen peux plus, je latt par sous les bras et je la fait remonter pour que sa poitrine soit au niveau de ma tête.
Elle se penche sur moi et jaccueille une partie de son sein gauche dans ma bouche, ce qui devrait permettre à ma bite de se calmer. Alors que je mordille son téton droit, ma main descend vers son entrejambe et je la pénètre directement avec deux doigts. Ils entrent et sortent dans sa grotte pendant un moment puis je les fais tournoyer en elle, mon infirmière piaille de plus en plus fort. Je me concentre à fond sur son corps quand jentends un drôle de bruit.
Jarrête tout et lui demande de faire du silence, à part nos respirations haletantes nous nentendons rien. Jattends encore un peu et quand je me dis que jai rêver je replonge mon visage dans sa poitrine et mes doigts dans sa chatte. Mais mon infirmière fait coulisser son corps pour remplacer ma main par ma queue.
Elle sempale directement sur moi et commence à me chevaucher vigoureusement. Jatt ses seins que je malaxe au rythme des mouvements de son bassin quand je remarque mon cousin Stéphane qui nous observe depuis la porte.
Jessaye de jeter des petits coups doeil discret pour voir sil se caresse toujours au dessus de son pantalon ou a enfin sorti sa queue mais il comprend que je lai vu et me sourit. Je la lime sans marrêter pour lui faire comprendre que sa présence ne me gêne pas, au contraire mais cest un message plus compliqué à faire passer. Je commence à lécher loreille de Marie Anne quand je sens ma queue quitter sa grotte.
Mon infirmière se redresse, empoigne ma queue pour la placer à lentrée de son trou et quand je menfonce en elle je sens que cest plus serré. Je comprends tout de suite que je me glisse dans ses entrailles et je laide avec des petites secousses inutiles vu comme elle est ouverte aussi de ce côté. Une fois que ses fesses sont sur mes cuisses et ma bite entièrement entre dans ses entrailles, mon infirmière prend appuie sur mon torse et commence à se soulever.
Quand le replis de mon champignon tape lintérieure de son ourlet, elle se laisse retomber sur moi et menfonce en elle dun coup sec. Je jette un coup doeil vers Stéphane, il na toujours pas sorti sa bite mais sa main est dans son caleçon et vu ses mouvements, il se branle allègrement. Marie continue ses montées et descentes le long de ma tige mais au bout dun moment je latt par la taille et me plante totalement en elle.
Je plaque une main sur son dos et la fais se pencher sur moi pour lembrasser alors que mon pieu est toujours planté dans son cul. Pendant que je lèche ses lèvres avant de rentrer ma langue dans sa bouche je vais signe à mon cousin de sapprocher. Je décolle mon visage de celui de ma belle pour voir ce que fais Stéphane.
Il est en slip blanc duquel dépasse un gland calotté mais retire sinon il ne porte rien dautre.
« Nous ne sommes plus seuls. »
Alors quelle continue à soulever et rabaisser son bassin, je vois à sa tête quelle ne comprend pas alors de façon tout aussi audible jajoute:
« Cest la main de Stéphane que tu vas sentir! »
Je ne sais pas quelle partie de son corps il touche mais ça la fait tressaillir et encore plus sexciter sur ma tige.
Elle bouge tellement quelle me fait déculer, jessaye de rentrer en elle tout seul mais jai du mal. Une main empoigne ma queue mais ce nest pas celle de mon infirmière puisquelle prend toujours appui sur mon torse. Je nen reviens pas de mon cousin qui avait honte de me remettre mon caleçon. Par contre quand je rentre dans le trou, vu comme il est mouillé, chaud et ouvert je réalise quil ma fait retourner dans la chatte de Marie Anne.
Elle commence à monter et descendre mais rapidement Stéphane la fait simmobiliser et se pencher sur moi. Je sens le gland de mon cousin se poser contre la base de mon sexe puis remonter doucement. Les lèvres intimes de mon infirmière préfère souvrent pour aussi accueillir son ex en elle. Je sens sa queue gorgée de sang remonter le long de la mienne et mon plaisir monter crescendo. A chaque centimètre que Stéphane insère en elle, Marie Anne gémit de plus belle et je la stimule encore plus en glissant mes mains entre nos corps pour moccuper de ses seins.
Je commence aussi à, de plus en plus, manifester mon plaisir à force de sentir la bite de Stéphane frotter directement la mienne. Nous partageons déjà sa maison mais je ne pensais pas que nous serions aussi colocataire dans la moule de Marie Anne. Je reste bien planté en elle alors que mon cousin commence à sagiter contre moi dans la grotte trempée de son ex.
Notre proie ne gémit plus mais hurle son plaisir, heureusement que les premiers voisins sont assez loin. Au bout de seulement quelques minutes je sens la chatte de Marie Anne se contracter et encore plus presser nos deux queues lune contre lautre. Stéphane sexcite de plus en plus en elle mais je fais aussi des petits mouvements pour bien stimuler son point G.
Quand les hurlements de madame diminuent, nos allers retours en elle se calme aussi. Elle demande rapidement à mon cousin de ressortir pour en avoir plus quune dans chaque trou. Je profite davoir encore sa bite contre moi avant de me retrouver seul dans cette chatte bien élargie.
Une fois sorti Stéphane badigeonne de mouille la rondelle de Marie Anne, je sens régulièrement son gland taper le bas de ma queue qui va et vient en elle. Quand je sens quil arrête ses mouvement et quil doit commencer à la sodomiser, je me plante bien en elle pour le laisser rentrer tranquillement. Sa grotte qui a été un peu trop ouverte par nos sexes et entrain de se resserrer autour de moi alors que mon cousin envahit ses entrailles.
Je ne le sens pas aussi bien que tout à lheure à frotter ma queue mais le plaisir et quand même là, malgré la membrane qui nous sépare maintenant. Une fois quil est bien au fond nous restons un moment les deux plantés en elle. Je contracte les muscles de ma queue pour bouger en elle ce qui la fait encore plus gémir.
Comme mon cousin ne bouge toujours pas je commence des petits mouvements de vas et vient en elle. Il suit rapidement mon rythme en déculant pendant que je menfonce et envahissant le cul de Marie Anne pendant que je libère sa grotte. Nous la baisons comme ça à différents rythmes, mais toujours en harmonie, jusquà lui faire avoir un nouvel orgasme tout aussi sonore que le précédent.
Une fois quelle redescend de son nuage alors que nous la limons toujours à bonne cadence, elle nous demande darrêter. Quand elle se soulève de moi elle ajoute:
« Vous mavez démoli je nen peux plus. »
Elle empoigne ma bite et à laide de sa mouille commence à me branler alors quelle sagenouille devant mon cousin pour le sucer.
Vu ma position je narrive pas à regarder le spectacle alors je mallonge bien et ferme les yeux pour profiter au maximum des sensations. Au bout dun moment je sens la main de mon infirmière être accompagné par ses lèvres dans ses mouvements. Jouvre les yeux et soulève la tête pour admirer ma suceuse mais je découvre que je suis dans la bouche de mon cousin.
Vu comme il me pompe je comprends rapidement que ce nest pas sa première pipe. Bien que je lui remplisse la bouche, il gémit de plus en plus en se vidant dans la bouche de Marie Anne. Quand elle se soulève, elle na pas lair si étonné de voir son ex me sucer. Elle remonte vers moi pour membrasser et partager le jus de mon cousin que javale tout en lâchant plusieurs bonnes giclées dans la bouche de Stéphane.
Une fois que nos lèvres se décollent, mon infirmière par rejoindre Stéphane pour partager avec lui mon sperme. Je dois dire que de les voir sembrasser en imaginant ma semence passer dune bouche à lautre mexcite bien. Je me remets immédiatement à bander et massois pour me rapprocher deux.
Quand mon infirmière voit mon érection, elle se recule et nous dit:
« Désolée mais je nai pas le temps de remettre le couvert. »
Et elle disparait dans la salle de bain. Je me retrouve nu en face de mon cousin, nous avons chacun le gout du sperme de lautre dans notre bouche. Je dois dire que cette situation atypique ne maide pas à calmer mon excitation et apparement pas non plus celle de mon cousin.
Quand Marie Anne réapparaît, elle est habillée. Je ne sais pas si elle remarque notre pseudo gêne mais elle voit tout de suite nos érections. Elle sapproche de nous, membrasse sur la joue en caressant ma bite, elle fait la même chose avec mon cousin et juste avant de disparaitre nous dit:
« Mais apparement vous navez pas besoin de moi pour vous amuser! »
Dès que nous entendons la porte dentrée claquée, Stéphane me replace au lit et monte sur moi en 69. Jaccueille avec plaisir sa queue alors que lui me gobe immédiatement en me massant les couilles. Jai un peu du mal à bien le sucer alors je décide de lui masser la rondelle, jai surtout lintention de voir si ses entrailles semblent vierge ou pas.
Vu comme mon majeur le pénètre facilement je ne pense pas que ça soit le cas. Mes lèvres sont fermées sur son frein alors que ma langue soccupe de son gland pendant que je le sodomise maintenant à deux doigts. Je rentre mes doigts tellement profondément en lui que je tape à chaque fois sa prostate ce qui le fait jouir assez rapidement.
Nous restons dans cette position quelques minutes après que je me sois, de nouveau, vidé dans sa bouche. Cette fois jai lâché moins de jus mais mon orgasme a été tout aussi intense. Il recrache ma bite, je fais pareil avec la sienne et il se retourne pour que nous mélangions ensemble nos jus. Jai fantasmé pendant des années sur mon cousin mais jamais je ne pensais lembrasser de cette façon.
Quand nos lèvres se séparent il roule et sallonge nu sur ma droite. Il vient se blottir contre moi, jouvre mes bras pour laccueillir et bien quil ne soit pas encore 20 heures il part immédiatement rejoindre Morphée. Je mendors lentement en me disant que je ne passe pas du tout les vacances que jimaginais mais ce nest pas plus mal.
Je me réveille un moment plus tard, Stéphane est maintenant sur le dos et dort toujours. Jadmire un moment ses fesses que je convoitise depuis tant dannée mais je ne peux mempêcher de me demander comment va se dérouler la suite de mon séjour mais aussi comment va réagir mon infirmière à notre prochain rendez vous suite à ce trio bi inattendu
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