Cocu, Mais Content...
Comme cétait prévu depuis quelques jours pour fêter notre anniversaire de mariage, jai décidé demmener ma femme au restaurant. Pour la circonstance elle sétait habillée très sexy. Robe courte bas noirs. Talons aux pieds. À notre sortie du restaurant, pour finir la soirée ma femme ma proposé daller nous rendre au cinéma. Mais comme javais prévus autre chose pour jai décliné loffre. Lui proposant quil soit mieux que nous entrions.
Elle a comprit tout de suite son centre dintérêt et a accepté linvite. Surtout que ces derniers temps nos rapports sexuels se sont fait rare. Jétais dans un tel état dexcitation que jai rallié des deux points dans un temps record. Me créant mentalement le déroulement de la soirée.
Une fois à la maison, je lui ai proposé une coupe de champagne que javais un peu plus tôt dans laprès midi mis au réfrigérateur pour que la bouteille soit bien frappée Comme jai fait prévoir de faire garder les gamins par leur grand-mère. Au lieu de faire venir une baby-sitter jusquà chez nous. Je désirais plus que jamais me retrouver en tête à tête avec mon épouse.
À mon retour avec la bouteille et verres en mains, elle se tenait sur le canapé, assise dans une position provocante. Un pied sur un coussin lautre au sol. Elle avait parfaitement compris le message.
Après seulement trois coupes, elle sest complètement lâcher. Au point de se débarrasser de sa robe sans que je le lui dise. Comme quoi lalcool ne fait pas que du mal. Elle mest apparue en body noire transparente. Elle avait toute lair dune pute revêtue de la sorte. Mais je me suis bien gardé de lui dire. Cela laurait offusqué. Elle une pute ? Non ! Une salope ? Oui
Et moi jaime les salopes
Jétais tout de même admiratif. Surtout que ce nétait pas son genre de shabiller de la sorte. Elle sétait surpassée pour loccasion. Et cétait tant mieux pour ce que je mattendais à lui faire subir. Létoffe de sa tenue était si fine quelle ne dissimulait ni sa toison, ni ses tétons.
Je suis resté un moment enthousiaste devant ce quelle moffrait. Puis toujours sans que je lui impose, elle a dénudé les deux seins. Quelle a recueillis, aguicheuse dans ses mains. Et puis tout en ondulant elle sest caressée le ventre, les cuisses. Elle sest tournée, me donnant son dos et elle sest baissée jusquà toucher le sol moffrant une vue plongeante sur son fessier ainsi que sur la moule de sa chatte. Elle en a profité pour faire sauter les pressions du body se trouvant dans son entrejambe. Puis elle sest redressée. Dun geste leste elle sest déchaussée. Faisant valdinguer ses escarpins dans chaque coin de la pièce. Puis en maffrontant du regard, aguicheuse, elle a posé un pied sur le divan pour faire glisser le bas du body le long de sa jambe. Dans sa position très suggestive, pas un détail de son intimité ne méchappait.
Puis ce fut au tour de son autre jambe. Ceci fait elle a frotté son body contre la fente luisante. Essuyant les sécrétions. Elle en fit de même avec la raie de son cul. Après cette opération fait, elle me la jeté à ma figure.
Jai pris le temps dhumer, avant de lui proposer daller dans la chambre.
- Pourquoi ? Nous ne sommes pas bien ici ? Me fit-elle.
- Je préfère le confort du lit. Répondis-je en me déboutonnant la chemise.
- Si cela est ton souhait, alors jaccepte. Répliqua-t-elle, en sapprêtant de gravir les marches, je lai rattrapé par le bras.
- Que tarrive-t-il ? Tu ne veux plus monter ?
- Plus que jamais. Mais jai comme une envie de te bander les yeux.
- Ah oui ? Fit-elle, avec un sourire en coin. Tu tapprêtes à me faire des choses que je ne dois pas voir ?
- Oui cest ça, répondis-je en lui bandant les yeux avec le foulard qui traînait comme par hasard sur le dossier dune chaise. Comme quoi le hasard fait parfois bien les choses
Je lai aidé à gravir les marches. Jai senti les battements de mon cur jusque sur ma queue.
Delle-même, elle sest allongée sur le lit. De lorifice de son vagin sest écoulé un flot épais de jus qui sest répandu jusquà son entre fesse et a goutté sur le couvre lit. Tout en haut, plus foncé, presque violacé, le clitoris a pointé hors de son capuchon de peau brune.
Ne tenant plus, je me suis jeté sur elle. Mes doigts ont trouvé un sexe ouvert. Se poissant dun liquide gluant. Elle était tellement excitée quil ma fallut que quelques caresses pour quelle soit en proie dun violent orgasme. Jai continué de la masturber, jusquelle soit rattr peu de temps après par une seconde jouissance. Qui la fit se relâchée totalement, et sa vessie se vider. Souillant le couvre lit de son urine.
Je me suis allongé sur le lit, la faisant de positionner au-dessus de moi, dans une position de 69. En tendant le bras, je me suis saisis du gode qui par hasard se trouver sous mon oreiller, et sans aucune retenue je lai introduit entre ses lèvres intimes. Elle fut à peine surprise. À part peut-être par le contact froid de lobjet. Mais très vite elle sy fit, le réchauffant même, ne tardant pas de gémir sous son bien fait.
Chaque fois que jai ressortis le gode, je me suis arrangé pour quil vienne caresser délicatement son bouton tardé. Elle na pas pu se retenir dextériorisé son plaisir, comme une chienne en rut.
- Oh cest bon ! Encore
oui
encore
Elle sest aussitôt mise à me pomper la verge tout en agrémentant cette caresse dun mouvement de vrille du poignet. Jen ai profité pour préparer son trou du cul. En introduisant deux doigts enduits de sa mouille pour lubrifier le conduit.
- Vas-y défonce-moi ! Laboure-moi la chatte et le cul
Je lai branlée longtemps, alternant les coups violents et les pauses. Elle ma supplié daller plus vite, plus fort. Parfois elle minsultait.
- Baise-moi salaud, encule-moi salaud ! Quest-ce que tu attends ?
Son anus était plus que souple. Au point dy enfoncer sans mal deux autres doigts, en les plaçant en gone. Ma femme a remué son popotin, excitée.
- Comme tu es cochon ! Tu me tripotes le cul comme le ferait un vieux vicieux.
Après chaque phrase lâchée elle me reprenait en bouche pour mon plus grand plaisir. Jai prolongé la branlette vaginale et anale. Un constat est venu à moi. Elle mouillait pas mal aussi de ce côté-là.
Cest linstant que jai choisis pour faire signe à Bruno de sortir de sa cachette et venir nous rejoindre. Pour ne pas éveiller léveil de ma femme, ce dernier à prit toutes les précautions souhaité pour grimper sur le lit et par la même occasion approché au plus près sa verge bandée du trou balle de ma femme. Jen ai profité pour retirer le gode de sa chatte, et mes doigts du cul. Ce dernier est resté ouvert comme sil réclamait quelque chose dautre à avaler. Tinquiète ! Fis-je comme pour moi-même, patience cela va suivre. Et dun coup sec jai emmanché le gode dans le fion. Allant et venant dans un rythme immodéré. Cest quelle aimait ça la salope. Et en redemander. Jai retiré la verge factrice et Bruno a tout de suite prit le relais. Comme sétait convenu. Senfonçant dun seul coup de reins. Et reprenant à son compte, le rythme que javais exercé sur le gode. La chair des fesses se plissait à chacun des aller et venues. Ma femme sest cambrée le plus possible pour faciliter encore plus la pénétration.
- Encore plus fort mon chéri
quil est bon ton gode
La preuve quelle navait vue que du feu au changement de partenaire. Je pense le lalcool en était pour quelque chose.
Juste au-dessous, sous mes yeux les lèvres de son vagin sépanouissaient.
Là-haut, au dessus du cul de ma femme, le bougre mettait du cur à louvrage. Accélérant ses coups de reins. Jai regardé son sexe sortir et entré avec un il dun spectateur privilégié. Les coups étaient si puissants quelle a dû lâcher mon sexe pour ne pas sécraser sur le lit. La voir aussi déchaînée me rendait fou dexcitation. Au point de coller ma bouche contre son vagin.
Elle nétait plus que jouissance. Tout en la suçant, je voyais les couilles de mon pote sécraser contre les fesses de ma femme. Qui sous son emprise de la jouissance lâchait des mots quune mère de famille devait sabstenir de dire. Tant le plaisir quelle a ressentit à cet instant était fabuleux.
Pour ne pas se faire prendre, Bruno sest retiré avant de jouir à lintérieur. Jai abandonné le sexe de ma femme pour prendre la bite de mon copain en bouche. Enivré, jai pompé aussi bien que je le pouvais. Lorgasme qui la ravagé avait été à ses dires lun des plus forts de sa vie. Un véritable feu dartifice, avait-il ajouté.
Ma femme a eut du mal à se retirer de la position quelle tenait. Tant ses muscles étaient endoloris.
- Une coupe de champagne ? Lui proposais-je.
- Pourquoi pas.
Je me suis rendu jusquà la cuisine. Sur la table américaine se tenait le trousseau de clé qui avait servis à Bruno à pouvoir entrée le lieu. Jai verrouillé la porte et puis je suis allé rejoindre ma femme dans la chambre avec dans chaque mains une coupe de champagne.
Ce petit manège a eu pour but de mintéresser de nouveau à ma femme. Comme quoi il y a du bon à être COCU
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