Toujours Plus Blonde
Emeline, mon épouse, approchant de la quarantaine se faisait un peu de souci sur cette transition. Sur les conseils de son amie Stéphanie, elle décida de changer un peu son style.
Quelque mois auparavant, elle avait sauté le pas et cétait faire un tatouage floral sur le bas du dos. Elle en rêvait depuis longtemps. Ce nétait pas pour me déplaire. Le tatouage était massif et part du haut des reins jusquà la raie des fesses.
Sur les conseils de notre amie donc, elle décida de colorer légèrement ses cheveux. Emeline est une jolie métisse avec des formes et des seins généreux avec des cheveux très noirs auxquels elle prend beaucoup soin.
Elle se renseigna donc et rencontra une coloriste qui la rassura. Le rendez-vous fut pris et quelques heures plus tard, Emeline revint avec de jolies boucles plus claires. Cétait très joli et tout le monde la complimenta. Cependant très vite, elle confia quelle trouvait ça trop léger quelle voulait changer de tête un peu plus. Deuxième rendez-vous avec Vanessa la coloriste et Emeline revint beaucoup plus blonde cette fois. Elle mexcitait particulièrement avec cette nouvelle chevelure.
Deux semaines plus tard, je trouvais Vanessa jolie blonde un peu vulgaire de ving-cinq ans - dans mon salon penchée sur la tête de Emeline, une cigarette à la main alors quelle avait arrêté depuis des années. Quand je linterrogeais sur cette cigarette, elle me répondit gentiment « Cest juste une comme ça ».
Vanessa sassit à côté delle, salluma une cigarette et en proposa une à Emeline qui sen saisit. Vanessa lui expliqua quelle devrait teinter les racines que pour elle ce nétait pas assez clair.
« Moi, je trouve ça déjà assez clair » répondis-je
« Moui, enfin ça cest des mèches. Ta meuf, cest blonde quelle veut être »
« Tu veux faire plus clair encore ? »
« Non pas plus clair, mais je veux faire les racines pour être uniforme »
« Ben, moi je suis pas trop daccord.
« Sauf que cest ta meuf qui décide » intervint Vanessa
Bref, quelques jours passèrent et Emeline revint complètement blonde. Ses tenues vestimentaires changèrent également. Elle portait très souvent des décolletés plongeant, ainsi que des vêtements très moulants et notamment un pantalon en simili cuir, extrêmement moulant et taille basse avec des zips un peu partout qui laissait apparaître la naissance des fesses avec une vue sur son tatouage. Je découvris également un paquet de cigarettes dans son sac. Mon épouse me cachait des choses.
Je remarquais aussi que les hommes la regardaient beaucoup.
Ce changement mexcitait beaucoup et je lui fis remarquer mon étonnement sans parler des clopes.
Et un soir alors que nous baisions elle me chevaucha et me dit au milieu de nos ébats
« Ça texcite de mimaginer avec une vie cachée ? »
« Je sais pas trop ».
Elle saisit ma main pour que jinsère des doigts dans son anus.
« Moi ça mexcite que tu doutes. Ça mexcite que tu ne me reconnaisses plus. Dis moi si tu aimes quon me matte »
« Oui chérie, ça me plaît quon te matte »
« Je sais taimerais quon mette des mains au cul quand je suis en cuir, dis-le »
Jenfonçai mon pouce dans son cul et lui répondit « Oui salope, je veux quon te masse le cul ». Cest la première fois que jinsultais ma femme pendant le sexe et elle avait adoré.
Quelques jours après, elle voyait son amie Stéphanie qui sétonna de cette nouvelle blondeur. Emeline nous annonça ce jour-là quelle avait vu Vanessa et quelle voulait aller dans la blondeur extrême.
Elle devint donc blonde platine. Je ne la reconnaissais plus. Elle shabillait quasiment systématiquement en pantalon de cuir ou avec des jeans huilés très près du corps. Un jour je la suivis à la sortie du boulot.
Le contraste de ses cheveux blonds et de sa peau noire attirait le regard. Elle portait une veste blanche sur un pantalon en cuir noir très moulant.
Elle salluma une cigarette et un homme vint la rejoindre. Il lui mit assez vite une main au cul. Je bandais déjà.
Elle lembrassa et lhomme lui palpait les fesses dune manière indécente. Le pantalon cuir était maintenant complétement descendu sur son tatouage. Au lieu de le remonter, elle retira sa veste et salluma une nouvelle cigarette. Ils se promenèrent en ville, elle le bras autour de ses reins, lui la main sur son cul cuiré. Ses cheveux blonds ondulaient sur son dos.
Jaurais dû hurler mais je voulais la voir se faire baiser. Et pourtant ils se quittèrent là sur un long baiser.
Je rentrais fissa à la maison et attendis dans le salon.
Elle rentra et vint se lover sur moi. Elle sentait la clope, je lui fis remarquer. Elle se dirigea vers son sac et salluma une cigarette et commença à bouger langoureusement devant moi ;
« Tu mas vu cet après-midi nest-ce-pas ? »
Elle retira son haut. Elle était là au milieu du salon en soutien-gorge avec son pantalon en cuir au milieu du cul et ses cheveux blonds platine bougeant lentement.
« Ça te plait que je me conduise comme une salope ? »
Elle se mit à genou sur moi, mit mes mains sur son cul cuiré et me souffla la fumée de sa clope dans la figure.
« Avoue que tu aimes ça »
« Oui jaime ça »
Elle sortit mon sexe et commença à me branler toujours la clope à la main. « Tu as envie quil me baise, cest ça ? »
Jhésitais. Elle prit une bouffée, la recracha sur ma bite quelle prit dans sa bouche.
« Jai pas entendu. Tu as envie quil me prenne non ? »
« Oui jai envie quil te baise, Salope ; »
Elle reprit une bouffée quelle recracha à nouveau sur ma bite. Elle me suça à nouveau. Ma main ne quittait pas sa cuisse moulée dans le cuir. Le cuir bougeait gentiment sous ma main.
Elle se leva et retira son pantalon cuir serré puis menjamba. Mon sexe enfin dans le sien. Elle touchait ses cheveux blonds régulièrement. Elle minaudait tout en coulissant sur mon sexe lentement
« Je sais pas trop. Tu as pas lair très motivé
»
« Si, si, ça mexcite ! »
« Demande le mieux que ça
»
« Sil te plaît chérie. Jai envie quil te baise comme une salope. »
« Tu veux être cocu ? »
« Baise-le »
« Jai pas compris. Tu veux être cocu ? » Elle glissa sa main le long de ses fesses et se mit un doigt dans le cul.
Cette réponse me coutait mais je ne tenais plus et je voulais jouir
« Oui salope, je veux que tu me cocufies »
« Redis le Cocu. Ça mexcite »
« Je veux quil te sodomise blondasse. Fais-moi Cocu.» En attendant cette phrase, elle jouit très fort.
Elle me fit un gentil bisous et me dit « tu lauras voulu
»
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