Visite Du Souk
Daniel et Alice étaient mariés depuis cinq ans. Dans la trentaine, ils travaillaient pour la même entreprise de gestion. Ils menaient des vies privilégiées et tous leurs amis et collègues pensaient quils formaient un couple sympathique, mais un peu coincé. Cela a été une surprise pour tous lorsque le couple a réservé un voyage en Afrique du Nord, pour les vacances. Daniel a estimé que deux semaines d'aventures africaines, le soleil combiné à la couleur locale, et l'agitation des marchés tunisiens seraient une expérience qui les ferait rêver longtemps.
Une fois arrivé à leur destination de vacances, le couple s'est contenté de se prélasser au soleil, de boire des cocktails et de goûter aux mets exotiques du pays. La zone hôtelière était située à l'écart de la ville, les sorties devaient se faire exclusivement en auto, et le pôle aquatique de l'hôtel était fabuleux avec ses piscines, toboggans, bains à remous, etc... Au cours de la première semaine, ils n'ont pas quitté leur hôtel, préférant profiter des animations proposées. Ce ne fut que la deuxième semaine qu'Alice réalisa qu'elle avait besoin de visiter les souks.
"J'aimerais faire les boutiques au bazar, Daniel." dit-elle en lézardant près de la piscine de l'hôtel. "Je pense que nous devrions sortir de notre cocon pour une journée!"
Daniel grogna mais accepta à contrecur. Il était inévitable que sa femme veuille faire des courses tôt ou tard. Ils ont décidé que le lendemain serait le jour idéal pour se lancer, et Daniel est allé se renseigner à la réception pour connaître les modalités d'accès, craignant de se perdre dans les souks. La blonde réceptionniste lui a conseillé l'utilisation d'un guide local combinant les avantages du taxi et du guide capable de les orienter dans le dédale des souks.
Le lendemain matin, Ahmed, leur guide, les attendait à la réception de l'hôtel. Alice portait une robe cache-cur bariolée et suffisamment légère pour pouvoir supporter la rudesse du climat.
Ahmed les a conduits dans son vieux 4x4 usagé à travers les rues étroites et bondées. Ils étaient sous sa responsabilité. Il devait s'occuper de conduire les touristes et de négocier en leur nom avec les commerçants locaux. Cependant, en réalité, il connaissait bien les commerçants chez qui il allait, et il recevrait une belle commission en retour, en plus de ses honoraires standard pour la visite guidée. Alors que la voiture continuait de vibrer dans les rues pavées et sablonneuses, Alice devenait de plus en plus impatiente. Les arômes capiteux des épices, des fleurs, des aliments envahissaient la voiture par les fenêtres ouvertes alors qu'ils avançaient. Elle regardait les autochtones vêtus de caftans colorés, vaquer à leurs affaires quotidiennes et l'air bruissait de musiques diverses. Elle s'émerveillait de ce monde qu'elle découvrait.
"Qu'est-ce que vous souhaitez acheter en premier, s'il vous plaît?" cria Ahmed en essayant de se faire entendre par-dessus le bruit du moteur asthmatique.
"Euh, des chaussures, un sac, peut-être des vêtements..." répondit Alice.
"Des objets en bois!" renchérit Daniel.
"D'accord. Pas de problème. Nous allons au meilleur magasin du souk!"
Ahmed a finalement garé sa voiture sur une placette près du marché et le couple est sorti, heureux de se dégourdir les jambes.
"Nous allons ici", dit Ahmed en désignant une longue ruelle serpentant entre les maisons. "Bons magasins ici!"
Alice et Daniel se tenaient prudemment la main pour suivre Ahmed dans ce labyrinthe d'allées et d'échoppes. Avec une certaine appréhension, ils ont réalisé qu'ils étaient totalement incapables de retrouver leur chemin. Impossible pour eux de se repérer dans ces ruelles qui s'entrelaçaient.
"Peut-on lui demander le prix?" Demanda Alice à Ahmed, indiquant une élégante paire de chaussures en cuir.
Ahmed se lança dans la négociation avec le commerçant. Alice continuait sa visite, désignant du doigt des articles qui l'intéressaient.
Se retournant vers Ahmed et le commerçant en demandant: "Et celui-ci?"
La discussion entre les deux hommes s'animait de plus en plus, Alice continuait de tourner dans le magasin, Daniel en a eu marre et s'est échappé vers le coin de la ruelle où il avait repéré un bistro en passant. Il décida de s'offrir un thé au jasmin couleur locale pour comparer avec celui qu'on leur servait à l'hôtel.
La négociation entre les deux hommes s'intensifiait et ils utilisaient une gestuelle corporelle pour tenter de convaincre l'autre, alternant de grands moulinets avec les bras, des inclinaisons du corps et des grimaces comiques ou dramatiques. Mais le marchandage devenait de plus en plus chaud et Alice les regardait, mi-amusée, mi-inquiète, se demandant où était passé Daniel.
Alice remarqua le regard lourd de sous-entendus du commerçant qui la détaillait, la déshabillant presque du regard. Mal à l'aise, elle se réfugia dans le fond du magasin, à l'abri des regards concupiscents de la foule d'hommes qui commençait à s'entasser dans l'entrée de l'échoppe, attirés par le bruit et l'animation. L'argumentaire entre Ahmed et le commerçant s'intensifia en un crescendo dramatique puis cessa d'un seul coup. Ahmed s'approcha d'Alice pour lui communiquer le résultat du marchandage:
"Il dit qu'il ne veut pas d'argent pour les chaussures" a-t-il avancé un peu gêné "il préfère un baiser de la jolie blonde!"
Alice était sidérée: "Il n'est pas sérieux? Enfin, je veux dire, je ne suis pas une.
Elle n'osa pas prononcer le mot pute, ses yeux cherchaient de l'aide, mais Ahmed lui sourit simplement:
"Parfois, ici, les gens travaillent comme ça! L'argent, il en a, mais il n'a jamais embrassé de jeune femme blonde aussi jolie que toi, et il veut un charmant souvenir! Si tu es d'accord, tu auras les chaussures, gratuit!"
Alice regardait autour d'elle, indécise. Ahmed lui asséna son dernier argument:
"Ton mari s'est éloigné, il ne le saura pas, le mieux c'est de ne pas s'offusquer, ça ne va pas durer bien longtemps!"
Le groupe d'hommes à l'entrée de la boutique s'était densifié et, comprenant le contenu de la conversation, était visiblement intéressé de connaître la décision de la jeune femme. Ses yeux scrutèrent les visages sombres mais ne trouvèrent aucun signe de son mari.
Elle hocha la tête en direction du commerçant en lui précisant: "Pas devant cette foule!"
Le commerçant la saisit immédiatement par le bras et la conduisit derrière une épaisse tenture, dans un recoin qui servait aux essayages, tandis qu'Ahmed assurait le service d'ordre à l'entrée, la décision d'Alice ayant soulevé lenthousiasme de l'auditoire.
Le commerçant enlaça Alice dans ses bras puissants et plaça sa bouche sur la sienne. Alice sentit sa langue forcer le passage entre ses lèvres serrées pour entrer dans sa bouche.
"Il a mangé un plat épicé, c'est pas désagréable", songea Alice en retournant le baiser machinalement.
Le baiser durait, l'étreinte de l'homme s'affermissait, et Alice s'alanguissait contre le torse puissant. Le commerçant, réalisant la faiblesse d'Alice, envoya ses mains explorer le corps de la jeune femme rougissante.
La langue agile de l'homme faisait ronronner Alice, et ses mains expertes contribuaient à élever son niveau d'excitation. C'était elle qui recherchait le contact maintenant, se pressant contre la virilité qui s'éveillait sous l'ample djellaba. Alice n'avait plus peur, le désir avait remplacé la crainte.
Alice ne se posa pas longtemps la question. Rompant le baiser, souriant, le commerçant commença lentement à relever son vêtement.
Il était sec et musclé pour un homme de son âge, Alice était dans l'attente de découvrir l'objet de sa convoitise. Alice était tétanisée en observant les cuisses velues, puis l'homme saisit l'ourlet pour finir de soulever l'ample vêtement et le nouer à sa taille. Bouche sèche, les yeux écarquillés, Alice contemplait le plus gros sexe qu'elle n'ait jamais vu. Mais l'homme ne lui laissa pas le temps de contempler longtemps. Posant sa main sur l'épaule d'Alice, il pesa fermement sur sa nuque pour lui faire comprendre, dans un langage universel "suce!"
Alice s'agenouilla volontiers. Le désir, la curiosité, la tentation avaient remplacé l'appréhension. Elle voulait voir cette énorme bite de près, la caresser, l'embrasser, obtenir sa faveur.
Alice regarda l'énorme appendice suspendu à demi dressé devant son visage. Elle se lécha les lèvres pour les humidifier et leva son regard vers le visage du commerçant. Il lui sourit comme pour la rassurer et rapprocha un peu plus son bassin de son visage. Lentement, avec précaution, elle lécha le gland violacé de son sexe circoncis. Elle entendit l'homme gémir. Tandis que sa langue caressait le gland, elle pouvait constater le développement de l'érection.
D'un coup de tête, elle prit tout le gland dans sa bouche en aspirant fort. La bite du commerçant grossit encore un peu plus et gonfla dans sa bouche. Ses mains massaient doucement les énormes bourses pendantes et sa tige. Elle sut qu'il avait atteint son érection maximale, dressé dans sa bouche, et commença à le masturber tout au long de son arbre.
Alice se sentait chaude et excitée maintenant, et quand l'homme glissa sa main dans l'échancrure de sa robe pour lui peloter les seins, elle défit elle-même le nud qui retenait sa robe fermée, pour l'ouvrir en grand, sortir ses nichons des bonnets du soutien-gorge afin de laisser l'homme profiter du spectacle en maltraitant ses tétons.
Alice s'excitait de plus en plus, accélérant le mouvement de sa main sur le sexe de l'homme, suçant avec frénésie le gland imposant, et l'homme dut la calmer en lui posant une main sur la tête car il craignait de ne pouvoir se retenir. Soumise à la cadence imposée par son amant, la tête bloquée entre les mains puissantes de l'homme qui poussait sa viande dans sa gorge, Alice se cramponnait aux cuisses musclées et velues qui lui servait de support. Puis, sa bouche et sa gorge s'habituant aux va-et-vient de l'imposant chibre, Alice posa une main sur son sein pour agacer le téton, pendant que l'autre descendait écarter l'élastique de sa culotte afin de pénétrer sa chatte et masturber son clitoris.
L'excitation fournie par sa situation, rene par la pénétration de sa chatte et la trituration de son téton, Alice sentait la houle de l'orgasme se former tout au fond de son ventre.
Le commerçant s'apercevant de l'excitation frénétique de sa partenaire accéléra sa cadence pour jouir à l'unisson.
Avec un gémissement guttural fort, le commerçant a craché son foutre dans la bouche d'Alice. Alice essayait d'avaler sa semence autant qu'elle le pouvait, mais elle n'arrêtait pas de jaillir et de couler dans de grands flots de sperme crémeux. Après la dernière convulsion de sa queue, la bouche pleine, Alice laissa glisser la queue de sa bouche. Le menton plein de sperme, le liquide nourricier avait coulé sur sa gorge, ses seins étaient couverts de résidus collants.
L'homme aida galamment Alice à se relever et lui tendit un linge pour qu'elle répare le désordre de sa toilette. Ayant réajusté chacun leur tenue, le commerçant saisit Alice à bras-le-corps pour l'embrasser en ployant ses reins en arrière. Alice lui rendit son baiser avec passion et ils restèrent un long moment enlacés, échangeant un baiser torride.
Partant à la recherche de Daniel, Alice le découvrit au bistro en train de siroter son thé au jasmin.
"Exceptionnel, ce thé est divin, rien à voir avec celui qu'on nous sert à l'hôtel!"
Ahmed réapparut soudain, un sourire illuminait son visage. Il s'est approché d'Alice, lui tendant un grand sac.
"Voici pour vous, madame." dit-il en lui donnant.
Examinant le contenu, Daniel faillit se sentir mal. Le sac contenait quatre paires de chaussures en cuir de première qualité, un sac à main, une superbe veste en cuir et plusieurs objets en bois. Sidéré, il se lamenta:
"Tu es devenue folle, combien t'as payé ça?"
Alice se rengorgea: "Ça ne t'as rien coûté, je me suis offerte toute seule!"
Soulagé, ne cherchant pas à comprendre ni le comment ni le pourquoi de cette réponse à double sens, Daniel entendit vaguement Ahmed expliquer à Alice:
"Le commerçant est ravi de votre arrangement, il espère vous revoir très bientôt dans son modeste magasin!"
Retour à l'hôtel en taxi-brousse, Daniel s'est assis à l'avant à côté d'Ahmed. Alice trône sur la banquette arrière en compagnie de ses précieux achats, supputant ses chances de pouvoir retourner seule dans ce magasin, continuer l'exploration des trésors de l'arrière-boutique. Heureusement, le bruit du moteur était assourdissant et il a couvert le son produit par le rot sonore au goût de sperme qui s'est échappé de la bouche d'Alice.
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