Le Stagiaire Et Mon Cul
Depuis plusieurs mois maintenant, Joel avait réussi à obtenir de Hector et Serge de pouvoir profiter de moi à la fin de la journée de travail. Parfois dans sa voiture, et moins souvent au taf quand il ny avait plus personne. Dans sa voiture cela se limitait le plus souvent à une petite pipe. A la banque, mon bureau servait alors de baisodrome. Je ne suis jamais très sereine lorsque cela se passe au boulot, même si nous prenons nos précautions, nous pouvons nous faire surprendre. Le bon côté est que Joel met pas mal dintensité à baiser celle qui lui donne des ordres la journée, du coup je prends beaucoup de plaisir. Autant mes clients ne se posent pas de questions lhiver de voir sur mon bureau une boite de mouchoirs, lété certains me demandent si je fais pleurer mes clients. Mais mis à part la bite de Joel je ne vois pas.
Et justement un soir, il devait être 19h 19h15, après avoir fermé les portes du bureau, Joël avait débarqué dans mon bureau en fin de journée. Journée durant laquelle je lui avais demandé devant dautres collègues à plusieurs reprises de mapporter du café, de faire ceci ou cela
Il mavait alors dit :
- Ça t amuse petite pute de mhumilier devant mes potes ? Viens la et suce-moi la queue !
Mutine, tout en me mettant à genoux je lui avais répondu quil fallait bien cela pour quil me donne du plaisir !
A partir de là, rapidement je métais retrouvée avec sa queue au fond de la gorge. Joel aime beaucoup me voir galérer à le sucer, avoir du mal à respirer, baver. La bouche ouverte, une de ses mains sous mon menton, lautre sur ma tête, ses coups de reins suffisaient à le pomper, moi à baver. Malheureusement les bureaux ne sont pas vraiment isolés, et le bruit se propage facilement. Dans ma banque, une cloison sur quatre de tous les bureaux est un grand vitrage. Un grand store vénitien vient occulter les bureaux. Ce store est tout le temps baissé jusqu à hauteur du bureau en journée.
Joel, après cette petite pipe baveuse et bruyante, veut maintenant me prendre en levrette sur la moquette. Rapidement au sol devant la fureur des coups de butoirs de Joel, en tournant la tête, je remarque immédiatement que quelquun est dans le bureau en face du mien, les stores sont baissés, la lumière est éteinte. Je le remarque car lorsque je tourne la tête, je vois une forme reculer comme pour se cacher dans le noir du bureau.
Là plusieurs choix soffraient à moi. Bizarrement et sans réfléchir je décide de ne rien dire, car il y a de fortes chances que cela soit le stagiaire. Après tout il ne sait pas que je lai vu, je suis sa cheffe il ne peut rien dire, et de plus je sens immédiatement monter un plaisir intense à la sensation dêtre matée en train de me faire démonter devant le regard de cette personne qui est surement Théo. Impression qui se confirme lorsque je vois une forme se rapprocher à nouveau pour mieux voir. Sans montrer que je lai vu, je peux voir que cest lui. Je limagine en train de se masturber. Je demande à Joel de me baiser plus fort, mais celui-ci nen pouvant plus, se retire et vient décharger son sperme chaud dans ma bouche.
- Avale mon foutre, salope ! me dit il
Comme dhabitude, une photo de mon visage un peu défait par cette session envoyé à Serge et Joel. Décoiffée, quelques traces au bord des lèvres, leffet est souvent fort chez Serge qui me fait lamour en général ces soirées-là.
En sortant, bien sûr, le bureau en face du mien est plongé dans le noir et silencieux. Un début didée vient germer dans mon esprit.
Joel, tout gentleman quil est me dépose à la maison. Comme anticipé Serge est très en forme ce soir-là. Pour ma part, jai des difficultés à trouver le sommeil, je suis très excitée par ce qui est arrivée, et jai une opportunité daccen cette excitation.
Le lendemain, ma décision est prise, je mets des sous-vêtements hyper sexy, des portes jarretelles des dessous noirs en dentelle.
Finalement je me dis que si je le surprends en train de me mater, je pourrais garder le contrôle sur ce qui se passera par la suite. A ma pause déjeuner petit détour par la Fnac ou jachète une caméra, la plus discrète possible. Installée de manière à pouvoir me filmer de dos tout en ayant dans le champ le bureau de Théo. En fin de journée, je ne suis pas surprise en regardant les images découvrir mon stagiaire regarder extrêmement souvent sous son bureau dans ma direction. A un moment on le voit même fermer à clés son bureau, sortir un énorme truc de son pantalon, regarder vers moi en se branlant. Le garçon est coincé et bientôt jaurai sa queue pour moi
En partant je dépose ma boite de mouchoir sous son bureau.
Le lendemain je décide de faire redescendre la pression en pantalon, le pauvre il va être frustré. Je passe ma journée à le faire tourner en bourrique, je le sollicite pour des cafés, je lui demande de mapporter quelques dossiers. Le garçon est aussi hyper gêné, ma boite de mouchoir est sur son bureau. Je lui demande dailleurs de me ramener mes mouchoirs sil nen a plus besoin
Le pauvre pique un phare. Javoue que je ne suis pas très gentille mais jai remarqué que lorsque les hommes sont un peu maltraités ils sont dautant plus de bons amants, à mon gout en tout cas.
Le lendemain je me décide à en parler à Serge, qui me donne son feu vert, cela semble l amuser. Il en parlera à Hector. Je soupçonne que celui-ci voudra me punir
Du coup je préviens Serge que je rentrerai tard dans la nuit.
Pour ma part, pensant déjà à ce quil pourrait me faire, je décide de passer la journée avec un plug anal, histoire de ne pas être prise au dépourvu. Je mets de la belle lingerie sous une tenue classique. Un peu étrange de porter bas et porte jarretelle sous une combinaison intégrale. Je trouve que les combinaisons mettent en valeurs les fesses des femmes. Je pense linviter prendre un verre après le taf. Je me rends compte que la Patricia timide nexiste plus vraiment
Entre deux rdvs, je vais voir Théo dans son bureau, prenant soin de fermer la porte derrière moi. Je lui demande sil serait intéressé par prendre un verre avec moi après le travail, et densuite aller chez lui pour quil me prenne. Théo reste bouche bée, ne sachant quoi répondre. Figé. Pour le décoincer je massieds au bord du bureau, porte ma main à son entrejambe tout en lui disant que jadorerai voir ce quil y a sous son pantalon
Avant quil ne reprenne ses esprits je suis dans mon bureau.
Cela étant, un mec est un mec. Quand il y a une occase de baiser, peu dhomme passent leur tour, surtout quand il sagit de moi en plat principal. Lui ayant envoyé par mail le bar ou je l attendrai, Théo est déjà présent quand jarrive.
- Jai rêvé de t enculer toute la semaine, te voir te faire prendre sur la moquette m a beaucoup plu lautre jour. Si tu es daccord jaimerai venir sur ton petit visage de vietnamienne.
En baissant son pantalon il sassied sur le fauteuil, me demande de me dévêtir. Il continue à se masturber tout doucement en me regardant ôter ma combinaison, me demande de garder mes sous-vêtements.
Je sens son regard changer, le stagiaire a laissé place à un mec bien dominateur. Il me lance :
- Viens me sucer petite pute. Montre-moi tes talents, tu mas lair dun vrai garage à bites.
Etant passablement excitée, je magenouille et commence à lui lécher les couilles, à les attirer dans ma bouche. Japprécie quil se rase, Cela est beaucoup plus sympa sans poil. En recommençant à lui lécher la queue je lui demande sil a une copine. Il me répond que oui mais quelle ne rentre que dans 2 jours. Il trouve que je parle trop, m agrippe les cheveux et me force à mettre sa queue dans ma bouche.
- Contente-toi de me pomper !
Moi qui aime et attire les mecs dominateurs, je suis servi, je navais pas du tout perçu cela chez lui. On ne se refait pas. Je suis contente davoir une petite vidéo pour le contrôler.
- Et toi ton mec sait que tu es une petite salope qui se tape tout ce qui bouge...
Qui ne dit mot consent, mais là en loccurrence je ne pouvais plus répondre, assez occupée que jétais à avaler le plus possible de cette énorme queue. Je dus réprimer, chose assez rare, quelques hauts le cur.
- Je veux te prendre le cul direct, vient avaler ma queue avec ton petit trou
Montre moi comme tu sais y faire patronne.
En enlevant mon plug, je me fis encore insultée de chiennasse. Heureusement que jétais dilatée comme il fallait, mon sphincter ne résista même pas lorsque je mempalais sur son chibre. Il memplit tout mon ampoule rectale. Ouf pas de merde en vue. Accroupi sur lui, en m aidant de mes pieds je mengageais à imprimer un petit rythme tout en laissant échapper quelques râles :
- Ta queue est tellement bonne en moi, est ce que tu prends du plaisir à sodomiser ta patronne ?
- Oh oui patronne ! alors ton mec sait que tu es là ce soir ?
- Oui je lui en ai parlé
- Jai trouvé une perle rare on dirait.
Me retournant il me prit le cul en missionnaire, le garçon me fit crier. Après quelques minutes dun traitement intense, il vint sur mon visage, comme promis, en longs jet bien blanc et épais. Jétais ravi...
En allant dans la salle de bain, je pris une petite photo de mon visage encore plein de sperme et envoyai la photo à Serge avec la légende.
« Mon cul est en travaux ce soir, je taime. »
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