Photographe Passion 02
Mon réveil est brusque, j'ai un besoin urgent de pisser. J'agite et masse ma tête pour remettre mes idées en place, je bondis hors du lit et trouve la salle de bain. Debout devant la cuvette, je sens un regard. Pierre est dans l'entrée, en slip, ses yeux rivés sur moi et un large sourire illuminant son visage. Je réalise la situation, moi nu exhibant une érection, ma main dirigeant un puissant jet tandis que lui est en slip et m'observe ouvertement. Je sens la chaleur envahir mon visage d'autant plus qu'il s'approche. Je me contrôle pour paraître naturel et éviter de pisser à coté. Il place un essuie sur la tablette et me propose de prendre une douche. Ensuite, il reste debout devant l'entrée sans un mot. Je ne sais que faire, je me sens piégé. Il attend là dans l'entrée, je suis mal à l'aise. J'entre dans la douche et je peux sentir son regard perçant m'observer tandis que je me lave. Je suis de plus en plus nerveux et excité par la scène. Je n'ose pas trop toucher mon sexe qui est super tendu. Je voudrais tant me branler.
Pierre semble satisfait, je ne sais pas de quoi. Je suis fier d'avoir pu résister à la branle. Avec une question sans réponse, il demande si j'ai bien dormi et s'éloigne rapidement. Joyeux et heureux, je retourne dans ma chambre et cherche après mes vêtements. Ils ont tous disparut, seuls, ma ceinture et quelques gadgets qui se trouvaient dans mes poches sont visibles sur le lit.
L'essuie autour de la taille, je descends les escaliers et me dirige vers la cuisine. Avant que j'aie le temps d'ouvrir la bouche, Pierre me signale nonchalamment de ne pas chercher mes vêtements comme ils sont à la lessive. "Un beau corps comme le tien ne doit pas rester couvert, même par une simple serviette!" Je reste bouche bée. Sans s'occuper de moi, lui toujours en slip, Pierre verse deux tasses de café et prépare des toasts. Je peux sentir le léger parfum d'ufs et de lard envahir mes narines et attiser ma faim.
Ce qui me préoccupe le plus est ce que je dois faire de cet essuie.
Je le ramasse à contre cur et le dépose sur la table.
"Tu te fous de moi!"
Je le récupère directement et regarde autour de moi. Je ne sais pas quoi en faire. Il me fixe toujours depuis l'autre coté de la pièce. Tout-à-coup, il approche, tend son bras et dit simplement, "Donne!"
Je me lève, avance vers lui, pleinement conscient de ma nudité. Rougissant, je tends l'essuie vers ses mains dressées et, avant que je le réalise, ses mains agrippent ma hampe plutôt que l'essuie. Je reste figé, mon cur palpitant et mon sang battant dans mes tempes. Il la masse quelques fois et dit simplement, "Ce serait vraiment malheureux de cacher un si beau trésor."
Mon cur enivré envoie rapidement une pleine masse de sang là où il ne devrait pas, ajoutant encore plus à ma gêne. Je reste debout là-bas, dangereusement exposé, pas même conscient que l'essuie n'encombre plus mes mains. Je réalise que Pierre n'est plus en face de moi, je l'entends dire, "Pas la peine de parader avec ton équipement tendu, tu peux aller t'asseoir!" Ces mots ajoutent encore plus à ma honte et je me précipite sur ma chaise, me trébuchant presque dans ma précipitation, mais content de pouvoir me cacher.
Je suis à peine remis de mes émotions que je sens Pierre debout derrière moi. Son bras me frôle, je sursaute comme il dépose une assiette richement garnie devant moi. "En tout cas, elle se sent déjà bien à l'aise chez moi!" Je tourne légèrement ma tête, regarde son visage souriant et observent ses yeux figés vers mon entrejambe. Je me sens réellement perdu. Pierre est vraiment un gars imprévisible, je voudrais tant pouvoir ramper sous le tapis qui n'existe même pas.
Le reste du déjeuner se passe sans problème, ou presque, comme il me demande à deux reprise de lui resservir du café, m'obligeant à me lever et faire le tour de la table pour aller cherche le pot et venir à coté de lui, le tout totalement à découvert pour son grand plaisir évident.
Moi toujours nu, lui dans son slip bien tendu, la journée se passe tranquillement en discutions agréables et quelques petites corvées ménagères. Il m'observe constamment et je me découvre un plaisir exhibitionniste. Lorsque le doute s'installe, comme s'il lisait dans mes pensée, ses douces caresses ravivent mon plaisir, partout sur mon corps et toujours tendrement. Lorsque mon érection faiblit, ce qui est rare, il la ranime rapidement.
Au fur et à mesure de la journée, je commence à apprécier ce regard intense, ses yeux scrutateur et sa recherche du parfait. A chaque nouvelle tâche, il me corrige, "Redresse-toi! Ecarte les jambes! Sors ton torse! Tire les épaules en arrière! Relève la tête!...etc, et je sens l'artiste averti derrière tout cela. De son coté, il apprend mon corps, variant ses caresses, modulant la force et l'intensité, observant mes réactions aux mots glissés dans mon oreilles et à toutes ses tentatives de manipulations. Il découvre bien vite que me branler est inutile, un mot doux, le doux pincement d'un sein suffit amplement. Je suis en érection tout le temps, le gland dégoulinant abondement. Je suis aux anges.
À suivre...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!