Journée De Formation
La formation
Pour la troisième fois, jeffectue une journée sur les transferts des personnes âgées, vers leur lit ou leur fauteuil ; très rapidement je sers de cobaye, en raison du fait que jai déjà pratiqué, mais aussi et peut être surtout que je suis la plus mince donc la plus facile à brasser. Oh je reste modeste, mais il est vrai quavec mes 57 kg cela compte.
Nous sommes 7 plus le kiné dans une salle de soin de létablissement, à lécart des résidents et des familles et à tour de rôle mes collègues me déplacent, me brassent pour les divers transferts et ce qui devait arriver la chute ; une collègue glisse et me laisse tomber , et mes cotes se retrouvent sur le bras dun fauteuil ; douloureux, mais heureusement cest la fin de la journée . Quelques courbatures, mais rien de cassé.
Alors que tout le monde se dépêche de quitter la salle , le kiné me demande si je veux bien le laisser vérifier les dégâts ; pourquoi pas. Il me demande de me dévêtir et de minstaller sur la table de soin, avant de sabsenter quelques instants. Quand il revient, je le vois marquer un temps darrêt en me voyant, en soutien-gorge et mini string. Je navais pas prévu un tel scénario, mais finalement, en dehors du soulagement pour mon dos, cela mamuse un peu.
Il faut reconnaitre que même sil est habitué, me découvrir ainsi, à la table ventre, les jambes écartées doit être plutôt coquin ; cest un homme dune trentaine dannée, physique moyen, mais avec des yeux translucides et parfois très scrutateurs sur notre physique. Quand ses doigts commencent à palper mon dos, je ne peux retenir un frisson, et croyant navoir fait mal, il me demande si je veux quil en reste là, tenant compte quà priori, rien quun futur bleu. Trop demandeuse dun massage, je lui demande de continuer, alors commence une valse de ses doigts , sur mon corps alangui. Sa main est douce et son massage se poursuit sur tout le dos, jusquà la limite de mon string.
Sous la douceur de son massage, je me détends, ma respiration traduisant mon relâchement, ce qui se traduit petit à petit par un gémissement de bienêtre. Son massage devient de plus en plus doux, se transformant par moment en simples caresses, qui petit à petit glissent vers mon fessier ; il est évident quil a perçu mon plaisir et quand il fait glisser mon string vers le bas de mes fesses, je me cambre pour laider et finalement il se retrouve sur le sol. Avec encore un soupçon de prudence , il me demande :
« Tu veux que je continue ? »
« Oui cest trop bon, continue » je maperçois que nous venons tous les deux dutiliser le tutoiement. Sa main vient de descendre sur ma fesse, à la limite de mon sillon
« comme cela ou tu veux plus » je ne réponds pas , mais je me cambre, ce qui amène ses doigts en contact avec ma vulve doù perle déjà des gouttes de cyprine, tournant mon regard vers lui :
« Et toi tu as envie de quoi » lui non plus ne répond pas mais il se penche vers mon visage et en déposant un petit baiser sur ma joue, à la limite de mes lèvres et en même temps , il enfonce au moins deux doigts entre mes petite lèvres brulantes de désir. Sous cette douce pénétration, je ne peux retenir un oh oui. Ecartant un peu plus mes cuisses, je lui découvre mon intimité, suintante de ses premiers émois ; je sais quainsi je moffre à lui et il le comprend vite.
Me faisant me retourner, il me rapproche du bord de la table, il dépose mes jambes sur ses épaules . Ma chatte est béante , brulante denvie et quand ses lèvres se posent sur mon clitoris, bandé comme jamais , une première vague déferle et je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier . Ma jute jaillit et doit lui éclabousser le visage, mais cela ne larrête pas, bien au contraire ; ce nest plus mon bouton quil butine, mais ma caverne, sa langue fouillant , butinant entre mes lèvres écartelées ; mes mains accrochées à son crâne, lobligent à me sucer encore plus profondément.
je marquebuse sur la main à lentrée de ma chatte et le regardant droit dans les yeux « vas-y enfonce toi, jai envie de ta main en moi ; jessaye de mouvrir le plus possible et de son coté sa main vrille, glisse, puis dun seul coup me pénètre totalement jusquau poignet ; la douleur est violente, mais la sensation de mes entrailles totalement envahis par cette main qui maintenant tourbillonne, butant même sur le font de ma matrice, la remplace rapidement et un grondement jaillit de ma gorge, et se termine par un long cri ; mon corps est parcouru de soubresauts et ma jouissance déferle, profonde, complète me laissant pantelante. Quand il se retire, un grand vide menvahie et une longue coulée de cyprine sécoule entre mes cuisses.
Soudain je réalise que maintenant cest son gland qui se frotte sur mon clito ; je ne lai pas vu quitter ses affaires, mais cest un beau et gros membre qui veut me prendre. Il a revêtu une capote, mais jai envie de le sentir en moi, et je maime pas le plastique ; il hésite puis finalement il retire le préservatif, et voulant sans doute marquer mon côté « petite salope » il senfonce totalement ; certes ma chatte est bien ouverte et pleine de cyprine, mais la saillie est puissante, à la limite violente et quand il commence à me pilonner, il se déchaine à grands coups de butoir ; sa queue me percute, me ravage les entrailles ; ressortant parfois complétement avant de remplir à nouveau, sans ménagement.
Sous son emprise, je fonds, jouvre mes cuisses, lui ouvrant encore plus grande la pénétration ; je suis à lui, je moffre à sa saillie, lencourageant à me posséder, à me défoncer à prendre totalement mon corps ; combien de fois il ma fait jouir, je ne puis le dire, mais en réalité , ma jouissance a presque été en continue, seule sa main, me bâillonnant empêchait mes cris dameuter les alentours. Performant, sachant sarrêter sans doute pour éviter de juter, il ma possédé à sa volonté, memmenant à chaque fois dans un tourbillon de plaisir. Sous son emprise, plus rien ne comptait autour de moi ;je savais quen rentrant, jallais devoir avouer à mon homme quil était une novelle fois cocu, mais seule lenvie foudroyante quil me féconde était présente et quand, soudain, il a voulu se retirer, je me suis accroché à lui « « non, jouit en moi, féconde moi, je veux que tu me remplisses de ta semence » je nai pu aller plus loin ; son sexe grossissant encore plus en moi, ses jets mont percuté le fond de ma matrice ; chauds, nombreux, ils ont rempli mon ventre, me transportant à nouveau vers une jouissance dévastatrice. Il ma fallu un long moment pour revenir à la réalité.
Alors que javais repris une tenue et une attitude plus conforme au lieu, je me suis approchée de lui et je lui ai donné un profond baiser en signe de remerciement et pour moi dau revoir. Mais pour lui, il en était autrement.
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