Deuxième Soirée Avec Stef Partie 1

Les jours qui ont suivi, j’ajoutais les derniers détails de mon expérience avec Stef à mesure qu’ils me revenaient en mémoire, en veillant toujours à ne pas laisser traîner ma disquette. Si mes parents tombaient dessus, je risquais de passer un mauvais moment. Je me masturbais souvent en revivant dans mes fantasmes ces moments fantastiques. L’image de la grosse queue de Stef en train d’éjaculer au-dessus de moi était encore vive et j’étais impatient qu’il m’encule à nouveau. Dès le lendemain de notre soirée, j’ai entrepris une petite routine quotidienne d’exercices légers pour galber mon fessier et affiner ma taille, je voulais lui offrir un cul encore plus féminin lors de notre prochaine rencontre, surtout si j’étais en "compétition avec Johan". Le prochain tournoi était prévu trois semaines plus tard et je savais qu’il s’agissait de la seule excuse qu’il voulait bien utiliser pour m’inviter chez lui, en tout cas pour le moment.

La première semaine, j’ai fais l’effort de ne pas partager son vestiaire comme nous l’avions convenu. Mais le fait de voir Johan y rentrer m’a rendu stupidement jaloux. Je décidai donc de m’y rendre la semaine suivante, en prévoyant d’être attentif aux regards des autres, et à celui de Johan.

Malheureusement, la semaine suivante a également été frustrante. Je n’ai pas pu partager le vestiaire de Stef, car j’étais pris dans une conversation avec mes coéquipiers et je ne pouvais pas m’éclipser sans qu’ils se posent des questions.

J’ai rongé mon frein jusqu’à la semaine suivante, j’avais passé trois semaines sans échanger le moindre mot avec Stef, mis à part les quelques regards furtifs que nous nous sommes adressés, et j’avais du mal à penser à autre chose lorsqu’il s’agissait de fantasmer. Je m’ennuyais lorsque je passais du temps avec ma copine, car on se limitait encore à s’embrasser avec la langue et elle s’aventurait parfois à me caresser sans aller plus loin, alors que Stef m’avait déjà enculé comme une salope de film porno et rempli ma bouche avec son sperme.

Le contraste avec la naïveté de nos rapports était pénible à vivre. D’autant plus qu’en parallèle je travaillais souvent mon anus pour accueillir Stef avec facilité lors de notre prochaine rencontre.

Le troisième jeudi, je suis enfin allé dans le vestiaire de son équipe. Stef m’a adressé un regard discret où pétillait une pointe d’amusement. Je me suis installé à côté de Johan et j’ai dû lutter pour contrôler mon regard et ne pas trop lorgner sur l’énorme queue de Stef que je connaissais si bien maintenant, sans quoi je risquais de bander et d’attirer l’attention de façon un peu trop flagrante. J’ai donc porté mon attention aux alentours, en remarquant que la fine taille et les fesses rondes de Johan attiraient en effet les regards, comme l’avait dit Stef, et je supposais que les miennes avaient le même effet : "L’équipe de volley féminine". Surtout après mes trois semaines d’exercices routiniers de galbage des fessiers. J’ai également remarqué les regards plus ou moins discrets de Johan sur la queue de Stef. Il avait encore une fois raison, Johan choisissait ce vestiaire pour la même raison que moi. Je ne comprenais pas trop pourquoi... notre retard hormonal impliquait sans doute un faible taux de testostérone, et c’est peut-être ce qui nous donnait envie de satisfaire une belle grosse bite puissante. En tout cas, il semblait partager mon intérêt pour l’anatomie de Stef. Et vu que j’avais davantage envie de vider les grosses couilles de Stef plutôt que les miennes, je pariais que c’était également le cas de Johan...

Je ne sais pas si ma présence y était pour quelque chose mais Stef avait l’air de prendre plus de temps que prévu et traînait pour se déshabiller et prendre sa douche. J’ai évidemment fait en sorte de suivre le rythme, en passant par exemple par les toilettes pour gagner du temps. Le vestiaire se vidait au fur et à mesure et j’avais de plus en plus de liberté pour regarder la scène. Johan traînait lui aussi dans la douche, évidemment.
Certains équipiers étaient encore dans le vestiaire et nous n’étions plus que trois dans les douches lorsque Stef, qui avait choisit une position stratégique à l’écart des regards venus du vestiaire, à commencé à se savonner la queue de façon ostentatoire, en veillant à décalotter lentement son prépuce pour nettoyer son gland avant de malaxer ses couilles. J’étais hypnotisé par le spectacle et étonné qu’il ne bande pas, il avait décidément un excellent contrôle de ses érections. Ce qui n’était pas mon cas, lorsque j’ai senti venir mon érection, j’ai rapidement détourné le regard pour faire retomber la pression et j’en ai profité pour surveiller Johan. Il n’avait pas détourné son regard du spectacle mais son petit sexe ne bandait pas. Sans jeter le moindre regard à Stef, ce qui n’a pas été facile, je suis sorti des douches pour aller me rhabiller. Les joueurs partaient petit à petit. Stef m’a suivi après deux ou trois minutes, suivi de près par Johan. J’avais un peu d’avance et je m’habillais pendant qu’ils s’essuyaient, je jetais des regards furtifs sur le corps de Johan en comprenant l’attirance qu’il suscitait chez Stef. Vu de dos, on aurait facilement pu le confondre avec une jolie fille aux cheveux courts.

J’ai été surpris dans mes pensées lorsque Stef a pris son sac pour venir s’installer plus près de nous. Nous étions les trois derniers joueurs présents dans le vestiaire, ce qui allait peut-être laisser court à des rumeurs, mais ça n’avait pas d’importance pour moi. Il a laissé tomber son sac sur le banc à côté de Johan avant de mettre sa serviette sur ses épaules et de nous demander: "Ça vous dit de passer faire quelques parties de Heroes chez moi après le tournoi de samedi?". On tâchait tous les deux de le regarder dans les yeux en nous efforçant d’éviter de mater sa queue qui pendait entre ses jambes. J’ai vite répondu que j’étais partant en demandant si on pouvait dormir chez lui. Il a répondu que ce serait génial. Johan m’a regardé un instant avant de dire qu’il était partant mais qu’il devait demander l’autorisation à sa mère.
Stef a simplement répondu "cool!". Johan a demandé plus de précision sur le jeu et Stef a commencé ses explications tout en se rhabillant tranquillement. Pour freiner mon envie de me jeter sur sa queue et de le sucer goulûment, je me suis concentré sur Johan pour remarquer les nombreux regards qu’il lançait à l’entrejambe de Stef pendant ses explications. On a fini par sortir ensemble des vestiaires, Johan est reparti le premier. Avant de partir, Stef s’est retourné vers moi et a soufflé : "tu vois, ça se passe plutôt bien jusqu’ici". J’ai répondu: "ouais, t’avais peut-être raison, j’espère seulement qu’il passera à l’acte". Revoir le corps de Stef avait enflammé mon envie et je n’avais pas envie que la timidité de Johan gâche la soirée potentiellement torride que nous pourrions passer le samedi suivant.

Le tournoi du samedi est passé très vite, j’avais la tête ailleurs. Je pensais uniquement à ce qui pourrait se passer une fois chez Stef. Je m’étais préparé à l’événement, ma routine d’exercice légers pour les fessiers avaient eu de bons résultats : je trouvais mes fesses plus rondes et mieux galbées. J’ai "emprunté" la crème dépilatoire de ma mère pour enlever le peu de pilosité, ou plutôt de duvet, qui traînait sur mes parties et mes jambes. Et je m’étais évidemment masturbé avec mon gros manche à brosse. J’étais impatient de le voir jouir.

Nos équipes se sont douchées séparément, les matches de mon équipe étaient terminés avant ceux de l’équipe de Stef qui nous a rejoint après le tournoi à la cafétéria. Nos mères s’étaient arrangées sur l’heure du retour et on a appris avec joie (surtout Stef) que Johan allait également passer la nuit avec nous. "Pour jouer"... si seulement elles savaient.

Une fois chez lui, on a effectivement commencé à jouer à l’ordinateur en attendant que ses parents sortent (leur réunion de famille du samedi). Pendant nos parties, on sirotait en douce une bouteille de vodka qui allait permettre d’adoucir nos éventuelles inhibitions.
Me retrouver dans sa chambre me faisait un drôle d’effet, je remémorais les événements vécus trois semaines auparavant et je m’impatientais encore davantage.

Le moment de vérité a retenti lorsqu’on a entendu la mère de Stef l’appeler depuis le rez-de-chaussée pour lui indiquer qu’ils partaient, en ajoutant "ne faites pas de bêtises!". Nos sourires respectifs indiquaient clairement qu’on comptait faire tout le contraire. Lorsque la porte d’entrée s’est refermée, Stef nous a servi un shot et a proposé de regarder un film porno. Le moment était bien choisi vu qu’on était légèrement sous l’effet de la vodka. J’attendais la réponse de Johan avec appréhension en craignant qu’il rejette la moindre invitation de Stef, ce qui nous obligerait à faire une croix sur cette soirée. Il a dit "OK mais attendez-moi, je passe vite aux toilettes". J’ai profité de son absence pour demander à Stef ce qu’il comptait faire et il m’a simplement dit: "comme pour toi... je suis sûr qu’il a envie d’essayer". Il a allumé le téléviseur et le magnétoscope pendant que je m’asseyais dans le lit. Il cherchait une cassette dans sa cachette lorsque Johan est revenu dans la chambre pour venir s’installer sur le lit. J’ai été amusé de constater qu’il s’était installé de sorte à laisser une place pour Stef entre nous. C’était donc logique dans sa tête qu’on encadre Stef, peut-être pour que chacun ait une vue imprenable sur sa bite. Johan ne l’avait encore jamais vu en érection, ou seulement à travers son caleçon. Stef a lancé la lecture en revenant avec la télécommande en main. Une fois arrivé devant le lit, il a ôté son t-shirt et son pantalon pendant que des gémissements se faisaient entendre depuis le téléviseur. Mon regard a suivi les mouvements lourds de son gros pénis tandis qu’il s’installait dans le lit entre nous, avant de remarquer la scène sur laquelle commençait la cassette: une scène de pénétration anale vue de derrière. Je n’avais même pas fait attention à Johan tellement mon cerveau était en ébullition et j’ai dû faire un léger effort pour me calmer et reprendre le contrôle. J’ai lancé un regard discret à Johan pour constater qu’il avait les yeux rivés sur la queue de Stef et ne prêtait presque pas attention au film. On était encore tous les deux habillés, Stef était le seul à être nu. Sans aucune gêne, comme d’habitude, j’aimais beaucoup son assurance. Il était appuyé sur les coudes, à moitié couché sur le lit, ses pieds reposant par terre, moi et Yohan étions installés de part et d’autre, de façon stratégique pour avoir une vue privilégiée sur son entrejambe malgré le film, ce qui prouvait manifestement que notre intérêt était autre part. J’ai passé la minute suivante à admirer la queue de Stef entrer en érection en lançant deux regards furtifs à Johan pour constater à nouveau qu’il profitait lui aussi du spectacle. Nos regards se sont croisés lorsque la grosse queue de Stef était en pleine érection et je lui ai adressé un sourire de complicité discret. Il a également souri en m’adressant un haussement de sourcils d’admiration avant de reporter son regard sur l’énorme bite qui se dressait au-dessus du ventre de Stef. Je réalisais alors que c’était la première fois qu’il le voyait bander. Stef ne manifestait visiblement pas le besoin de se branler tout de suite, il nous laissait saliver d’envie.

Il a interrompu le train de mes pensées en déclarant "elle fait ça bien..." J’ai alors porté mon regard sur le téléviseur pour observer la scène: l’homme avait cessé de sodomiser la femme pour qu’elle le suce un moment, il était debout face à elle et elle était à genoux, elle utilisait surtout sa bouche en laissant ses mains traîner sur les cuisses de son partenaire. Nous avions tous les trois le regard porté sur la scène, chacun avec une idée différente en tête je suppose, la mienne était focalisée sur mon envie de sucer Stef. En suivant ce qu’il venait de déclarer, Stef a continué en murmurant "ça donne envie...", en sous-entendant évidemment qu’il avait envie de se faire sucer, ce qui devait être une tactique maladroite pour arriver à ses fins avec Johan. Sauf que mon esprit a interprété cette déclaration dans mon sens et que j’ai commis un accident qui allait s’avérer heureux en disant "le pied qu’elle est en train de prendre". Il m’a fallu une fraction de seconde pour réaliser que la façon dont j’avais complété l’idée de Stef pouvait sous-entendre que la scène me donnait envie de sucer. Je me suis discrètement tourné vers eux pour voir si mon aveu était passé inaperçu. Stef paraissait indifférent et continuait à regarder le film, comme s’il n’avait pas relevé la subtilité. Après tout, il savait déjà que je mourais d’envie de le prendre en bouche, pas de quoi être surpris. Et Johan ne semblait pas non plus réagir et continuait à regarder la fellation avec un petit sourire en coin lorsqu’il a renchérit en soufflant "c’est clair". J’ai considéré qu’il venait d’avouer la même chose que moi, volontairement ou involontairement, et c’est là que j’ai compris que Stef allait sûrement concrétiser son fantasme et qu’on allait probablement passer une soirée fantastique. Stef laissait pulser sa grosse bite entre nous sans intervenir.

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