Samia - 26 La Rivière Des Esclaves.
Djibril nous loge dans deux petites maisons voisines. Cest très simple, on pourrait même dire spartiate. Enfin, plutôt Berbère. Une chambre avec un lit et une armoire, une douche, une grande cuisine qui sert de salle à manger, un évier, leau courante... et comble du luxe, lélectricité et un frigo.
A lextérieur, il y a un petit jardin. Il fait noir car il ny a que quelques lampes nues et la lune pour éclairer. Je distingue quand même des arbres et un barbecue... Josiane me dit :
Si tu veux, Robert préparera le petit déjeuner pour 9 h.
Volontiers et je dirai à Julien de laider.
Les jumeaux sont... assez directifs avec leur père. Ils peuvent aussi donner des ordres à Julien ?
Pas de problème, il file doux. Il a un intérêt, sinon gare à ses fesses. Je dois souvent le punir.
Oh oui, jaimerais voir ça !
Je la questionne au sujet des jumeaux. En fait, ils ont une forme bénigne du syndrome dAsperger, une variété dautisme qui cause un décalage dans les rapports sociaux, tout en ayant un QI de 140. Cest vrai que par moment, on dirait que le son et limage ne sont pas synchrones... Cest comme ça que je le ressens. Ils méprisent ouvertement leur père.
Djibril a fait préparer des sandwichs dans la maison de Josiane, qui est plus grande. On mange tous ensemble, Djibril, Josiane, moi, les jumeaux... Julien et Robert doivent attendre quon ait fini et ils mangent ce qui reste, y compris les croûtes, les épluchures. Cest symbolique, vous voyez !
Quand on décide daller se coucher, jembrasse Josiane et je mapproche des jumeaux. Ce matin, ils mavaient donné la main de loin, mais depuis, ils mont beaucoup matée et jai bien compris que je leur plaisais... Leur belle-mère aussi, manifestement. Ils font une drôle de tête quand je les embrasse, mais ils me sourient. Ils sapprivoisent petit à petit.
On va dans notre petite maison. Je dis à Julien :
Demain, tu dois être chez Josiane à 8 h 30 pour aider Robert.
Oui... Samia... euh...
Quoi ?
Je peux tembrasser ?
Il est malade, lautre ! Je le regarde et lui regarde ma chatte... Aaah, daccord ! Je lui réponds :
Oui... et lèche mon cul aussi, il chatouille depuis ce matin.
Je me mets à genoux, le visage sur loreiller et Julien se précipite sur mon trou du cul, la langue la première. Il est accro, non ? En tout cas, cest agréable. Même très agréable... Il faut dire quil fait ça bien, il suce mon anus et arrive à y faire pénétrer sa langue... Ils sont faits pour sentendre, mon cul et sa langue ! Je suis fatiguée, mais je glisse quand même la main entre mes cuisses pour me caresser tandis quil fait subir les derniers outrages à mon trou du cul. Jimagine différentes circonstances où je lui demanderais de faire ça... ce serait écoologique..... ooohhhh... cest limage qui me fait jouir... Cest bon... Maintenant il faut dormir, mais avant ça, je lui demande :
Tu aimes ça, hein ?
Oui Samia.
Moi aussi, on va le faire souvent. Maintenant, file dans ton panier.
Cest une image, mais il saute quand même du lit pour aller se coucher en boule sur sa couverture.
***
Julien me réveille à 8 h 45... Jai bien dormi... il fait calme dans le désert. Enfin, dans le village. Il me dit :
Bonjour Samia, le déjeuner sera prêt à 9 h.
Je redresse une jambe et il file sous le drap, coller sa bouche à ma chatte. Jaime le faire obéir sans avoir à prononcer un mot. Cest un peu juste comme toilette, alors je vais vite prendre une douche... froide et je me lave les dents. Étant brune et légèrement colorée, comme mes ancêtres qui venaient de lIndus, je nai pas besoin de me maquiller.
Je descends déjeuner... Josiane est déjà à table avec les jumeaux. Je les embrasse. Ces garçons sont de plus en plus à laise avec moi. Robert fait le service et Julien attend les ordres. Dites, cest pas un peu le monde à lenvers ? Ce sont les femmes qui servent les hommes depuis des siècles, non, des millénaires.
Ça ne vous choque pas de voir que ce sont les hommes qui nous servent ?
Il réfléchit puis répond :
Ce n'est pas du tout dans notre culture, mais de toute façon, ils ne sont pas enchaînés.
Un des jumeaux dit :
On devrait le faire.
Ils rient tous les deux, nous aussi... pour leur faire plaisir. Ils sont spéciaux les Asperger ! Ils ont lair de beaucoup aimer faire courir leur père. Ils sont même franchement désagréables avec lui, par exemple, je les entends dire : "Tu vas remuer ton gros cul !" Avouez que cest limite de la part dun fils à son père. Jaurais sorti ça à mon paternel, il aurait fait en sorte que je ne puisse plus masseoir pendant une semaine.
Jusquà présent, tout se passe bien : Djibril est près de moi, le cousin près de Josiane, les jumeaux insultent leur père et les maris font les servantes ! Physiquement, les cousins se ressemblent, mais au point de vue du caractère : le cousin de Djibril est beaucoup plus effacé, introverti.
Dès quon a fini, Djibril nous dit :
Nous devons y aller, vous ferez la vaisselle ce soir ou les maris.
Grand sourire sur le visage des jumeaux, mais de moi aussi, je dois dire.
Après être sortis, on va vers un vieux pick up. Djibril conduit, Josiane et moi, on sassied à côté de lui, les quatre autres sont à larrière. Josiane me dit :
On samuse bien ensemble... Je passerais volontiers tout le reste de mes vacances avec toi.
Moi aussi, on le fera... Deal !
Je tends la main, mais elle approche ses lèvres de ma bouche. On se rate dabord à cause des cahots et puis on sembrasse. Ses lèvres sont douces, sa langue encore plus... Cest très agréable dembrasser une fille.
Arrêtez, cest dangereux de bander en conduisant.
Nos lèvres se séparent pour pouvoir rire.
On arrive sur le site de la cascade dOuzoud. Djibril gare le pick up. Notre destination est une cascade qui se trouve au fond dune gorge, 100 mètres plus bas. On descend par un sentier assez raide et on arrive sur le site. La cascade est vraiment spectaculaire. Le point positif : cest très beau. Les points négatifs : il y a beaucoup de monde et il fait tellement chaud quon est en sueur. Je demande à Djibril :
On peut nager ?
Ici, non, mais on va aller un peu plus loin sur la rivière.
Cool...
On admire le site, puis on va boire un Coca dans un petit café installé dans la gorge. On remonte et on reprend la voiture pour aller vers lendroit que Djibril et son cousin connaissent. Cest au bord de loued El Abid, ce qui signifie littéralement "la rivière des esclaves". Un nom qui me plaît. Je fais remarquer à Josiane :
Ça convient très bien aux maris.
Djibril répond :
Non, ça convient mieux aux femmes.
Josiane et moi, on se regarde et je conclus en silence queffectivement, Djibril pourrait être le maître et nous ses esclaves. Il doit nous dépasser de 20 cm et peser 30 kg de plus. Et surtout, cest un homme, lui, pas un jouet comme les deux autres.
Il arrête le pick up. On descend, Djibril nous annonce :
On doit suivre ce sentier, mais cest beaucoup moins long que pour la cascade.
Il se retourne vers son cousin et lui dit :
Cest ici quon venait chercher des pointes de flèches et des perles en coquille d'uf dautruche, quand on était gamin. Tu te souviens ?
Les jumeaux tournent la tête ensemble vers lui et lui en disant :
Cest le néolithique du Sahara ?
Je ne sais pas, mais les pointes de flèches sont très belles.
Vous croyez quil y en a encore ?
Oh oui, personne ne connaît cet endroit.
Daccord, on y va.
Ils filent aussitôt. Je pense « bien joué ! » parce que Djibril sest sûrement dit que la baignade pourrait vite se transformer en parties de jambes en lair. En 10 minutes, on est en bas, au bord de la rivière des esclaves. Il y a un bel endroit dégagé, entouré de joncs... Ce matin, Josiane ma demandé si elle pouvait donner des ordres à mon mari. Bien sûr, les maris sont là pour obéir. Josiane dit à Julien et Robert :
Vous gardez nos affaires et vous faites le guet. Si vous êtes sages, vous pourrez vous baigner après nous.
Là, ils ne sont plus daccord du tout... mais non, je rigole ! On se déshabille. Les Maîtres : Djibril et son cousin, aussi (impossible de me souvenir du prénom du cousin). Ils sont grands, costauds et ils ont des sexes qui me mettent des langueurs entre les cuisses. Dautant plus quils commencent à gonfler dès que les esclaves Josiane et moi se déshabillent. Il faut dire quon est canon, toutes les deux. On a dû leur coûter bon/bon, au marché aux esclaves. Moi, vous me connaissez. Je ne suis pas très grande, mais jai des seins en poires bien fermes, une taille fine, des fesses bombées et une chatte aussi lisse quun galet de loued El Abid. Josiane est un peu moins belle que moi : ses seins assez lourds ont un petit coup de fatigue, ses fesses un peu de cellulite. Je crois quils ont reçu cette deuxième esclave en machetant, mais elle est quand même plus que comestible. Je mélangerais bien nos sueurs... hé oui, il fait plus de 35°. Je lui demande tout bas :
Lequel tu prends ?
Nimporte, ma chérie, on les échangera.
Djibril a entendu et il hausse la voix pour dire :
Et depuis quand cest les esclaves qui choisissent ?
Cest sûrement pour rire... mais il me fait quand même un peu peur. Il ajoute :
Toi (moi), viens ici !
Je mapproche de lui... Il me prend par la taille et me colle à lui en disant :
Tu es quoi ?
Votre esclave, Maître (euh... cest pour rire que je dis ça, bien sûr).
Josiane et le cousin rigolent, Djibril aussi. Il me prend par la main en disant :
Viens te baigner.
Y a pas des crocodiles ?
Ça y est, ils se remettent à rire, mais quest-ce que jen sais, moi ! On entre dans leau, cest agréable, elle est fraîche par rapport à la température extérieure. On joue, comme des hommes et des femmes, cest-à-dire que les hommes nous taquinent... Et puis on se frôle... On a de leau jusquà mi-cuisses. Djibril me prend à nouveau contre lui, mais, de dos. Je sens sa bite contre mon derrière. Il me dit :
Jaime tes fesses.
Moi, jaime sa bite. Le cousin prend Josiane contre lui, de la même manière, et ils sapprochent. Djibril nous dit :
Excitez-nous les filles.
À mon avis, ce nest pas nécessaire, à sentir sa bite contre moi, mais je ne demande pas mieux. Les seins de Josiane se frottent aux miens, tandis que sa bouche cherche la mienne.
Derrière moi, le sexe de Djibril essaye de trouver le chemin du paradis, cest-à-dire ma chatte. Il sest baissé derrière moi pour y arriver et le cousin fait la même chose à Josiane. Ils sont très au point, les cousins ! Jai limpression quils ont dû en tirer, des jolies Berbères, dans la rivière des esclaves... Enfin, les filles Berbères sont peut-être plus sérieuses que nous, alors disons des jolies touristes. Josiane et moi, on est jeunes, même très jeunes en ce qui me concerne, mais on a déjà vu le loup toutes les deux et plutôt deux fois quune. Parfois deux ou trois loups en même temps, dailleurs. On connaît la marche à suivre, on écarte les cuisses en se cambrant, genre nos terriers nattendent que vous, Messires Loups. Tout en caressant mes seins, Josiane me dit :
Putain, il est bien monté, le mien.
Le mien aussi et il sait y faire.
Djibril me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
Arrêtez de jacasser quand on vous baise, femelles !
Oui Maître, pardon.
Je dis ça pour rire... mais en même temps cest excitant, deux chrétiennes avec leurs Maîtres Berbères.
Bon, les cousins accélèrent le rythme, Josiane et moi, on ne parle plus, on sembrasse, on se caresse. Je gémis :
Je vais jouiiir....
Djibril me donne une nouvelle claque sur les fesses en disant :
Jouis en silence, esclave.
Il joue aussi, mais la claque et le mot esclave... Ça y est, je pars !
Aaaaaahhh oooouuiiiii !
Mon vagin se serre et je sens que Djibril jouit aussi. On reste lun dans lautre, le temps que Josiane et le cousin nous imitent. Les hommes se retirent et je mets ma main en conque sur ma chatte en disant à Josiane :
Nos maris vont nous lécher.
On va vers la rive, mais, oooh ! Il y a des voyeurs ! Les maris, cest normal, mais il y a aussi les jumeaux qui sont redescendus silencieusement.
À suivre.
Si vous voulez me joindre : mia.michael@hotmail.fr
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