Encore
Je pose mon regard sur lui dès que jen ai loccasion. De lautre bout de la pièce, à lopposé de mon amoureux, jai du mal à me contrôler. Les images de nos derniers ébats non catholique jouent en boucle dans ma tête. Mon désir est si présent de le faire gémir quune auréole dhumidité apparaît sur mon pantalon, entre mes cuisses.
Il a une beauté et une démarche séduisant,
Non enchanteur.
Mes pensées sont très érotiques, voir même impure. Je ne comprends rien des sensations que seul lui réussit à me procurer. Ces pulsions incontrôlables que je ressens dans mon entre jambe quand je lobserve ne sont pas pour autant désagréables, il sont au contraire délectables. Sa démarche dune confiance qui paraît inébranlable est excitante. Son regard si intense orné de deux yeux bruns quasi-noir mhypnotisent dès linstant que jy porte attention. Ses lèvres parfaitement découpées, décorées dune barbe fièrement porté et bien entretenue, sont à un tel point gouteuses et appétissantes quun simple baisé ma rendu dépendante de tout son être.
Il sapproche de moi. Les zones cérébraux qui contrôle mon excitation sont stimulées à leur maximum. Je sens mon cur battre jusquau bout de mon clitoris. Il me prend une fesse discrètement, puis il me souffle un léger : jai tellement envie de toi
Ses mots ont déclenchés chez moi une vague de chaleur alors que mes paupières se sont fermés inconsciemment :
- On va dans la chambre ? Lui ai-je répondue comme un réflexe.
- Absolument.
Avec une complicité or paire, main dans la main, nous nous dirigeons vers notre chambre :
- Mon beau, jaimerais que lon essaye quelque chose de différent cette fois. Lui demandais-je devant la porte en ayant des scénarios osés des plus existant dans les pensées.
- Mmh, jaime bien lidée, quas-tu à proposer?
Jouvre la porte puis je mallonge sur mon oreiller. En faisant glisser mes doigts le long de mon corps tremblant dun besoin voluptueux quil sapprête à combler, je lui explique dune voix sensuelle, mais amoureuse, que jaurais envie quil mutilise.
Depuis des semaines, jai se désir malsain dêtre prise comme un objet pour les plaisirs sexuelles de lhomme que jaime le plus. Depuis des semaines, je me vois être celle qui a pu lui procurer ces sensations nouvelles et complètement addictif.
Je veux être le meilleur jouet érotique quil pourra avoir.
Jatt mon téléphone pour laisser jouer une musique dambiance alors quil tente de venir me rejoindre sur le matelas. Pour le surprendre, je le repousse aussitôt. Intrigué, il ne pose aucune résistance. Avec un sourire narquois, je me dresse sur la couette face à lui. Bougeant au rythme de la mélodie, la lumière tamisée rend la scène parfaite. Lentement, je retire chacun de mes vêtements laissant entrevoir chaque parcelles de mon corps une par une. Mes muscles sont relaxés et je sens ma tête légère puisque je nai aucun questionnement à me faire.
Ce soir, cest pour toi.
Spontanément, mon partenaire magrippe de ses deux mains fermes, puis me jette brutalement contre le lit défait. Redressé sur ses genoux, il me regarde profondément dans les yeux, comme si nous allions nous quitter pour toujours. Ses pupilles me crient leur amour sans quand ses lèvres naient à lexprimer.
Je bouille denvie de masser chaque centimètres cubes de peau quil possède. Je suis si amoureuse de cet personne que mon besoin dêtre la meilleure sexuellement est à son comble,
Et jaime ça.
Son chandail se fait lentement retirer par mes doigts tout délicat. Sa carrure admirable exposée et son torse harmonieux à nu me donne lobligation de laisser libre court à mes idées obscènes. Au tour de sa braguette , je la déboutonne tranquillement. Je peux deviner létat dexcitation que je lui procure avec la dureté de son membre que je frôle intentionnellement avec mes paumes.
Il ne sont pas resté accroché à lui bien longtemps dailleurs.
Son sexe se découvre au quatre-vingt-dix degrés devant moi, comme un roi se tenant majestueusement devant sa reine. De mes lèvres douces, jembrasse doucement ses cuisses, puis son ventre, jusquà tout près de son membre. Je glisse ma langue humide mollement le long de son engin question de le faire languir pour mon plaisir personnel. Ma bouche se dépose délicatement sur son gland gonflé pour que, graduellement, il se retrouve au fond de ma gorge. Au même moment, je peux pratiquement ressentir les sensations que son pénis me procurerait dans mon vagin, alors que je les imagine dans ma tête. Les aller-retour de mon cou accélère au rythme de sa respiration. Il flatte le dessus de mon crâne faufilant ses doigts entre mes cheveux avant de les empoigner avec conviction mentrainant vers le bout de son organe. Sans indication, il retire sa queue laissant un léger filet de salive entre son gland rosâtre et mes lèvres de la même couleur. Mon homme mempoigne la mâchoire entre ses doigts et approche son visage du miens. Ses traits mon moins doux quau départ, mais tout aussi excitant :
- Se soir, tu es mon jouet saloppe.
Surprise des termes employés, je ne peux mempêcher de rire sournoisement :
- Je serais le meilleur jouet que tu pourras avoir.
- Ta gueule et ouvre la bouche.
Je tire la langue en sourient droit vers lui. Il glisse son membre encore une fois dans ma bouche, or cette fois si, il y a aucune tendresse. Plus je lentends grogner de plaisir, plus jai envie de lui en procurer. Je suis affamée. Jalterne les techniques, la vitesse et aussi la profondeur. Les yeux rivés sur mon amoureux, je lobserve se tressaillir de bien-être, la preuve que je prends bien soin de lui.
Lorsque je goute a sa queue entre mes lèvres, latmosphère de la pièce embrasse la supériorité que mon partenaire dégage.
Délicatement, je retire son gland rosé dentre mes mâchoires. Sans dire un mot je me redresse bien droite devant mon amoureux, lui permettant une vue complète sur tout mon corps. Seule et nue, au dépourvue de laire ambiante, mes poils se dressent, un frisson me parcoure les nerfs. Voyant mon inconfort, il fait glissé lun de ses bras étonnement chaud derrière mon dos compressant ma poitrine contre son torse. Dun mouvement synchronisée, toujours lun contre lautre, nous nous glissons vers nos oreiller.
Entre deux doigts, il saisit son pénis. Dun geste maladroit, il fait glissé son gland le long de mes petites lèvres préalablement lubrifiées par mon fluide dexcitation. Lentement je sens contre mes parois vaginale son membre qui gagne du terrain en moi. Tranquillement, suivant les mouvements répétés de ses hanches entre mes cuisses, une sensation de chaleur prend de lampleur.
Mon partenaire faufile ses mains fermes sur ma peau lisse provoquant un chatouillement suave jusquà mes paumes. Avec une légère pression, il aligne mes bras verticalement de chaque côté de ma tête avant de remettre ses mains à leur positions initiale, y laissant mes poignets bâillonnés par la volonté de sa domination. Ce geste simple signifiant linterdiction de bouger fait naitre en moi un pouvoir indéniable. Je veux obéir à tous ses demandes. Ne fait aucun bruit mordonne-t-il sèchement contrastant avec son timbre de voix séducteur. Hypnotisée, mes lèvres se cousent instantanément aux poids de ses paroles. Ce sentiment de soumission quasi-absolu mentraine dans une vague de chaleur jouissif, laissant imprégné sur ma peau un désir saillant dêtre martelé avec passion.
Ses doigts dans ma bouche, un coup de bassin plus puissant que les autres me saisit. Ce sentiment vif lemporte sur ma détermination laissant sortir instinctivement de ma bouche un gémissements incontrôlable. Je réalise mon erreur, mais
Trop tard.
tu as désobéi
Le temps sarrête.
Une crainte de représailles sinsinue au creux de mon ventre et y papillonne. La situation mémoustille, elle ravive mes peurs et fait éclore en moi autant dexcitation et de honte. Un émoi agréablement troublant grandis dans mon estomac, modelée par des émotions paradoxales qui se bousculent en moi. Je me surprend à délecter chaque seconde dattendre du châtiment qui approche.
En un claquement sec, une chaleur électrisante sempare de mon être.
Addictif
Jen veux encore
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