Exhibée Et Offerte

Un soleil éblouissant me réchauffe à travers la baie vitrée, je profite de sa douce caresse, nue, allongée lascivement sur le canapé ainsi éclairé. J’aime imaginer le regard égaré d’un voisin sur mon corps dévoilé, à cette pensée ma main descend instinctivement vers ma petite chatte déjà humide. La porte d’entrée claque, interrompant mes légères caresses.

« Eh bien, je vois que tu profites de mon absence pour te faire plaisir, tu es vraiment une affamée, j’adore ! Il fait si beau, tu ne devrais pas rester enfermée. Je t’emmène pour une petite balade la long de la mer, va t’habiller. Tu mettras ta robe blanche, sans aucun sous-vêtements pour que tout le monde puisse profiter de tes seins. Dépêche-toi. »

Il me connaît si bien, je suis si excitée à l’idée d’être exposée ! Un coup de vent et les passants verront mon cul, peut-être même ma chatte ! J’ai envie de croiser un regard et d’y lire l’envie face à mon corps presque offert. J’enfile la robe, le décolleté est assez plongeant mais surtout très transparent ! J’entends des pas dans mon dos, une main me pousse et me fait tomber en avant, cul en arrière. Une deuxième main fouille mon intimité, je gémis de plaisir et soudain, un objet froid s’introduit en moi. Surprise, je jette un œil en arrière, je le vois sourire alors que la deuxième boule rejoint la première. C’est la première fois que je porte des boules de geisha, la sensation est très surprenante ! Il me fait me relever et m’invite à le rejoindre dehors. Mes premiers pas sont hésitants, je sens les boules bouger en moi…

« Allez viens vite ma petite chienne, je sais que tu vas adorer ça. A cette heure-ci, il y a beaucoup de monde à la plage, j’ai hâte de voir les hommes te scruter. Et très hâte de te voir retenir ton orgasme de marcher avec ton jouet… »

Nous sortons, et effectivement, la plage est bondée ! J’ai honte, je suis persuadée qu’on peut deviner à ma démarche que quelque chose se cache en moi.

Le sol inégal me fait parfois trébucher, ma robe se relève, je sens le vent sur mes fesses dévoilées. Vite, je la rabats, mais trop tard ! Un homme siffle d’appréciation, mon maître stoppe notre marche et se retourne. Je pensais qu’il allait le remettre à sa place, siffler une femme, sa soumise qui plus est ! Mais non, il se rapproche de lui et lui parle. Je ne saisis pas la teneur de leur échange mais ils reviennent ensemble, un sourire entendu aux lèvres.

« Suis moi, nous allons derrière la digue, monsieur a apprécié la vue et aimerait en voir plus. Relève un peu ta robe pour marcher, fais lui voir le début de ton cul jusque-là. »
« Mais, je ne peux pas ! »
« Tais-toi, agis comme la salope que tu es. »

Résignée, je m’exécute et montre à cet inconnu mon petit cul ondulant au rythme de mes pas. Nous arrivons dans cet endroit isolé que mon maître m’a indiqué, et là, il empoigne mon cul et me plaque au mur. Il relève sans douceur ma robe et sa main s’abat sans douceur sur mes fesses, les écartant au passage. L’inconnu lui demande de me cambrer et d’ouvrir ma chatte, ce qu’il fait, je proteste, mais ils s’y mettent à deux pour m’humilier et m’exhiber.

« Laisse toi faire, salope, montre-moi ton cul, écarte tes fesses, c’est bien… »
« Montre à monsieur ce que tu as dans ta chatte. »
« Mais quelle chienne, se promener devant tout le monde avec ça ! T’aimes ça je suis sûr, jouir en public ? »
« Oh oui elle aime ça, c’est une exhib, elle adore jouir et faire jouir, donne lui ta queue. »

Mon maître me retourne, me met à genoux devant cet homme et sa queue tendue, il agrippe mes cheveux et me le fait prendre en bouche. L’inconnu a une grosse queue, épaisse comme je les aime, je la prends au plus profond, il s’enfonce encore et m’étouffe avec sa bite. Je déteste mon maître de me faire sucer cet inconnu et je suis en même temps si excitée… Je le vois se branler en me regardant faire, il bande fort le salaud ! J’entends un groupe passer de l’autre côté du mur, j’ai peur qu’on nous surprenne, la plage est très fréquentée, je redouble d’effort pour faire jouir l’homme auquel on m’a offerte.
Je sens sa verge se gonfler encore si c’est possible, ma langue danse autour de son gland, je pose mes lèvres contre son frein et suce encore… Il va jouir, je le sens, je me lance dans une gorge profonde, et au dernier moment il ressort de ma bouche et jouis sur mon visage. Il a osé ! Une faciale, alors que je ne le connais pas, que nous sommes en extérieur ! Je sens son sperme sur ma joue, du bout de la langue j’essaie de récolter ce que je peux, sous son regard moqueur et appréciateur…

« Mais quelle salope, elle veut laper mon foutre… Tu aimes en avoir plein la gueule… »

Les larmes perlent au coin de mes yeux, mais je n’ai pas le temps de protester, mon maître approche à son tour sa bite de ma bouche, sa main toujours occupée à le branler. Son rythme s’accélère, je tire la langue et une nouvelle dose de foutre inonde mon visage. Il a juté sur ma langue, je le regarde en avalant, je sais qu’il adore ça… Il me regarde avec un sourire et me relève, enfin. Il me tend un mouchoir et me demande d’essuyer mon visage souillé, l’inconnu nous tourne déjà le dos et s’en va.

« Tu as aimé ma chérie, être offerte à cet homme ? »
« Pas vraiment, c’était humiliant, il m’a mis du foutre sur mes joues… »
« Mais tu as adoré devoir le sucer devant moi, et pouvoir se faire prendre par des passants. »
« Oui… ça m’excite tellement d’être exposée ! »
« Je sais. Rentrons, il reste quelques traces de sperme sur ton visage, c’est parfait. Tout le monde va pouvoir voir quelle chienne tu es, et ta robe est transparente montre tes seins qui pointent, regarde toi… »

Il me met une petite tape sur mes seins, les pince, souris, et comme souvent, immortalise ce moment par une photo. Je me sens sale, souillée, chienne et terriblement excitée. Le chemin du retour me semble interminable, j’ai toujours mes boules de geisha qui s’agitent dans ma chatte, j’ai hâte de les enlever et enfin me faire jouir. La maison, enfin ! A peine arrivés, mon maître me retourne et me prend contre la porte.
Sa main s’enroule autour de ma gorge, mes fesses sont rougies des fessées qu’il me met sans discontinuer, je jouis, je jouis et crie mon plaisir à travers la porte. Je me suis rarement sentie si excitée, les voisins ont dû s’en rendre compte… Et vous écrire me fait revivre cette aventure, et je peux vous assurer que j’en mouille toujours autant !

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