Corinne Au Chaud (Et En Vacances Tropicales)
Corinne et son mari Christophe attendaient ce moment depuis longtemps : se retrouver ensemble dans l'avion charter qui les conduisait pour une dizaine de jours dans ce village de vacances d'un pays tropical, loin, très loin de leur environnement habituel. Pas pour faire du tourisme, non : le pays était trop dangereux. Simplement pour s'installer dans une bulle où tout était prévu pour le bien être des visiteurs : la mer, le soleil, les distractions, la bouffe. Du pays, ils ne verraient rien d'autre. Et ils s'en retourneraient bronzés comme en été, provoquant l'envie de leur environnement professionnel.
Le hasard les avaient placés dans la travée centrale de l'Airbus. Christophe était assis à côté d'une fausse blonde frisottée, elle aussi flanquée de son conjoint. Les présentations furent immédiates. Elle s'appelait Cathy, son mari Olivier et ils se rendaient bien entendu dans le même village de vacances avec la même ambition : buller au soleil. Entre Christophe et Cathy, le courant passa très vite, excluant les deux conjoints qui se trouvaient aux bords opposés de la travée, même s'ils se mêlaient parfois de la conversation. C'est ainsi que Cathy se raconta : elle était documentaliste, venait d'avoir 50 ans, ce voyage était son cadeau d'anniversaire et insista sur le fait que son mari et elle composait "un couple moderne", sans s'appesantir sur le sujet. Christophe abonda dans son sens sans entrer lui non plus dans les détails de quelques galipettes collectives (voir les précédents chapitres sur Corinne) mais quelque chose lui dit qu'ils s'étaient compris avec sa voisine. Déjà, des ondes sexuelles planaient sur les deux voisins de sièges et ce n'est pas le décolleté très généreux de la documentaliste, révélant une paire de seins agressifs, qui découragea Christophe. Il osa même lui susurrer à l'oreille un pronostic concernant la taille de son soutien-gorge, à savoir un 90C. Et l'intéressée lui retourna avec un grand sourire : "Exact".
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Ce serait faire injure à Corinne d'imaginer qu'elle ne s'était aperçue de rien. Elle connaissait suffisamment son mari pour savoir qu'il ne plongeait pas pour rien ses yeux dans le sillon mammaire de sa voisine. Si elle était coutumière d'aventures sexuelles sans lendemain, comme on a pu en juger lors des précédents épisodes, elle n'était pas persuadée que son mari était d'une fidélité à toute épreuve, en dehors bien sûr de quelques escapades menées en couple (voir notamment "Corinne en vidéo"). Mais elle était mal fondée à lui donner des leçons et au fond, elle n'était pas mécontente qu'il se lâche durant ces vacances où le sexe serait ment à l'ordre du jour, selon le bon vieux adage : sea, sex and sun. Elle en serait d'autant plus libre si l'occasion s'en présentait, ce qui n'était pas certain néanmoins. Ils s'étaient en tout cas promis de baiser ensemble dès leur arrivée au village, Christophe lui ayant promis "une bite de 20 cm" et Corinne une sanction immédiate s'il durait moins d'une demi-heure...
Effectivement, malgré la fatigue du voyage, le couple passa à l'action dès l'entrée dans la case et Christophe, très échauffé par les sous-entendus coquins de sa voisine d'avion, fit subir à Corinne un véritable mitraillage de coups de bite qui la fit piailler suffisamment fort pour que les voisins soient édifiés d'emblée : cette case serait habitée par un couple chaud bouillant. Et quand Corinne sortit un peu plus tard "vêtue" de son minuscule bikini qui ne dissimulait pour ainsi dire que sa vulve, la raie de ses fesses et les mamelons de ses seins, les hommes alentours envièrent Christophe d'être accouplé avec une telle femelle aussi visiblement portée sur le cul. Aucun n'aurait deviné que cette fausse blonde longiligne aux yeux émeraude, aux cheveux tombant sur les épaules, fessue à point et aux seins haut plantés, venait d'avoir 52 ans.
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Ayant fait déjà connaissance dans l'avion et trouvé des raisons de s'entendre, les deux couples trouvèrent tout naturel d'accomplir leurs diverses activités ensemble. Ils se baignaient ensemble, mangeaient ensemble, participaient aux animations ensemble et riaient ensemble. Certes, ils ne se ressemblaient pas physiquement : avec ses 175 cm, Corinne dominait largement les 159 cm de Cathy. Les deux femmes avaient pu détailler et commenter leurs anatomies lors des séances de bronzage intégral dans l'enclos fermé réservé à cet effet, en se félicitant mutuellement, ce qui fait toujours plaisir. Olivier avec ses rondeurs de quinquagénaire et ses cheveux poivre et sel, supportait difficilement la comparaison avec le corps d'athlète et le crâne glabre de Christophe, bien que sensiblement du même âge. Mais ce n'étaient que des détails et s'il y avait un point de convergence visible entre les deux femmes, c'était la taille de leur bikini, aussi minimal chez Cathy que chez Corinne à tel point qu'on se demandait, en voyant la première déambuler, si ses seins n'allaient pas jaillir du soutien-gorge et si le slip bien rempli de la seconde, fragilement tenu sur ses hanches par deux minces cordelettes, n'allait pas craquer à n'importe quel moment. C'est dans cette tenue que les deux femmes avaient notamment participé à une initiation au jet ski, chacune d'elle derrière le conjoint de l'autre. Et dans le chahut des vagues, Christophe avait noté non sans une certaine émotion que les mains de Cathy avaient dérapé vers son entre-jambes, comme une vérification de son volume. Corinne s'était contentée d'entourer le généreux abdomen d'Olivier, sans déplaisir au demeurant car le corps de l'homme était sans grande passion.
Le désir de Christophe pour Cathy montait d'un cran chaque soir lors des diverses animations. Les deux femmes arboraient un simple paréo par dessus leurs maillots de bain, sauf qu'il se réduisait au slip pour Corinne et... à rien pour Cathy, ce dont s'aperçut Christophe au détour d'un mouvement de cuisses un peu prononcé.
- Tu as envie de la baiser, hein, avoue-le.
La non réponse de Christophe valait aveu. Ce soir là, Corinne poursuivit mezzo voce :
- Je ne veux pas que tu la baises dans mon dos. Faisons ça à quatre, dans notre case.
- Tu... tu serais d'accord ?
- A cette condition, oui. Après tout, ce ne serait pas la première fois.
- Tu as envie d'Olivier ?
- Ce n'est pas trop mon type mais il est sympa et j'ai envie de te faire plaisir. Je pense qu'il doit quand même assurer avec une femme aussi sensuelle.
Restait à convaincre l'autre couple. L'affaire fut rapidement conclue entre les deux femmes. Il faut préciser qu'au cours d'une de leurs séances de bronzage intégral, leur conversation avait porté sur les questions sexuelles et l'une et l'autre avaient avoué des expériences échangistes ou mélangistes. Légèrement échauffées, au propre comme au figuré, elles en avaient conclu qu'un plan à quatre était de l'ordre du possible, à condition bien sûr que leurs époux soient d'accord.
Mais Olivier, bon garçon, n'y mit aucune opposition car Corinne lui plaisait, espérant seulement être à la hauteur de ce corps splendide. Et c'est ainsi que les deux couples gagnèrent nuitamment la case de l'un des deux, fébriles mais impatients.
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Dès l'entrée, Christophe et Cathy se jetèrent l'un sur l'autre et gagnèrent l'un des deux lits en s'embrassant goulûment. Corinne et Olivier les regardèrent, un peu surpris d'une telle impatience. Eux deux avaient plutôt envie d'une approche plus lente. Corinne se débarrassa de son paréo et apparut en mini slip de bain tandis qu'Olivier ôtait son tee shirt, révélant un torse bedonnant et velu. Il commença à caresser nonchalamment Corinne tout en observant avec elle les ébats sur le lit voisin. Christophe et Cathy étaient entièrement nus et se masturbaient mutuellement en s'embrassant, le premier affichant déjà une spectaculaire érection qu'Olivier envia.
Ceux-ci n'étaient en revanche pas passés à l'acte, toujours observateurs attentifs mais c'était à leur tour de se masturber mutuellement. La main de Corinne mit au jour une queue courte mais épaisse, savamment branlée puis bientôt sucée et d'un volume tout à fait acceptable. Il était cependant difficile de savoir si Olivier bandait à cause de la fellation de Corinne ou par le spectacle de son épouse prise en levrette par Christophe, ses seins lourds ballottant entre ses bras, les yeux pétillants, les frisettes en bataille et la bouche proférant les onomatopées du plaisir, tout en guettant le processus érotique sur le lit voisin. Olivier eut l'impression qu'elle attendait qu'il passe à l'acte et établir ainsi une sorte d'équilibre.
De son côté, Corinne espérait elle aussi que son partenaire prendrait l'initiative. Elle n'était pas malade de désir comme Christophe pour Cathy. Elle était juste excitée par la situation et la perspective d'un rapport sexuel avec ce gros nounours ne lui déplaisait pas mais sans plus. Elle voulait au moins montrer à Christophe qu'il ne serait pas le seul à prendre son plaisir, si plaisir il y avait. Enfin, Olivier l'invita à s'allonger aux fins de réciprocité, c'est à dire un cunnilingus. Corinne se laissa faire, cuisses ouvertes et caressées par la barbe de son amant. En appui sur ses coudes, elle l'observa en train de brouter son minou glabre tout en regardant Christophe en train de limer Cathy par derrière et surtout leur visage où se lisait la concentration, la tension, l'intensité du plaisir. A côté, elle semblait détachée, détendue, juste décidée à passer un bon moment. Tout au plus encouragea-t-elle Olivier par une réflexion : "tu me lèches bien, continue".
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Cependant se produisit dans son organisme une évolution causée par deux phénomènes conjoints. Tout d'abord, le couple voisin venait de changer de position. Christophe prenait Cathy en missionnaire et Corinne avait maintenant une vue imprenable sur ses couilles en bataille contre les fesses dodues de sa partenaire. Corinne aimait regarder un couple baiser, en réel et non en vidéo. Pas par voyeurisme mais par curiosité et pour information, histoire de voir si elle était à la page. L'attitude de Cathy l'intéressait particulièrement. Christophe la besognait à genoux et elle lui renvoyait la balle en levant très haut les hanches, révélant à la fois une grande souplesse et une musculature fessière enviable. L'homme ne bougeait pas et c'est la femme qui s'agitait, faisant aller et venir la queue longue de son partenaire du gland à la racine dans un clapotis révélant son excitation. Puis changeant encore de position, Cathy exposa sa croupe charnue en train de chevaucher Christrophe et Corinne fut frappée de voir son anus palpiter pendant qu'elle virevoltait sur la bite. Du coup, elle comprit mieux pourquoi les hommes sont si souvent friands de sodomie. Cet anus, c'était un sexe.
L'excitation de Corinne, toujours léchée par Olivier, allait crescendo. Il venait de toucher un endroit particulièrement sensible et, toujours en appui sur ses coudes, elle l'invita à insister : "oui, là, reste là, continue, c'est bon". Il s'exécuta et la combinaison de cette langue décidément experte et la vision du couple fornicateur déclencha dans le corps de Corinne une onde de plaisir qui la fit gémir longuement. Elle s'allongea, yeux clos, la main sur la nuque d'Olivier, ses talons dans son dos et se laissa aller tout en écoutant Christophe et Cathy, revenus en levrette, commenter crûment leur accouplement toujours plus torride. Corinne était estomaquée par le vocabulaire érotique de sa voisine qui lui faisait face à quelques centimètres :
- Allez baise, baise, baise, mets la moi bien profond, tu es dur, je te sens bien, tu vas loin, je sens tes couilles contre ma chatte, t'arrête pas surtout, ta femme te regarde, montre lui que tu me baises bien, oh là là, ouiiiii, comme ça, tu es pointuuuu, garde ton sperme, j'ai encore envie, tu as envie de m'enculer, hein, dis-le ? Mais reste là, dans ma chatte, active-toi, baise, baise, baise...
Corinne constata que ce délire verbal contribuait largement à la performance sexuelle de son mari, de plus en plus survolté et elle en conclut qu'il lui faudrait en tenir compte dans leur vie de couple. Christophe venait de retourner Cathy et exposait à nouveau ses fesses en mouvement à son épouse, pliant complètement sa partenaire, laquelle accentua la fouille du dard en attrapant ses pieds avec les mains, réussissant à les réunir d'une main derrière la nuque de son amant, confirmant sa grande souplesse. Corinne se sentit défaillir. Cet environnement érotique torride, combiné avec l'agilité de la langue d'Olivier, la mirent à un stade de bouillonnement intérieur insupportable. Elle lança à son partenaire :
- Allez viens, baise-moi maintenant, je peux plus attendre, j'en peux plus, s'il te plait.
Le visage barbouillé de cyprine (car le spectacle avait provoqué chez Corinne d'abondantes secrétions), Olivier se hissa entre ses cuisses largement ouvertes et s'enfonça très facilement en elle, de toute son épaisseur. Alors, Corinne poussa un râle venu du tréfonds de son ventre et rua à sa rencontre, histoire de bien lui signifier son adhésion totale, tout en l'encourageant à se multiplier à grands concours de "allez, vas-y, plus fort". La bite épaisse la remplissait complètement et elle sut déjà qu'elle allait jouir. Olivier suait et soufflait pour être à la hauteur de l'enjeu mais aussi à celle du couple voisin qui se déchainait au point de mettre leur petit lit en péril. Corinne lâchait prise et lorsque son regard embrassa l'accouplement de son mari avec Cathy, cette fois de profil, la vision de la bite tendue, entrant et sortant à cadence accélérée de l'entre-cuisses grand ouvert, déclencha en elle, combiné avec les coups de boutoir de plus en plus virulents d'Olivier, un orgasme puissant que son partenaire prit comme un hommage à sa virilité et il éjacula à longs traits. Puis Christophe, que la houle des seins lourds de Cathy subjuguait à chacun de ses coups de bite, prit lui aussi son plaisir et les deux couples, un peu sonnés, se dévisagèrent, comme étonnés de leur propre audace. La douche leur remit les idées en place et tous les quatre s'en allèrent prendre un bain de mer comme si rien de spécial ne s'était passé.
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Curieusement, cette expérience à quatre rapprocha les conjoints. Au lieu de renouveler ce "plan à quatre", ils éprouvèrent le besoin de copuler en duo dans la plus stricte conjugalité, ce qui ne les empêchait pas de prendre leur pied à tous les coups, comme s'ils s'étaient libérés. C'était particulièrement vrai pour Olivier et Cathy. Celle-ci ne reconnaissait plus son mari, devenu terriblement cochon et entreprenant. Jouissant bruyamment et toujours aussi loquace, elle s'était fait repérer par quelques loustics qui écoutaient à la porte et tentaient de voir ce qui se passait à l'intérieur. Corinne et Christophe n'étaient pas en reste. Instruite par Cathy, la blonde s'était mise au parler cru et commentait si bien l'activité de la bite de Christophe que celui-ci accumulait les performances sexuelles. L'expression "sea, sex and sun" colla parfaitement avec les vacances des deux couples, vacances hélas éphémères. Ils se débrouillèrent pour être ensemble dans l'avion du retour, se firent de chaleureux adieux à l'aéroport, se promirent des mails et des coups de téléphone qui, de fait, se produisirent pendant quelque temps avant de s'espacer et de disparaitre complètement. Ainsi vont souvent les relations vacancières. Mais elles n'effacent pas les souvenirs et pour eux comme pour beaucoup d'autres, marquèrent leur vie d'une trace indélébile.
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