Les Aventures De Dje 66
LES AVENTURES DE DJE 66
Ep 66 : UN EX A LEA
Les dernières morsures de l'hiver avait laissé place à un printemps très doux cette année là, dans la journée on avait souvent la baie vitrée ouverte dès que le soleil donnait. Il faisait encore un peu froid pour se faire bronzer mais c'était agréable de pouvoir sortir sans avoir besoin de trop se couvrir.
J'aime ces changements de saison, surtout celle là, le passage de l'hiver au printemps. Les corps emmitouflés pendant plusieurs mois se libèrent de leurs gangues de vêtements trop épais, les silhouettes s'affinent et plus de peau devient visible, les regards se perdent sur des décolletés plus ouverts ou des chemises plus légères. Des cheveux s'envolent au vent quelquefois encore frais de ces belles journées ensoleillées. Les pantalons aussi deviennent plus fins et ne dissimulent plus cette jolie bosse entre les cuisses des garçons pas plus que les chemisiers ne dissimulent les deux jolies bosses si voluptueuses qui rehaussent l'allure élancée des jeunes femmes
Ou là là je deviens poète, il faut que je me calme moi
Bon avec les mecs ça ne change pas grand chose on se voit toujours à poil sous la douche
Et paf ! Ça c'est déjà moins poétique ! Ouf ! Je m'en sorts bien là
Et ça me fait ça tous les ans !
Passons
En rentrant je prends une douche froide et si je ne vois pas Léa
Un gode. Et hop, après ça ira mieux !
Mais je me demande si le printemps lui faisait ça à elle aussi ou bien si c'était une impression
?
Léa semblait devenir plus
Comment dire ?
Sexe
Plus chaude
Plus demandeuse de plaisirs, de ma peau, de ma bouche, de mes caresses, de mes mains, de mes tétons, de ma douceur
Bon laissez tomber, c'est peut être moi !
Douche froide
! Je me demande s'il en font avec des glaçons ? Vous savez un peu comme les distributeurs d'eau dans les réfectoires
Ça serait bien, en tous cas dans un état pareil ça ferait du bien.
Un soir on se retrouvait dans un casino très sympa. Il ny a pas de casino dans la ville, bon je suis sûr que c'est en projet. Avec le développement du tourisme on va certainement me dire bientôt que c'est prévu mais pour le moment il n'y en a pas
On s'était réfugié dans une ville à quelques kilomètres de la maison pour pouvoir sortir et être tranquilles. Je ne sais pas si je vous ai dit que jétais très populaire et que dès que je sors il y a facilement cent cinquante personnes autour de moi ? Enfin si vous ne le saviez pas c'est que vous avez loupé un épisode
Donc le seul moyen d'être tranquille c'est de sortir dans une autre ville ou je rencontrerais moins de personnes connues. Parce que autrement les soirées romantiques en tête à tête, je ne vous dis pas
Cent cinquante pèlerins à nous tenir la bougie, ça ne le fait pas vraiment. Heureusement j'ai les moyens de me cacher et pour ça rien de tel qu'une suite dans un bon hôtel.
Au début ils me donnaient la clé d'un air complice, avec un petit sourire
Puis ils ont fini par remarquer que c'était toujours la même fille qui était avec moi et comme ils savaient que je n'étais pas marié
On leur a expliqué et depuis ils filtrent le passage, si vous me demandez dans lhôtel j'en serai averti avant même que le réceptionniste n'ai le temps de vous répondre, et il répondra ce que je lui demanderai de répondre. Ils sont adorables et on est tranquille.
Bien sûr on ne joue pas, dans un casino il y a d'autres distractions, une salle de danse, un salon dansant ( c'est presque pareil mais plus
chic ... ), bars, restaurants, sale de concert ( il y avait du jazz ce soir là ), saunât, hammam
Nous prenions un digestif léger après avoir passé une soirée délicieuse au restaurant trois étoiles quand je remarquais un jeune homme dans mes âges.
Il regardait dans ma direction, sa chemise était ouverte sur un torse musclé, fin et subtilement poilu qui ne dissimulait pas une certaine virilité. Un visage carré, un sourire ravageur un regard azur profond qui donnait le vertige. Il regardait dans ma direction, il me souriait, il venait vers moi
Je paniquais!
Je ne montrait rien à Léa mais je paniquais. Il était trop beau le mec ! La vache ! Dans ma tête les questions fusaient : '' C'est qui ? Mais c'est qui ! Non de dieu ! C'est qui, je ne me souviens plus ? Ça va me revenir mais c'est qui ? ''
Léa : Ça va chéri, tu as l'air bizarre d'un coup ?
Moi : Moi, oui, oui, ça va, euh, un petit coup de fatigue !
Il était juste derrière Léa, ça ne me revenais pas je ne savais pas qui c'était, j'étais tétanisé
Lui : Léa ? C'est bien toi ?
Léa sursautait et se retournait. Suivait un cri de joie.
Léa : Jonathan ! Mais mon dieu, ça c'est une surprise, mais qu'est ce que tu fais ici ? Tu ne peux pas savoir comment ça me fait plaisir de voir !
Jonathan : ( on connaît son nom maintenant ) Je fais une sortie avec des amis du boulot. Je ne m'attendais pas à te trouver ici !
Ils se prenaient dans les bras et s'embrassaient ( sur la joue ), moi je restais là, probablement l'air un peu con
Mais, bon ... ! C'était Jonathan alors
!
Jon : Mais je ne te dérange pas j'espère, tu n'est pas seule !
Léa : Je suis avec mon fiancé, ( elle se retournait ) Je te présente Jérémy Brosso ! Tout le monde l'appelle Djé ! Djé je te présente
Moi : Laisse moi deviner
Jonathan je présume
Ils éclataient de rire
On se serrait la main et bien sûr Jonathan se joignait à nous.
Jon : Mais
Djé
C'est pas toi dont tout le monde parle, le champion régional de taille internationale ?
Je lui confirmais d'un mouvement de la tête.
On parlait de son boulot, il travaillait dans une banque de placement
Moi : Placement mais le ciel qui t'envoie ! J'aurai des placements à faire moi
On parlait de moi et de ma célébrité !
Jon : Moi j'ai essayé de porter une fois ce truc, c'était un défi au boulot. Mais garder ma bite enfermée dans un de ces machins, c'est pas pour moi !
On parlait de Léa !
Jon : Nous nous connaissons très bien et de très longue date.
Léa : Mais nous n'avons été amants que très peu de temps !
Voilà une manière singulière de me présenter un de ses ex !
On buvait un verre, puis un autre. Je n'avais pas cours lundi matin, on était samedi soir, on avait donc prévu de ne partir que lundi après le petit déjeuner
On buvait encore un verre !
Plus tard dans la soirée, on allait dans la boite de nuit, où, on buvait encore quelques verres
Il nous présentait ses camarades avec qui je buvais quelques verres
J'étais bien parti quand Léa se penchait vers moi et me glissait à l'oreille
Léa : Tu as pensé à prendre les godes ?
Moi : Je me suis aperçu que je les avais oublié, mais il y a un sex-club pas loin, il ferme tard on peut y passer je suis sûr qu'il y aura tout ce qu'il faut !
Léa : On pourrait aussi inviter John ?
Moi : C'est qui John ?
Léa : Mais Jonathan voyons !
Moi : Tu lui a demandé ? Il a dit oui ?
Léa : Jattendais avant de t'en parler, mais je le connais bien et je sais ce qu'il va répondre !
J'avalais ma salive et regardais dans la direction de John ! Je me disais '' La vache, il est vraiment beau, et il a l'air bien équipé, ce serait bien mieux qu'un gode
'' . Ma bite ne tardait pas réclamer, elle hurlait
OUI !
Mon cul se contractait et me disait : '' Ça va faire mal mai j'en veux '' et ma prostate me promettait déjà des plaisirs affolants !''
Moi : Euh
! Pourquoi pas
! Enfin
Euh
Je sais pas quoi t'en penses, toi ?
Elle me donnait un baiser brûlant sur mes lèvre et me répondait.
Léa : D'accord !
Elle prenait alors ma carte de crédit en me disant de l'attendre, elle revenait
De suite
Au passage elle passait à côté de John, le prenait dans ses bras et lui glissait un mot à l'oreille. Il tournait le regard vers moi et me lançait un grand sourire
Il venait sasseoir à côté de moi
Jon : Ça te dérange pas ? Tu es sûr ?
Moi : Non au contraire
Jon : Tu l'as déjà fait à plusieurs ?
Moi : Oui, souvent à une époque !
Jon : Et ta cage de chasteté, ça ne gênait pas les autres ?
Moi : J'en portais pas à l'époque !
Jon : Oui je vois!
Moi :
Jon : En fait je ne vois pas du tout ! Et comment tu fais avec Léa ?
Je lui racontait mais sans parler du dernier usage que nous avions trouvé au gode ceinture
Il avait l'air intéressé, très intéressé même
Jon : Et toi ? Ton plaisir ?
Moi : Moi ! Et bien
Il avait posé sa main sur ma cuisse.
Jon : Je peux toucher ?
Moi : Oui vas y !
Doucement autant que discrètement il tâtait mon dispositif de chasteté. J'avais posé ma main sur sa cuisse et doucement je remontait vers son entre jambe prometteuse, quand j'y arrivais j'étais saisi. Ma queue protestait de nouveau, la pression devenait intense dans ma cage, il ne remarquait rien, ma prostate s'affolait et mon anus aussi
C'était pas du chiqué, c'était plus que prometteur, C'était énorme
Suivaient deux autres verres coup sur coup !
Léa ne tardait pas, elle me rendait ma carte de crédit en nous montrant un sac en plastique d'une belle taille qui dissimulait parfaitement son contenu. On montait dans la chambre.
La porte était à peine fermée qu'elle me sautait dessus, me prenait dans ses bras et m'embrassait avec fougue, elle avait l'air chaude ce soir
John restait à côté de nous, juste à côté de nous, je ne comprenais pas mais quand elle se tournait vers lui pour l'embrasser à son tour je remarquais qu'elle le retenait par la main. Elle se retournait vers moi de nouveau, toujours des baisers brûlants, puis passait à John
Elle se retirait enfin et
Léa : A vous maintenant je vous regarde !
C'était clair, et c'est sans hésiter que John me prenait dans ses bras et m'embrassait avec le même vigueur que Léa quelques instants plus tôt, je me lâchais et lui rendait ses baisers, ses caresses. Ma tête était en feu, ma cage sous pression et je me demandais tant de choses
Léa à déjà fait ça ?
John à déjà fait ?
J'ai déjà fait ça ?
Là c'est une question idiote, je sais, je connais la réponse, mais j'avais bu ce soir là !
Léa se glissait entre nous et en glissant une main sous nos chemises elle nous disait simplement
'' Déshabillez-moi !''
Je lui prenait la main, lui donnais un baiser sur la main, lui caressait le bras, ma main remontait à son épaule, se glissait doucement sous la petite lanière qui retenait son soutient gorge, de l'autre main j'ouvrais ce corsage, la main de John me caressait ma main, il avait la même idée que moi
Rapidement Léa n'avait plus que son soutient gorge puis rapidement plus rien, je me glissait derrière elle et lui caressait le corps, le torse, le ventre, les seins. Mes mains rencontraient les mains de John qui lui, devant Léa faisait comme moi.
Je l'embrassais dans le cou, elle gémissait, je lui mordillais l'oreille tout doucement, elle gémissait. John que je surveillais d'un il lui embrassait les seins, il la chatouillait avec le bout de son nez, elle gémissait, il lui mordillait le bout des seins avec une extrême douceur. La technique est simple, les dents du haut, le téton, glissez ensuite votre langue puis enfin les dents du bas. Si vous mordez trop fort vous le sentez parce qu'alors vous vous mordez aussi la langue. ''. Il sait y faire le mec, j'aimerais bien qu'il me le fasse aussi '' ça m'aurait fait gémir mais là c'est elle qui gémissait. Ma cage se relevait elle était sous pression.
Je me collait contre le dos de Léa, John se collait contre elle et ce sont les épaules de Jonathan que je caressais, c'était mon dos qu'il caressait. On se donnait du plaisir avec force, tendresse, douceur mais toujours virils. Je penchais ma tête par dessus l'épaule de Léa pour l'embrasser dans le cou, elle gémissait, je rencontrais la bouche de John, nous nous embrassions avec passion, il gémissait
Léa se retournait, je lui embrassais les seins, avec douceur. Jonathan lui caressait les épaules et glissait ses deux mains sur son ventre pour lui ouvrir la jupe, ( un joli petit bout d'étoffe de rien que je lui avait offert à prix d'or ). Comme par réflexe, je collais mon ventre contre le ventre de Léa comme pour empêcher Jonathan de parvenir à ses fins
Ça ne l'arrêtait pas, ne pouvant attendre la jupe de Léa il ouvrait mon pantalon qui tombait sur mes chevilles. Vous savez que je ne porte pas de sous vêtements !
D'un élégant mouvement de la jambe ( enfin j'espère ) je lançais une chaussure, puis la seconde, le pantalon suivait j'étais nu.
Jonathan passait la tête pas dessus l'épaule de Léa pour admirer le résultat, il avait un petit sourire narquois.
Moi : C'est moi qui ai gagné !
Il me répondait par le même sourire, la jupe de Léa tombait, il en avait profité
C'est moi qui en profitait alors, je tombais à genoux devant Léa et posais mes lèvres sur son sexe, il me laissait faire et pendant que je lui donnais du plaisir entre ses jambes, il lui en donnait sur le reste de son corps
Elle gémissait de plus en plus fort. Au bout d'un moment, fatigué de me voir ainsi, il se mettais à genoux lui aussi, à côté de moi et tranquillement venait m'embrasser goulûment, il y avait toujours de la tendresse mais il y avait en plus de la passion, de la folie et quand il se retournait vers Léa, il prenait ma place et c'est lui qui alors lui donnait du plaisir !
Je me vengeais sur lui, le caressais, l'embrassais sur les épaules, le dos. Passais mes mains sur son ventre et lui ouvrait le pantalon. Je me relevais prenait la place qu'occupait Jonathan peu avant et caressais les seins de Léa, elle penchait la tête en arrière, on s'embrassait.
Léa : Va voir dans le sac que j'avais en entrant, il y a un gode-ceinture !
J'enfilais le harnais et y fixais le gode. Léa s'écartait de Jonathan et se jetais sur le lit, allongeait sur le dos, les jambes et les bras écartés, elle nous regardait. Jonathan se enlevais son pantalon non
Il le jetait dans un coin avec le reste de ses vêtements. Sa queue se relevait, elle était énorme mais il bandait bien. J'avais presque peur. Ma queue protestait dans sa cage et poussait pour sortir, sans espoir mais elle ne renonçait pas. Nous nous retrouvions tous les deux nus devant Léa, moi avec une bite en plastique qui se redressait mécaniquement et Jonathan avec sa bite, sa vraie bite, énorme qui se redressait avec fierté
Je ne pouvais plus en détacher les yeux !
Léa le remarquait. Elle me lançait : '' Suce le ! ''. Je mexécutais, mon cur battait fort, j'avais l'impression qu'il battait au ralenti mais que chacun de ses battements était particulièrement fort et frappait aussi mon thorax, ma bite poussait dans sa cage ! J'en menais pas large, je m'étais déjà enfilé des gode aussi gros, mais ça faisait longtemps, même si je m'y étais remis depuis peu, ça faisait un moment que je manquais dentraînement. De plus quand tu t'enfile un gode c'est toi qui contrôle. Là il n'y avait aucune chance, et il était costaud, il allait me défoncer le cul, m'éclater la rondelle
Je n'attendais que ça, me la prendre dans le cul, mais je le redoutais également !
Je me concentrait sur son gland, je le léchais, je le suçais. J'avais l'impression de me déboîter la mâchoire pour le faire entrer, mon cul se contractait. Sa queue s'enfonçait lentement, une contraction, un envie de vomir et je me retirais. Je reprenais mon souffle, avalais ma salive, me concentrais et je recommençais. Sa queue rentrait un peu plus profond. Il prenait ma tête à deux mains, mon cur sarrêtait, il appuyait d'un coup sec, sa queue entrait, il gémissait, j'avais du mal à me contrôler mais je la prenais sur la moitié de sa longueur. Ma prostate protestait, salarmait et mon cul se contractait, ils semblaient me dire qu'ils refusaient une telle matraque
Léa : Djé ! Viens sur moi et fait moi l'amour comme tu sais si bien le faire .
Jonathan se retirait, j'avais déjà mal à la mâchoire et une drôle d'impression dans la gorge
La vache il est vraiment bien monté ! Je m'allongeais sur Léa avec douceur, plaçait le gode en position et doucement la pénétrait, je la sentais se cambrer, relever le bassin, je sentais sa respiration, son souffle et quand j'étais bien à fond, je faisais une pose et
Léa : Jon tu pourrais enculer Djé s'il te plaît, tu serais mignon !
Mon cur s'arrêtait, mon cul se dilatait et se contractait, ma prostate paniquait, ma bite poussait pour sortir pour s'enfuir, j'avais envie de m'enfuir en hurlant que ça ne passerait pas, que c'était trop gros
J'avais envie mais je ne bougeais pas
Jonathan s'allongeait sur moi, j'étais tétanisé, je sentais sa queue s'appuyer doucement contre mon anus qui se contractais. J'avais l'impression que ce qui poussais était son genou
La pression augmentait, j'avais l'impression que rien ne rentrerait, trop large. La pression devenait plus forte et sans que je ne comprenne ce qui se passait mon anus se détendait et la queue de Jonathan s'enfonçait. A cet instant j'ai vu des étoiles !
Jon : J'suis pas mignon !
Tout le reste de mon corps se contractait, mon anus se détendait au point de me laisser craindre qu'il allait se déchirer mais tout se passait bien, ça faisait mal, je sentais chaque millimètres glisser contre l'entrée de mon anus. Je sentais ma prostate s'alarmer s'écraser contre cette pression interne qui me dilatait mes organes internes. Et ma queue ? Ma queue ne se faisait plus remarquer, de ce côté je ne sentais plus rien, plus aucune pression, elle avait sans doute réussi à s'enfuir !
Je me concentrais sur Léa, et commençais des mouvements de va et vient, Jonathan me suivait, quand j'avançais il avançais et quand je me retirait il suivait le mouvement et reculait. Il restait planté dans mon cul, bien à fond. Au bout de quelques mouvements, il se désynchronisait, doucement au début puis plus vite. Léa gémissait de plaisir, elle se cambrait et suivait mes mouvements. Jonathan était complètement décalé par rapport à moi. Quand je me retirait il s'enfonçait complètement, et se retirait quand mon gode entrait complètement en Léa
Je ne bandais pas, ma queue s'était réfugiée dans un tout petit coin de sa cage. Je tremblais, j'avais du mal à respirer, j'avais l'impression que j'allais m'effondrer, mes bras tremblaient, j'allais craquer.
Léa semblait aux anges, j'avais le vertige, quand Jonathan s'enfonçait dans mon cul, j'avais l'impression qu'il allait ressortir par ma bouche. Je gémissais
Je craquais, tout mon corps se révulsait, se contractais, mes intestins se contractais pour chasser tout ce qui était de trop, repousser Jonathan, l'expulser
Mais Jonathan résistait il ne voulait pas ressortir et il continuait à me buriner, je gueulais, il ne lâchait pas
je hurlais, je convulsais, je jouissais
Pas une goutte de sperme ne coulait mais je convulsais dans une plaisir infini
Le corps de Léa se contractait lui aussi sans contrôle, elle jouissais comme une folle. Elle jouissais comme je ne l'avais jamais vu jouir
C'était parce qu'elle me voyait là dans ses bras me faire défoncer le cul par son ex ? J'en pouvais plus, je me décidais enfin à demander à Jonathan de se retirer. Il me balançait encore quelque coups de reins puis se retirait
Je me retirais également et me laissait tomber sur le sol, j'étais vidé ! Je tremblais encore un moment, j'avais froid sur un coussin d'un hôtel de standing bien chauffé
J'avais froid, je finissait pas me lever m'enrouler dans une couverture puis je m'installais sur un fauteuil.
Sur le lit Léa et son ex se faisaient des câlin. Il s'allongeait sur le dos, et Léa s'empalait sur lui, elle le chevauchait et commençait à bouger son bassin d'avant en arrière
Mais rapidement il ne la laissait pas faire tout le travaille, il prenait les choses en main. Il prenait d'abord les hanches de Léa en main, il la maintenait pendant qu'il soulevait le bassin et se laissait retomber. Léa poussait un cri à chaque fois qu'il retombait, elle retombait alors elle aussi et sempalait alors de tout son poids, elle gémissait alors, puis criait et enfin gueulait de plaisir. Ses seins se balançaient, Jonathan lui caressait alors les seins, il les attrapait avec force, elle semblait aimer, elle jouissait encore. Elle jouissait bruyamment, elle hurlait. Jonathan râlait de plaisir à sont tour, je devinais la conclusion il criait lui aussi, il hurlait au moment ou il jouissait et je voyais son corps se convulser, se contracter
Encore quelques mouvements désordonnés et il retombait sur le dos, Léa repliait ses jambes en arrière et se laissait tomber sur son ancien amant. Elle tournait la tête vers moi et me souriait.
Un peu plus tard elle se relevait, la queue de Jonathan se retirait enfin, j'allais mieux, je les retrouvais dans le lit, nous étions épuisés, j'avais un peu mal au cul mais le contraire aurait été étonnant. Léa s'endormait en premier, elle était entre nous, Jonathan regardait le plafond il avait le sourire. Je regardais son profil, il était vraiment beau, j'avais envie de m'amuser avec sa bite mais je n'osais pas
Et puis
Réveiller le loup
Mon cul me rappelait à chaque battement de mon cur que ça pourrait faire mal
Pourtant j'avais envie, j'en avait encore envie
C'est comme s'il avait deviné mes pensées
Il tournait son visage vers moi et me faisait un clin dil. Je me laissais aller et m'endormais rapidement !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!