April, En Quête De Sexe 24
Un samedi, je me retrouvais à l'auto-école pour m'entraîner au code. J'y étais déjà depuis une heure, m'ennuyant ferme, quand un événement égaya ma journée : un mec entra dans la salle. Et pas n'importe quel mec : un beau gosse qui avoisinait les 2 mètres, bien baraqué, avec de courts cheveux blonds. Je pus aussi remarquer qu'il avait de jolies fesses. Ce mec était super beau, je me mordis la lèvre inférieure de désir. C'était décidé, j'allais me le faire.
Il s'assit derrière moi, en me lançant un regard intéressé au passage. Je portais un débardeur bleu qui était bien décolleté et comme j'étais légèrement penché en avant, il avait bien dû se rincer lil.
J'étais maintenant beaucoup moins concentrée sur l'écran et beaucoup plus sur le beau gosse assis derrière moi. Je tournais très souvent ma tête vers lui pour le mater, ce qu'il remarqua rapidement. Pour lui faire comprendre que je le désirais, je lui fis des clins dil et je suçais langoureusement mon doigt. Le beau gosse me sourit en retour mais ne semblait pas perturbé. En général, quand je draguais les mecs de façon directe, ça les déstabilisait mais lui pas du tout. Cela m'intriguait et me donnait encore plus envie de le baiser.
Une fois que la série de questions fut terminée, mon beau blond sortit de l'auto-école. Avant qu'il ne s'en aille, je le rejoignis et l'interpellai :
- Hé, le beau gosse !
Il se retourna, un sourire amusé sur le visage :
- Beau gosse ? Je te plais, non ?
Je n'y allais pas par quatre chemins :
- Ouais, t'es super canon. Et j'ai grave envie de te baiser. Alors donne-moi ton numéro.
Il eut un petit rire et me donna son numéro :
- On peut dire que tu sais ce que tu veux toi ! Me dit-il en me donnant son numéro. Au fait, je m'appelle Sven, au cas où ça t'intéresses de connaître mon prénom.
- Moi c'est April. Bon, je te rappellerais quand je voudrais coucher avec toi. À plus, beau gosse.
Sur ce, je repartis chez moi avec le numéro de mon beau blond en poche.
Le week-end venu, j'invitais Sven chez moi le dimanche après-midi étant donné que mes parents n'étaient pas là ce jour là. Pour l'occasion, je m'étais habillée d'un micro-short moulant et d'un mini-débardeur bleu ciel et je ne portais pas de sous-vêtements. J'attendis ensuite que Sven arrive ce qui ne tarda pas : on frappa enfin à ma porte. J'allais immédiatement ouvrir : c'était bien Sven habillé d'un jean et d'une chemise blanche. Il était vraiment sexy.
- Ah te voilà beau gosse ! Je commençais presque à m'impatienter !
- T'avais vraiment envie de me baiser toi !
- Oui. Maintenant viens par là.
Je lui attrapais la ceinture de son jean et le tirais à l'intérieur. Je refermais ensuite la porte et je m'agenouillais devant lui et lui descendis son jean et son caleçon, libérant sa grosse queue d'environ 25 cm qui bandait à moitié. Je la pris en main avant de lui dire :
- Mmm, elle me fait envie, ta queue.
Sven me sourit et me répondit :
- Je parie que c'est la plus grosse que tu aie eue en main, je me trompe ?
Je ne lui répondis pas mais je pris sa queue en bouche, commençant d'abord par lui sucer le gland. Je lui jetais un regard coquin tout en le suçant langoureusement. Sven mit sa main derrière et appuya légèrement pour enfoncer plus profondément son sexe dans ma bouche. Je le laissai d'abord faire puis je retirai ses mains et continuai à le sucer sans aide. Je faisais de rapides va-et-vient, salivant sur sa verge pour bien la lubrifier. Sven gémissait doucement, appréciant ma bouche autour de son énorme sexe qui bandait maintenant à fond. Je me relevais et me mis sur la pointe des pieds pour embrasser Sven langoureusement tout en le branlant vigoureusement.
- Tas un super cul, ma belle. Bien ferme, bien bombé, j'adore !
Après ce compliment, il présenta son sexe à l'entrée de ma chatte mouillée. Il rentra doucement, que le gland d'abord, puis il entra entièrement, me remplissant bien. Précautionneux, il me baisa doucement tout d'abord, pas trop vite pour ne pas me faire mal. Je commençais doucement à gémir, appréciant ses petits coups de reins. Je remarquais que Sven était attentionné, il n'y allait pas de suite à fond, il y allait progressivement. Je trouvais ça sympa de sa part même si ça ne m'aurait pas dérangé qu'il y aille plus fort.
Petit à petit, il augmenta le rythme jusqu'à me baiser puissamment. Je ne pus alors m'empêcher de crier, sa queue me faisant énormément de bien. Il s'occupait de mes fesses avec ses mains, alternant entre claque et caresses. Il me baisait vraiment bien, me faisant de plus en plus crier. Il était vraiment doué avec sa queue, il me procurait énormément de plaisir. Me tenant par les hanches, il me mit à genoux et me retira mon débardeur. Il prit ensuite mes seins à pleines mains pour me les masser et me pincer les tétons, me encore plus crier. Tout en continuant à me labourer vigoureusement, il me mordilla le lobe de l'oreille et me chuchota :
- J'adore ton corps ma belle. T'es trop sexy !
Ravi de ce compliment, je tournai la tête vers lui et l'embrassai langoureusement. Il continua de me baiser ainsi jusqu'à ce qu'il sente que j'approchais du septième ciel. Alors, il posa sa main sur nuque et me remit à quatre pattes. Il me prit les cheveux et me claqua les fesses avant de me prendre à toute vitesse. Je criais alors de toute mon être : il venait de me faire jouir, un merveilleux orgasme qui m'excita encore plus.
Sven me retourna et me prit ensuite en missionnaire. J'écartais bien les jambes pour qu'il aille plus profondément en moi. Pendant qu'il me pilonnait bien vigoureusement, il m'embrassa les seins, léchant mes tétons et les mordillant légèrement. Sous la puissance de ses coups de reins qui me faisait toujours autant crier, je plantais mes ongles dans son dos et lui griffais. Sven grimaça puis il me prit mes poignets et les plaqua au dessus de ma tête. Je me débattis mais il me tenait bien trop solidement. Joueuse, je lui mordis alors le menton en lui lançant un regard de défi. Il me prit alors à la gorge d'une main et me il continuait à me tenir les poignets de l'autre. Me tenant à la gorge, il me força à le regarder dans les yeux ; c'était maintenant lui qui me lançait un regard de défi. Il était bien trop fort pour moi, je n'arrivais pas à le renverser. Je me laissais alors aller à ses coups de reins, cessant de me débattre. Je pus alors profiter de chacune des allées et venues de sa bite qui me mettait le corps en feu. Ce qu'il me faisait était vraiment trop bon, il savait vraiment se servir de son sexe. Je ne pus tenir longtemps à ce rythme là et il me procura un nouvel orgasme qui me fit hurler. Mon corps se cambra, mes yeux se fermèrent et je tressaillis sous la puissance de cette jouissance. Sven continua encore de me baiser jusqu'à ce qu'il approche de l'orgasme : il sortit de moi et se branla pour se finir. Il visa mes seins et les aspergea de son sperme en poussant un râle de plaisir.
Satisfaite de la baise qu'on venait d'avoir, je le complimentais :
- Je te félicite, tu sais bien te servir de ta queue !
Sven sourit :
- Merci mais ne crois pas que tu en as fini avec moi. Je vais encore te faire crier et tu vas adorer ça.
Je me relevais et commença à lui déboutonner la chemise :
- Peut-être mais d'abord, c'est moi qui vais te faire crier.
Sven eut un petit rire et me défia :
- Tu crois ça. Jusqu'à présent aucune fille ne m'a fait crier, c'est moi qui les fait crier alors ça m'étonnerait que tu y arrives.
- J'y arriverais, tu verras.
Décidé à relever le défi, je le fis allonger au sol et je m'empalai sur sa queue toujours aussi tendue. J'entamais d'abord une chevauchée lente puis je me déhanchais de plus en plus rapidement. Je pris alors appui sur son tore musclé et je le chevauchais plus ardemment. Sven commença doucement à gémir mais il ne criait pas encore. Je le chevauchais alors encore plus vite, malmenant sa queue en moi. Sven poussa alors un petit cri qu'il ne put retenir. Je lui lançais un sourire narquois, ravie de l'avoir fait crier mais je voulais qu'il crie encore plus. Je le chevauchais encore plus ardemment, à toute vitesse, ne lui laissant aucun répit. Sven se tortillait tentant de résister au plaisir qui l'envahissait mais cela devenait difficile pour lui, il grimaçait et ça devenait de plus en plus dur pour lui de résister. Je continuais à le baiser toujours aussi intensément et je le tins à la gorge pour le voir défaillir. Sven tenta encore de lutter mais il finit par avoir un orgasme qui le fit crier. Je continuais à le baiser jusqu'à jouir à mon tour.
Je sortis sa queue de mon intérieur puis je me penchais sur lui pour le narguer :
- Alors, mon grand, je croyais que je n'arriverais à te faire crier.
Sven fut un peu vexé mais il fut de bonne foi :
- Ok, t'es très douée, tu m'as bien fait crier.
Je voulus l'embrasser mais il ne l'entendit pas de cette oreille : il me souleva et me fit asseoir sur le canapé. Il m'écarta les jambes et s'agenouilla pour me faire un cunni. Il tournoya sa langue de mon clito, sauvagement, me faisant gémir sous la dextérité de sa langue. Il rentra sa langue en moi et il me fouilla mon intérieur, me procurant un intense plaisir. En plus de bien se servir de sa bite, il se servait aussi très bien de langue, il était presque aussi doué que Scott. Il rentra ensuite deux doigts en moi pour me doigter vigoureusement. Son talent m'acheva et il me procura un nouvel orgasme qui me fit une nouvelle fois crier.
Sven ne me laissa aucun répit et il me pénétra une nouvelle fois. Cette fois-ci, il n'y alla pas progressivement, non, il me baisa immédiatement d'un rythme rapide et ample. En même temps, il me malaxait mes seins, me les triturait, me les caressait... bref il s'occupait d'eux avec ses mains. Il me baisait puissamment, me faisant régulièrement crier. Je voulus le renverser mais Sven me plaqua contre le dossier du canapé. Je me débattis encore mais il me tenait bien. J'entourais alors sa nuque de mes bras et enfonçais sa tête dans ma poitrine. Sven, tout en continuant de me baiser, se mit à me bouffer les seins. J'en profitais alors pour renverser la situation : je le repoussais et le fis asseoir sur le canapé pour m'empaler sur lui en lotus. Sven mit immédiatement ses mains sur mes hanches pour me renverser mais je lui pris ses poignets et les plaquai contre le dossier. Je le baisais ardemment, le faisant gémir. Je malmenais sa queue et je me penchais en avant pour enfouir sa tête entre mes seins. Sven n'eut d'autres que de les embrasser et de me lécher les tétons. Je le baisais très bien et efficacement mais malheureusement, cela se retourna contre moi : j'eus un orgasme qui me fit crier et ça me déstabilisa. Sven en profita et me coucha sur le dos sur le canapé. Pour m'empêcher de me débattre, il me tint les poignets, m'immobilisant et m'empêchant de me libérer. Il continua donc de me baiser en missionnaire, me baisant plus sauvagement qu'avant. Chacun de ses coups de reins me procurait un intense plaisir et me faisait tressaillir. Il m'embrassa langoureusement, m'embrassa le cou et il me susurra :
- Tu es à moi belle blonde, tu finiras à genoux devant moi.
Pour appuyer ses propos, il se redressa et posa mes jambes sur ses épaules pour me prendre en enclume. Dans cette position, sa bite allait profondément en moi. De plus, Sven allait vraiment à un rythme élevé, je ne pouvais tout simplement pas m'empêcher de crier. Ce fut donc sans surprise qu'il me procura une nouvelle fois une jouissance mémorable. Sven me lança un regard narquois, ravi de m'avoir fait jouir une nouvelle fois. Voulant lui effacer ce sourire, j'enroulais mes jambes autour de sa taille et je le fis tomber au sol. Sans lui laisser le temps de faire quoi que ce soit, je lui plaquais ses mains contre son torse et je le chevauchais infernalement. Je le baisais comme jamais, désirant le faire crier comme une fille. Et cela marcha très bien car Sven grimaça et n'arrivait pas à se retenir de crier. Je le narguai :
- C'est bien, continue ! Continue de crier comme une fille !
Je restais vigilante au cas où Sven déciderait de se rebeller et se venger mais ce n'était pas la peine : il était trop sonné pour réagir, il ne faisait que crier comme une fille et ne se débattait même plus. J'étais ravi de voir un beau viking à ma merci, le voir crier et grimacer sous le plaisir que je lui infligeais. Sven ne tentait plus de me renverser, il acceptait même sa défaite :
- Oooh, c'est trop booon ! T'arrêtes surtout pas de me baiser !
Comme si j'avais l'intention de m'arrêter. Transpirante et haletante sous l'effort que je faisais pour le baiser comme une diablesse, je continuais tout de même à le baiser sous la même cadence, ne lui laissant aucun répit. Malgré sa grande endurance, Sven finit quand même par avoir un orgasme qui devait être le meilleur qu'il n'avait jamais eu. Ses cris me le confirmèrent car ce n'était même plus des cris qu'il poussait mais des hurlements. J'approchais moi aussi de l'orgasme, alors je continuais à le chevauchais aussi intensément jusqu'à ce que je jouisse à mon tour dans un grand cri.
Après cette intense chevauchée, je me retirais de lui avant de me remettre debout, Sven couché à mes pieds :
- Moi qui te prenais pour un mec dominateur que j'aurais pris plaisir à soumettre, voilà que tu es déjà vaincu ; je m'attendais à plus de résistance de ta part.
Vexé, Sven se rassit et me dit :
- Attends un peu, tu vas voir si je suis vaincu.
Je tournais les talons en le narguant :
- C'est ça. Bon, je vais me prendre une bière et je reviens pour te faire admettre ta défaite.
- Prends-moi en une aussi, s'il te plaît.
Je me rendis donc dans la cuisine pour prendre une bière et je rejoignis Sven. Ce dernier, voyant que je ne revenais qu'avec une bière, me demanda :
- Et ma bière ?
- Je t'en ai pas apporté parce que tu vas avoir ta bouche occupé à autre chose.
- Et à quoi donc ?
Je le fis allonger et je m'assis sur sa bouche :
- À me bouffer la chatte. Alors applique-toi.
Sa tête bloqué par mes jambes, Sven n'eut pas d'autres choix que celui d'obéir. Il sattela donc à sa tâche tandis que je buvais ma bière tout en lui caressant les cheveux. Sven tournoyait vigoureusement et délicieusement sa langue en moi, me faisant doucement gémir. Je finis vite ma bouteille que je lançais au loin pour pouvoir agripper sa tête. Sven me faisait de plus en plus gémir, sa langue experte fouillant mon intimité. Il me procura bien vite un délicieux orgasme, me faisant pousser un soupir de satisfaction. Je lui caressais les cheveux et le complimentais :
- C'était bon, tu te débrouilles très bien.
Après ce délicieux cunni, je voulus m'empaler sur lui mais Sven m'en empêcha : il se releva en me portant et m'empala sur sa queue. Il était maintenant debout, me portant par les jambes et sa queue en moi. Il me baisa vigoureusement, me faisant déjà crier de plaisir. Je voulus me rebeller mais je me rendis vite compte que j'étais piégée : comme Sven me portait, je n'avais pas d'appui. Je posais mes mains sur son torse pour tenter de le faire tomber mais j'arrivais juste à le faire chanceler. Sven intensifia alors ses coups de reins, me faisant encore plus crier. Pour l'instant, je ne pouvais rien faire, je décidais donc de profiter de son sexe qui me ramonait. Ne résistant plus, je me laissais aller et j'eus un rapidement un premier orgasme qui me fit crier de plaisir. Sven ne ralentit pas le rythme et il plongea sa tête entre mes seins pour les dévorer. Ses mains puissantes glissèrent jusqu'à mon cul qu'il pétrit vigoureusement tout en continuait de me porter. Sven retira sa tête de mes seins momentanément et me demanda entre deux coups de reins :
- Tu aimes comme je te baises ma belle ?
- Oh oui ! C'est trop bon, t'es vachement doué.
- Après, je prendrais ton cul et tu me supplieras de te défoncer.
Avec sa queue qui me pilonnait vigoureusement, je n'étais pas vraiment en état de répondre, je ne pouvais que crier le plaisir qu'il me procurait. Sven continua encore pendant plusieurs minutes de me baiser jusqu'à me procurer un intense orgasme qui me fit trembler dans ses bras. Infatigable, Sven continuait de me pilonner toujours au même rythme ce qui m'impressionnait car même si j'étais légère, je faisais quand même mon poids. Mais si Sven ne se fatiguait pas de me baiser, c'était autre chose pour sa résistance au plaisir : il commençait à gémir et il se mordait la lèvre inférieure, il approchait inexorablement de l'orgasme. Après quelques coups de reins, il finit donc par se déverser en moi en soupirant de plaisir.
Sven me déposa au sol et il me mit à quatre pattes. Sans attendre, il présenta sa grosse queue à l'orée de mon cul et, prévenant, il rentra doucement en moi. J'avais beau être habituée à la sodomie, son imposante verge était bien serrée en moi ce qui me procura un gémissement alors qu'il n'avait fait que rentrer son membre en moi. Malgré le fait qu'il voulait me soumettre, Sven fut attentionné et commença de lents va-et-vient, habituant mes parois anales à sa grosse queue. Il commença d'abord lentement, puis il alla de plus en plus vite. Sa verge en moi me procurait un énorme plaisir et je me mordis la lèvre inférieure pour me retenir de crier mais ce fut peine perdue : ce qu'il me faisait était trop bon. Sven, voyant que je prenais mon pied, cessa d'être doux : il me pilonna encore plus vigoureusement, me claqua les fesses et me tira les cheveux pour accen sa domination. Avec sa bite qui me procurait un plaisir fou, j'oubliais complètement de me rebeller. La seule chose que je faisais, c'était pousser des cris de plaisir, comblée par sa grosse queue. À ce rythme-là, Sven m'amena très vite aux portes de l'orgasme. Le plaisir monta, monta en moi comme une vague déferlante. Mais Sven joua avec moi : il ralentit fortement le rythme, ne me donnant que des petits coups de reins, m'empêchant d'atteindre l'orgasme. Frustrée, je le grondais :
- Bordel, Sven ! J'allais jouir là !
Sven tira un peu plus mes cheveux pour rejeter ma tête en arrière et il se pencha pour me chuchoter à l'oreille :
- Je sais ma belle. Mais je t'ai dit que tu me supplierais de défoncer ton joli cul de chienne, alors supplies-moi et je continuerais à te défoncer.
Je ne voulais pas obtempérer alors je voulus me renverser mais Sven me prit les poignets d'une main pour les bloquer dans mon dos tandis que son autre main tenait toujours mes cheveux. Je me débattis mais Sven me tenait solidement, je n'arrivais pas à me libérer. De plus, il me donnait des petits coups de bassin qui me maintenaient proche de l'orgasme mais sans me permettre d'y parvenir. Je finis donc par céder :
- Je t'en supplie, Sven, défonce mon cul de chienne ! Fais-moi jouir, je t'en prie !
Sven me donna une fessée :
- Tu vois quand tu veux.
Il reprit alors ses puissants coups de reins ce qui m'amena directement à un intense orgasme qui me fit crier de tout mon être. Sven n'arrêta pas pour autant ses coups de reins et il continua de me prendre toujours aussi intensément. Je devais bien avouer que j'aimais ce qu'il me faisait : j'aimais qu'il me traite comme une chienne, j'aimais me faire prendre le cul sauvagement par mon beau et puissant viking. Ce qu'il me faisait était trop bon, il était vraiment trop doué avec sa queue. Au bout d'un moment, Sven lâcha mes cheveux et il me claquait mon fessier tout en continuant de me maintenir les mains dans le dos. Il finit par me procurer un nouvel orgasme qui me fit pousser un grand cri. Infatigable, Sven continua encore de me prendre le cul, ralentissant à peine le rythme. Je me rendis compte que j'adorais qu'il me malmène et me soumette et un sens, j'étais vexée car j'aimais énormément dominer les mecs au lit, sentir qu'il ne pouvait rien faire contre moi, voir leur visage défaillir au gré de mes coups de mes reins. Mais cette fois, c'était moi la soumise, c'était moi qui me faisait bien dominer et j'aimais ça. Mes cris étaient toujours aussi forts, sa queue me faisait toujours autant de bien, c'était énorme. Mais toutes les bonnes choses ont une fin : après moult va-et-vient, nous approchâmes tous deux de l'orgasme. Alors Sven entama le sprint final, il me pilonna comme jamais et, après un ultime coup de rein, il me fit jouir une dernière fois tandis que je tremblais de tout mon être sous la puissance de cet orgasme.
Sven se retira alors de moi :
- À genoux devant moi ma belle.
Soumise, je ne cherchais pas à contester son autorité alors je lui obéis et je me mis à genoux devant lui. Sans ménagement, Sven fourra sa grosse queue en moi et il me baisa la bouche en gorge profonde. Docile, je me laissais faire, acceptant sa domination. Il se retira ensuite de ma bouche et il jouit, aspergeant mon visage de ma semence.
D'un air satisfait, Sven me demanda :
- Alors, ma belle, qui de nous deux est à genoux ?
Vaincue, je capitulais :
- C'est moi.
Sven sourit, ravi de ma soumission, puis il se rhabilla. Juste avant qu'il parte, je lui dis d'une voix encore faible mais avec un regard de défi:
- La prochaine fois, c'est toi qui finiras à genoux.
- Tu n'y arriveras pas. Mais je suis partant pour que tu essayes, ça me donnera l'occasion de te mâter à nouveau.
Et il partit, me laissant à genoux, nue et mon visage recouvert de son sperme.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!