Rencontre Interdite Et Publique.

Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais imaginé faire l’amour avec toi, de cette façon-là! Et pourtant …
Nous avons décidé de nous rencontrer en inconnu, au milieu d’inconnus.
Cela se passe sur une plage de naturiste.
Il fait très beau et je me fais bronzer dans la petite crique que beaucoup de nudistes fréquentent.
Les habitués des lieux, savent qu’au bout de ce lieu, derrière les rochers, se trouve une zone de contact où l’on se croise pour se fixer des rendez–vous, et parfois plus, lorsque l’endroit est désert ou lorsqu’ il y a très peu de monde.
En plus, ce que j’apprécie tout spécialement, c’est que les nudistes à cet endroit-là, sont la plupart du temps intégralement épilés ou rasés et moi j’aime le sexe et l’hygiène. Poilu ou pas, il faut qu’il sente bon.
Le plus souvent, les rencontres et les contacts sont visibles, personne ne se cache vraiment.
Il y a aussi régulièrement des couples mais aussi des femmes ou des hommes seuls, qui viennent là pour se reposer. Quelques-fois on aperçoit certains ou certaines qui n’hésitent pas à se masturber face aux autres avec l’espoir d’une aide qui serait la bienvenue.
Arrivé très tôt, je me suis allongé au soleil, seul, avec impatience de te voir venir. Peu de temps après, tu es arrivée et tu t’es installée à deux mètres de moi. Tu as fait comme si l’on se voyait pour la première fois. Nous savions que quelques personnes nous épiaient. Je ne pourrais pas dire pourquoi mais je fus soudainement excité par ton corps dénudé. Je pensais à tous ces voyeurs qui n’attendaient que du sexe, durant cet après-midi.
Rousse avec tes cheveux frisés, tu as un joli visage, un beau sourire, tes lunettes te rendent un peu coquine, voir peut être cochonne, principalement sexuelle.
Je remarque surtout tes seins décorés par des aréoles rosées et surtout par des tétons énormes, longs et gonflés qui pointent vers le ciel, qui demandent qu’une chose c’est d’être sucés.

Je sais, à ce moment-là, que tu me veux.
Tu as compris mon regard, il se pose sur ta poitrine et tu me souris.
- Cela ne vous dérange pas que je m’installe ici, me dis tu avec un sourire malicieux.
Et sans attendre ma réponse, tu étends ta serviette de plage sur le sable et tout en me tournant le dos, tu te plis en deux, les jambes bien écartées et les fesses ouvertes. Si bien, qu’une vue magnifique s’ouvre sur ta raie anale et sur ton anus.
Ta rondelle est superbe, imberbe, lisse, surtout bien ourlée et d’une belle couleur rosée comme tes mamelons.
Mais ce spectacle n’est que le début car pour bien étendre et poser ta serviette, tu te mets à quatre pattes en tendant ta croupe vers moi.
Ton cul n’est qu’à deux mètres de mon visage et tu me l’exhibes sans aucune retenue ou pudeur avant de te cambrer et de me laisser voir, tes cuisses ouvertes exhibant de très longues lèvres vulvaires qui semblent chaudes et accueillantes.
Tu restes ainsi un long moment et, irrésistiblement, je me mets à bander dur à la vue de cette chatte charnue et de ce magnifique trou de cul. Je suis allongé sur le dos, et mon sexe pointe durement vers le ciel bleu, à la vue de tous les yeux présents à l’instant.
Déjà j’aperçois des hommes prenant leur sexe en main, des femmes mettant leurs doigts dans leurs parties intimes.

Non je ne cache pas mon érection, et lorsque tu te retournes, tes yeux se posent directement sur ma bite rasée qui repose toute raide et gonflée sur mon ventre. Tu souris à la vue de mon tatouage qui se trouve prêt de mon pénis.
En même temps, me faisant face, tu t’assois les jambes complètement ouvertes m’offrant une vue panoramique sur ton abricot dont les grandes lèvres sont gonflées.
Tu me regardes alors droit dans les yeux et en souriant tu portes tes mains à ta chatte.
Tes doigts s’emparent de tes lèvres que tu écartes, tu découvres l’entrée toute rose et humide de ta grotte, puis tu remontes tes doigts jusqu’aux petites lèvres que tu relèves, pour libérer un des plus beau clitoris, que je connaisse, de son capuchon. Un clitoris énorme, du jamais vu. Tu es vraiment excitée.
- « Vous avez une bite superbe » me dis-tu, d’un air très naturel et je suis flatté de te faire autant d’effet …
Je suis sans réponse, troublé et scié par ton audace, tu poursuis en souriant :
- « Si nous n’étions pas en public, je crois que je vous offrirais une pipe d’enfer «
« et vous, que me ferez-vous? »
Je déglutis ma salive avant de répondre en m’efforçant de prendre le même ton que toi:
- « Je crois que je vous boufferais la chatte et le cul avec une gourmandise incroyable » …
- « Miammm », j’adorerais ça, me répondez-vous en miaulant et en titillant le bout de son index sur son clitoris qui rougit et devient écarlate.
Puis, prestement, tu te lèves et regarde aux alentours.
Je t’observe et remarque tous les endroits où ma verge voudrait se blottir sur ton corps mais cela ne change en rien à mon excitation et la vue de tes trous intimes et de tes phrases provocatrices.
Mon envie est montée à un point tel, que ma queue était douloureuse à force de bander.
Après avoir fait le tour de mon corps, avec ton regard, tu reposes tes yeux sur mon sexe avec une lueur gourmande et satisfaite, sans dire un mot, tu te rapproches de moi, m’enjambe et ouvre tes cuisses, avec ta chatte au-dessus de mon visage.
Dans un silence complet, tu te mets à quatre pattes, en tête bêche avec moi et penchant ton visage vers mon ventre, tu t’empares de ma bite que tu dresses pour amener le gland contre tes lèvres humides et entrouvertes.
Tu embrasses délicatement mon bout rougi puis tu le lèches à petits coups de langue avant de l’engloutir dans ta bouche.
Au même moment, tu baisses ton bassin et ta fente vient se mettre sur mon visage, ta chatte se pose sur ma bouche et ton trou anal sur mon nez.
Je respire à fond le parfum délicat de ton anus plissé et me met à le bouffer avec une voracité inouïe, alternant ton sexe et ton anus, y plongeant la langue à fond pour le masser, puis ton fourreau anal en profondeur.
Tu lâches mon sexe un bref instant :
- Oooh c’est bon, bouffe moi à fond et laisse toi jouir, nous avons peu de temps. J’ai un peu peur que les autres aient envie aussi et qu’ils se jettent tous sur moi.
Puis, tu se remets à pomper mon dard tout en me branlant d’une main et en me caressant les couilles et la rondelle avec l’autre.
Ma bouche est comme folle en mangeant tes grosses lèvres vulvaires, les suçant, les avalants presque comme les ourlets de ta corolle anale que j’aspire hors du trou.
Mes mains ne restent pas inactives non plus et mes doigts plongent partout en toi, te prodiguant toutes les caresses qui devraient te faire jouir.
Cela ne tarde pas car je trouve ton point sensible de ta moule que je frotte tout en léchant et en te suçant ton gros clito et en masturbant ton anus avec deux doigts.
En quelques minutes, tu atteins l’orgasme et ton corps se tend comme un arc et tu éjacules de la cyprine en jouissant.
Je bois une bonne gorgée de cette saveur puis je te laisse te vider sur mon visage et ton plaisir déclenche le mien.
Je me mets à éjaculer de lourdes giclées de sperme dans ta gorge pendant que tu continus à me branler et après avoir tout avalé, tu irrites encore mon gland et mon prépuce avec tes dents, ce qui me fait irrésistiblement uriner dans ta bouche.
Tu bois aussi quelques gorgées de mon urine doré puis j’arrose tes seins avec le reste avant que tu reprennes mon gland pour le sucer à nouveau et en aspirer les dernières gouttes.
Puis ayant jouit, tu te relèves rapidement et tu te mets à marcher vers la mer en te retournant et en me disant :
- J’aime ta bite et tu lèches super bien, … rentrons maintenant, j’ai une cave accueillante, un matelas est posé sur le sol, et c’est à cet endroit que dernière fois que je l’ai utilisé avec un homme, c’était avec toi, et je me rappelle que nous avons énormément jouit ensemble, c’était super.
Retournons-y…….
Entre temps, de nombreuses personnes autour de nous poussaient des cris de jouissances isolés, ayant pris un plaisir fou à nous avoir épiés.

Merci Messieurs et Mesdames inconnues.