Le Voyage Du Ce

Je suis Eric, 1,71 pour 65Kg. Brun aux yeux bleus.
A l’époque de ce récit, j’ai 39 ans … Aujourd’hui, 15 de plus.
Le comité d’entreprise de mon boulot organise chaque année un voyage, le plus souvent dans une grande ville Européenne … Cette année, la destination, c’est Naples. Pour 4 jours.
Ces voyages sont cools parce que vraiment pas cher. En fonction de son salaire, on paie entre 150 et 300€ … sauf si on veut une chambre individuelle auquel cas, il faut rajouter environ 50€ par nuit.
La plupart des gens prennent des chambres doubles. La tradition, c’est les garçons avec les garçons et les filles avec les filles (ce qui n’empêche pas de faire des échanges une fois sur place, mais les apparences sont sauves !).
Une des occupations dans les semaines qui précèdent le départ est de trouver parmi les inscrits celui ou celle avec qui on partagera la chambre. Sinon, c’est le CE qui fait les couples selon une logique qui m’a le plus souvent échappé.
Olivier vient me trouver :
- Tu vas à Naples ?
- Oui, toi aussi ?
- t’es ok pour qu’on partage la chambre ?
- Ah oui, avec plaisir !
C’est décidé, et nous le disons donc au CE pour ne pas bénéficier « d’appariement maison » !
Olivier est un garçon de mon âge, qui travaille dans un autre service. Assez sympa. Comme moi, sans être un Don Juan, il a du succès auprès des filles. Lui aussi marié et père de famille. Physiquement environ ma taille, comme moi plutôt mince, mais plus brun, la peau plus mate.
Nous voilà partis… Après une première journée surtout consacrée à une ballade découverte dans les rues de la ville en groupe, nous voici à l’hôtel où nous attendent nos valises pour l’installation.
La chambre est simple et agréable. Deux moyens lits (moyen = ni petit ni deux places !) séparés d’un bon mètre, une salle de bain avec douche, une télé.
Olivier prend le lit côté salle de bain, moi celui côté fenêtre. Pas le temps de passer à la douche : nous sommes attendus pour le dîner dans 10 minutes … Ce sera pour ce soir !
Le dîner traine un peu, une grande tablée où nous avons pas mal rigolé (et un peu bu) … Vers minuit, les uns et les autres retournent vers les chambres.

Pour les sorties on verra demain parce qu’on est quand même partis avant 6 heures ce matin !
En rentrant dans la chambre, je me jette sur mon plumard et laisse la douche en premier à Olivier.
10 minutes plus tard, il en sort avec une serviette autour de la taille :
- A toi !
Je file à mon tour sous cette douche réparatrice, d’où je sors au bout d’une dizaine de minutes en slip. Dans tous les voyages du CE précédents, c’était comme ça : pas d’exhib, mais pas non plus de pudeur excessive.
Quand je sors de la douche, Olivier me dit :
- J’ai trouvé une chaine où il y a un film de cul, ça te branche ?
Je suis un peu interloqué, mais l’alcool et la fatigue aidant, je dis :
- Ouais, pourquoi pas !
Olivier met la télé sur la chaine en question et nous filons chacun sur notre plumard. Je relève pudiquement le drap sur mon slip, sans oser trop regarder ce que fait Olivier, les yeux tournés vers la télé… Deux couples s’en donnent à cœur joie… On commente :
- Mignonnes les filles, à petits seins, comme je les aime ! dit Olivier
- Moi aussi, j’aime bien les petits seins, mais dommage qu’elles soient épilées : ça me gonfle dans les films pornos, je suis pas ment pour les forêts, mais j’aime bien quand il y a quelques poils !
Au bout d’un moment, Olivier :
- Tu te branles ?
- Ben oui, et toi ?
- Moi aussi.
Je me tourne alors vers lui et vois qu’il a repoussé le drap pour me montrer que c’est vrai : il se branle ! Il remet le drap sur le matériel… Quant à moi, le slip a dégagé mais le drap reste sagement à sa place…
Au bout de quelques minutes, la situation et le film aidant, je jouis. Relativement discrètement, mais je suis trahi par mes soupirs et mon souffle court. Olivier :
- Salaud, t’aurais pu m’attendre !
Il accélère alors le mouvement sur son sexe en repoussant le drap et lâche plusieurs giclées de sperme sur son torse avec un :
- Ouah, que c’est bon !
Le temps de reprendre ses esprits, il se lève et va à la salle de bain se passer sous l’eau.
Il en ressort en me tendant ma serviette :
- Tiens, pour toi !
- Merci.
Toujours sous le drap, je m’essuie… sans me montrer.
Il éteint la télé, puis les lumières et, se retournant, me souhaite une bonne nuit.
J’ai un peu de mal à m’endormir : je reste très émoustillé et perplexe après cette soirée. C’est la première fois que je me branle en présence d’un copain, la première fois que je vois un sexe en érection à part le mien et ceux des films pornos. Je repense à la soirée, regrette de ne pas avoir davantage regardé Olivier, regrette de ne pas m’être, comme lui branlé à l’air libre.
Je me rappelle cette fascination que j’avais parfois eue, plus jeune, dans les vestiaires des gymnases ou ceux de la piscine sur les sexes de mes copains pourtant pas en érection.
Je me souviens qu’alors il m’arrivait de bander et de m’habiller rapidement pour pas que ça se voit. Ce qui me fascinait aussi, c’était les couilles… Du coup, je repense que je n’ai même pas pensé à regarder les couilles d’Olivier. A-t-il beaucoup de poils ? J’ai juste vu son cul quand il s’est levé vers la salle de bains… Un petit cul, un peu bronzé, comme s’il faisait parfois du nudisme, mais pas tout le temps parce qu’il y a quand même une marque de maillot de bain, avec un dos et des cuisses plus foncés. Mais musclé, le cul !
Je finis par m’endormir.
Le lendemain matin :
- Salut Eric
- Bonjour
Et ça démarre sur les chapeaux de roue :
- Alors, ça t’a plus hier soir ?
- C’est la première fois que je me branle devant un copain…
- Ah bon ? T’as jamais été à l’armée ou en colo ?
- Si, j’ai fait les deux … Mais sans ce type d’expérience.
- Une bonne branlette entre copains, ça fait du bien de temps en temps !
- Tu le fais encore maintenant ?
- Ben oui !
- Mais t’es marié ?
- Mais de temps en temps un bon moment avec un copain, ça mange pas de pain ! Et alors, tu ne m’as pas dit si ça t’a plu ?
- Oui, et en vérité, rien que d’y penser, ça me fait rebander !
- Fais voir !
Ce coup-ci, je ne me dégonfle pas : je repousse le drap et montre mon sexe qui en effet est totalement droit… Il se redresse à moitié sur son lit :
- Ouah, pas mal !.
.. Tu sais, se branler devant un copain, c’est bon… mais il y a mieux : se faire branler par un copain. Les mecs font ça bien habituellement !
Je ne sais pas ce qu’il me prend, mais tout en étant tétanisé, je me lève et me positionne face à lui, à un mètre à peine. Il se redresse et avance la main. Je croyais qu’il allait me branler, mais au lieu de cela, il approche sa main à plat sous mes couilles, la referme et me tire doucement vers lui par les couilles… Les couilles, mon point faible … S’il était possible, je bande encore plus :
- Ca à l’air de te faire de l’effet !
- …
Il m’amène jusqu’à 20 ou 30 centimètres de lui, lâche les couilles, retire sa main et regarde :
- Pas mal
Il pose alors la main sur ma queue et commence à branler doucement… Un pur régal.
- Prends la mienne aussi !
Je n’avais pas pensé, je n’avais même pas regardé… Je me retourne et je prends conscience de sa queue dressée à quelques centimètres de ma main, le gland couvert par le prépuce. Je regarde, comme hypnotisé avant d’oser avancer la main. Les couilles ne sont couvertes d’aucun poil. Je les prends à pleine main … c’est le premier contact de ma main avec le sexe d’un garçon … à 39 ans ! Je les masse doucement puis retire ma main :
- T’as pas de poils aux couilles ?
- Je me rase, tu devrais faire pareil, ça les met bien en valeur. Tu fais ça avec un petit bilame jetable, genre gilette … Puis tu fais aussi juste au-dessus de la queue, mais pas trop : je trouve que c’est mieux quand tu laisses des poils … comme tu disais pour les meufs hier soir !
Au fond, ça se passe assez bien et je m’enhardis en prenant son sexe. Je tire légèrement vers le bas pour découvrir le gland. Je n’ose pas approcher ma bouche. Je branle au même rythme qu’Olivier. Je suis toujours à côté du lit, lui est allongé sur le dos. Nous sommes entièrement nus tous les deux. Au bout d’un moment, Olivier me dit :
- Eric, monte sur le lit et assieds-toi sur mes cuisses.

Ce que je fais… Il me guide alors :
- Voilà, viens encore un peu plus près. Tu mets tes couilles contre les miennes. Voilà, oui comme ça. Maintenant, tu prends les deux queues et tu les branles ensemble. Je te montre, regarde.
Il saisit ma queue, la rapproche de la sienne, les enserre ensemble et commence à branler lentement.
- A toi, maintenant !
Sa queue est de la même taille que la mienne, mon expérience d’alors ne me permet pas de dire si elles sont grosses ou non. Ce qui est sûr, c’est qu’elles sont moins grosses que dans les films pornos, mais pour ce qui concerne la mienne, les filles qui s’en sont servi ont toujours dit que « j’étais bien monté »… Toujours est-il que je n’arrive pas à faire de ma main le tour complet des deux queues réunies !
- Tu peux accélérer si tu veux …
… Ce que je fais…
- Attends, on calme. Relâche. Enlève tes mains et regarde. Tu reprends dans quelques secondes. Juste la mienne, ou les deux ou la tienne : comme tu veux.
Il a raison, j’étais au bord de la jouissance. Je me calme et profite de la sublime vue. Il remet sa main sur ma queue, et donc je prends la sienne. Il accélère, freine, redémarre… C’est insupportable. Il commente :
- Je suis le maitre de ta jouissance … mais tu es le maitre de la mienne ! Tu me dis quand tu es prêt ?
- Je suis prêt !
- Non, pas déjà.
Et il lâche à nouveau. Il dit :
- Relève-toi sur les genoux.
Et quand je suis relevé sur les genoux, il me prend à nouveau les couilles, qu’il malaxe longuement. Il en profite pour passer la main entre mes cuisses et remonter doucement vers les fesses. Il sent sûrement le tremblement : à la fois de l’excitation mais aussi de la réserve (même s’il est arrivé que des filles s’occupent – avec brio – de mon cul). Il remonte un doigt vers mon trou qu’il agace un peu en commentant :
- On va pas tout apprendre d’un coup, ça se sera pour une autre fois !
Je me sens soulagé, mais bizarrement un peu déçu quand même. Ceci dit, il a raison : il est déjà 8h45 et le petit-déjeuner n’est servi que jusqu’à 9h15 … et nous sommes encore à poil !
- Remets-toi sur mes cuisses et prends ta queue. Tu peux y aller quand tu veux, mais tu me dis quand ça vient et on essaye d’être synchro, ok ? Tu peux jouir sur mon torse.
Mon souffle se raccourcit, ma main accélère. Pas besoin que je communique, Olivier a bien vu que ça venait, ce que je confirme par un « ça monte »… Il accélère aussi le va et vient sur sa queue et quasiment en même temps nous lâchons tous les deux 5 ou 6 belles giclées de sperme qui viennent se mélanger sur son torse.
Comme la veille au soir, Olivier crie « Ah, putain que c’est bon ! » au moment où son jus se déverse.
Je suis exténué moi aussi, et après un grand râle je m’allonge sur Olivier poitrine contre poitrine sentant à mon tour les deux spermes se mélanger sur mon torse. Il m’enserre, me donne une petite claque amicale sur les fesses puis nous retourne pour passer de dessous moi à sur moi.
Il se lève, me fait un clin d’œil :
- Alors, t’as vu, c’était pas sorcier ! Allez, viens à la douche.
Je le suis sous la douche où nous nous savonnons non sans éviter les parties sensibles… C’est aussi l’occasion de mater son cul, et d’y passer une main timide.
- Dis donc, depuis hier soir tu t’es pas mal désinhibé !
Quand nous nous rhabillons, les queues sont déjà à nouveau au garde-à-vous…
Mais il est temps de rejoindre la salle du petit-déjeuner et le groupe nous accueille avec un « Ah, quand même, un peu plus on allait vous chercher… ».
Mon sexe a retrouvé un semblant de consistance normale… Pour le maintenir toute la journée dans cet état présentable, il faudra éviter de fantasmer sur ce que pourrait être la soirée qui vient …

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