La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1256)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode précédent N°1255) -
Et Marion sendormit apaisée et heureuse. Au matin elle se dégagea délicatement des bras du Maître et se glissa sous les draps afin de le réveiller en le suçant comme il lexigeait à chaque fois quune soumise avait le privilège de partager sa nuit, sa couche. Elle commença à lécher la verge molle et endormie de bas en haut avec une infinie douceur et savoir-faire, puis afin de la faire gonfler, elle le prit totalement en bouche et suça, aspira faisant tourner sa langue tout autour en descendant doucement sur le membre endormi du Maître qui très vite se durci et se dressa comme par enchantement. Elle sut alors quil sétait réveillé et sactiva à le sucer plus vigoureusement et à un rythme plus rapide quand elle entendit le Seigneur émettre des sons de plaisir qui devenaient de plus en plus forts pour se transformer en râles. Couché sur le dos, il soulevait son bassin pour mieux enfoncer sa queue et maintenait fermement la tête de la soumise pour imposer le rythme des va-et-vient provoqués par son bassin en mouvement. Marion sactiva à le pomper jusqu'à ce quil lâche enfin sa semence dans sa bouche en flots de jets épais et saccadés, et elle avala avec bonheur et reconnaissance le noble nectar.
- Bonjour Maître, avez- vous bien dormi ? Et merci pour mavoir honorée de votre semence.
- Oui Ma soumise, jai très bien dormi et je suis ravi de voir que tu nas pas oublié la règle quand tu as lhonneur de partager ma couche. De plus tu dois reprendre des forces et quoi de meilleur comme repas matinal que Ma noble semence.
Marion lui sourit et descendit de sa couche et se mit à genoux
- Bonne chienne, nettoie-moi, maintenant
Marion le fit avec application et bonheur car satisfaire le Maître qu'elle servait avec dévouement la rendait plus heureuse que jamais
- Maître, voulez-vous que jaille vous chercher votre petit déjeuner ?
- Non cest inutile depuis ton départ, cest Kate qui mapporte mon petit déjeuner tous les matins.
- Oui Maître, mais elle sait que jai passé la nuit avec vous et peut être sattend telle à ce que ce soit moi ?
Au même moment Kate frappa à la porte avec le petit déjeuner du Maître et une gamelle, spécialement préparée par Céline, pour Marion.
- Ha, Kate !
- Bonjour Maître, bonjour Marion.
- Dépose mon plateau sur mon meuble de chevet, je veux manger à lit ce matin.
Kate déposa le plateau à côté du Maître.
- Bon appétit, Maître.
Et elle quitta la pièce.
- Je vois que Céline a pensé à toi. Tiens, dit-il en posant devant Marion une gamelle de nourriture et une de lait. Mange Ma belle.
- Merci Maître.
Après ce petit déjeuner copieux qui leur donna de lénergie pour la matinée, Marion rapporta le plateau aux cuisines et remercia chaleureusement Céline de son intention à son égard.
- Cest normal Marion, je nose imaginer quelles horreurs tu as du manger dans cette endroit quon appel un couvent et tu as besoin de reprendre des forces, tu nas plus que la peau sur les os.
Chacun vaqua à ses occupations respectives pendant que le Maître déjeunait, en compagnie de son plus jeune fils Enguerrand. Soudain, Messire Philippe, entra.
- Mon Seigneur, je vous présente mes excuses de vous déranger durant votre repas, mais un message de votre fils vient darriver. Le Seigneur prit le parchemin qui comportait ce message :
Père, Enguerrand, Messire Godulfe est mort, dun mauvais coup dépée, en apportant son aide à Alix. Nous serons de retour au Château dans deux jours en soirée. Votre fils, Ronan dEvans...
Le retour au Château (suite et fin)
Le soir du retour ce fut très tard qu'ils arrivèrent au Château. Ils se couchèrent presque immédiatement après avoir mangé un repas léger déposé dans leur chambre et ils passèrent une nuit sage de repos. Le lendemain, le Seigneur dEvans convoqua Alix et Antonin qui lui racontèrent leurs aventures et mésaventures ainsi que la mort d'Henri-Jules de Grenois (père d'Antonin).
- Charles, il y a autre chose que nous avons découvert dextraordinaire et cest assez délicat comme sujet.
- Tu minquiète Antonin, ça ne doit pas être si grave que ça ?
- Cela concerne aussi ma tante, Clémence, Louis-Etienne et je pense que Ronan et Enguerrand devraient aussi être présents.
- Enguerrand aussi? Il na que 16 ans.
- Et assez grand pour comprendre.
- Bien je les fais appeler.
Quand tous furent là, Alix osa enfin annoncer.
- Nous avons découvert un document qui était en la possession du Baron de Grenois (Henri-Jules) il semblerait que notre famille de Maisondieu soit parente avec la famille dEvans.
Tous la regardaient comme si elle avait perdu la raison mais voyant Antonin très sérieux, ils savaient quil nen était rien. Antonin rompit le silence qui devenait pesant.
- Il faut commencer par le commencement. Charles comment se nommait votre frère ?
- Mon frère ? Eh bien, il sappelait Louis dEvans, mais je ne vois pas le rapport.
- Disparu à lâge de 4 ans et jamais retrouvé, cest bien cela ?
- Oui, mais je ne vois toujours pas le rapport.
- Voyez ce document, Messire, lui dit Alix. Il semblerait, et je ne sais par quel hasard, votre frère disparu et notre père décédé, ne soit quune seule et même personne.
Sans dire un mot de plus, il tendit le parchemin à Eléonore qui le lit en même temps que Clémence et Louis-Etienne. Enguerrand ny tenant plus.
- Ronan et moi, pourrait-on savoir ce qui se passe ?
Le Seigneur dEvans sortit de ses pensées et lui répondit sur un ton étrange, indéfinissable.
- Il se passe quAlix, Clémence et Louis-Etienne sont vos cousins et cousines, mes neveux et nièces et Madame de Maisondieu ma belle-sur et votre tante.
Personne ne disait rien quand Eléonore sexclama :
- Cest insensé mais très clair ! Mon mari a été recueilli par la famille de Maisondieu vers lâge de 8 ans, faible et affamé il sétait enfuit de dieu seul sait où, là où il était retenu et à part son prénom Louis, il ne se souvenait de rien concernant son passé.
- Sortez tous... sauf vous, Madame, nous avons à parler, dit le Seigneur
Tous sortirent et allèrent dans leur appartement respectif sauf Louis-Etienne qui resta avec ses surs.
Le Seigneur dEvans se disait Comment ai-je pu soumettre mes propres nièces, les filles de mon frère ?.
- Madame la situation est délicate très délicate.
- En effet.
- Je nai pas le choix, je dois libérer vos filles, je ne peux soumettre mes nièces, cela est hors de question. Mais nayez crainte, nous somme de la même famille et vous aurez toujours ma protection et mon aide financière si besoin.
Monseigneur, je sais que Clémence et Ronan se sont beaucoup rapprochés ces derniers temps et qui sait peut-être nos s réuniront ils nos deux familles.
- Il y a des chances en effet mais en attendant, nous avons une autre union à célébrer. Kate et Antonin, ils ont suffisamment attendu, à cause de la mission de sauvetage de Louis-Etienne.
- Je connais bien mon neveu, il ne se serait jamais marié sans son cousin à ses côtés.
- Bien resterez-vous quelques jours au Château le temps de nous faire à cela ? Vous êtes tous mes invités.
- Bien volontiers, Sire.
(A suivre
)
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