Agathe, Le Week-End À La Mer (2)

Après ces retrouvailles, nous partîmes alors en voiture pour rejoindre la côte méditerranéenne, située à 2-3 heures d’ici.

Nous arrivions sur la côte, il était presque 11:00 et on se demandait quoi faire en premier.
« Je veux bien aller me baigner tant qu’il ne fait pas encore trop chaud, même s’il fait déjà 28°, me demanda Agathe.
- D’accord ! On mangera après alors. »
Je cherchais rapidement dans mon téléphone une plage que j’avais repéré ce matin pendant que j’attendais Agathe sur le parking.
Nous y arrivions finalement au bout d’une petite vingtaine de minutes. On empruntait un chemin de sable qui conduisait au parking, quand Agathe s’étonna :
« Mais… il sont pas spécialement très vêtu ici les gens, dis moi John…
- Oui en effet, dis-je dans un sourire complice, on a du tomber sur une plage naturiste j’ai l’impression. »
Ce n’était pas qu’une impression, et c’était évidemment bien voulu de ma part. Je souhaitais profiter, entre autres, du corps d’Agathe, du regard des autres sur elle, sur moi.
« Après tout, on est pas là pour faire des châteaux de sable, lui lançais-je.
- Oui bien sûr, mais je ne suis jamais allé nue à la plage, et toi ? T’aurais pu me prévenir, mais je t’en veux pas… Au contraire…
- Non, je n’ai jamais essayé, mais c’est une envie que j’avais depuis longtemps et le faire avec toi m’excite grandement aussi. »
On sortait de la voiture après s’être garés, et est venu le moment, inhabituel pour nous avant d’aller à la plage, de se déshabiller.
« Tu veux que je m’occupe de t’enlever tes vêtements Agathe ? Je vois que tu hésites.
- Oh, après tout oui, tiens vas-y, je me laisse faire. Et puis je vais en profiter pour te retirer ton pantalon… toi aussi tu dois être nu pour aller à la plage. »
Nous en profitions mutuellement pour placer des mains indélicates sur les attributs de l’autre, cela nous mettait en condition car nous étions un peu nerveux à l’idée d’aller sur une plage naturiste pour la première fois.


La plupart des gens qui étaient présent déambulaient comme si de rien était et que tout était normal, pour eux du moins. Nous rigolions un peu en voyant toutes sortes de corps, jeunes, vieux, moins vieux, de notre âge ou proche, en imaginant ce qu’on ferait avec ces autres personnes si on en venait à parler avec ces gens.
On posait alors nos affaires et décidions d’aller nous baigner.
Je bandais déjà fermement depuis la voiture, marcher nu était inhabituel pour moi et j’avais le loisir de me promener avec Agathe, nue elle aussi, tout en matant sans se cacher les autres belles femmes que je remarquais.
« Dis donc, tu fais pas semblant quand tu mate John, je te rappelle que je suis là moi aussi…
- Je sais bien, viens on va dans l’eau, j’ai envie de toi… »
On s’embrassait langoureusement, nos mains continuaient d’être baladeuses, la portée de l’eau nous faisait découvrir de nouvelles sensations, pas désagréables. Agathe en vint à s’agripper avec ses jambes autour de mes hanches pour venir s’empaler sur mon sexe, toujours si vigoureux.
Paraît-il, que d’après la célèbre chanson de Renaud, que la mer, c’est dégueulasse, car les poissons baisent dedans. Et bien… nous aussi ! Et nous n’étions visiblement pas les seuls dans ce coin là… Tout en me faisant baiser par Agathe, je regardais d’autres femmes, parfois seules, et j’espérais attr leur regard afin qu’elles nous voient. Je prenais beaucoup de plaisir et j’avais envie qu’une d’entre elle vienne se coller derrière moi, pour sentir ses seins dans le dos. Ça ne se produit pas et je me concentrait davantage sur Agathe que je soutenais par les fesses pour guider ses vas-et-vient qu’elle faisait à merveille. Le sol étant par nature instable, l’eau et le sable vous faisant vous enfoncer si vous ne bougez pas, nous n’arrivions pas à l’orgasme tout de suite. Agathe était un peu fatigué et quittait mon sexe pour nager un peu. Je la suivais car je voulais finir dans son vagin. Elle décida de faire la Femme et s’enfuyait pour que je ne lui saisisse pas les hanches.
C’était amusant mais je fini par la rattr, Agathe me mis la tête sous l’eau pour me repousser, puis me rapprocha la tête de son pubis. Je décidais alors, avec le peu d’air que j’avais en moi, de débuter un cunnilingus. Elle ne s’y attendait pas mais je continuais, tout en revenant à la surface régulièrement pour reprendre de l’air. Notre petit jeu continua encore quelques minutes, elle fit de même en me suçant la verge sous l’eau.
Tout ça était très excitant. La vue d’autres corps nus rajoutait du désir, de l’envie sexuelle.
Je repris Agathe par les hanches et la pénétrait alors pour rapidement jouir en elle.
Nous sommes ensuite revenus vers nos serviettes et ma queue avait durci à nouveau. Je suivais Agathe et me délectait de son cul qui me donnait à nouveau envie.
Étant sur une plage naturiste, et non dans une boite échangiste, nous restions discrets, mais pas ment trop sages non plus.
Elle s’était endormie mais je n’avais pas la tête à dormir. Je profitais de toutes ces femmes que je pouvais regarder. Certaines n’appréciaient pas mon regard, je les laissais alors tranquilles mais je continuais à en mater d’autres qui étaient franchement gâtées par la nature...

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