Torride Complicite !!
Coucou mes chers lecteurs ! Cela fait un moment que je nai pas publié une nouvelle histoire. Je vais donc remédier à cela.
Pour ce nouveau récit, un nouveau partenaire maccompagne. Et oui, comme vous le savez, jaime le changement dans ma vie sexuelle.
Avec Firas, et oui joli prénom, cela fait quasiment 5 ans que lon se connaît, on a fait connaissance sur internet, qui aurait pu imaginer que je me serais dirigée vers le net pour faire de nouvelles rencontres.
Firas est un homme brun, ténébreux, musclé comme il faut sans excès, il a 37 ans et il est très sexy. Et surtout il est comme moi, il est très accro au sexe, pour cela que lon sentend si bien lui et moi.
5 ans de discussions intenses. Avec Firas, ce que jaime cest que lon peut parler de tout, il est assez ouvert desprit, mais ce que lon aime le plus tous 2, cest parler de sexe bien évidemment.
Après autant dannées à se parler en virtuel, et surtout avec toutes nos conversations torrides, il était temps de se rencontrer en réel, surtout que lon mourait denvie de se voir et de pouvoir mettre en pratique nos conversations et voir si la complicité était vraiment réelle entre nous.
Le souci est que Monsieur Firas vit loin de moi. En effet, il habite à Paris, mais depuis quelque temps, il est encore plus loin de moi, il est parti vivre à Los Angeles pour son boulot où il travaille dans un laboratoire pharmaceutique.
Comme nous avions de plus en plus envie de se voir et darrêter le virtuel, depuis le temps, nous avons décidé de sauter le pas et darrêter de se chauffer sexuellement à distance.
Comme nous avions des congés en même temps, cétait pour nous la meilleure occasion pour enfin se rencontrer. On sest mis daccord pour passer une semaine ensemble. Certes, cela faisait beaucoup pour une première, mais on avait tellement envie de se rencontrer et de passer du temps ensemble.
On sest mis daccord pour les vacances de février. Et double angoisse pour moi, première fois que je devais prendre lavion, car oui, en effet, on sest mis daccord pour se rencontrer à Los Angeles. En fait, cest moi qui ai proposé cette solution pour se trouver et passer notre semaine ensemble.
Tout organisé !! Je décolle de Paris, un dimanche vers 10h20, angoissée, avec la peur de linconnu. Un voyage de presque 12h mattend. Avec Firas, on reste en contact comme on peut pendant ce voyage jusquà mon arrivée. Pour se retrouver à laéroport de Los Angeles, nous avons décidé de se vêtir avec un signe distinctif que nous seul pourrions reconnaître.
Je quitte Paris sous le froid, je suis habillée chaudement : manteau, bottes, écharpe,
Il fait à peine 3° C . On sétait mis daccord : ce jour-là je portais un leggings noir, un pull vert, un manteau noir à capuche, des bottes noires mais surtout une rose blanche fixée à mon manteau (notre signe distinctif). Firas, devait me rejoindre à laéroport vêtu den jean, dune chemise noire, dune veste noire coordonnée avec notre fameuse rose blanche accrochée à la poche de la veste.
Atterrissage à laéroport international de Los Angeles, le vol sest très bien passé, il est 12h50. Merci au décalage horaire de quasi 8h que je ressens immédiatement. Je récupère ma valise. Jai la boule au ventre. Tout à coup, je vois un homme brun avec une rose blanche accrochée à une une jolie chemise noire cintrée et une pancarte avec mon prénom, mais sans prêter attention à la pancarte, jai repéré notre signe et je crois bien que Firas lavait remarqué aussi en me voyant.
Mon cur battait la chamade, jai ôté mon manteau sous langoisse de la situation mais surtout de la température de Los Angeles, il devait faire dans les 19° C.
Nous avons avancé lun vers lautre, à travers les autres voyageurs, comme si lon se connaissait depuis toujours.
- Mallaury ?
- Firas ?
Immédiatement, nous étions de nouveau connectés mais cette fois-ci en réel, en face à face, une véritable complicité. Firas sétait avancé vers moi pour me faire la bise. Quand sa peau toucha la mienne, je ressentis un frisson qui me parcouru tout le corps, jétais tétanisée, et je sentais le rouge me montait aux joues.
- Mallaury, te voilà enfin devant moi, cela fait si longtemps que je rêve de ce moment.
- Et oui, jen suis surprise moi-même Firas. Je respire enfin, jétais sur pause depuis le décollage.
- Moi aussi, jai angoissé jusquà te voir avec la rose.
- Cette rose était une excellente idée.
- Laisse-moi prendre ta valise, complice !
- Toujours aussi prévenant, complice !
(Complice étant le petit surnom que lon se donne depuis notre rencontre sur internet).
Nous avons pris un taxi, et je ne sais pas pourquoi, mais javais limpression de retrouver un être cher, perdu de vue depuis longtemps. Nous avons circulé un moment dans les rues bondées de L.A. Visiblement, à cette heure de la journée, la ville est en pleine effervescence.
Tout à coup, pendant le trajet, Firas posa sa main sur ma cuisse, et là, waouh ! Je ressentis une telle excitation, je serrais les cuisses sur la banquette comme par gêne.
- Mallaury, tu vas bien ?
Je me suis mise à bafouiller, toute gênée :
- Euh, euh oui désolée, je vais bien, ta main ma surprise.
- Désolé, je ne voulais pas te surprendre ainsi.
- Au contraire, complice, ne sois pas désolé, cest une belle surprise.
- Je voulais être amical, chaleureux, accueillant avec toi, je te sens angoissée ?
- Oui je le suis. Je suis dans une ville étrangère et inconnue, dans un taxi en plein Los Angeles avec mon complice de virtualité, un homme que je connais quà distance.
- Détends-toi Mallaury. Je veux que ton bien, que tu profites de ton séjour le plus possible et surtout que tu nai aucun regret de me rencontrer enfin.
- Ne tinquiètes pas Firas, je ne regrette pas du tout dêtre venu à Los Angeles et surtout je ne regrette pas de te rencontrer enfin, je lai voulu autant que toi complice !
Après un petit quart dheure environ a rouler dans les rues de L.A., le taxi nous déposa devant une immense tour de verre. Je me sentais toute petite face à cette grandeur.
Firas régla le taxi, pendant ce temps, je sortis ma valise du coffre. Jétais subjuguée par la foule, la taille des immeubles et surtout jétais à Los Angeles, mais surtout jétais enfin avec « mon complice » depuis tout ce temps.
Soudain, môtant de ma rêverie, Firas passa son bras autour de ma taille, jeus un sursaut et je remarquai le regard très aguicheur du beau mâle qui me tenait fort contre lui. Je me sentais protégée et à ma place bizarrement.
On entra dans la grande tour qui était un immeuble résidentiel fait de lofts modernes. Je nen revenais pas !
- Viens Mallaury, jhabite au 6ème. Suis-moi dans mon « home sweet home » (doux foyer).
Firas avait une voix enivrante, chaude, douce avec un accent des plus sexy, je frissonnais à chacun des mots quil prononçait, mais surtout je narrivais pas à détacher mes yeux des ses lèvres, javais une terrible envie de les mordre, de les goûter.
On prit donc lascenseur, jétais dans un état mêlant fatigue, excitation, angoisse et envie. Firas me tenait encore par la taille, on était si proches, il sentait tellement bon, un parfum naturel, légèrement sucré, très viril. Hummm quelle sublime odeur !
Un « dong » nous indiqua que nous étions arrivés au bon étage. Firas savança dans un long couloir en portant ma valise. Quelle galanterie ! Je le suivais tout en observant sa démarche, et oui, jaime regarder les belles choses, et devant moi, une jolie paire de fesses bien galbée dans un jean, déambulait dans ce long couloir, quelle merveilleuse vue pour mes yeux !
Soudain Firas sarrêta devant un porte, au numéro 4.
- Mallaury, chère complice, si tu veux bien entrer ?
- Merci, cher complice, avec plaisir !
A ce moment, je sentais une tension sexuelle très intense entre nous. Et Firas devait la ressentir également car à linstant où je franchissais le seuil de la porte, je sentis sa main me donnait la fessée. Hummm, quel délice !
Une décharge électrique me parcouru le corps et jentendis Firas gémir et murmurer :
- Hummm, cette paire de fesses, jen ai tellement rêvé !
- Hummm, tu sais que jaime ça, cher complice !
Entrés dans le loft et là, waouh, sublime. Un loft lumineux, assez grand avec une baie vitrée qui montrait une vue splendide de Los Angeles. Jenlevai mes bottes et accrocha mon manteau derrière la porte dentrée et Firas me dit :
- Princesse, veux-tu que je te fasse faire le tour du propriétaire ?
- Avec plaisir bébé !
Il ny avait plus aucune gêne entre nous. Au contraire, on était si proches, on rigolait aux blagues de lautre, nos regards se croisaient et se fixaient. On était « complices » et même encore plus quen virtuel.
Firas memmena vers la cuisine, qui était toute équipée avec de lélectroménager dernier cri, très high-tech, avec de jolis meublés laqués en bordeaux et noir, juste sublime. Dans cette cuisine, se trouvait également un plan de travail à mi hauteur en îlot central.
Tout à coup, je fus prise dune terrible envie, une pulsion même. Je poussa Firas vers le plan de travail et je le retourna très rapidement pour quil se retrouve face à moi ; jai avancé à hauteur de sa bouche sensuelle qui me faisait envie depuis mon arrivée à laéroport. Jétais plus petite que lui, mais les talons aidant, jétais finalement pile à la hauteur de sa bouche.
Je lembrassa sauvagement et Firas répondit immédiatement à mon baiser. Un baiser sensuel et langoureux, Firas me plaqua sauvagement contre lui , ma poitrine vint sécraser contre son torse musclé qui se dessinait sous sa chemise. Il me murmura au creux de loreille :
- Aaah, tu me rends dingue !
- Toi aussi bébé, je nen pouvais plus, il fallait que je te montre que jétais bien venue pour toi et je mourais denvie de goûter à ta bouche.
- Hmmm princesse, tu me mets dans un tel état, encore plus quen virtuel.
- Pour votre plaisir monsieur !
Après ce fougueux baiser, on se dirigea vers sa chambre où je découvris un lit à baldaquin très sensuel avec de somptueux draps rouges en soie.
- Je les ai acheté rien que pour toi princesse.
- Ils sont magnifiques, tu sais bien recevoir tes invitées.
- Surtout toi princesse ! Pour votre plaisir madame.
- Hmmm jadore, hâte de les inaugurer.
A ces mots, mon tendre complice mattira vers le lit et à la vue de son regard de braise, jai tout de suite su quil avait envie de moi, tout comme moi javais terriblement envie de lui.
- Jai envie de te baiser princesse, jai envie de me glisser dans tous tes orifices.
- Aaah, Firas tu me rends dingue aussi, et jai très envie que tu me baises.
Les choses sérieuses pouvaient enfin commencer. Firas ma agrippé les hanches et a commencé par me caresser les fesses.
- Jadore tes fesses ma belle, elles sont bien rebondies et tiennent bien en main.
Je frissonnais sous ses caresses, hmmm, il était si habiles de ses mains.
- Tu me fais frissonner, complice.
- Jai envie de faire plus que ça, je veux tamener au-delà de lorgasme princesse !
Tout à coup, une pulsion est montée en moi. Je me suis accroupie devant Firas qui me dominait de sa taille. Je lui ai lançais un regard très aguicheur pour quil comprenne ce que jallais faire. Je posa mes mains sur sa taille et je commençais à retirer la fermeture éclair de son jean, mes mains étaient tremblantes, mon coeur battait la chamade. Jôtais son bouton et je commençais à descendre son jean, pour apercevoir un boxer rouge très sexy, qui mettait parfaitement ses jolies fesses rebondies en valeur.
Il passa chacune de ses jambes pour retirer son jean, il était en boxer à la hauteur de ma bouche. Hmmm, quelle vue magnifique ! Une légère bosse déformait le tissu serré. Firas respirait vite et fort, il me regardait avec un regard brûlant de désir.
Je me releva pour lui ôter sa chemise, je voulais voir, toucher, goûter son torse. Je posa mes mains sur ses épaules par dessus sa chemise, je sentais son cur battre à tout rompre. Il ne me lâchait pas du regard.
- Tu me rends dingue princesse !
- Jai envie de faire bien plus pour toi bébé !
Jôtai un à un les boutons de sa chemise et à chaque bouton enlevé, je déposais un léger baiser sur sa peau brûlante. A chaque baiser, je sentais Firas qui se contractait en gémissant.
- Hmmm, cest trop bon de sentir tes lèvres sur ma peau, tu es si douce.
Je retirais sa chemise de ses épaules, chemise qui glissa sur le sol. Firas était en boxer, torse nu devant moi, je scrutais son corps dans le moindre détail en passant ma langue sur mes lèvres et en jetant des regards brûlants à mon complice.
- Tu me rends folle bébé, tu me donnes très envie !
A ces mots, jai vu le regard de Firas changer et devenir ardent de désir.
- Moi aussi, jai très envie de toi !
Firas attrapa le bas de mon pull, le remonta et le passa par dessus ma tête, il descendit ses mains sur ma taille et attrapa lélastique de mon leggings et le fit descendre. Je passa chacune de mes jambes pour me libérer de mon pantalon.
A mon tour, je me retrouvais face à Firas en lingerie. Et pour ce jour spécial de notre rencontre, javais choisi ma plus belle lingerie et comme je connaissais les goûts de Firas, je navais pas hésité longtemps devant ma garde-robe.
Je portais une lingerie entièrement noire et en dentelle. Javais revêtu un soutien-gorge corbeille qui relevait parfaitement ma poitrine, avec un string coordonné (le pêcher mignon de Firas, je le cite : « cela met bien tes jolies fesses en valeur »), un porte-jarretelles également noir par dessous mon string (pour la pratique) et une paire de bas en petite résille noire.
Quand Firas eut fini de me déshabiller, il me regardait de haut en bas, en admirant ma lingerie en passant sa langue sur ses lèvres. Et cette lingerie eut leffet que jespérais sur mon amant.
- Très bon choix de lingerie, ma belle. Tu sais te mettre en valeur dans de magnifiques vêtements, jadore !
Je voyais sa queue qui devenait de plus en plus gonflée dans son boxer, elle était même trop à létroit. Pour éviter quil continue de souffrir de cette situation, japprochai ma main de son boxer, je le fit glisser pour libérer son sexe qui était légèrement dressé devant moi.
- Quelle belle queue, cher complice, comme dans mes rêves les plus fous et mes souvenirs de tes photos très torrides.
- Ravie quelle te plaise, elle est entièrement à toi, complice !
- Jai très envie de la prendre en bouche !
- Hmmm, fais-toi plaisir princesse, ce nest pas moi qui vais ten empêcher.
Jai donc glissé à genoux sur la moquette de la chambre, devant la queue presque tendue de Firas. Elle avait déjà une belle grosseur. Je saisi la hampe dune main. Firas eut un sursaut et laissa échapper un gémissement. Je déposa un baiser sur son gland gonflé. Ma langue glissa sur la longueur dun côté puis de lautre.
Je remontais et passais ma langue sur le tour de son gland. Jentendais Firas gémir, sa respiration était plus rapide, plus sourde, presque animale, hmmm quel délice de lentendre ainsi gémir.
Avec mon autre main, je caressais ses couilles, belles et gonflées par lexcitation. Il se crispait à chaque fois que je passais ma langue brûlante sur son gland devenu très sensible. Soudain, je glissais sa queue dans ma bouche presque jusquà la garde, je voulais quil continue de grossir.
Sa queue était délicieuse, légèrement veinée, hmmm jadorais lavoir en bouche et la sentir sous ma langue, mais comme je ne voulais pas quil jouisse tout de suite, je sortis sa queue de ma bouche. Je sentais que Firas en voulait plus, je le voyais dans son regard de braise.
- Jai adoré ta fellation princesse, jai aimé être au chaud dans ta bouche, tu sais ty prendre pour me rendre dingue !!
- Ravie que cela tai plu. Et je vois que tu en veux plus ?
- Oui, je te veux toi, toute entière, rien quà moi.
- Je suis à toi bébé. Jai tellement envie de te donner du plaisir et que tu men donnes en retour.
Dun seul coup, Firas me releva, membrassa sauvagement et me poussa sur le lit. Leffet froid des draps me fit frissonner. Jétais allongée dans ce grand lit et Firas me scrutait, me frôlait du regard. Hmmm, jadorais cette sensation de lui appartenir.
Il avança vers le lit avec une démarche animale, très sensuelle. Il approcha ses mains de mon corps fiévreux, il attrapa mon string et le fit glisser. Je soulevais le bassin pour laider à faire descendre mon string. Il remonta ses mains sur ma poitrine, mon buste était redressé, javais pris appui sur mes avant bras, il caressa mes seins gonflés par lexcitation.
Ses caresses étaient douces, je sentais à peine ses doigts qui effleuraient le tissu, il glissa ses mains dans mon dos et dégrafa mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine, tout en déposant de tendres baisers dans le creux de mon cou, sur ma clavicule. Aaah, quelle sensation divine et intense. Ses baisers étaient légers mais ils électrisaient tout mon corps. Je gémissais et me cambrais pour que mes seins viennent toucher son torse.
Il descendit sa bouche vers ma poitrine et commença à embrasser un sein puis lautre, il jouait avec mes tétons déjà tendus par ses baisers. Firas savait sy prendre aussi pour me donner du plaisir. Il suçotait, mordillait, léchait mes tétons, il soufflait dessus pour quils continuent de pointer et de durcir.
- Aaah, Firas tu me rends dingue.
- Pour ton plaisir princesse, jaime tout de toi, tout ton corps est offert au plaisir.
Sa bouche descendit sur mon ventre où il déposait de légers baisers. Je me tortillais sous les chatouilles que Firas me procurait.
- Tu es si réceptive à mes caresses ma belle !
- Cest leffet que tu me procures bébé ! Mon plaisir est à toi.
Firas continua de descendre sur mon corps, il caressait mon ventre, mes cuisses, mes jambes par dessus mes bas résille.Je gémissais et me cambrais pour mieux recevoir ses caresses. Il approcha sa bouche de mon pubis où il déposait de légers et chauds baisers.
Il écarta mes lèvres avec ses doigts. Jétais déjà bien humide. Il fit glisser ses doigts habiles entre mes lèvres et remonta sur mon clito.
- Aaah, cest trop bon !
- Hmmm, princesse, je veux te goûter !
Tout à coup , il goba mon clito devenu très sensible tout en enfonçant ses doigts entre mes lèvres.
- Hmmm, princesse, ton clito est délicieux et ta petite chatte humide est très accueillante.
- Aaah, bébé !
Je gémissais de plus en plus sous son divin cunni, sa langue sur mon clito brûlant me rendait dingue, je sentais lexcitation qui montait en moi. Firas léchait mon clito avec sa langue experte, il aspirait de plus en plus fort. Je sentais que je coulais sur sa langue, je me cambrais plus fort sous ses assauts de plus en plus pénétrants.
- Aaah, bébé, fais-moi jouir.
- Non ma belle, pas encore.
Cette sensation était à la fois exquise et douloureuse, mon clito était engourdi par lexcitation, ma chatte était de plus en plus trempée. Firas jouait de ses doigts en moi, il accélérait ses mouvements puis ralentissait en me laissant au bord de la jouissance. Il faisait pareil avec mon clito, il le dévorait sauvagement puis il sarrêtait.
Ma respiration était rapide mais étouffée par mes gémissements. La jouissance montait de plus en plus fort en moi.
- Aaah bébé, je nen peux plus je veux que tu me baises fort.
- Ok ma belle, je vais te baiser fort.
A ces mots, Firas me retourna, me plaça en levrette sur les draps de soie, il me poussa plus sur le lit pour pouvoir sinstaller derrière moi et soudain il me pénétra violemment de toute sa longueur. Cette pénétration marracha un cri :
- Aaaah putain, cest trop bon, défonces-moi bébé !
Firas sagrippa à mes hanches et me pénétra plus fort plus profond. Je lentendais gémir à chaque coup de reins. Je me cambrais plus, pour le recevoir plus fort en moi. Ses mains tenaient sauvagement, fermement mes hanches. Je sentais ma jouissance qui coulait le long de mes cuisses, je respirais par saccades et je hurlais de plus en plus fort, cétait quasiment animal.
Firas me pénétrait sauvagement, intensément en senfonçant profondément dans ma chatte ruisselante.
- Hmmm ma belle, tu vas me faire jouir, tu es trop bandante !
- Baises-moi plus fort bébé, fais-moi jouir !
- Aaah, tu en veux encore
- Oui bébé, défonces-moi, jouis pour moi.
On gémissait presque synchro, nos respirations étaient rapides et sifflantes. J hurlais plus fort à chaque coup de queue au fond de ma chatte. Firas faisait claquer ses couilles sous mes fesses à chaque pénétrations de plus en plus intenses.
Je nen pouvais plus, tout mon corps était en feu, mes hanches, mes reins, ma chatte réclamaient le corps ardent de Firas. Il magrippa une dernière fois plus fort et il gicla en moi, en gémissant fort. Je jouissais quasiment en même temps dans un long râle essoufflé, je le sentais coulait au fond de ma chatte brûlante.
- Aaahh bébé, cétait bon et intense (tout en gémissant de plaisir)
- Aaahh princesse, tu mas fais jouir.
- Toi aussi complice, jai adoré.
On sécroula sur les draps tous les 2 en transe. Cette baise fut intense, une de nos plus torrides. Nos 2 corps tremblaient lun contre lautre, on avait du mal à reprendre notre souffle. Je sentais Firas se blottir contre moi, et respirer sauvagement dans le creux de mon oreille. A travers ma respiration, je glissais quelques mots à Firas :
- Bébé, tu mas rendue encore plus dingue quen virtuel.
- Merci ma belle. Je te retourne le compliment, jai adoré te baiser sauvagement. Tu es si bandante, tout ton corps est fait pour le plaisir de la chair.
- Ohhh bébé, et ce nest que le premier jour de notre séjour ensemble.
- Oh oui, princesse ! Et jai hâte de recommencer et très envie aussi de glisser ma queue dans ton joli cul rebondi.
- Justement à ce sujet, jai un petit cadeau pour toi dans ma valise !
- Ne me dis pas que tu as acheté un rosebud ? (petit jouet sexuel pour le sexe anal en acier)
- Non pas 1 mais 3, de 3 tailles différentes, bébé.
- Hmmm, jadore que tu sois entreprenante comme ça princesse.
- Pour votre plaisir monsieur.
Après toutes ces émotions, nous avons filé à la salle de bains, où se trouvaient une grande douche à litalienne et une baignoire dangle, nous avons pris une douche ensemble bien entendu, on sest habillés et nous sommes sortis boire un verre entre complices.
Mes chers coquins, je vous laisse imaginer la suite de la semaine entre Firas et moi.
A la prochaine pour de nouvelles aventures torrides et intenses.
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