Table De Sapin10
Depuis un long instant, javais les yeux rivés sur ma femme en train de danser à seulement deux mètres de moi. Elle était habillée élégamment. Chaussée de hauts talons. Qui fit ressortir le galbe troublant de ses jambes. Celles-ci étant recouvertes de basse couture qui laissait apercevoir sous la jupe les légères protubérances des attaches des portes jarretelles. Il me tardait de rentrer à la maison. De la culbutais à même le divan devant un film de cul. Cela tombé bien nous étions le premier samedi du mois. Un moyen comme un notre pour fêter notre nuit de noce. Et oui ! Depuis 11H30 elle était devenue ma femme légitime.
Pour loccasion nous avions réuni la famille la plus proche dans la demeure de mes beaux parents. Sitôt le repas terminé, la cuisine sest transformé en une vaste discothèque.
Se sachant regarder, ma femme a rejeté la tête en arrière, se gênant pas de se passer les mains sur le corps. Ses gros seins sous son chemisier en satin blanc qui la moulait comme une seconde peau ballottaient au rythme de sa danse. Leffet était bandant.
Cette excitation additionnée à celui de lalcool avait eut sur moi un effet aphrodisiaque. Me poussant à fantasmer sur ma jeune belle-sur. Qui se dandinait près de sa femme. Tournoyant sur elle-même. Entièrement vêtue de noir. Une tenue pas approprié pour la célébration du jour, mais bon ! Elle était pourtant magnifique dans son ensemble composé dune veste à manches courtes et dune jupe longue tombant élégamment sur de petites bottines de cuir très pointues, qui moulaient à merveille ses chevilles et ses pieds.
À un moment elle sest penchée, me tendant son fessier. Un cul denfer qui était loin dapaiser létat où je me trouvais. Tout au contraire, cette scène ma donné même envie de faire des bêtises. Je me suis promis de my occupé quand loccasion se présenta à moi. Surtout quà plusieurs reprises ma sur mavait confié que sa sur était une chaudasse. Aux dires de ma femme, la coquine avait commencé très tôt son apprentissage sexuel.
Pour les mordu de mes histoires, je nai pas besoin de vous la présenter. Il me semble que vous avez fait amples connaissance avec elle. Pour les autres, elle est tout simplement ma maîtresse. Oui ! Vous avez bien lu. Une amante douce, souriante, toujours de bonne humeur et qui aime les parties de jambes en lair comme aucune autre avant elle. Même Brigitte et Bernadette, les deux femmes mariées qui ont bercé mon éducation sexuel étant jeune leurs arrivées pas à la cheville. Une bouffeuse de cul et de bite hors paire. Marié à un rustre, jamais satisfait, et côté sexe tout son contraire. Cest à se demander sil est vraiment le père des deux filles et du fils qui ne laisse pas sa part au chien.
À plusieurs reprises lors de nos réunions de cul, jai demandé comment elle pouvait rester avec lui. Elle mavait alors répondu :
- Tout bonnement par ce que nous sommes différents.
Aller comprendre ce quelle avait voulu me dire par là. Mais à vrai dire cela métait égal, je la baisais, un point cest tout
Mais toutes ses pensées narrangeaient en rien mon état. Mon sexe était tellement dur quil me fait furieusement mal. À côté de moi, mon officiel beau-père me parlait, me questionnait sans que jentende le son de sa voix, tant la musique mangeait ses paroles.
Puis ma belle-mère quitta la piste de dance. Tout en vacillant elle sest dirigée vers la table où jétais assis. Après mavoir caressé la tête et peigner mes cheveux avec ses doigts elle sortit de la pièce. Pas la peine dêtre devin pour savoir où elle se rendait. Aux toilettes ! En toute discrétion jai quitté ma place et lemmerdeur par la même occasion pour lui emboîter le pas.
- A cest toi.
- Je peux entrer ?
- Pourquoi ? Fit-elle un sourire salace aux lèvres. Tout en écartant la porte pour me donner accès. Après mon passage elle sest empressée à verrouiller louverture.
- Cela tombe bien me murmura-t-elle, jai comme une grosse envie de me faire remplir.
- Tu ne crois pas si bien dire, en lui exhibant ma queue bandée.
Prenant appui sur le bidet, elle a tendu son derrière vers moi. Tout en le remuant.
- Tu me rends fou, tu sais ? Mon gendre
Pour loccasion elle portait ce jour là des bas accroché à la baleine de sa gaine. Jai écarté sa culotte blanche sur le côté. Ce que le reflet du miroir me renvoyer était aphrodisiaque. Je lai soulevée
Par les hanches, et jai enfoncé ma verge dans son entier dun seul coup dans sa chatte.
- Ne bouge plus, attends ! Ma-t-elle ordonné. Cest trop excitant.
Nos sommes restés un long moment soudés en ne faisant que dimperceptibles mouvements pour faire durer notre plaisir. Elle a contracté ses muscles avec une force surprenante, enserrant ma bite dans un fourreau chaud et gluant.
- Oh que tu es gros
Je me mis à aller et venir doucement dans son intimité. Toujours grâce au miroir jai surpris Colette grimacée de plaisir. Émettant une faible plainte. Je lui ai fait lamour tendrement, délicieusement. Puis jai éjaculé au plus profond de sa chatte. Ce fut un orgasme cosmique, phénoménal
Elle a jouit à son tour au moment où elle a senti mon sperme frappait les parois de son sexe.
- Oh ! Oui
! Fit-elle, en tournant sa tête de mon côté, me montrant le blanc de ses yeux.
Je suis sorti le premier, pour aller rejoindre ma place. Ma femme et ma belle-sur dansaient toujours pour men plus grand plaisir. Mon absence navait pas éveillé des soupçons.
- Quand tes beaux parents sabsentent qui vient ramasser le courrier ?
- Cest souvent moi, pourquoi ?
- Il se trouve que jai colis à faire livrer et je ne veux pas quil tombe dans nimporte quelles mains. Si tu vois ce que je veux dire ?
- Oui parfaitement. Tu voudrais le faire livrer ici.
- Oui ! Tu as tout compris.
- Et il est gros ton colis ?
- Non ! Il tient sans problème dans la boite aux lettres.
- Et il arrive quand ?
- A ce que je sache ils partent demain tes beaux-parents ?
- Oui. À la première heure comme à leur habitude.
- Alors il arrivera mercredi.
Elle sest saisis de mon verre et a bu une gorgée. Après un clin dil elle sest levée et sest avancée jusquà la piste de dance.
Cela faisait déjà une bonne heure que je partageais mon attente avec Isabelle, la copine du beau frère. Attendant patiemment la venue du facteur. Mabroutissant dhistoires incohérentes. Puis pour mon plus grand plaisir, jai vue par la fenêtre arrivée la voiture de la factrice.
- La voilà
Nous nous sommes tout deux levés, pour aller au-devant de la préposée. Hormis quelques enveloppes elle tenait aussi une boîte en carton.
- Mademoiselle F
cest chez vous ?
- Oui
cest cette jeune fille.
- Bien ! Répondit-elle, jaurais besoin dune signature.
Ceci fait elle tendit le colis.
- Bonne journée
fit-elle en reprenant place à bord de son véhicule.
Une fois dans la cuisine, Isabelle excitée comme une puce ma demandé un couteau.
- Dans le tiroir. Répliquais-je en lui désignant du doigt.
Elle la ouvert et prit un grand.
- Je voudrais contrôler quil ne manque rien. Fit-elle en découpant les bandes de scotch. Ce quelle en sortit me laisser sans voix. Il sagissait dune sangle avec aux extrémités deux menottes, et de deux autres au centre.
- Tu sais à quoi sa sert ?
- Oui
je pense avoir une idée.
- Je vais loffrir à mon chéri.
- Très beau cadeau
fis-je ironiquement.
- Il me tarde de lessayer.
- Pour ça il va falloir que tu patientes un peu. Il quitte à
- Mais je pensais que tu serais daccord pour jouer le cobaye.
- Comment ça. Là
tout de suite
maintenant
- Oui pourquoi pas. Cela tembarrasse ?
- Pas le moindre du monde
tu veux que je minstalle où ?
Elle prit un temps de réflexion, avant denvoyer :
- Sur la table
oui sur la table
Elle nen a tant vus cette table quelle nétait pas à un acte près. Je me suis allongé de tout mon long, sur le dos. Sans perdre une seule seconde de peur sans doute que je change davis temps, elle sest penchée en avant pour me menotter les deux chevilles. Puis ce fut le tour de ma main droite.
- Ce ne serait pas le moment que ma femme rentre. Fis-je alors quelle menottait ma main gauche. Jétais dans une posture que je vous laisse imaginer.
Ceci fait elle sest posté en bout de table et a admiré son uvre.
- Alors ? Fis-je.
- Alors quoi, répliqua-t-elle.
- Enfin ça te plaît ?
- Quelle question
bien sûr que ça me plaît. Jimagine que tu veux que je te libère maintenant.
- Oui sil te plaît
- Et bien pas moi. Je vais même te dire que je vais profiter de loccasion qui mest donné.
- Pardon ! Je ne comprends pas très bien.
- Quest-ce que tu ne comprends pas très bien. Je ne suis pas baisable à tes yeux ?
- Oui Isabelle. Tu es une belle fille.
- Comme je te trouve à mon goût, nous allons tout profité. Tinquiète cela restera entre nous.
- Cest que
- Cest que
quoi ! Je vais me faire baiser par toi. Je suis sûr que tu le désire aussi, hein ? Je me trompe ? Aller baise moi. Tu ne crois pas que jai fait tout ça pour ensuite rentrer chez moi pour me branler.
- Mais ce nétait pas pour ton chéri ?
- Mon cul mon chéri. Cétait pour me faire baiser par toi. Une fois fini je ten fais cadeau, même. Que den parler jen mouille ma culotte. Tiens regarde
Elle a retroussé sa jupe, très haut sur ses hanches. Exhibant des cuisses gainées de bas auto-fixant couleur chair, et plus haut une culotte rouge vif avec une belle auréole sombre dans son centre.
Elle se lest ôtée avant de se hisser sur la table à laide dune chaise, pour se placer au-dessus de ma figure. Javais une vue imprenable sur son intimité. Je lai pas résisté à donner de petits coups de langue pour goûter cette fente qui soffrait à moi. Avant décarter les lèvres brunes. Puis Isabelle sest tournée. Me tournant le dos. Elle sest penchée en avant pour mieux soffrir sans retenue à ma langue qui sest mit de nouveau à la fouiller goulûment. Jai léché les petites lèvres brunes et réintroduit le bout de sa langue dans la fente. Je lai entendu gémir. Jai léché de haut en bas, du clitoris au périnée. Puis mon attention sest portée sur son cul. Enivré par son odeur fauve. Jai entrepris de le lui lécher. Remontant le long de la raie moite de transpiration pour passer ma langue sur son anus odorant. Jai dardait ma langue à lorée du cul. Tentant de my introduire. Son goût avait une saveur amère. Il men fallait pas plus pour perdre la tête. Comme si javais avalé un fort aphrodisiaque. Ivre de sexe, jai lapé plus ardemment, avant de replonger dans son vagin trempé. Le pourléchant consciencieusement. Il nen fallut pas plus à Isabelle de décharger dans ma bouche une abondante mouille. Javais les lèvres, le menton souillé de son foutre.
Puis comme elle la déclaré quelques minutes plus tôt, elle sest
Intéressée à moi. À ma verge pour être plus exact. La libérant de sa prison. Elle sest mise à me la masturber pour mon plus grand plaisir. Dailleurs je nai pas manqué de le lui faire part en gémissant. Elle a prit cela pour un encouragement. Me prenant dun coup dans sa bouche. Maspirant lentement. Elle sest mise à faire un petit mouvement de va-et-vient le long de mon sexe avec ses lèvres, tout en me caressant de sa main. Me jugeant sans doute apte pour le bouquet final, elle ma abandonné quelques instants, le temps de venir sasseoir sur mon sexe luisant de salive. Dun mouvement des hanches elle sest enfoncé loin, au fond, tout au fond. Elle est restée quelques instants sans bouger, respirant à grand coup. Puis les mains en appui sur mes épaules, elle a fermé les yeux avant de commencer à aller et venir sur ma verge. Avançant et reculant son bassin sur mon ventre, tout en montant et descendant.
Chaque mobilité correspondait à un gémissement, qui se faisait de plus en plus sonore. Elle a roulé des fesses davant en arrière. Comme elle lavait fait quelques jours plus tôt sur la piste de danse, attentive à me donner du plaisir. Je me suis retenu le plus longtemps possible. Elle a cédé la première et fut secouée par un long orgasme. Jai suivi de près projetant ma semence loin dans son vagin. Quelques semaines plus tard, elle a quitté mon beau-frère. Et pour mon plus grand regret je ne lai plus revu
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