Ron Le Chrétien Désabusé.
Ron , le chrétien désabusé
Ron quitta son domicile à 8h15 heureux comme un gosse. Apres trois mois de boude, sa femme Eve débloqua et pris elle-même la décision de rompre avec ses préjugés de femme trop farouche et copula avec lui. Elle avait pris son pied, lui aussi, ce matin à 6h .
La brouille pourtant était un peu idiote , elle ne cautionnait pas lattitude dune collègue de Ron qui sans cesse devait la rembarrer par téléphone , refusant des apparentes avances. Psychologiquement, langoisse envenimait la confiance quelle portait à Ron et avait endormit sa libido.
Ron , 45 ans , assistant social à Mountburg dans le létat de lAslaska, était un bon citoyen quune éducation modèle avait conduit dans les tribunes de la justice sociale et à en vanter les mérites comme un individu dont le sens humain survolait larrogance de tout le système libéral du monde . Rarement en manque de courage il attendait de monter en grade. Ouvert desprit , il prenait joie dentretenir sa culture et en vertu de celle-ci et de lamour pour son pays , nhésitait jamais de contester fièrement les appendices de la jungle économique qui tenait plus sur lescroquerie des masses que sur un réel mérite civil. Il arborait sans complexe le rôle quil tenait dans la société et cela lui permettait une certaine facilité dans ses rapports quotidiens .
Son fils Riley avançait tranquillement vers les études supérieures. Il était internée à Anchorage .
Eve était bibliothécaire. A 41 ans , rien ne dérangeait à son bonheur.
Son seul soucis fut de cacher un adultère cinq ans plus tôt avec un auteur qui faisait la promotion de son roman, un petit auteur notoire qui avait une réputation modeste. Il lavait sautée chez Mr Le Directeur lors du cocktail. Cet écrivain avait une petite bite mais les fesses dEves avaient si bien rebondit sous sa robe blanche , ce soir là , lorsqu elle sest faite emmanchée ,quelle avait pris plaisir jusquà crier dans le veston du gars et en tira une bien agréable expérience.
Ron nen su rien , même pas un doute , mais sous ses airs braves il dissimulait un autre état desprit.
Bon chrétien de naissance , il aimait croire en Jésus Christ entre autre gout spirituels. Il faisait part dun respect profond pour les chrétiens et se rendait de temps en temps à la messe. Le christianisme ,comme tout chrétien , tenait les piliers de sa connaissance et il savait rendre gloire à dieu . Il y avait un crucifie dans la chambre à coucher , un petit, entre la porte et un tableau du 19 ième.
Il en défendait ses valeurs jusqu à ce qu il se retrouve devant le vice religieux et toute la turpitude qui en découlait ,cest à dire lhypocrisie , le puritanisme prédalle , lavarice , le formalisme , la prédominance des intérêt vénaux, le sectarisme moral
Dans ses dialogue avec le Christ il philosophait et posait beaucoup de questions . Il déprimait et, victime de lui-même et du fils de Dieu , il fut bien consterné de voir sen aller la part soluble de ses espoirs dhomme responsable. Le système ne résolvait rien ou peu, ou encore trop lentement , les murs était une machine encrassée dune histoire pleine de rebus, trop coupable et inassumable, ces messieurs les politiques navait que la monnaie comme musique à écouter et pour couronner le tout , ces gros préféraient aujourd hui sentendre déféquer à longueur de journée que lier leurs intérêts avec ceux qui défendent ceux des pauvres gens et dautres novateurs ou dirait-on , pourfendeurs de lopprimé. » Le capitalisme sauvage naura jamais fait ses preuves « se disait-il souvent , convaincu . Et puis bon , il serait bien la pâte du patron quand il voulait faire embaucher un misérable dans latelier du coin. Alors il se sentait aussi coupable que toutes ces pontes pleines de fric à s en faire péter la pense, ces gros du bosses avares comme un arbre en hiver.
Cest ainsi quil prit lhabitude daller se masturber et de gicler en pensant fortement à baiser toutes les femmes de tous les patrons quil croisait.
Une fois , après avoir rater lembauche de trois crève- la -dalles dans le commerce de matériaux hifi , au supermarché , il refusa de déjeuner avec le chef du magazine et sa femme. Il courut jusquaux chiots et se branla , laissant échapper un cris de jouissance qui sentendit jusque dans les couloirs . On crut à un malaise , on courut mais il rassura tout le monde prétextant une crampe au pied.
Dans ses lubies sexuelles, il matait des pornos avec Eve qui ne se refusait que les jours de fête, un peu coincée. Elle se mettait à rire parfois dans leurs ébats .Elle savait souvrir à lui la plupart du temps.
Puis Bonie débarqua au bureau de Ron pour remplaçait la vieille Jessie qui prenait sa retraite. Bonie réveilla la jalousie de Eve, torturée par les messages téléphoniques désopilants, les textos à répétition que recevait, et qui agaçait Ron.
En fait Ron avait baisait Bonie , le troisième jour après leur rencontre , après lui avoir appris qu elle était la fille du patron de lindustrie auto , une rognure par excellence, un sale enculé. Ron navait pas douté, il la retourna sans détour chez elle un beau matin.
Elle fut difficile à canaliser mais il y parvint quand il la menaça de fermer son bureau et de se recycler . Scrupuleuse, elle prit peur et ne coucha plus avec lui.
Elle dut se doigter plusieurs par jours parfois mais elle y parvenait .
Un mois avant de pouvoir refourrer sa langue puissante dans la chatte dEve il eut un gros trouble.
Il eut conscience du pouvoir du sexe et de limplication du plaisir dans la vie de tous les jours ainsi que dans ses pensées innocentes ou non , de ses sensations physiques .
Dans son attitude posée ,discrète et mystérieuse il méditait sur la force sexuelle du monde, de la sienne , dEve, celle des hommes , des femmes , Il se demanda si son fils était dépucellé.
Ce jour-là il pris son après-midi pour aller au sex-shop et acheter une tenue sexy a sa femme. Mais la déprime ne partait pas .Il se fixa sur l idée de forniquer pour battre la morosité qui leffrayait . Il plongea dans ses réflexions plus aguichantes mais son dégout sacharna sur lui.
Le soir , avec lenvie folle de faire lamour , il offrit le cadeau à Eve mais elle sénerva , encore jalouse et renfermée, fit une scène de ménage et vexa lhomme de la maison comme jamais . Ron fit un tour de marche pour prendre lair , dehors , le long de la rue . Au bout de 500 mètres, il bandait , amoureux de sa femme . Pendant ce temps Eve préféra senfonçer un gode énorme en simaginant avec le premier venus.
Un voiture sarrêta devant une maison de langle du quartier , une adolescente en sortit en pleurant et dit au jeune type « je t emmerde ». Elle venait de se faire balancer.
Les ruptures sont difficile à encaisser certains moments.
Ron navait pas songer au divorce, il ne le souhaitait pas .
Il marcha encore et imagina cette apocalypse . Il eut des visions en observant les étoiles de l horizons. Maitre fornicateur invétéré, lécheur expérimenté des suceuses de pénis, en bon chrétien, il ouvrait les portes de lempire du sexe ,une école nouvelle,, et devennait la référence de léducation sexuelle dans le monde . Pas un adulte néchapperait à la communion sexuelle quil instaurerait, avec la séance de sauterie de fin dannée et des cours quotidiens en poitrine et gros nibars. Le dimanche transformé en dialogue perspicace du couple et apprentissage générale et minutieux de la pertinence de lorgasme , ou encore comment rentrer chez soi , bibiche nous attendant le cul en fleur dans le living ! Ron pris le chemin du retour . Il avait les boules. Pendant lentre-cour ,Abigaelle prof de la grande vulve mouillée neut pas fait écarter lanus de toutes les ménagères de la ville en manque de queue qu elle ne put alors y voir si elles malaxaient suffisamment bien leur parties génitales pour etre de bonnes apprentie .
« Malaxez vous dont la fente ! » dirait il.
Telle serait la condition du genre humain si le Directeur Ron subjuguerez le peuple humain de son projet bienfaiteur dendiguer tous les esprits dans son dévolu de jouissance .Il vit une incommensurable étendue du culs , de fesses roses et blanches révéler le chemin du bonheur suprême, dans un éclat de diamant , dor et de lumière divine.. . Il se vit léviter dans un univers qui sentait bon le vagin et saperçut que sa verge de diamant soulevait lultime nécessité , celle dassouvir tous les terriens sexuellement. Il crut jouir dans son caleçon mais se retint.
Il rentra . Eve muette dans le sofa restait intransigible . Son mutisme renvoyait Ron dans un recours intellectuel peu banal. Il voulait comprendre un si agaçant entêtement.
-Pourquoi ne dis tu rien ? engagea-t-il.
Pas de réponse. Eve fixait la télé et s arma de ses qualités diplomatiques.
-Eve ? persistait -t-il .
-Quoi ? Tu veux de la glace ?
-Oui... non ,
répondit-il, piégé. Je voulais te parler de nous .. de.. tu sais quoi..
-Ha , fit elle dans un abandon impitoyable . Je ne sais pas , je veux attendre , je suis pas bien en ce moment , je suppose que tu nen peux plus
? questionna -t -elle adroitement.
-Ca va , je peux patienter jusqu à ce que tu sois mieux
Mais est-ce moi , le sexe ou toi , Riley ?Osa-t- il , espérant éviter les foudres.
-Non , cest moi jai besoin de prendre du recul.
-Ca ne doit pas durer trop longtemps Eve , car tu sais comment ça se passe après
-He bien javiserai si je nai plus envie de toi, lui dit- elle, jai peur que ta Bonie ai laissé son empreinte sur toi
-Non écoute, je lai enguirlandée lautre jour , elle sest arrêtée
-Ah daccord
alors elle sen est retournée ?
-Oui , je n y pense pas à cette femme, avoua-t-il.
Elle partit se coucher . Elle nétait pas en colère mais recluse .
Le lendemain tombèrent les punitions diaboliques du aux remords, latroce culpabilité indéfractable mina Ron jusqu à labdication de Eve. Des cauchemars le hantaient , et cru perdre sa femme pour de bon. Malgré ca il réussit à lespionner un Samedi après-midi en train de masturber doucement sa chatte fraiche et gonflée sur l espace de travail de la cuisine . Elle mouilla toute la vaisselle qui nétait pas rangée. Dans ses secrets de femme fontaine, elle finit par sempiler une grosse courge.
La semaine suivante, elle fut mignonne mais ne céda pas . Ron trouva un site porno sur lordi avec plein de cam dhommes nus en besogne. Il fut conciliant et ne se fâcha pas.
Un mouchoir humide plein de cyprine trainait. Il lavait humé et pris une grosse bouffé avant quelle ne revienne du jardin. Une autre fois encore . Elle resta devant la télé devant les films érotiques du câble et dessinait au crayon gris des pénis.
Tout empirait sauf sa bienséance quelle prodigua au point de douter de sa sincérité. IL crut etre cocu jusquà la moelle quand elle sortit un soir en ville sans l en préciser davantage.
Elle nen fit rien portant . Elle dragua sans succès un vieux fourbe puant et mal léché.
La semaine suivante elle se rapprocha de Ron, lextirpant d une torpeur irrémédiable .
La nuit qui suivit elle se rouvrit à lui ,et remis Ron sur les rails.
Ils baisèrent ensemble mieux , et Eve lui enchérit son regain par lenvie de faire lamour à trois , avec une amie à elle. Ron fut servi.
Deux ans plus tard il avoua ses visions angéliques à un passionné et ouvrit le premier centre dune série innombrable de par le monde de Dévotion Sexuelle pour Adulte. Il révolutionna la moralité érotique et pornographique dans le monde.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!