Fanette 04
Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Jour 4
Je me réveille par un tenaillement comme ma hampe force sa cage confinée
une érection, tant par un besoin de vider ma vessie que par une puissante envie sexuelle fortement visible par la quantité de suc qui badigeonne l'intérieur de mes cuisses. Je suis pleinement conscient de mon état actuel, un immense Amour pour Fanette, NOTRE Fanette, partagé avec Pascal, un Amour que je ne vois plus en rivalité, mais grandi par cet amour différent que j'éprouve maintenant pour mon ami.
Je réalise alors que je suis seul dans le lit et la peur de la punition du retardataire me fait tressaillir. Je me précipite hors du lit et dévale les escaliers. Le regard sévère de ma douce Fanette me prévient qu'il est trop tard. Elle est assise à table et joue avec le corps de Pascal tandis qu'un bol est prêt sur le sol. Mon effroi est encore plus grand lorsque je réalise, dans ma précipitation, que ma vessie crie son désarroi comme je n'ai pas pris le temps de m'arrêter aux toilettes et la course n'a rien arrangé à sa pression. Je tombe sur mes genoux et demande à notre Fanette pour pouvoir me soulager. Elle éclate de rire et me demande pourquoi elle devrait accepter ma requête alors que je mérite une punition. Incapable de lui répondre tant elle a raison, je commence à ramper vers le bol diabolique, grimaçant et me contorsionnant, mais elle m'interrompt et, dans sa grande bonté, elle me propose d'aller me vider dans le jardin.
Comme je me lève, notre Fanette m'arrête, détache mes mains et me dit de la suivre à quatre pattes. Je la suis d'un air interrogateur et gêné comme Pascal me suit aussi, lui debout. Elle me désigne un arbre et me dit de me soulager au pied de l'arbre comme le chiot que je suis.
Dans la même logique, difficilement acceptée, Notre Fanette me fait rentrer, toujours à quatre pattes, pour me laisser 'déguster' mon déjeuner dans l'écuelle, me traitant de chiot et ricanant. Je me sens gêné et humilié, mais d'une façon si tendre par notre Amour que je l'accepte totalement comme je peux percevoir son grand plaisir. Je n'ai pas encore terminé mon repas qu'elle s'approche de moi, me caresse comme son toutou et me glisse à l'oreille que je suis un beau et bon chiot mais qu'il me manque un apparat.
Je m'inquiète de ses mots mais cela ne dure pas longtemps comme elle glisse un doigt en moi et le remue quelques minutes. Je suis alors surpris lorsque je sens un contact froid alors qu'elle semble répartir une matière gluante dans mon trou bienveillant et je ne comprends la manuvre que lorsqu'elle pousse quelque chose de plus conséquent dans mes boyaux. J'essaie péniblement de me concentrer pour terminer mon écuelle et la relécher convenablement lorsque ma tendre Fanette se relève et se recule de quelques pas. Redressant mon museau enduit de céréale, je peux remarquer un sourire étrange sur ses lèvres et je note le même sourire, mais légèrement inquiet, sur les lèvres de mon ami. Je réalise alors que, malgré le fait que notre Amour est loin de moi, je peux toujours sentir une étrange présence dans mon trou. Notre douce Fanette demande à son gentil toutou d'agiter son cul pour montrer son contentement et, comme je remue mon postérieur, je sens quelque chose rebondir contre mes fesses.
Lorsque j'ai terminé, le léchage de mon visage par mon ami se révèle de nouveau un formidable plaisir autorisé et je savoure ces minutes malgré la honte que je ressens et l'horrible pression dans mon sexe qui tente de faire exploser sa prison de plastique lorsque sa langue pénètre dans ma bouche pour la nettoyer profondément.
Comme le rituel du jour précédent, je sais que nous allons devoir aller nous laver dehors de sorte que je suis surpris lorsque notre adorable Fanette serre un collier de cuir autour de mon cou, y attache une laisse et me conduit dehors, suivi de Pascal, mais, lui, debout sur ses pieds.
Je suis traîné comme un gentil toutou derrière sa maîtresse jusqu'à un grand miroir mural où notre Fanette me révèle la chose qu'elle a plantée dans mon postérieur, une queue de chien en caoutchouc qui rebondit à chaque mouvement, augmentant instantanément la rougeur sur mes joues et l'afflux de sang dans ma tête. Je m'écroule presque sur le sol par cet excès de sang dans mon cerveau et l'immense honte d'être devenu l'animal de compagnie que je vois dans mon reflet. Les douces et tendres caresses de notre Déesse me font fondre comme je peux sentir toute la chaleur de son amour pour moi et la vue de son corps sublime dominant le mien m'envoie une image de rêve dans mon cerveau, image de joie, d'amour, de partage et de soumission complète. Je me sens SIEN, je me sens tout à Elle, prêt à m'offrir pour notre plaisir ou, plutôt, pour SON plaisir.
Ma maîtresse me lave au jet, savourant la piqûre glacial de la pression contre les parties les plus sensibles de mon corps et je n'ai qu'un reflexe, celui de balancer ma nouvelle queue de gauche à droite pour lui indiquer mon affection, pour lui prouver mon acceptation.
Ainsi équipé, je passe une journée habituelle à travailler d'arrache pieds avec mon ami Pascal. Dans notre bonne humeur coutumière, nous trimons tout en rigolant l'un avec l'autre et en blaguant. De temps en temps, notre Amour, ma Maitresse vient inspecter notre travail et nous reprenons notre sérieux. Même si cette joie ne dégrade pas la qualité de notre labeur, que du contraire, par respect pour notre Fanette, nous sommes simplement plus sérieux en sa présence.
Après le repas de midi, Pascal reçoit aussi son propre collier avec une étiquette portant son prénom dessus. Il n'acquiert pas de queue canine comme notre Amour désire pouvoir jouer avec son trou à tout moment. La belle Fanette nous propose aussi une après-midi de détente.
Il est vrai que nous n'avons pas touché un seul outil de travail durant le reste de la journée, mais l'après-midi ne fut pas de tout repos, vraiment pas. Après un douche glaciale, mais minutieuse sous son regard observateur, notre Fanette nous emmène dans sa chambre à coucher et, allongée sur son lit, elle nous propose un joute de caresses, de baisers et de léchages, nous permettant d'explorer tout son corps excepté entre ses jambes. Nous regardant fixement dans les yeux, la salive dégoulinant des coins de nos lèvres, nous n'avons pas vraiment attendu la fin de sa phrase pour nous précipiter sur ce corps de rêve et caresser tendrement la peau douce, nous attardant sur chaque parcelle pour prouver, s'il en est besoin, notre amour passionné. Chaque caresse est succédée par un massage amoureux de ma langue agile, titillant chaque pore détendu. Le résultat de tout cela est des gémissements et grognements comme notre Fanette se tortille sur le lit, nous encourageant pour encore plus d'attentions.
Ce ne est que lorsque notre Reine nous repousse que je ressens la violente douleur de mon membre qui palpite dans sa cage, sa prison de plastique, se tendant pour se libérer, implorant pour se dresser, dégoulinant d'un suc onctueux qui révèle un besoin immense et profond de contact et de jouissance. Il ne sait pas et ne comprend pas que cette jouissance m'est refusée pour l'instant et qu'elle doit être méritée et accordée par ma Souveraine tant aimée.
A ma surprise, je suis déclaré gagnant. Tout heureux, j'éclate de joie, ne sachant pas vraiment ce que j'ai gagné et craignant même une ruse de notre belle Fanette.
Notre Fanette s'approche de mon ami. Elle l'enlace et l'embrasse, pressant sa chaude langue dans sa bouche, le caressant sur tout le corps tandis qu'elle lui ordonne de poser ses mains sur sa tête. Pascal se tortille sous ces caresses mais il se cambre lorsque Fanette fouille entre ses fesses, glissant un doigt humide profondément dans son trou. Je peux voir les yeux incrédules de mon ami tandis qu'un second doigt vient aider le premier à détendre le muscle anal. Je suis aussi éberlué que lui mais mon esprit est bien plus préoccupé de savoir quand je vais pouvoir montrer tout mon Amour à notre Fanette.
Ensuite, notre Déesse place mon ami Pascal à quatre pattes aux pieds du lit, je suis de plus en plus impatient de pouvoir sentir mon sexe libéré et de pouvoir palper ma Maitresse entre mes bras et de Lui manifester mes puissants sentiments. Fanette s'assied sur le lit et invite mon ami à s'approcher d'elle, entre ses jambes. Je vois presque rouge, je deviens presque furieux, j'ai gagné, j'ai la promesse de pouvoir lui faire l'amour et, maintenant, Pascal reçoit le privilège de pouvoir satisfaire et combler notre Fanette.
Prévenant qu'il ne pouvait utiliser que sa langue, notre Maitresse tire la tête de mon ami entre ses cuisses et, écartant encore plus ses jambes pour lui donner un accès aisé, elle savoure la lente intrusion de la langue agile, pourtant inexpérimentée, de Pascal. Je ne vois toujours pas où est ma récompense. Je montre quelques signes d'impatience et reçois un regard sévère qui me calme instantanément.
Tout à coup, notre Fanette se lève, laissant Pascal saliver dans le grand vide devant lui. Mon amour s'approche enfin de moi, je suis plus qu'excité, je suis au bord de l'orgasme. Notre Amour tourne autour de moi, contemplant mon corps tourmenté, prêt à exploser. Fanette délivre finalement mon membre de sa prison et ma hampe bondit vers le ciel pour remercier les dieux, claque sur mon estomac tendu, laissant une marre de suc.
Notre Amour commence à m'enlacer et à m'embrasser sous le regard envieux de mon ami qui salive toujours, elle plonge sa langoureuse langue profondément dans ma bouche et glisse ses tendres mains partout sur mon corps. Ses mains se rassemblent sur mes fesses et je me crispe à l'idée de subir le même traitement que Pascal. Fanette joue quelques minutes avec cette queue de caoutchouc dont j'ai oublié la présence durant ce spectacle troublant.
Mais Fanette se recule vers mon ami et m'attire derrière lui. Ma bien-aimée glisse mon sexe tendu entre les cuisses de Pascal, je suis inquiet. Ma Maitresse me fait glisser par-dessus le dos cabré de mon ami, tirant sèchement sur la laisse. Elle m'offre quelques minutes de va-et-vient tandis qu'elle présente son entrejambe devant le visage effaré de Pascal. Incrédule, l'immense besoin qui tiraille mon sexe, force un rapide mouvement incontrôlé de mon corps. Les yeux rivés sur le visage de mon ami qui s'agite dans cette grotte inaccessible, mes tripes concentrées sur le glissement de ma hampe entre deux chairs, l'orgasme arrive sans crier gare et je jouis entre les cuisses serrées de mon ami d'enfance, mon ami de partage dans notre Amour.
Fanette, ma Fanette, notre Fanette m'amène au-delà de la jouissance et me permet d'atteindre presque le paradis. Je gicle de tout mon corps, de toutes mes forces, tout mon amour entre ces cuisses et sur le dos et les fesses de mon ami, tous deux à quatre pattes devant notre Dulcinée. Je m'écroule sur son dos, éreinté et en sueur, retenu par la laisse tendue tandis que notre Fanette savoure toujours la langue agile de Pascal qui fouine amoureusement cet antre, pour moi encore inexploré.
Au bout de quelques secondes de répit, agenouillé derrière mon ami Pascal, notre Fanette me demande doucement dans le creux de l'oreille si je l'aimais. La réponse est rapide, sans avoir besoin de réfléchir, je lui affirme ma passion pour Elle. Sur ce, mon amour replace son contrôle sur mon sexe, cette perturbante cage de plastique. Je ne me sens qu'à moitié satisfait. Je suis comblé d'avoir contribué au bonheur de ma Reine, ravi d'avoir supprimé cette douloureuse pression dans mon aine, mais j'aurais tant voulu découvrir la grotte d'amour de notre Fanette.
Le reste de cet après-midi se termine en caresses, en baisers, en léchages et, malgré mon soulagement précédent, je ressens rapidement une envie, un besoin sexuel provoqué par cette Déesse qui savoure nos tendres assauts. Je peux lire dans les yeux grimaçants de mon ami son désespoir dû à la pression sexuelle, mais nous ne pouvons rien y faire, il a perdu cette fois-ci. Après des heures de douces affections, notre Fanette déclare, sans nous avoir avertis plus tôt, que Pascal est maintenant le gagnant. Je réalise que, même si le concours n'a pas été ouvert, justice est faite. Je me réjouis trop tôt.
Je peux voir une flamme écarlate dilater les pupilles de mon ami comme la sentence tombe. Je subis le même traitement que Pascal précédemment et me crispe aussi lorsque notre Amour libère mon trou dilaté et y pousse deux doigts profondément. J'observe gaiement comme notre Fanette prépare mon ami pour sa récompense avant de libérer son sexe prisonnier. Je vois aussi ce puissant dard luisant rebondir contre son estomac comme la hampe est libérée de sa cage, mais je suis surpris lorsque notre Amour place un préservatif sur son sexe palpitant. Je suis encore plus surpris lorsque notre maitresse pousse, sans hésitation, un bâillon dans ma bouche, un accessoire à deux bouts dont les formes phalliques ne laissaient aucun doute. Un des deux tubes de caoutchouc bloque mes deux mâchoires ouvertes tandis qu'à l'autre extrémité, la forme incontestable d'un long et gros sexe mâle se dresse pour le plaisir d'une tierce personne.
Mes yeux rivés sur cette chose émergeante, mes pensées concentrées sur son usage, je ne réalise pas directement que ma Maitresse a libéré mon trou. Ce ne est que lorsque je sens quelque chose de plus gros, de plus long, de plus vivant que je veux crier, mais mes cris restent bloqués dans ma gorge. Je comprends alors, comme deux mains se posent sur mes hanches, que le sexe enflé de mon ami étire maintenant mon trou. Confus par cette idée, je n'ai pas le temps de m'apitoyer que mon Amour vient glisser sa douce chatte humide le long de la partie émergeante de l'horrible bâillon noir dans ma bouche qu'elle fixe directement autour de ma nuque. Pris entre notre Amour et mon ami, je me sens comblé même s'il me faut un certain temps pour apprécier ce bonheur d'être partagé entre les deux êtres qui comptent le plus pour moi.
Tandis que je peux admirer deux resplendissantes lèvres vaginales glisser sur cet épais manche artificiel devant mes yeux, je peux rapidement sentir des palpitations dans mes boyaux comme, je suppose que mon ami Pascal décharge son jus longuement et douloureusement endigué. Malgré son épuisement évident, il continue à pomper péniblement pour répondre aux souhaits de sa Maitresse et je reste immobile, endurant toujours les deux poussées comme je peux contempler le bonheur manifeste de notre Fanette, ses jouissances successives comme elle nous l'expliquera en détails plus tard.
Tous trois exténués, nous nous préparons pour aller dormir. Pascal et moi rangeons tout et puis, notre Amour nous entrave pour la nuit après avoir replacé la cage de contrôle de mon ami. Avant de s'endormir, elle nous explique qu'elle commence à nous apprécier d'avantage et à avoir pleine confiance en nous et, qu'un jour, nous n'aurons plus besoin de préservatif, que je pourrai recevoir son propre jus de femme dans ma bouche et la semence de mon ami dans mes entrailles. A ma surprise, elle ne fait aucun commentaire à propos de mon ami Pascal, mais je considère que nos statuts sont déjà acquis et je les accepte volontiers.
Fin JOUR 4... A venir JOUR 5
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