Une Culotte Offerte Par Une Inconnue...

Je me suis réveillé en sursaut. Mon réflexe fut de tourner la tête en direction du réveil digital. Il indiquait 9H38 en chiffre rouge.
Merde ! Je vais être en retard. Fut mes premières paroles. Mais pourquoi ma femme ne m‘a pas alerté. Paniqué comme jamais, je me suis tourné de son côté pour m’apercevoir que le lit était vide. Et c’est seulement à cet instant que j’ai percuté. Mais quel couillon que je
Suis ! J’ai pris ma semaine…
Tranquilliser, je me suis laissé tomber sur le matelas, le temps que les battements de mon cœur retrouve son calme. Ceci fait je suis sortis du lit. Me sachant alors seul dans la maison, j’ai pris le chemin de la cuisine dans mon plus simple élément. C’est un passion chez moi de me balader de la sorte. Là j’ai avalé un grand verre d’eau bien fraîche, tant j‘avais la bouche sèche. J’ai pris un croissant dans la corbeille et je me suis approché de la porte fenêtre pour le déguster. Dehors il faisait beau. Au point de décider de m‘aventurer sur la terrasse. Je précise : toujours nu. La température était caniculaire, malgré l’heure. Que c’était agréable de se faire caresser la peau par les rayons de soleil.
Puis mon regard s’est attaché sur la culotte oublié la veille, par mon épouse sur le dossier de la chaise. Hormis qu’elle est de couleur rouge, elle était quelconque. Je n’ai pas pu résister à la tentation de m’en saisir. J’ai scruté la bande de renfort pour me rendre compte qu’elle était copieusement beurrée de mouille. Sans aucune hésitation je l’ai porté à mes narines pour l’humer. Il m’en fallut pas plus pour me remémoré la soirée précédente. Où après un bon dîner, nous nous sommes avec ma femme retrouvé seul sur la terrasse devant une liqueur de banane, assis confortablement sur des bains de soleil. Les s avaient choisi eux, d’aller dans leurs chambres respectives.
J’étais dans un état curieux. Fatigué à l’extrême et pourtant en même temps victime d’un désir sexuel. Mon regard a glissé le long du corps allongé de ma femme.

Elle était habillée très simplement. Une jupe et un Tee-shirt.
J’ai posé ma main sur son genou et elle a tout de suite compris mes attentions, ouvrant d’elle-même ses jambes. Très vite mes doigts disparurent sous sa jupe, et montèrent le long de sa cuisse jusqu‘à toucher sa petite lingerie. Que je n’ai pas tardé à écarter pour avoir accès à son sexe. J’ai élargi la fente, enfonçant millimètre après millimètre mon index tout au fond de son vagin. J’ai branlé longuement l’intérieur. Explorant les profondeurs, pressant les parois. J’ai eu le plaisir de sentir sa vulve se contracter autour de mon doigt. Je me suis retiré de son sexe avec un bruit de ventouse, lui ordonnant d‘aller prendre appui sur la table, que j‘allais la rejoindre. Ce qu‘elle s‘est empressée de faire, tant elle avait envie de se faire remplir. Me présentant son dos, elle s’est tournée vers moi, alors que je me débarrassais de mon short. Une fois nu, je me suis approché d’elle. Faisant errer mon gland dans le fouillis de poils et le long de la fente luisante de mouille épaisse.
- Arrête de me faire languir… fourre-moi là ! Me supplia ma femme.
J’ai guidé ma verge à l’entrée de son vagin. Nul besoin de pousser bien fort avec cette fontaine publique. Elle était mouillée comme une flaque d‘eau. Je l‘ai pénétré sans mal. Dedans, c’était chaud et serré. Je l’ai besogné avec acharnement, froissant ses muqueuses comme elle aimait être prise. Me servant copieusement de son vagin pour m’approcher au plus proche du plaisir.
Mais comme la table en plastique n’arrêtait pas d’avancer, j’ai demandé à mon épouse de s’allonger sur le bain de soleil. Puis je me suis vautré sur elle, reprenant mon va-et-vient méthodique. Je l’écrasais, lui broyais les seins à deux mains. J‘ai même sa bouche pour y enfoncer la langue. Je fus long à prendre mon plaisir. Mais quand enfin il pointa son nez, je me suis immobilisé au plus profond de sa chatte et j’ai giclé.
Avec de telles réflexions, vous pensez bien, que ma queue avait la taille adulte, là sur la terrasse.
Au point de ne pas pouvoir résister de l’enrouler dans la paume de ma main droite, et d’appliquer à mon poignet un mouvement de pompe. Doucement pour commencé et augmentant progressivement au rythme de mon excitation. Et tout ça, en inhalant la culotte de ma femme. Et cela en pleine journée. Je ne vous cache pas que j’ai pris un pied d’enfer. Je me suis entendu pousser un long cri de délivrance quand ma semence a jaillit de mon sexe gonflé. Trois, voir quatre bordées. Qui se sont écrasés sur le dallage. Et que je n’ai même pas pris la peine de l’essuyer. Le laissant choir sur place. Comptant sur le soleil pour effacer toute trace de mon méfait.
Après avoir déposé la culotte dans le panier, j’ai filé jusqu’à la douche. Une fois habillé, je me suis fais un petit expresso. Pour le déguster je me suis posé sur la terrasse. Je précise que j’étais là habillé. Short, Tee-shirt.
Peu de temps après j’ai entendu une voiture stoppé devant chez moi et une portière claquée. Sans doute la factrice. Je me suis empressé à aller à sa rencontre. J’avais vu juste. Elle s’apprêtait à mettre le courrier dans la boite.
- Bonjour ! Fis-je.
- Bonjour monsieur. Me répondit-elle, avec un sourire, tout en me tentant le courrier. Mais alors que je m’apprêtais à refermer le portail, elle m’interpela.
- Vous avez un courrier dans la boîte, monsieur…
- Mais ! Vous venez de me le donner.
- Oui le mien. Corrigea la factrice. Mais quand j’ai ouvert la boîte il se tenait déjà à l’intérieur une enveloppe.
- Merci bien. Fis-je.
- Je vous en prie. Vous avez la clé ?
- Non, mais je vais la chercher.
- Attendez ! Je vais vous l’ouvrir.
- Si cela ne vous dérange pas.
- Pas du tout.
Elle enfonça la clé dans la fente de la serrure et ouvrit la porte. Effectivement il se tenait une enveloppe en Kraft.
- Sans doute un oubli ! Fis-je.
- Cela arrive, répondit la factrice tout en fermant la porte.

- Merci. Lançais-je.
- A votre service… bon journée.
Rien n’était inscrit sur la face avant de l’enveloppe. Je l’ai tâté pour m’apercevoir que ce qu’elle contenait était du genre mou. Après une hésitation, je me suis autorisé de l’ouvrir. Ma femme ne m’en voudra d’avoir ouvert son courrier. Je me suis saisi d’un couteau et je l’ai ouvert. À l’intérieur ce tenait une culotte en dentelle rouge soigneusement plié en trois. J’ai tout de suite pensée à une farce de ma femme. Connaissant mon penchant pour les culottes portées. Il se tenait aussi à l’intérieur de l’enveloppe un bristol. Dessus était inscrite : Bonne dégustation. Et en dessous un numéro de téléphone.
Sans réfléchir je me suis approché du combiné et j’ai tout bonnement composé le numéro. Après seulement deux sonneries, en décrocha.
- Oui ! Fit une voix féminine.
- Bonjour madame. Je suis bien au ….
- Parfaitement monsieur !
- J’ai alors à l’autre bout de ma ligne l’expéditrice de
L’enveloppe ?
- Elle-même… Oui !
- Et cela serait indiscret de vous demandez pourquoi cet
Envoie ?
- Elle ne vous plaît pas. C’est celle que j’ai porté hier. Je croyais pourtant que vous aimerez ?
- Vous êtes sûr de vous adressez à la bonne personne,
Madame ?
- C’est bien vous qui vous êtes… comment dire : fait plaisir sur votre terrasse, ce matin…
En m’aurait donné un coup de poing je l’aurais mieux pris. J’ai eu du mal a accusé le coup. Elle m’avait pris au dépourvu. J’étais dans l’incapacité de dire quel que ce soit. Après avoir pris une bonne inspiration, et reprenant mon calme j’ai tenté de poursuivre la discussion.
- Et alors ?
- J’ai crus un instant vous avoir perdu. Me fit-elle d’une voix taquine.
- Non…
- Vous n’êtes peut-être pas seul ?
- Je suis seul.
- Alors comment trouver mon petit cadeau ?
- A vrai dire je ne m’en suis pas encore intéressé.

- C’n’est pas gentil, Alain !
- … Comment connaissez-vous mon prénom ?
- Je n’ai eu qu’à lire le nom sur la boîte aux lettres.
- Et vous ?
- Personne… non ! Pourquoi pas Annie… oui Annie j’ai toujours voulu m’appeler ainsi.
- Je suppose Annie que vous êtes en liste rouge et qu’il m’est impossible de savoir qui vous êtes…
- Vous êtes intelligent pour un renifleur de petites culottes.
- Mais c’était celle de ma femme !
- Oui, c’est-ce qu’on dit ! Vous aimez jouer Alain ?
- Cela dépend du jeu…
- Oh ! Le mien est très simple à jouer.
- Oui… pourquoi pas…
- Bien Alain ! Alors vous allez vous mettre nu vous placez sur le carrelage que je vous observe. Tout comme ce matin. Se réjouissait-elle. À une exception près. Je veux vous voir humer ma culotte.
- Mais c’est que je risque de me faire surprendre par les voisins.
- Pas plus que ce matin.
- Mais il est plus tard.
- Ça je le sais bien. C’est pourquoi vous ne devez pas perdre de temps.
- Ma femme… Ma femme va d’un moment à l’autre, arrivée.
- Dans trois heures, mon cher Alain.
J’étais pour la seconde fois couché. K.O.
- Comment vous savez ça vous ?
- Arrêtez de discuter Alain, et rendez-vous à la terrasse j’ai hâte de vous voir sentir ma culotte. Vous ne pouvez pas savoir comment cela me fait plaisir. Il est évident que vous devez jouir. Ensuite je compte sur vous pour me passer un coup de fil.
- Pour quoi faire ?
- Pour avoir vos impressions. Maintenant je vous attends dehors.
Après réflexion j’étais loin d’être mécontent de ce qui m’arrivée. Tout au contraire et ce fus avec plaisir que je me suis déshabillé. J’ai pris la culotte et je suis sorti. Je me suis arrêté à l’endroit même où je me trouvais une heure plus tôt. D’ailleurs il y a encore sur le dallage un restant de ma jouissance précédente.
J’ai triturais la culotte en dentelle. Avec quelques motifs sur la face. J’ai scrutais la fourche. Là où a frotté le sexe. Quelques auréoles de couleurs blanches agrémentaient le tissu. Porté par mon excitation j’ai callé la culotte à mes narines de ma main droite et avec mon autre main je me suis masturbé. J’ai presque tout de suite senti les picotements d’une éjaculation proche. À un tel point que j’au dû à plusieurs reprises m’arrêter de mastiquer la queue pour prolongé le jeu. Pour qu’elle en est pour son compte. Ce n’était pas la première fois que je me masturber devant une femme. Bien que celle-là je ne la connaissais pas. Il se dégageait de sa culotte un parfum de fauve. Un vrai régal pour mes papilles. Ça sentait fort la pisse ainsi que la bonne mouille. J’ai activé la cadence du poignet avec l’intention de conclure.
Même si ma jouissance a été moins forte, j’ai maculé de nouveau le carrelage. Sans perdre de temps je suis rentrée chez moi et je me suis rhabillé. Rengainant mon sexe dans mon slip. Je bandais toujours. J’aurai pu continuer, mais il valait mieux arrêter là. J’étais saisi par un léger vertige quand j’ai pris le combiné.
- Bravo Alain… Vous ne pouvez pas savoir comme cela m’a plu. Pas vous ?
- Oh oui ! C’était l’extase pour ma part. Vous sentez bon de la chatte, Annie ?
- Si vous le dîtes…
- Vous pouvez me faire confiance, je suis expert en la matière.
- Je vous crois… je vous crois….
- Que fait-en à présent ?
- Je ne sais pas. La nuit porte conseille. Appelez-moi voulez-vous ! Demain matin…
- Je n’y manquerais pas…

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