Journée De Travail 3...

Lendemain matin. J’arrive au bureau comme à mon habitude. J’essais de ne rien laisser paraitre en voyant Samuel avec les autres à la machine à café. Je suis extrêmement gênée ; vous savez : cette sensation que vous pensez que tout le monde est au courant alors que pas du tout ! je ne traîne pas avec eux et fil directement à mon bureau.
- Tu ne prends pas de café Gwen ? me demande mon patron.
- Non ça ira ! merci !
Je m’assoie à mon poste et commence par regarder mes mails pros. Il est très difficile d’oublier ce qui venait de se passer la veille. Je suis assise à mon bureau, là ou Samuel m’a pris hier. Là où nous avons couché. Là ou j’ai vu son sexe. Je repense sans arrêt à cet acte… j’ai honte de dire que c’était trop bon. Que c’était trop court ! oh lala. J’ai envie. J’ai encore envie de lui. Envie de revoir son membre, j’ai l’impression de ne pas l’avoir assez vu ! envie de le caresser, le branler, humm le sucer….
Bon Gwen arrête on est au travail ! aller hop ! on replonge dans les dossiers et j’en profite de me vider la tête en appelant clients et artisans.
Pause du midi :
- Tu manges avec nous Gwen ? me propose le patron.
- Non j’ai des trucs à faire ce midi. Désolée !
Je n’avais pas envie d’être en face d’eux avec Samuel. Je suis super mal à l’aise depuis hier. Je n’arrête pas d’y penser sans arrêt. Je n’aurais jamais dû craquer. Mais c’était si bon. De toute façon je crois que j’aurais fini par lui céder un jour ou l’autre ! me dis je en essayant de me raisonner.
Ils partent tous manger, moi je me prends un petit sandwich dans la boulangerie d’à côté. Sans voir le charmant petit apprenti ! dommage pour moi !
En revenant vers mon bureau, je revois la scène d’hier. Je reste près de la porte à me remémorer l’acte d’hier, détails par détails, secondes par secondes. Hmmm que c’était bon. Au fond de moi j’ai honte de dire que j’en ai encore envie. Ma main droite commence à parcourir mon corps pour s’attarder vers mon entrejambe.

J’avais cette boule au ventre inconnu au départ qui commençait à se familiariser avec mon corps. Je déboutonnai mon jean pour y entrer ma main sous mon tanga. C’était déjà humide. Hmmm j’humidifie mon index puis remonte doucement, je me masse mon petit trésor en alternant mouvements circulaires puis je me pénètre un doigt. J’alterne en appuyant un peu plus fort sur mon clito. Hmmm j’ai envie de sexe, envie de Samuel en moi ! je décide d’aller au WC pour finir ma petite affaire car je me dis qu’en me masturbant jusqu’au bout, je serais plus calme et j’y penserais moins cette après-midi.

De retour, je me sens soulagée. Puis d’un coté je me dit que ce n’est pas juste qu’il y ait que moi qui en pâtie de la situation ! pourquoi moi je me focalise sur ce qu’il vient de se passer la veille et pas lui ? il semble complètement indifférent ! ce n’est pas juste ! il faut qu’il paye aussi lui ! je décide donc d’en jouer un peu, mais de façon innocente, alors je décide donc d’enlever mon foulard (je suis un peu frileuse) et donc de laisser mon joli décolleté push up à la vue de cet homme ! et même de l’accen un peu plus en laissant paraitre juste le début de la dentelle de mon soutien-gorge pour qu’il y repense et ait des remords !

Il arrive un peu plus tard dans l’après-midi et voit mon décolleté direct. Il me sourit et ne dit rien. Je fais mine de. Et il semblerait que mon décolleté le marque vu les aller et venu avec des excuses un peu bidonnes je trouve pour venir me voir. Je ne prête guère attention à lui et lui réponds sans même le regarder. Mon petit jeu semble fonctionner à merveille ! bon le souci auquel je n’avais pas pensé… Yves est venu me voir pour faire un point sur un dossier et donc il m’a bien maté aussi le cochon ! mais ce fut plutôt bref heureusement pour moi.
En revanche ce charmant Samuel trouve n’importe quel prétexte pour venir dans mon bureau. Au vu de mes non réactions, il insiste en venant regarder par-dessus mon épaule. Je vous laisse imaginer la vue plongeante qu’il doit avoir ! et je ne tarde pas à savoir qu’il semblerait que ça lui fasse de l’effet.
Je senti une bosse contre mon épaule droite. Oh !!!! le vicieux ! il était en train de me montrer que je le faisais bander ! bon après tout c’est vrai que c’était un peu le but recherché. J’avais réussi mon coup !
Plusieurs fois dans l’après midi il vena dans mon dos pour me faire sentir sa virilité. Son petit jeu commençait malheureusement à me plaire ! mais il fallait que je résiste !

La fin de journée approche, j’étais contente de moi ! mon plan avait fonctionné ! Yves et le patron passe me dire bonne soirée.
- A demain messieurs ! je vais y aller aussi.
- attends Gwen, me sort Samuel. Il faut que j’aille voir des clients demain matin, tu peux me sortir leur fiche client s’il te plait, le temps que je termine de monter leur dossier, tu pourras le poser sur mon bureau ?
- Euh oui oui, ok pas de soucis.
Je reste donc à mon bureau pour sortir le document et le remplir. Pensant que tout le monde était parti, je file dans son bureau pour le poser sur son bureau, mais non ! il était là ! je n’en revenais pas de ce que j’étais en train de voir ! Samuel était assis dans sa chaise, jambes écartées en train de se caresser par-dessus son jean !
- Regardes Gwen ! c’est comme ça depuis le début d’après-midi ! finalement je n’arrive pas à oublier ce qui s’est passé hier. A chaque fois que je te vois, tu me donnes envie ! et encore plus avec ton décolleté ! avoue que tu l’as fait exprès !?
- Mais non pas du tout ! c’est vous qui vous faites un film !
- Menteuse !
Il se leva et descendu sa braguette. Il l’attrapa et la sorti ! il commençait à se branler tout doucement devant moi. Le spectacle était beau à voir. Cet homme en costard en train de se masturber devant moi…. Humm. Non Gwen il ne faut pas lâcher ! tu as tenu bon toute la journée ! ce n’est pas le moment de craquer !
Ce sexe que je voulais tant revoir était là devant moi ! mais je ne pouvais pas ! il ne fallait pas !
- Non Samuel, on a dit qu’on oubliait tout.
Il ne faut pas recommencer.
- Oui je sais, mais tu me plais trop ! et ton côté timide et manque de confiance accentue mon envie envers toi. J’ai envie de te faire découvrir de nouveaux plaisirs dont je suis sûr tu ne connais pas l’existence !
- Ah bon ?! comme ?
- j’ai envie que tu sois à moi !
- Genre 50 nuances de Grey ? dis-je en rigolant.
- Exactement. Mais sans le coté sado maso ! Tu connais ?
- Oui j’ai lu les livres.
- Tous ?
- Oui.
- Ah ! donc tu en as envie ! tu en fantasme je suis sûr.
- Non pas du tout !
- Menteuse ! si ce n’était pas le cas ! tu ne les aurais pas tous lu !
Merde, il m’avait coincé ! faut que je trouve une parade !
- Non c’est juste la curiosité vu le paquet de monde qui en parle.
- Menteuse, je ressens en toi une envie de découvrir ce monde. Et tu as le profil pour faire une parfaite soumise !
- Comment ça ?
- tu le découvrira par toi-même.
Pendant notre conversation, il s’était un peu approché de moi. Il se caressait devant moi. Il la tenait bien dans le creux de sa main. Sa main ne suffisait pas à la masquer sur toute la longueur. J’en avais envie. Mais il ne fallait pas se laisser tenter.
- je dois y aller Samuel, je suis désolé.
Et je retournai à mon bureau pour récupérer mon gilet, ma veste et mon sac à main. En me retournant, je constate qu’il m’avait suivi, il avait rangé son engin, mais je voyais toujours la bosse dans son pantalon.
- Tu peux t’assoir pour qu’on discute 2mn ?
- Oui, mais de quoi ?
- Tu sais, je ne peux m’empêcher de penser à toi sans arrêt, j’ai tout le temps envie de toi, et ce depuis le premier jour ! j’ai une énorme attirance sexuelle pour toi !
- Oui mais je ne peux pas ! j’ai un compagnon et une vie de famille bien rangée !
- Et alors ? tu crois que la vie se résume à ça ? et de ne pas profiter des bons moments que la vie nous tend ?
- Ma vie me convient très bien comme elle est !
- C’est dommage de ne pas profiter des plaisirs de la vie ! il faut profiter de chaque instant ! la vie est assez courte ainsi et on ne sait jamais de quoi demain sera fait !
- Oui c’est vrai, mais bon….

C’est vrai qu’il avait raison. Mais ça voudrait dire qu’il ne faudrait pas suivre sa ligne de conduite ? vivre pour soi et tant pis du regard des autres tant qu’on prend du plaisir ? qu’on se fasse plaisir ?
- Je te demande juste d’y réfléchir Gwen.
- Ok j’y réfléchirai.
- A demain Gwen, tu peux au moins me faire la bise ?
- Oui bien sûr.
J’étais tout près de lui, je me penchai pour lui faire la bise et il détourna la tête au dernier moment, sa bouche vint frôler le bord de mes lèvres. Il me prit la tête à deux mains et me roula une pelle. Je sentis mon corps frissonné. Que c’était bon… mais il ne fallait pas céder !
- Je ne peux pas Samuel
- Ah ! tu ne peux pas, mais tu veux !
Il m’embrassa à nouveau avec une énorme envie. J’étais en train de succomber. Je m’étais fait prendre à mon propre piège ! pendant que nous nous embrassions, je le sentais bougé. Il prit ma main droite pour la guider sur son membre ; il venait de la sortir à nouveau ! Hmmm cette douceur et cette chaleur… il me guida dans son mouvement de va et viens.
- Arrêtes s’il te plait.
- Non Gwen, je sais que tu en as envie.
Il avait raison. J’en avais trop envie ! je remarquais d’ailleurs qu’il ne me guidait plus. J’étais en train de le masturber de ma propre volonté. J’étais impressionné par le pouvoir qu’il avait sur moi ! il commença alors à m’appuyer sur mon épaule. Il voulait que je le suce. Et naturellement je suis descendu sans qu’il force. Je me suis retrouvé assis sur ma chaise en moins de deux devant lui.
Ça y est … me voilà pour la première fois à quelques centimètres de son sexe. Il semblait encore plus beau. Je l’admirai pendant que je faisais de lent et doux va et viens. Je pressais un peu plus fort quand je remontais, laissant quelques gouttes sortir. Je m’en servi pour lubrifier son gland avec mon pouce. Je prenais un plaisir à le masturber de ma main droite tandis que ma main gauche était en train de caresser ses boules. Tout était parfaitement rasé de près à l’exception de son pubis qui était taillé de quelques millimètres.
Il pouvait sentir mon souffle sur son membre tellement j’étais proche, je sentais son odeur, je profitais du spectacle. Sa main sur ma tête me fit comprendre qu’il voulait que je passe aux choses sérieuses. Hmmm. Je commençai d’abord par la relever pour la lécher de la base et remonté vers le sommet. Puis j’ouvris ma bouche, essayant d’aller au plus loin sans la toucher de mes lèvres. Voyant que je n’arrivais pas à aller jusqu’au bout, je refermai ma bouche autour de sa verge. Là j’entend un premier gémissement. Il devait sentir la chaleur de ma bouche, puis de ma langue commençant à jouer avec son gland.
Je la ressors de ma bouche, la contemple, puis lèche le dessous de son gland. Je le branlais doucement en regardant dans les yeux.
- elle te plait ?
Je n’osais répondre, mais il devait bien se douter de ma réponse !
Je regardai à nouveau ce bel engin et c’est naturellement que j’ouvris à nouveau ma bouche pour la prendre. Qu’elle était bonne, si douce et chaude ! je commençai alors un sensuel va et vient de sa bite dans ma bouche ; la frottant à chaque mouvement sur ma langue. Par alternance je l’aspirais assez fort et je sentais que ça lui plaisait aux bruits de ses gémissements. Tandis que je le suçais, une main guidait également mon mouvement de tête et l’autre s’occupait de ses deux parties intimes : je les caressai doucement en allant parfois même égaré ma main un peu plus loin vers derrière. Il écarta un peu plus les jambes ce qui me fit comprendre que ça lui plaisait que j’aille par là. Ma main allait s’aventurer entre ses fesses au niveau de son petit trou que je commençais à titiller. Je sentais ses mouvements de bassin aller et venir dans ma bouche. Il posa une main sur ma tête et guida l’action de sa bite dans ma bouche.je sentais que j’en étais trempée ! J’adorai ce qu’il se passai : être assise sur ma chaise de bureau face à lui, enfin plutôt face à son sexe et me faire guider à le sucer … humm j’avais aussi envi qu’il me prenne à nouveau ! mais je voulais continuer de le sucer ! je voulais qu’il jouisse !
Il s’arrêta un moment et prit son sexe en main. Il était en train de me contempler en se branlant devant moi.
- Enlèves ton haut Gwen
Je le fis sur le champ sans rien dire.
- Humm oui. Qu’est-ce que tu es canon ! t’es bonne Gwen.
Je lui souris et me caresse le soutien-gorge. J’allais l’enlever lorsqu’il m’interrompu :
- Non gardes le. Ta lingerie est tellement splendide qu’il faut la laisser sur toi.
Je continuai donc à me caresser la poitrine par-dessus mon soutien-gorge, la bouche entre ouverte, tout en le regardant se masturber à quelques centimètres de moi. Il se rapprocha de ma bouche. Je l’ouvris volontiers et tira la langue ; il la déposa sur ma langue et commença à nouveau son mouvement du bassin. Sa main venait tenir ma tête et il accéléra le rythme. Il était en train de me baiser la bouche. La taille de son sexe étant un peu conséquente, j’en eut des haut de cœur par moment. Je sentais d’ailleurs de la bave couler le long de mon menton et tomber entre mes seins. Je n’avais jamais connu cette sensation et j’adorais ça tellement j’étais excitée !
Il se rétracta et la repris en main :
- caresses toi s’il te plait Gwen.
Je le fis sans broncher, je me caressais à nouveau parce dessus mon soutien-gorge, la bouche entre ouverte à le fixer dans les yeux. Il se concentrait et pris d’un énorme râle, je vu et sentis de forts jets de semence arrivés sur ma poitrine, entre mes seins, un peu sur mon soutien-gorge et sur les mains. Humm j’étais terriblement excité ! je l’étalais un peu sur moi en lui souriant.
Il me tendit un paquet de mouchoir pour m’essuyer.
- Tu es très douée Gwen !
- Merci ! dis-je en souriant.
Et il me roula une pelle.
- Ce fut super Gwen ; merci pour tout. Je suis désolé mais je suis grave à la bourre !
- Pas grave, du coup on fait comment maintenant ? Si ça part en sucette tous les jours ça craint.
- C’est de ta faute Gwen, c’est toi qui m’as allumé avec ton décolleté cette après-midi. Avoues que c’était fait exprès pour me faire bander ?!
Toute penaude je lui répondis :
- Oui j’avoue un peu. Je suis désolé, c’est vrai, il faut qu’on arrête tout ça.
- Comme tu veux ! c’est toi qui décides. Soit on continue, soit on arrête tout. Mais si on continue c’est moi qui dirige les affaires entre nous deux. Soft bien sûr. Pour me le faire comprendre, t’as juste à être sexy au bureau.
- Sexy ? genre ? je ne le suis pas déjà dis-je en rigolant ?
- Si bien sûr, mais juste un peu plus : un peu plus décolleté, ou jupe avec bas… tu vois quoi ?
- Moui oui à peu près oui.
- Tu es adorable ! à demain ?
- A demain Samuel.
Une fois partie, me revoilà encore à nouveau à me poser 50 000 questions ! qu’est ce que j’ai fait encore ? comment je vais faire avec mon chéri ? je dois lui en parler ou pas ? non je ne pense pas, juste à moitié, juste les taquinages, juste les allusions au sexe. Oui je vais faire ainsi car je sais qu’il aime ça, que je puisse plaire aux hommes et en jouer.
Bon après tout c’est aussi de sa faute non ? à trop vouloir en jouer… du coup je ne pense pas que ça lui poserait problème que je sois encore plus sexy au travail ! à voir… on verra demain ! je lui demanderai ce soir une tenue pour demain.
En tout cas, comment va évoluer du coup ma relation au bureau avec Samuel ? et Avec Yves ? il ne faut surtout pas qu’il se doute de quelque chose ! ni le patron d’ailleurs !
Soudain : « bip bip » : un sms du plombier !
A suivre…….

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