Jonathan Aime De Plus En Plus Les Camions Mais Surtout Le Champagne De Leurs Chauffeurs

Après mes premiers moments, très chauds, de sexe entre homme, je continue la route dans le camion de mon parrain Hubert accompagné de son collègue Momo. C’était la première fois qu’un homme me faisais jouir. Depuis ma relation de deux ans avec ma copine du lycée je n’avais plus rien fait.

Je suis quand même étonné d’avoir déjà été excité en voyant mes deux compères de voyage mais encore plus pendant que Momo s’occupait de ma queue. Je ne serai pas l’expliquer mais j’ai aussi bien apprécié voir sa grosse bite pisser et se déverser sur son slip déjà humide de nos éjaculations à tous les 3.

On a enfin passé la frontière, nous faisons une pause mais seulement pour se vider la vessie (cette fois dans les toilettes) et racheter à boire. Je n’ai pas eu le temps de mater leurs queues. Par contre je suis à l’affut de toutes celles que je pourrai voir dans ces toilettes réservés aux hommes.

Moi qui me croyait 100% hétéro, je me demande si en fait je ne suis pas bi. Je vois un homme à deux pissotière de moi qui tient fièrement son sexe alors qu’un jet large et jaune est propulsé de son méat. Entre le spectacle et les odeurs je sens ma queue grossir dans ma main alors que je pisse toujours.

Je secoue mon sexe pour faire tomber les dernières gouttes, bien que Momo m’ait demandé de jamais le faire, tout en continuant à ma mater cette bite qui me donne de plus en plus d’envies. Soudain j’entends la voix de Momo m’appeler, je tourne la tête et il me dit:
« Dépêches toi on voudrait encore avancer avant de s’arrêter pour la nuit. »
Je remballe mon costume trois pièces en jetant un dernier regard sur mon voisin qui maintenant se caresse vigoureusement.

Je me lave les mains tout en essayant de voir encore quelque chose dans le reflet du miroir en face de moi. L’angle n’est pas bon alors je me les essuie et quitte cet endroit qui me faire perdre pied. Derrière la porte Momo m’attend et me dit directement:
« Eh bien mon cochon! Je t’ai vu regarder sa bite! »
Je rougis et ne lui répond pas alors qu’il rigole.



Nous remontons dans le camion, comme il commence à faire un peu plus frais nous gardons nos pantalons. Après presque deux heures de route nous nous arrêtons pour la nuit. C’est Momo qui est au volant, le premier parking est bien rempli de gros culs alors nous jusqu’au suivant qui est presque vide. Il se gare collé à un autre camion qui a déjà les rideaux tirés. En face de nous un petit bois.

Nous descendons de la cabine, mes deux compères bricolent quelques petits trucs sur le camion. Je leur dis que j’ai besoin de me dégourdir les jambes et je me dirige vers le petit bois en espérant y faire de nouvelle découverte. J’en fais vite le tour mais je ne vois personne ni n’entends aucun bruit suspect mais je bande quand même; je rebrousse chemin.

Les deux hommes sont toujours entrain de travailler, je leur dit que je vais faire ma douche. Je remonte dans la cabine et je découvre que l’odeur que je sentais plus et toujours là, ça me fait encore plus bander. J’att ma serviette et des affaires propres et quand je redescends mon parrain m’arrête et me dit:
« Fais vite parce qu’on a bientôt fini et on a faim! »
Je fais oui de la tête et avant que j’ai le temps de me retourner Momo rajoute sur un ton autoritaire:
« Par contre tu gardes ton petit slip sale sous tes habits! »
Et pour adoucir sa phrase autoritaire, il me fait un clin d’oeil.

Effectivement je ne tarde pas dans les douches parce qu’a part moi il y’a qu’un autre homme d’une soixante d’année. Il est assez petit, très ventru et son corps est recouvert de poil blanc. Son sexe est tellement caché que je ne vois qu’un petit gland dépasser et qui m’excite pas tellement.

Pendant que je me savonne je me remet à bander mais ne me branle pas trop longtemps pour garde toute mon énergie en espérant réitérer l’expérience de la pause, avec mes complices de voyage. Je me sèche rapidement et juste avant de renfiler mon slip, un peu moins blanc maintenant, je le porte à mon nez.
Je prends une grande inspiration et me remet à bander en reconnaissant l’odeur de la cabine.

Je m’habille rapidement pour aller déjeuner avec Hubert et Momo qui m’attendent devant le camion. Ils sont tous les deux en jean et porte des marcels propres. Nous allons à la cafétéria qui est remplie de voyageurs mais surtout des routiers qui son majoritairement dans la même tenue que mes compères. Nous prenons chacun un plateau et nous nous choisissons à boire et à manger.

Ensuite je les suis au milieu des tables, ils saluent quelques collègues et s’installent dans un coin de la pièce. On commence à manger tranquillement alors qu’ils discutent de l’itinéraire du lendemain. Je ne connais pas les routes alors je les écoute et observe autour de nous. Il y a tous les genres dans ce réfectoire.

Il y a des familles avec s ou juste des couples qui sont bien minoritaires, pas mal d’hommes en costume cravate qui sont seuls ou en petit groupe. Sinon je crois que la grande majorité se sont les routiers, d’un autre côté c’est normal vu que l’on est un soir de semaine. Je me mets à mieux observer les collègues de mes complices de voyage alors que j’attaque mon poulet frites.

Ils sont vraiment très différents les uns des autres sauf qu’ils sont presque tous en marcel mais de différentes couleurs. Il y a les gros musclés dont les pectoraux risque de faire exploser les t-shirt. Mais aussi des mecs bien bedonnants comme le petit vieux de la douche mais j’espère que leurs sexes sont plus proéminents. Il y a des barbus, de moustachus, certains ont des boucs, d’autres sont complètement rasé.

Mon regard s’arrête sur un homme d’une trentaine d’année qui dine avec deux collègues plus âgés. Il porte une petite barbe très courtes ( ce n’était pas encore la grande mode à l’époque), il a des cheveux qui tombent aux épaules. Il semble assez musclé et à un charme fou dans ses mouvements qui accompagne ses mots.

Je sens que ça gigote au niveau de mon entrejambe.
Je sais bien que je suis en demi molle mais ce n’est pas ça. J’abandonne du regard mon beau routier et je baisse les yeux quand je vois le pied de Momo poser sur mon pantalon de survêtement entrain de masser mon sexe.

Je suis plutôt étonné et même gêné, il n’y a pas de nappe pour cacher ce qu’il me fait. Mais j’apprécie quand même bien son «  massage » et grossit de plus en plus sous son pied. Je me demande s’il fait la même chose à Hubert avec son autre pied. Je tourne la tête verre mon parrain, au niveau de son entrejambe et je vois que son gland dépasse de sa braguette mais pas l’autre pied d’hubert.

Je relève la tête et je vois Momo qui continue de manger tranquillement alors que sa jambe me caresse toujours. Hubert aussi se comporte comme si de rien était, je baisse les yeux et je remarque que sa bite a grossi, elle sort de plus en plus. Je jette un coup d’oeil autour de nous mais personne n’a l’air de nous observer.

Quand je finis le tour de la salle avec mes yeux, je remarque qu’à deux tables de nous, 2 mecs sont attablés et ils regardent dans notre direction. Ils ont tous les deux un sourire plutôt lascif. Je n’arrive pas à détourner mon regard mais ils finissent par se lever, j’essaye de dégager le pied qui est contre ma queue mais il appuie trop fort. En plus ils viennent vers nous avec leurs plateaux à la main.

Ils s’arrêtent à notre tables et saluent Hubert et Momo. Ils sont tous les deux grands, celui de gauche est très musclé mais l’autre et aussi bien bâti. Le moins baraqué des deux à des cheveux courts et une moustache alors que l’autre à le crâne rasé et porte une barbe. Ils sont assez poilus, ça dépasse de tous les côtés de leurs marcels.

Le plus musclé empoigne son paquet bien moulé dans son jean très serré, il semble extrêmement bien monté. Il se coup sa main comme s’il n’y avait personne autour de nous. Je ne sais pas pourquoi mais ma queue devient encore plus dure contre le pied de Momo qui leur dit:
« On finit de manger et on arrive.
 »

J’ai hâte de savoir ce qu’il va se passer avec eux alors je me dépêches de finir mon repas. Mais mes compagnons de voyage continuent de manger tout aussi lentement. Je crois que nous sommes resté encore une bonne vingtaine de minutes à table. Heureusement pendant tout ce temps Momo continue de me masser l’entrejambe, ça me fait passer le temps.

Quand ils ont enfin fini de manger et que je n’ai plus de pied qui me masse, je me lève mais me rend compte que mon érection se voit dans mon pantalon de jogging. Je me rassoie et Hubert me demande si tout va bien. Je lui réponds simplement:
« J’ai besoin d’une minute. »
Ils rigolent en même temps alors que je me mets à penser à ma grand mère et ça marche. Je peux enfin me lever.

Après avoir déposé nos plateaux, nous sortons enfin du réfectoire. Nous marchons lentement vers le camion pendant qu’ils fument à deux la même cigarette. Quand on rentre dans le second parking il y a un peu plus de camions que tout à l’heure. Mais ce n’est pas tout, je remarque qu’Hubert a ressortir sa tige qui a déjà commencé à durcir. Je le regarde d’un air étonné alors il m’explique:
« C’est plus pratique quand j’ai envie de pisser! »

Puis il prend ma main, il me fait attr sa queue pour que son gland, encore calotté, soit dans ma paume. Il att mes doigts et me fait presser à la base de son champignon. Je ne sais pas comment le branler dans cette position mais je sens quelques gouttes chaudes couler dans ma main, je suis un peu choqué qu’il me pisse dessus pourtant je ne lâche pas sa tige.

Nous continuons à avancé quand Momo me dit sur un ton sec:
« Lèche! »
Il rajoute même:
« C’est un bon millésime, crois moi! »
Je retire la main de l’entrejambe de mon parrain, je la porte à mon visage et commence par la sentir. Elle me rappelle un peu l’odeur de mon slip. J’hésite un instant puis je passe ma langue sur la paume de ma main. Je suis étonné d’apprécier à ce point et je redonne même quelques coups de langue.

Pendant que nous continuons d’avancer Hubert lâche encore quelques gouttes qui tombent sur son jean et des fois des jets qui s’écrasent par terre et l’éclaboussent. En plus ça bite n’arrête pas de grandir et la mienne fait pas pareil devant ce spectacle. Jamais je n’aurai pensé que la bite et la pisse d’un homme puissent m’exciter à ce point. Je n’arrête pas d âme découvrir pendant ce voyage!

En arrivant devant notre gros cul, le sexe de mon parrain est énorme, j’ai l’impression qu’il est encore mieux monté que Momo. Il a décalotté son gland qui est très rouge et même à certains endroits un peu violet. Il est tellement large que je ne pense pouvoir en faire le tour avec mes doigts. Ces couilles sont dans les mêmes calibres, elles sont deux fois plus grosses que les miennes et pendent beaucoup.

J’ouvre la porte du camion mais Momo m’arrête et me dit:
« Maintenant que tu es un des notre il faut qu’on t’initie à notre rituel. »
Pendant qu’ils ouvrent leur braguette, il rajoute sur un ton beaucoup plus autoritaire qui me fait encore plus bander:
« Tu te fous en slip et tu t’allonges devant nous. »

Sans aucune hésitation je m’exécute pendant qu’il se mettent eux aussi en slip. Quand je suis allongé, ils le baissent jusqu’aux chevilles alors que je garde le mien sur mon costume 3  pièces. Leurs tissus ne sont plus blancs du tout, je crois que c’est la première fois que j’en vois d’aussi crades. Par contre leurs odeurs m’enivrent de plaisir.

Je lève la tête et je vois leurs bites tendues au-dessus de moi, je me remets aussi à bien bander. C’est Hubert qui commence à pisser le premier sur moi, il arrose mon ventre et mon slip. Je bande encore plus alors que mon tissu est presque transparent. Son jet est très puissant, ça forme des marres dans les plis de mon corps du coup il m’éclabousse de partout.

Alors que le jet de mon parrain ne se tari pas, Momo m’enjambe. J’ai son entrejambe juste au dessus de ma tête je vois d’abord quelques gouttes couler de son gland circoncis. Puis c’est un jet tout aussi chaud et puissant que celui de mon parrain qui me recouvre le torse. Je suis excité comme un fou, je bande comme âne. Mon gland dépasse de l’élastique de mon slip qui est tellement mouillé qu’on voit chaque détail de ma queue et mes couilles.

Je suis totalement en transe, j’ai envie de goûter leur champagne alors j’ouvre la bouche. Hubert le remarque tout de suite et stop son jet, il fait signe à Momo. Tout en continuant à me pisser dessus, ce dernier recule jusqu’à ce que son jet atterrisse dans ma bouche. Une fois qu’elle est rempli il bloque aussi sa pisse.

Ca déborde de ma bouche, je commence par en avaler une petite gorgé. Il a un gout beaucoup plus fumé que mon parrain mais ça ne m’empêche de vider, doucement, ma bouche. C’est hubert maintenant qui me rempli. J’ai plus de facilité à avaler son urine, je dois avouer que je la trouve même excellente. Je leur fait signe d’y aller ensemble.

Je reçois les deux jets sur mon visage. Je ferme les yeux et ouvre la bouche en grand, j’avale tout ce que je peux. Je suis tellement excité que je baisse mon slip, qui est trempé, et je me pisse aussi dessus. Mon jet n’est pas assez puissant pour que j’arrive à le gouter.

Leurs vessies sont maintenant vides mais pas la mienne. Momo se dépêche d’attr mes jambes et me soulève à partir du bassin pour que je puisse aussi goûter à mon champagne. J’adore ça et je m’enivre de toute cette pisse. Malheureusement mon jet diminue rapidement mais continue quand même à m’arroser le corps. Il repose délicatement mes jambes et, après avoir bien remonté mon slip, il se jette sur mon entrejambe la bouche la première.

Il aspire et avaler la pisse qui a été absorbé pas le tissu. Je bande comme un fou surtout quand il enferme ma tige entre ses grosses lèvres et continuer d’aspirer mon slip. J’ai sens ma chair et mes veines être attiré dans sa bouche, j’ai l’impression que je vais exploser. Tout d’un coup on entend une grosse voix avec un accent dire:
« Les gars le petit ne peux pas être baptisé sans ses autres parrains! »

Je me relève et m’agenouille quand je vois arriver vers nous les deux baraqués qui été venus nous voir dans le réfectoire. Hubert m’aide à me mettre debout alors que Momo leur répond:
« Ne vous inquiétez pas on ne lui pas encore tout baptisé! »
Hubert baisse mon slip plus qu’humide et m’aide à me mettre à 4 pattes pendant que leurs deux collègues sortent des bites aussi grosses que celle de mon parrain. Momo vient devant moi, j’ai sa bite tendue en face de mon visage, il se penche pour écarter, à deux mains, mes fesses. J’ouvre la bouche et avale sa queue que je commence à sucer, surement maladroitement, de l’autre côté je sens des jets taper ma rondelle.

Je suis totalement en transe, je m’excite comme un fou sur le sexe de Momo surtout qu’Hubert me branle la bite recouverte de pisse. Je sens que mon petit trou et entrain de s’ouvrir, j’ai même l’impression que de leurs jets me rentrent dans les entrailles. J’accélère encore le rythme de ma bouche sur la tige de Momo.

Je n’en peux plus et je me vide dans la main de mon parrain alors que je me fais complètement remplir le cul de champagne humain. Je continue de sucer Momo mais me calme petite à petit. Les jets diminuent et s’arrêtent, Momo se dégage et mon parrain vient devant moi.

Il lèche sa main recouverte de mon sperme puis att mon visage et me roule une pelle magistrale. Ma langue danse avec la sienne, je connais ce goût qu’il a en bouche car j’ai déjà testé à plusieurs reprises mon propre sperme. Je prends bien appuie sur une main, pendant que nous nous embrassons toujours, de l’autre je vais toucher ma rosette.

Je la caresse, elle est bien ouverte et de la pisse en coule. Se sont mes entrailles qui se vident doucement. Je pose mon index à l’entrée et je l’enfonce tout doucement. Je commence à avoir mal alors je m’immobilise mais laisse, un moment, mes deux phalanges planté dans mes entrailles. Je retire encore plus lentement mon doigt et quand il est dehors j’abandonne les lèvres de mon parrain.

Il m’aide à me relever et nous voyons nos 3 compères, allongés sur l’herbe en triangle. Chacun suce la bite qui est devant lui, j’ai même l’impression que Momo se prend aussi des doigts dans le cul. Hubert va les rejoindre, il récupère le barbu et s’allonge sur lui en 69 en ce mettant dessus. Les deux autres font la même chose, c’est Momo qui est au dessus et il a bien des doigts enfoncés entre ses fesses.

Comme je ne rebande pas encore je ne peux qu’admirer mes 4 pisseurs faire passer leur bouche de la bite qui est devant aux fesses de sur partenaire. J’adorerais les rejoindre pour aller plus loin cette fois. Il continue ainsi pendant un bon quart d’heure, c’est tellement beau que je me remets à bander tout en reniflant mon slip encore humide de pisse.

Tout d’un coup le collègue à l’accent les fait s’arrêter. Il me demande de me remette à 4 pattes, vu la grosseur de sa queue j’ai peur qu’il veuille me sodomiser. Mais ce n’est pas l’idée puisqu’ils se retrouvent tous les 4 derrière moi à se branler au dessus de mes fesses. Je garde la tête tourner pour les voir éjaculer les uns après les autres.

Rapidement mes fesses se recouvrent de sperme, je sens des giclées couler le long de ma raie. Déjà les admirer se sucer m’avait fait frétiller mais alors là je suis raide comme un piquet. Une fois qu’ils se sont, tous les 4, vidés sur moi, je caresses mes fesses pour étaler leurs semences. Je les vois sourire comme des vicelards, d’un autre côté ils m’ont déjà prouver qu’ils le sont.

Ensuite je passe mon index dans ma raie, il se recouvre encore plus de sperme. Je me masse la rondelle qui me semble encore plus ouverte que tout à l’heure. J’essaye une nouvelle fois d’y introduire mon doigt, il rentre sans aucun problème, le sperme doit aider à faire glisser. Une fois qu’il est bien planté en moi je le fais aller et venir tout doucement.

Alors que je continue mes vas et vients, j’entends le routier avec un accent dire:
« Putain c’est qu’il apprend vite! »
Un peu honteux de cette réflexion j’enfonce mon doigt une dernière fois avant de le faire ressortir. Momo att mon slip qui est parterre et essuies tout le sperme qui reste sur mes fesses avec.

Ensuite on m’aide à me relever et Momo me tend mon slip en me disant:
« Enfile le! »
Je crois qu’il plaisante mais sa tête est tout a fait sérieuse. En plus je les vois tous les 4 remonter leurs slips qui n’est plus de la couleur d’origine tout en m’encourageant à faire pareil. Du coup je m’exécute et j’enferme ma encore bien dure dans le tissu très humide.

Hubert nous dit a tous:
« Au dodo! »
On fait la bise à mes deux autres parrains, qui en profite pour me tâter les fesses, le barbu me titille même la rondelle. Puis on les quitte pour remonter dans notre bahut. Je range mes habits propre pour le lendemain et monte sur le matelas du haut. Mes deux compagnons de voyage rangent aussi leurs affaires.

Quand ils me rejoignent dans la partie couchette, mon parrain me dit:
« Tu vas dormir avec moi et Momo va monter à ta place. »
Je m’exécute sans rien dire, je m’installe en bas et Hubert vient se coller derrière moi pendant que Momo monte. Je ne sais pas ce qu’il traficote là haut mais je m’en occupe pas. Surtout que la queue raide de mon parrain vient de se loger entre mes deux globes fessiers avec uniquement nos slips encore humides qui nous sépare.

Alors qu’il passe ses mains devant et commence à pincer mes tétons, on entend Momo faire un:
« Pssss »
Je lève la tête et je vois, au milieu de la planche de matelas sa bite dépasser. Je comprends maintenant pourquoi il y a un trou dans le matelas mais surtout qu’en fait on ne va pas dormir tout de suite…

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