Collection Histoire Courte. Mère - Fille (1/1)

• Julien, tu peux venir me voir, je suis libre demain après-midi dès quatorze heures, j’ai un service à te demander.
• Oui madame Angel.
Un service ?
Lionel ne peut pas vous le rendre ?
• Si je fais appel à toi, c’est que mon fils ne me sera d’aucun secours pour le service que j’ai à te demander, je t’en dirais plus demain.
• Bien madame, je serais là.

C’est étrange que la mère de mon pote me demande de venir chez elle alors qu’elle ne peut ignorer que son fils est en déplacement pour trois jours en Bretagne pour son travail.
Le soir, je vais dans mon lit, intrigué, mais j’ai confiance en cette femme de 44 ans, fort bien conservée de surcroit, malgré son manque de sexe évident depuis presque quatre ans que son mari est mort.
Lionel m’a toujours dit qu’il était mort d’un infarctus dans un hôtel où il était descendu, il faisait le travail qu’a reprit son fils après sa mort.
Ça, c’est la version officielle de la famille.
Une personne bien intentionnée un jour dans un bar est venue parler avec moi et sans que je ne la questionne m’a dit que l’infarctus, il l’a fait dans les bras d’une pute qui venait de le sucer avant qu’il l’enfile mourant, sa bite au fond de sa chatte.

Cette personne était du genre féminin et depuis quelques temps, elle vient dans mon lit passer un bon moment.
À 14 heures, je débarque chez madame Angel, je suis étonné, elle me reçoit en peignoir.

• Excuse ma tenue, j’ai renversé mon café sur mes vêtements quelques minutes avant que tu arrives, j’empestais cette odeur, je me suis douchée et changée.
Je venais de mettre tout au linge sale quand tu as sonné, j’ai juste eu le temps d’enfiler ce peignoir.
Dans l’affaire, je n’ai pas bu mon café, viens dans la cuisine, nous allons en prendre un ensemble.

Elle me prend la main, m’entraîne vers la cuisine, elle sort deux tasses et fait du café en faisant chauffer de l’eau.


Une chose m’intrigue, avant qu’elle fasse couler de l’eau sur du café sorti d’un paquet, nulle odeur de ce breuvage.
Pour quelqu’un qui vient de se renverser une tasse sur elle, c’est étrange.

• Que me vouliez-vous madame Angel, vous avez un problème ?
• Attends que je te serve, je vais tout te dire.

Je suis étonné.
Que me veut-elle ?
Son peignoir baille quand elle me sert, pour son âge ses seins semblent encore être attachés haut.
Ils sont en forme de pommes, de belles pommes.
J’ai envie d’y porter une main, surtout que son mamelon me fait de l’œil.
Je devrais détourner les yeux, n’est-elle pas une femme qui sait ce qu’elle fait ?
Il est impossible qu’elle ne remarque pas que son vêtement, s'est légèrement ouvert, il baille.
Je me fais du cinéma, non !
Quand elle se redresse, elle resserre les pans, cachant ce sein que je ne saurais voir.

• Merci pour ce café, mais si vous ne me dites pas pourquoi vous m’avez demandé de venir, je vais retourner étudier car mes examens sont très proches.
• Je sais, mais cette situation est nouvelle pour moi.
Je manque d’habitude depuis que mon Jean m’a quitté.

Elle s’est appuyée sur le plan de travail alors que je suis assis sur une chaise, les jambes face à elle.
Son mouvement me surprend, elle écarte les cuisses et vient s’assoir sur mes genoux, sa chatte venant toucher mon sexe au travers de mon pantalon son peignoir étant court.

• Julien, je t’ai menti, je n’ai pas renversé de café, j’ai délibérément recouvert mon corps de ce simple peignoir.
Mon corps s'est réveillé lorsque tu étais avec mon fils et ma fille dimanche dernier. J’ai envie que tu me fasses l’amour !
Regarde, passe ta main entre mes cuisses, ma chatte dégouline alors qu’elle était comme morte depuis que j’étais seule.

Je suis coincé, comment lui dire que la personne qui est venue me parler de son père et qui depuis me rejoint de temps en temps se faire faire l’amour, c’est Juliette la sœur de Lionel, donc sa fille !
On est toujours trahi par ce que l’on aime et moi, depuis que je suis pubère, j’aime beaucoup mon sexe qui réagit vite et bien au contact d'un vagin qui se frotte à lui.


• Prends-moi là sur la table, je sens que ta bite a autant envie de moi que ma chatte a envie de toi.
N’aie pas de remords, je veux être ta chienne, je sens qu’avec ce que je sens, tu vas éteindre le feu que tu as déclenché en moi dimanche.
Donne ta bouche, déchire la mienne, prend mon sein que tu regardais d’un œil indiscret tout à l'heure.

J’ai une vraie bacchanale dans mes bras.
Cette femme si prude depuis que je la connais devient une folle du cul.
Même si je refuse à ce jour que Juliette demande à sa mère qu’elle vienne habiter avec moi, ayant du sentiment pour elle.
Je pense que mes études terminées, je lui demanderais si elle veut se marier avec moi.
Et là, c'est sa mère s'offre à moi, ça me pose un léger dilemme, vite contourné.

• Madame Angel, vous êtes devenue folle, laissez ma ceinture et ne sortez pas mon sexe, madame, je vous en supplie.

Je n’ai pas le temps de lui en dire plus.
D’un mouvement brusque, alors qu’elle vient de prendre ma verge en main, je la repousse, elle tombe sur les fesses le peignoir définitivement ouvert, les deux pans écartés, laissant voir sa poitrine, son ventre, son sexe et ses jambes.
Sa chatte, avec une toison noire impeccablement taillée, ainsi que ses grandes lèvres dégoulinant de cyprine, me font envie.
J’ai eu un geste pour la retenir, elle s’agrippe à moi me faisant tomber de ma chaise sur elle.
Sa main n’a pas lâché ma verge qui a bien durci.
Elle la place à l’orée de son fourreau que j’investis sans plus me poser de questions.
Sentant que je la pénètre au plus profond de son être, elle me bloque avec ses jambes qui, telles les tentacules d’une pieuvre, viennent s’entourer autour de mes reins.
Nous sommes en nage, sa fille a tout à apprendre de sa mère, même si c’est une bonne élève.
Je ne peux m'empêcher de comparer les deux façons de faire, de la fille et de la mère.
Nous finissons par jouir l’un de l’autre, son orgasme est dévastateur alors que je lui propulse de longs jets de sperme en elle.

À mon âge on en produit beaucoup.
À son âge on crie beaucoup quand on se fait baiser.

• Merci, tu es un merveilleux amant, j’avais oublié comme c’était bon, tu m’as réveillé.

C’est par ces mots, qu’elle me libère.
Ma verge est toujours tendue, je me redresse en fait de même pour elle et c’est en levrette, les seins posés à côté de la tasse de café, sur la table que je la reprends.
Ce fut mon premier orgasme avec la mère de mon amie.

Si la première fois cette étreinte avait été soudaine et bestiale, c’est en sachant ce que je fais que depuis quelques mois je la baise chaque fois que l’occasion se présente.
Je suis un pleutre, je saute la mère au moins une fois par semaine et la fille le soir quand sa mère est rentrée sagement s’occuper de son fils Lionel mon copain.
Ce fils à qui j’ai du mal à cacher que les deux femmes de sa vie sont devenues deux salopes qui se font prendre par ma verge.
Et que dire de mes deux maîtresses, à quel moment l’une saura que je suis l’amant de l’autre ?
Le plus dur dans tout ça, c’est quand Angel me dit un après-midi.

• Fais-moi un .

Et que le soir, sa fille quémandant sa part de sexe me dit.

• Fais-moi un .

Trois mois plus tard, c’était fait.
L’une et l’autre m’annonçaient la bonne nouvelle.
Il ne me restait qu'une seule solution pour échapper à la catastrophe, faire ma valise et partir au fin fond de l’Allemagne pays ayant été le berceau de ma famille.
Je parle couramment la langue grâce à mon père.

Je suis parti, j’ai trouvé du boulot grâce à mes connaissances, c’est beau l’Europe.
En ce moment je suis au lit entre deux femmes, de vraies jumelles teutonnes comme dans les films.
Gros seins, chacun d’eux pesant au moins trois kilos, chattes aux lèvres comme des oreilles, culs aussi gros que la pleine lune dans le ciel.
Ne pas oublier, les deux tresses qui entourent leurs têtes, je vous dis de vrais teutonnes.


Leur village est à la limite de l’Autriche, elles sont toujours en tenues traditionnelles.
Je privilégie leur anus à leur chatte, mais hélas !
Où fuir trois mois plus tard, quand elles m’annoncent qu’elles ont arrêté toute contraception et que je vais être papa ?

La seule solution envisageable, fuir encore, la Légion étrangère serait la très bonne solution !

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