Le Voyage Du Ce, Jour 3

Résumé des épisodes précédents
Le voyage du CE : préparatifs du voyage, arrivée à Naples, Installation et surprise.
Le voyage du CE, jour 2 : Approfondissement des découvertes. Après une soirée animée, je me retrouve à partager le lit d’Olivier. Je lui tourne le dos, mais je le sens bien présent…
Et c’est un peu compliqué pour moi de m’endormir dans ces conditions, malgré le silence et l’obscurité…
Je sens durement Olivier derrière moi … et c’est également dur chez moi ! Au bout de quelques minutes, Olivier passe le bras par-dessus ma hanche et saisit mon sexe :
-Oh là là, chouchou, tu ne vas jamais t’endormir !
Puis il prend les couilles en main :
- Et c’est encore bien plein ici… Bon, je te soulage ça, mais après, tu dors ! Mets-toi sur le dos…
Il recommence à me masturber. Très vite, je suis à nouveau raide comme un piquet. Sa main fonctionne à nouveau comme un vrai stimulant et cette fois-ci, malgré l’obscurité, je vois les images de la journée défiler comme si nous étions en plein jour : c’est sa main qui est sur mon sexe, mais c’est sa bouche que je revois, je me revois lui enlever sa chemise, je revois hier soir cette branlette initiale qui a tout déclenché. Je revois mon ébahissement devant la douceur de ses couilles…
Olivier y met vraiment du sien, alternant les attaques sur les couilles, la caresse du bout du gland, la va et vient sur la queue sans oublier de me susurrer à l’oreille « tu sais qu’elle me plait ta queue ! ». Il sait y faire … Du coup, il ne me faut que quelques minutes pour jouir… A nouveau plein de sperme sur le torse… Olivier me prend les couilles, les secoue un peu en disant :
- Alors, ça va mieux ?
Il se lève pour me chercher une serviette et essuie mon torse, et quand c’est (à peu près) sec, il soulève le drap, embrasse chacun des testicules, la tige puis le gland et conclut :
- Allez, à demain !
Ce coup-ci, il ne me faut que quelques minutes (secondes ?) pour m’endormir…
Et le soleil est déjà haut lorsque j’entends du bruit dans la chambre et me réveille.

Olivier sort de son lit, face à moi, et nu. Je réalise que c’est la première fois que je le vois « au repos ». Au garde-à-vous, nos sexes se ressemblent, mais son sexe au repos est très différent du mien : plus long, avec un prépuce qui en ferme bien le bout. Son zizi est comme bien enfermé. Il pend, surplombé par une forêt de poils très noirs qui descendent en triangle jusqu’au sexe. Au-dessus, vers le nombril, ils se font plus rares, comme un petit sillon. La poitrine, quant à elle, est presque imberbe. Les cuisses sont poilues aussi. Par contre les deux bourses sont rasées. La droite plus basse que l’autre. Le sexe pend et les boules sont ainsi bien mis en valeur. Elles sont généreuses, ovales et bien pleines.
- Bonjour Eric, bien dormi ? me lance-t-il en venant me poser un baiser sur les lèvres. Il ajoute :
- Je vais me doucher, faut pas mollir, le RV pour l’excursion au musée est dans une demi-heure… On aura à peine le temps de manger !
Sur ce, il se retourne pour se diriger vers la salle de bains, m’offrant une belle vue sur ses fesses et son sexe qui se promène entre ses jambes à chacun de ses pas. Il doit quand même faire un peu de naturisme, même si ses fesses sont plus claires que le reste du corps, elles restent bien mates pour un Européen… Je remarque et réplique :
- Dis donc, t’as le cul bien bronzé, tu fais du naturisme ? … Quant à pas mollir, parle pour toi, parce que moi, au contraire, j’ai plutôt intérêt à mollir si tu vois ce que je veux dire !
- Oui, bon, là y a pas vraiment le temps ! T’as qu’à la prendre froide, ta douche : tu vas voir ça ira mieux tout de suite ! Et pour le naturisme, ouais, en Vendée, on y a une maison et il y a des coins ou on peut prendre l’air au naturel, une autre fois, je te raconterai …
Il a raison, la douche avec une fin froide se révèle être un remède efficace à la suite de laquelle je m’habille et peux paraitre dans la salle du petit-déjeuner sans aucun souci autre que celui de notre retard.
Notre arrivée, comme la veille, est saluée.
-Ah quand même, les garçons … Vous n’allez pas avoir le temps de manger. Ce n’est pourtant pas à vous que les croissants feraient le plus de mal !!
- Si ça se trouve, c’est ça le secret de leur ligne, lance Nathalie perfidement, on saute un repas sur deux …
Allez, on monte à Capodimonte à pied beugle l’animateur… Et la joyeuse troupe se met en marche dans les petites rues en pente vers le musée.
Comme prévu, c’est magnifique. Je suis stupéfait de voir qu’il y a même des salles réservées à la peinture flamande …
Après le musée, c’est un repas partagé dans une brasserie quasiment en face, puis on repart pour visite du vieux Naples autour de 4 groupes d’une dizaine de personnes. Je ne suis pas dans le même qu’Olivier, et c’est tant mieux : cela permet une meilleure diversification de mes pensées !
La visite, moitié visite-moitié balade se poursuit jusqu’à la fin de l’après-midi et vers 18 heures le guide nous lâche au point où les groupes avaient prévu de se donner rendez-vous. C’est le moment que choisit le DRH pour rassembler son service :
- Allez, je vous invite à boire un coup. On va du côté de la Porta Capuana, j’ai vu des troquets sympas : Spritz pour tout le monde.
Je ne peux pas vraiment m’éclipser ; Et en plus, l’équipe et le boss sont sympas… Mais quand même, j’enrage en secret : j’avais prévu d’acheter des préservatifs pour ce soir au cas où … mais là, avec tout le monde autour de moi, ce n’est juste pas possible !... Ben, on verra bien…
En rentrant de notre apéro, nous trouvons le reste de la troupe au bar. L’ambiance a l’air bonne et festive. Olivier vient manifestement de se doucher : il a les cheveux mouillés et le soleil brille depuis ce matin !
Du coup, je monte à la chambre pour passer aussi sous la douche… Une douche tout seul : une première depuis deux jours…
J’insiste bien sur les zones fesses et sexe … On ne sait jamais !
La soirée se déroule comme celle de la veille, mais en plus chaud… Quelques couples à propos desquels les moquettes et machines à café bruissaient depuis plusieurs semaines font leur coming-out, et bizarrement, davantage qu’hier les sorties de piste (de danse !) ont tendance à se faire deux par deux.
Je sens que ce serait vraiment possible avec Nathalie… Elle danse serrée et il est clair qu’elle a viré son soutif...
J’ai une vraie hésitation : si ça se trouve l’occas ne se représentera pas… Sa jupe courte, son tee-shirt sans rien dessous, ses jolies jambes… Mais d’un autre côté, c’était tellement bon hier avec Olivier…
L’idée d’un plan à trois me trotte dans la tête : la petite chatte de Nathalie, ses petits seins et en même temps le sexe d’Olivier… Mais je ne me sens pas assez sûr de moi. J’ai peur de rater l’un et l’autre …Un peu lâche, je laisse durer avec Nathalie, sans faire d’invitation précise et en bafouillant une phrase laissant entendre qu’on pourrait faire mieux plus tard, de sorte qu’elle comprend que je me sens coincé par mon chef et ceux de mon service encore là et … qu’elle lâche l’affaire peu après minuit… Moment que je choisis pour retourner à la chambre.
quelques minutes après, j’entends la clé tourner dans la serrure. Olivier surgit, un large sourire aux lèvres. Il se dirige vers sa valise dont il soulève le couvercle et en brandit, comme s’il s’agissait d’un trophée, une poche en plastique aux couleurs de Diperdi, la petite chaine de supermarché italien avec son logo vert et rouge et la petite pomme :
- Tatataaaaaan , j’ai fait les courses !
Il retourne la poche sur son lit… Sortent 2 canettes de coca, une petite bouteille de Gin (genre 50 cl, ou même moins), une bombe avec écrit panna montata (crème Chantilly ?), une poche de rasoirs bilames, une boite de préservatifs et un tube avec écrit dessus « gel intimo » pour lequel je n’ai pas besoin de traduction !
- Par quoi on commence ?
C’est ce que j’ai trouvé de plus génial chez lui, c’est toujours simple ! J’ai bien compris que la soirée était loin d’être finie… Par contre, répondre à la question « par quoi on commence » n’est pas simple : je vois bien ce qu’il a envie de faire des rasoirs, je vois aussi pour les préservatifs et le gel (encore qu’il reste dans ma tête une incertitude : pour sa queue ou la mienne ? pour son cul ou le mien ?), la crème Chantilly, ça me donne aussi des idées, mais pas super-précises… Finalement, tout cela me donne chaud, et je tranche :
- Bon, ben on commence plutôt par un Gin coca … j’ai soif !
Olivier prend les deux verres sur la table de la chambre et sert les Gin-Coca…
- A la tienne ! Après, je te rase, tu veux bien ?
Devant mon air interloqué, il complète :
- Juste les couilles, tu vas voir, après c’est génial… Et puis franchement, hier tu as eu l’air d’aimer mes bourses rasées ! Je dégagerai un petit peu sur les côtés, mais je ne rase pas le cul, bon sauf si t’as envie… Ça te va ?
J’approche mon verre du sien :
- Allez, ça marche !
Autour du verre, on tchatche et tout me parait simple, il raconte sa journée, ce qu’il a aimé.
Il note qu’il a bien vu que Nathalie m’a bien branché… Ne me vient pas une seconde à l’idée le fait que je devrai expliquer les couilles rasées en rentrant à la maison demain soir ! De temps en temps, nous appuyons les mains sur les cuisses l’un de l’autre.
A la fin du verre :
- Bon, tu te désapes ?
Il ouvre la poche de rasoirs et ouvre puis étale un exemplaire de la Repubblica sur le lit :
- Tiens tu te mettras là-dessus, sur le dos. C’est pas super confort, mais ça nous évitera de mettre des poils partout !
Je suis vite à poil, le sexe raide comme un piquet.
- Tu vois, le programme me fait de l’effet !
Il tapote le lit :
- Allez, allonge-toi.
Il saisit ma queue, la branle un peu et ajoute :
- On s’occupera d’elle après ! Ecarte un peu les jambes. Pour le moment, on s’occupe de ça… Dit-il en me prenant les couilles en main.
J’écarte les jambes et il s’approche le rasoir. Je ne suis pas vraiment serein et ça me fait un peu débander. Il soulève les couilles et commence le rasage en dessous. C’est très doucement fait, et je ne sens rien. J’essaye d’être attentif à ce qu’il se passe, je sens bien le circuit du rasoir, mais je ne vois rien…
- C’est bien que t’aies la trouille et que tu débandes : c’est plus facile à raser au repos !
- Tu fais attention !?
- Oui, t’inquiète, pas de stress !
La caresse de ses mains sur mes boules est incroyable : ce n’est pas vraiment un massage, juste une caresse. Il pousse le paquet un peu vers la gauche pour s’occuper de l’endroit où les couilles se rapprochent de la cuisse, puis même chose de l’autre côté.
- Rabats tes genoux sur ton torse, tu veux bien ? Comme ça je finis bien le dessous.
Je m’exécute, en me rendant compte que, ce faisant, je lui montre, (lui ouvre ?) mon trou du cul.
- Tu rases pas trop près du trou, tout de même…
- T’en fais pas !
Ceci dit, quoique que s’appliquant, il ne se gêne pas pour toucher les fesses, et même le trou !
L’anxiété a passé et je bande à nouveau dur, et bizarrement sans aucune gêne envers Olivier qui est tout habillé à côté de moi… J’ai un léger tressaillement lorsque sa main s’égare vers mon trou. Mes couilles qui étaient déjà assez sensibles poilues me font maintenant l’effet d’être des terminaisons nerveuses à vif !
Au bout d’un moment :
- Voilà, c’est fini ! Tu veux voir ?
Je me lève et me dirige vers le miroir positionné sur la porte du placard dans le couloir. J’entends que pendant ce temps, Olivier met en boule et à la poubelle le journal qui a servi de réceptacle à mes poils…
Devant la glace, je trouve le résultat assez convaincant. J’ai l’impression que mes couilles ont grossi. Olivier, toujours habillé, vient se positionner derrière moi, saisit mes couilles neuves en même temps qu’il m’embrasse le cou :
- Alors ?
- Génial !
Je sens en même temps la pression qu’il met avec son sexe contre mes fesses. Le fait de me raser a dû l’exciter aussi car son sexe semble bien dur. Je passe la main dans mon dos pour poser la main dessus. J’ai soudain une envie folle de son sexe, de ses couilles. Je me retourne, me mets aussitôt à genoux devant lui et m’attaque à sa ceinture. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ouvre, je débraguète et tire l’ensemble jean boxer vers le bas pour laisser apparaitre sa queue qui est en effet tendue à bloc. Et, immédiatement, je la mets en bouche.
Il me semble que ça nous fait autant de bien à l’un qu’à l’autre : pour moi, c’est comme si j’assouvissais une envie terrible, j’ai le sentiment de prendre sa queue comme un mort de faim…
De son côté, ses gémissements indiquent bien qu’il y trouve son compte. J’enfonce sa queue plus loin que jamais dans ma bouche, j’ai envie de la prendre entière, sans pour autant y arriver. Je veux que mon visage aille buter contre ses poils. Je m’enivre de son odeur. Je retire ma tête et gobe ses couilles, comme il m’avait fait hier soir.
Olivier prend alors ma tête, me remonte et dis :
- Viens, on va sur le plumard. Il se dégage de ses tennis, enlève complètement son jean et son boxer et m’amène vers le lit sur lequel quelques minutes plus tôt j’ai été rasé. Sur le lit, il finit de se déshabiller, enlevant le tee-shirt et les chaussettes. A nouveau, il est totalement nu devant moi. Je suis aux anges sans pour autant savoir quoi faire de sa nudité. J’ai envie de tout à la fois, et je ne sais pas par quoi commencer.
Comme d’habitude, il me facilite le boulot en prenant l’initiative :
- T’as pas faim ?
Il se retourne, passant à plat ventre sur le lit et me permettant au passage d’admirer son cul. il allonge la main vers la table de nuit où il avait posé la bombe de Chantilly. S’en saisissant, il se retourne et met une noix de Chantilly sur chacun de ses têtons, dessine un filet entre son nombril et la base de son sexe, s’enduit le sexe et les couilles, puis pose la bombe, passe ses bras sous la tête et déclare :
- Bon appétit !
Je n’ai évidemment pas besoin d’explications complémentaires … Et je passe à table ! A chaque endroit où il y a de la crème, la crème ce n’est que le hors d’œuvre, ce qui est vraiment bon, c’est de continuer à lécher l’endroit quand il n’y a plus de crème. Je m’applique sur chaque centimètre carré indiqué par la crème. Les pointes de ses seins me passionnent. Je les lèche, les mordille, les pince, les embrasse, les caresse puis les lèche à nouveau. Olivier m’encourage en sortant un bras de dessous sa tête et en posant la main sur ma bite.
Je suis le chemin indiqué par la crème et c’est fantastique de progresser ainsi doucement du nombril vers le sexe, le nez et la langue sur les poils. Je suis obligé de soulever la queue qui, bien bandée, remonte vers le nombril et empêche au fond de nettoyer avec tout le soin que je voudrais la crème juste au-dessus du sexe… En soulevant son sexe, je le branle un peu, mais lentement… Et ça semble plaire ! Le seul hic, c’est que je me mets de la crème sur les doigts. Il me prend la main et dis :
- Donne
Ce faisant il lèche les doigts et dit :
- Tu peux continuer !
Il faut s’attaquer maintenant au sexe … à moins qu’il faille commencer par les couilles ? Je pose la question à Olivier :
- Les bourses ou la queue, maintenant ?
- Commence par les couilles, tu garderas la queue pour la fin. Mais, viens là : mets-toi au-dessus de moi !
Quelle bonne idée : je me mets à califourchon au-dessus de lui et offre ainsi à son regard ma queue, mes couilles, et sans doute aussi mon trou. Il appuie alors ses deux mains sur mes fesses et, sans lâcher mes fesses, il imprime un mouvement vers le bas à mon bassin pour approcher mes couilles de son visage. Je sens aussitôt sa langue dessus… Sa langue sur mes couilles fraichement rasées.
Je m’étire pour atteindre les siennes et enlever la crème, puis les gobes et les lèches avec le plus grand soin.
- Pas mal ta recette de boulettes à la crème !
Je dégage enfin le manche de sa crème, puis le met en bouche et commence une belle fellation pendant laquelle je sens que ma queue aussi entre dans sa bouche. C’est insupportable : j’ai envie de me concentrer sur tout à la fois sans y arriver, comme si le fait de me concentrer sur sa queue m’empêchait d’être attentif à ce qu’il fait de la mienne et réciproquement… Je décide de lâcher prise et de me laisser aller à l’ivresse de l’instant. Et l’ivresse de l’instant, c’est sa queue que je regarde pour en mettre les moindres détails en mémoire : je la sors de ma bouche, scrute le gland, le frein. Puis remets en bouche…
C’est à ce moment-là que je reçois une petite claque sur les fesses :
- Bon, allez, moi aussi, j’ai faim !
Olivier se dégage et je m’allonge sur le lit croyant comprendre le plan à venir : crème sur mon torse, la queue etc …
Mais pas du tout : Olivier dit :
- Tu ne veux pas te mettre plutôt à quatre pattes ?
… Je pense aussitôt : « Bon, ben ça ne va pas être complètement comme j’imaginais ». Mais, en même temps, il y a beaucoup de douceur dans sa voix. Et cela donne vraiment envie de suivre…
Je me mets donc à quatre pattes sur le lit. Olivier écarte doucement mes jambes, caresse mes fesses, passe la main dans la raie … et saisit la bombe de Chantilly !
Je sens un filet de Chantilly du haut de la raie des fesses, davantage de crème sur le trou, puis il continue sur l’intervalle entre le cul et les couilles qu’il enduit également de crème…
Pour finir par une dose abondante sur les boules. Pour les couilles, je vois bien l’effet que ça fait car, la tête sur le lit je peux voir mes bijoux de famille. Mes couilles qui sont déjà ce soir passées de poilues à lisses il y a une demi-heure sont maintenant « enneigées » !
Olivier repose la bombe sur la table de nuit … et ses mains sur mes fesses.
Son festin (et le mien) commence. Des baisers sur mes fesses, puis sa langue qui démarre, probablement à la limite entre les zones bronzées et pâles. J’ai l’impression que cela progresse si lentement que c’est quasiment une . Tous mes sens sont maintenant dirigés vers mon trou. Je n’ai jamais ressenti cela avant. Le pire, c’est que quand sa langue s’approche de mon trou et que je pense enfin avoir ma récompense, il saute l’étape et part vers les couilles pour finir le chemin en remontant !
J’oublie assez vite mon trou tant sentir sa langue sur mes couilles rasées est agréable. Il les lèches, les gobe l’une après l’autre, puis les prend en main, les rassemble et les enfile toutes les deux dans sa bouche.
Quand il les sort, je sens bien sa langue remonter des couilles au trou… Dont elle se rapproche lentement mais sûrement …
Ca y est : la langue fait maintenant clairement le tour de la rondelle. A mon avis, il n’y a plus de Chantilly ! Sa langue fait le tour du trou, s’enfonce un petit peu, sous mes tremblements.
Olivier se relève, et me demande :
- Ça va ?
- Oui, continue !
Sa langue revient sur mon cul et s’y attarde longuement. Je n’ai jamais ressenti mon cul de cette manière… Olivier enlève sa langue et je sens clairement un doigt s’y enfoncer puis ressortir. Je trésaille. La langue et le doigt alternent, puis à un moment je sens que ça prend plus de place : je pense qu’il a dû mettre deux doigts… Cela reste vraiment bon. Je profite du moment avec des « Mmmh » sans doute significatifs … Si bien que je sens Olivier se rapprocher, ses cuisses contre mes cuisses, son sexe raide sur ma raie.
Il appuie son torse contre mon dos, étend le bras vers la table de nuit où attendent le reste des courses. Il prend le tube de gel et les préservatifs, me les montre et murmure à mon oreille :
- On y va ?
Je suis complètement dans un état second et deviens délicieusement accro à ce qu’il est en train de faire subir à mon derrière… Je ne dis pas oui, mais je prononce un :
- Doucement, quand même !
Qui, au fond, est un oui … Je réalise que d’ici quelques minutes, je vais être sodomisé pour la première fois. Je redoute autant que j’espère cet instant où je vais sentir son sexe s’introduire en moi … Est-ce que ça va faire mal ? est-ce que je vais le sentir ?
- J’enfile le préservatif…
J’entends la boite s’ouvrir, puis l’enveloppe du préservatif se déchirer… Plus de bruit : j’imagine le préservatif se dérouler sur la longue queue d’Olivier. Je regarde entre mes jambes pour voir où Olivier en est, mais je ne vois rien… Olivier ouvre alors le tube de gel et en met sur sa main droite avec laquelle il masse mon trou, enfonçant un doigt pour faire pénétrer le gel dans mon conduit.
Quand Olivier dit « je mets de gel sur ma queue », ça me donne l’impression d’être dans un acte commenté par quelqu’un d’autre. C’est comme irréel, comme si ce n’était pas de sa queue à lui, ni de mon trou à moi qu’il s’agissait …
Puis je sens sa queue s’approcher et se positionner à l’entrée de mon cul. Dans mes mains, j’accroche l’oreiller de toutes mes forces. Olivier dit :
- Tranquille, je vais y aller doucement. Si tu as mal, tu dis… Pas de souci.
Je murmure un :
- Oui, viens !
Ca y est, je sens son sexe entrer en moi… J’ai l’impression qu’il est énorme, sans rapport avec celui que je caressais et avait en bouche tout à l’heure…Je bloque ma respiration sous la stupeur. Il arrête sa progression :
- Détends-toi, respire !
Puis il reprend son avancée dans mes entrailles, comme précautionneusement, tout doucement. Il recule ensuite de deux centimètres puis avance de trois … Si bien que petit à petit, il est de plus en plus profond en moi. Ça ne me fait pas mal. Au contraire, je sens une sorte de plaisir à ressentir ce sexe en moi. Pas au point de me faire jouir, de nature différente. Une forme de plénitude. Différent d’une éjaculation, plus durable. J’ai envie qu’il reste là. Puis, je sens clairement ses couilles venir buter sur mes fesses, et j’en déduis qu’il est à fond dedans … Son torse se penche à nouveau sur mon dos.
De sa main droite, il saisit mon sexe qu’il commence à branler doucement en me murmurant à nouveau à l’oreille :
- Ca va ?
- Super, Olivier, vas-y…
Commencent alors des va et vient à l’intérieur de moi. Je ne sais plus combien de temps ça a duré. Je me souviens juste qu’à un moment Olivier a accéléré tous ses mouvements : autant celui de son sexe dans mon ventre que celui de sa main sur ma queue.
Je me suis alors senti au bord de l’éjaculation.
- Freine, Olivier, ça va venir !
Il a alors lâché ma queue et s’est retiré de mes fesses. Il m’a retourné, mis sur le dos, passé un coup de langue sur mes couilles puis sucé mon sexe pour deux ou trois aller-retour ? Il s’est alors assis sur mes cuisses, face à moi, et m’a regardé droit dans les yeux. Puis, me montrant le paquet de préservatifs il m’a lancé :
- Tu veux essayer ?
Sans refus de ma part, il a ouvert un préservatif, l’a déroulé tout au long de mon sexe. Puis il l’a enduit de gel. Il s’est mis un peu de gel dans l’anus. S’est avancé vers moi, a avancé ses fesses, redressé mon sexe bien perpendiculaire par rapport à mon corps et se l’est lentement introduit dans l’anus jusqu’à être complètement assis sur mes couilles.
Je redressais la tête à m’en faire mal aux muscles du cou pour ne pas perdre une miette de ce spectacle…
Son ventre musclé, ses petits têtons très bruns, les poils noirs au-dessus de son sexe…
Je sentais mon sexe enserré dans son anus et voyais le sien libre, magnifiquement érigé, se balançant au rythme des montées et descentes. J’étendais la main pour le toucher, pour fouiller dans ses poils, pour le branler. Il se levait puis redescendait sur mon sexe. C’était délicieusement bon. Je me sentais comme ivre. Pas pareil qu’avec le sexe d’une fille parce que je sentais comme une rondelle monter et descendre le long de mon membre. Quand il était en bas, contre les couilles, je ne voyais que sa queue, et dès qu’il montait, je voyais aussi ses couilles qui pendaient et se balançaient elles aussi … Je le branlais au rythme de ses aller-venues sur mon sexe.
Il a accéléré ses va et vient.
- Attends, attends … ça monte !
Il a alors sorti mon sexe de son anus, m’a enlevé le préservatif qui l’entourait … Et fini le travail à la main.
Je n’ai jamais joui si fort. Sans doute plusieurs giclées de sperme, mais surtout le sentiment que le plaisir se propageait à des zones de mon corps auxquelles je n’avais jamais prêté attention : sous mes couilles, sur mes seins …
J’étais encore dans les vaps quand j’ai senti de nouvelles giclées sur mon torse et entendu son râle… Je ne sais pas combien de giclées, mais j’en ai partout… C’est bon, c’est chaud. Je passe les mains dessus. J’ai envie de la porter à la bouche, mais je n’ose pas vraiment…
Il venait de m’accompagner dans une jouissance quasi simultanée. Il s’écarte de mes cuisses et prend mon sexe ramolli dans sa bouche comme pour le nettoyer… Lui, il ose ! Mais bon : moi, je débute !
Je suis ivre de plaisir et de fatigue.
Olivier me demande :
- Alors ?
- Génialissime, merci Olivier.
Je me redresse pour l’embrasser.
- Tu veux aller à la douche ?
- Non, passe juste la serviette !
J’essuie sommairement mon torse, me retourne, murmure un petit « trop fort, bonne nuit Olivier » … Et m’endors quasi instantanément !
La nuit fut bonne, mais je me réveille fourbu. Ce matin, c’est moi qui ouvre les yeux en premier. Olivier est allongé sur le lit, à côté de moi, nu. Je le regarde longuement et ne peux m’empêcher de me dire qu’il n’est quand même pas mal… Et que je n’ai pas rêvé !
Il ouvre les yeux à son tour, me voit en train de le mater et affiche un large sourire, attire ma tête contre la sienne et me roule une bonne pelle. J’essaye de me souvenir de notre séjour depuis notre arrivée jeudi soir … et j’ai bien l’impression que c’est notre première pelle : on finit par le commencement… à moins que je n’en aie oublié quelques-unes échangées dans le feu de l’action…
Il faut déjà préparer les valises. J’ai envie de continuer à mater et ce n’a pas l’air de lui être désagréable puisque, sorti de la douche il continue à circuler à poil dans la chambre pour préparer sa valise…
Et moi, pareil.
L’heure vient pourtant : les valises sont prêtes. En dehors des valises, il ne reste plus que nos deux boxers, nos deux sweats, les jeans, chaussettes et chaussures. Il prend son boxer à la main, s’approche de moi, me met la main sur les fesses, embrasse ma queue et mes couilles en lâchant :
- Elles sont mieux comme ça !
Je rebande déjà… Je lui rend son baiser sur le sexe en ajoutant :
- Putain de week-end, tout de même ! Merci le CE !
Nous nous rhabillons … Valises dans la bagagerie, petit déjeuner …

Ce dimanche matin, fin de ce week-end prolongé, nous avons quartier libre à Naples : shopping pour les uns, dernière balade dans les vieux quartiers pour les autres.
Personnellement, je choisis de traverser la Via Toledo pour une balade dans les quartiers espagnols avant une montée au Castelnuovo…
J’y suis avec 4 ou 5 garçons et filles des RH. Olivier, lui fait shopping, Via Toledo et dans la galerie Victor-Emmanuel, avec quelques autres du service communication.
Le rendez-vous pour le départ est à 13 heures pour déjeuner puis monter dans le car, direction l’aéroport… décollage à 17h30 pour un retour à Paris.
Des images plein la tête, de Naples, mais pas seulement… Dans l’avion, je me suis demandé comment tout cela allait continuer …
Au bout du compte, au retour de Naples, nous ne nous sommes que peu croisés Olivier et moi. Deux ou trois cafés à la cafétéria, un verre partagé un soir en sortant, en belle complicité, sans peur du toucher, mais sans pouvoir aller plus loin. Puis sont venues les vacances, en juillet pour moi, en août pour Olivier … Puis la rentrée et ma mutation dans une filiale du groupe à Toulouse …
15 ans après, cette expérience reste une expérience unique et sans lendemain, même s’il m’arrive parfois de regarder différemment les garçons dans la rue.
Il reste les souvenirs … et les couilles toujours rasées depuis Naples.
Le premier moment de surprise passé, mon épouse a trouvé cela sympa, et je continue à entretenir avec soin !

Cette semaine, par un concours de circonstance trop long à expliquer, je suis tombé sur le site Histoires de sexe … C’est cela qui m’a donné envie d’écrire mon histoire à moi…
FIN

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