Le Voyage Du Ce, Jour 3
Résumé des épisodes précédents
Le voyage du CE : préparatifs du voyage, arrivée à Naples, Installation et surprise.
Le voyage du CE, jour 2 : Approfondissement des découvertes. Après une soirée animée, je me retrouve à partager le lit dOlivier. Je lui tourne le dos, mais je le sens bien présent
Et cest un peu compliqué pour moi de mendormir dans ces conditions, malgré le silence et lobscurité
Je sens durement Olivier derrière moi
et cest également dur chez moi ! Au bout de quelques minutes, Olivier passe le bras par-dessus ma hanche et saisit mon sexe :
-Oh là là, chouchou, tu ne vas jamais tendormir !
Puis il prend les couilles en main :
- Et cest encore bien plein ici
Bon, je te soulage ça, mais après, tu dors ! Mets-toi sur le dos
Il recommence à me masturber. Très vite, je suis à nouveau raide comme un piquet. Sa main fonctionne à nouveau comme un vrai stimulant et cette fois-ci, malgré lobscurité, je vois les images de la journée défiler comme si nous étions en plein jour : cest sa main qui est sur mon sexe, mais cest sa bouche que je revois, je me revois lui enlever sa chemise, je revois hier soir cette branlette initiale qui a tout déclenché. Je revois mon ébahissement devant la douceur de ses couilles
Olivier y met vraiment du sien, alternant les attaques sur les couilles, la caresse du bout du gland, la va et vient sur la queue sans oublier de me susurrer à loreille « tu sais quelle me plait ta queue ! ». Il sait y faire
Du coup, il ne me faut que quelques minutes pour jouir
A nouveau plein de sperme sur le torse
Olivier me prend les couilles, les secoue un peu en disant :
- Alors, ça va mieux ?
Il se lève pour me chercher une serviette et essuie mon torse, et quand cest (à peu près) sec, il soulève le drap, embrasse chacun des testicules, la tige puis le gland et conclut :
- Allez, à demain !
Ce coup-ci, il ne me faut que quelques minutes (secondes ?) pour mendormir
Et le soleil est déjà haut lorsque jentends du bruit dans la chambre et me réveille.
- Bonjour Eric, bien dormi ? me lance-t-il en venant me poser un baiser sur les lèvres. Il ajoute :
- Je vais me doucher, faut pas mollir, le RV pour lexcursion au musée est dans une demi-heure
On aura à peine le temps de manger !
Sur ce, il se retourne pour se diriger vers la salle de bains, moffrant une belle vue sur ses fesses et son sexe qui se promène entre ses jambes à chacun de ses pas. Il doit quand même faire un peu de naturisme, même si ses fesses sont plus claires que le reste du corps, elles restent bien mates pour un Européen
Je remarque et réplique :
- Dis donc, tas le cul bien bronzé, tu fais du naturisme ?
Quant à pas mollir, parle pour toi, parce que moi, au contraire, jai plutôt intérêt à mollir si tu vois ce que je veux dire !
- Oui, bon, là y a pas vraiment le temps ! Tas quà la prendre froide, ta douche : tu vas voir ça ira mieux tout de suite ! Et pour le naturisme, ouais, en Vendée, on y a une maison et il y a des coins ou on peut prendre lair au naturel, une autre fois, je te raconterai
Il a raison, la douche avec une fin froide se révèle être un remède efficace à la suite de laquelle je mhabille et peux paraitre dans la salle du petit-déjeuner sans aucun souci autre que celui de notre retard.
-Ah quand même, les garçons
Vous nallez pas avoir le temps de manger. Ce nest pourtant pas à vous que les croissants feraient le plus de mal !!
- Si ça se trouve, cest ça le secret de leur ligne, lance Nathalie perfidement, on saute un repas sur deux
Allez, on monte à Capodimonte à pied beugle lanimateur
Et la joyeuse troupe se met en marche dans les petites rues en pente vers le musée.
Comme prévu, cest magnifique. Je suis stupéfait de voir quil y a même des salles réservées à la peinture flamande
Après le musée, cest un repas partagé dans une brasserie quasiment en face, puis on repart pour visite du vieux Naples autour de 4 groupes dune dizaine de personnes. Je ne suis pas dans le même quOlivier, et cest tant mieux : cela permet une meilleure diversification de mes pensées !
La visite, moitié visite-moitié balade se poursuit jusquà la fin de laprès-midi et vers 18 heures le guide nous lâche au point où les groupes avaient prévu de se donner rendez-vous. Cest le moment que choisit le DRH pour rassembler son service :
- Allez, je vous invite à boire un coup. On va du côté de la Porta Capuana, jai vu des troquets sympas : Spritz pour tout le monde.
Je ne peux pas vraiment méclipser ; Et en plus, léquipe et le boss sont sympas
Mais quand même, jenrage en secret : javais prévu dacheter des préservatifs pour ce soir au cas où
mais là, avec tout le monde autour de moi, ce nest juste pas possible !... Ben, on verra bien
En rentrant de notre apéro, nous trouvons le reste de la troupe au bar. Lambiance a lair bonne et festive. Olivier vient manifestement de se doucher : il a les cheveux mouillés et le soleil brille depuis ce matin !
Du coup, je monte à la chambre pour passer aussi sous la douche
Une douche tout seul : une première depuis deux jours
Jinsiste bien sur les zones fesses et sexe
On ne sait jamais !
La soirée se déroule comme celle de la veille, mais en plus chaud
Quelques couples à propos desquels les moquettes et machines à café bruissaient depuis plusieurs semaines font leur coming-out, et bizarrement, davantage quhier les sorties de piste (de danse !) ont tendance à se faire deux par deux.
Jai une vraie hésitation : si ça se trouve loccas ne se représentera pas
Sa jupe courte, son tee-shirt sans rien dessous, ses jolies jambes
Mais dun autre côté, cétait tellement bon hier avec Olivier
Lidée dun plan à trois me trotte dans la tête : la petite chatte de Nathalie, ses petits seins et en même temps le sexe dOlivier
Mais je ne me sens pas assez sûr de moi. Jai peur de rater lun et lautre
Un peu lâche, je laisse durer avec Nathalie, sans faire dinvitation précise et en bafouillant une phrase laissant entendre quon pourrait faire mieux plus tard, de sorte quelle comprend que je me sens coincé par mon chef et ceux de mon service encore là et
quelle lâche laffaire peu après minuit
Moment que je choisis pour retourner à la chambre.
quelques minutes après, jentends la clé tourner dans la serrure. Olivier surgit, un large sourire aux lèvres. Il se dirige vers sa valise dont il soulève le couvercle et en brandit, comme sil sagissait dun trophée, une poche en plastique aux couleurs de Diperdi, la petite chaine de supermarché italien avec son logo vert et rouge et la petite pomme :
- Tatataaaaaan , jai fait les courses !
Il retourne la poche sur son lit
Sortent 2 canettes de coca, une petite bouteille de Gin (genre 50 cl, ou même moins), une bombe avec écrit panna montata (crème Chantilly ?), une poche de rasoirs bilames, une boite de préservatifs et un tube avec écrit dessus « gel intimo » pour lequel je nai pas besoin de traduction !
- Par quoi on commence ?
Cest ce que jai trouvé de plus génial chez lui, cest toujours simple ! Jai bien compris que la soirée était loin dêtre finie
Par contre, répondre à la question « par quoi on commence » nest pas simple : je vois bien ce quil a envie de faire des rasoirs, je vois aussi pour les préservatifs et le gel (encore quil reste dans ma tête une incertitude : pour sa queue ou la mienne ? pour son cul ou le mien ?), la crème Chantilly, ça me donne aussi des idées, mais pas super-précises
Finalement, tout cela me donne chaud, et je tranche :
- Bon, ben on commence plutôt par un Gin coca
jai soif !
Olivier prend les deux verres sur la table de la chambre et sert les Gin-Coca
- A la tienne ! Après, je te rase, tu veux bien ?
Devant mon air interloqué, il complète :
- Juste les couilles, tu vas voir, après cest génial
Et puis franchement, hier tu as eu lair daimer mes bourses rasées ! Je dégagerai un petit peu sur les côtés, mais je ne rase pas le cul, bon sauf si tas envie
Ça te va ?
Japproche mon verre du sien :
- Allez, ça marche !
Autour du verre, on tchatche et tout me parait simple, il raconte sa journée, ce quil a aimé.
A la fin du verre :
- Bon, tu te désapes ?
Il ouvre la poche de rasoirs et ouvre puis étale un exemplaire de la Repubblica sur le lit :
- Tiens tu te mettras là-dessus, sur le dos. Cest pas super confort, mais ça nous évitera de mettre des poils partout !
Je suis vite à poil, le sexe raide comme un piquet.
- Tu vois, le programme me fait de leffet !
Il tapote le lit :
- Allez, allonge-toi.
Il saisit ma queue, la branle un peu et ajoute :
- On soccupera delle après ! Ecarte un peu les jambes. Pour le moment, on soccupe de ça
Dit-il en me prenant les couilles en main.
Jécarte les jambes et il sapproche le rasoir. Je ne suis pas vraiment serein et ça me fait un peu débander. Il soulève les couilles et commence le rasage en dessous. Cest très doucement fait, et je ne sens rien. Jessaye dêtre attentif à ce quil se passe, je sens bien le circuit du rasoir, mais je ne vois rien
- Cest bien que taies la trouille et que tu débandes : cest plus facile à raser au repos !
- Tu fais attention !?
- Oui, tinquiète, pas de stress !
La caresse de ses mains sur mes boules est incroyable : ce nest pas vraiment un massage, juste une caresse. Il pousse le paquet un peu vers la gauche pour soccuper de lendroit où les couilles se rapprochent de la cuisse, puis même chose de lautre côté.
- Rabats tes genoux sur ton torse, tu veux bien ? Comme ça je finis bien le dessous.
Je mexécute, en me rendant compte que, ce faisant, je lui montre, (lui ouvre ?) mon trou du cul.
- Tu rases pas trop près du trou, tout de même
- Ten fais pas !
Ceci dit, quoique que sappliquant, il ne se gêne pas pour toucher les fesses, et même le trou !
Lanxiété a passé et je bande à nouveau dur, et bizarrement sans aucune gêne envers Olivier qui est tout habillé à côté de moi
Jai un léger tressaillement lorsque sa main ségare vers mon trou. Mes couilles qui étaient déjà assez sensibles poilues me font maintenant leffet dêtre des terminaisons nerveuses à vif !
Au bout dun moment :
- Voilà, cest fini ! Tu veux voir ?
Je me lève et me dirige vers le miroir positionné sur la porte du placard dans le couloir. Jentends que pendant ce temps, Olivier met en boule et à la poubelle le journal qui a servi de réceptacle à mes poils
Devant la glace, je trouve le résultat assez convaincant. Jai limpression que mes couilles ont grossi. Olivier, toujours habillé, vient se positionner derrière moi, saisit mes couilles neuves en même temps quil membrasse le cou :
- Alors ?
- Génial !
Je sens en même temps la pression quil met avec son sexe contre mes fesses. Le fait de me raser a dû lexciter aussi car son sexe semble bien dur. Je passe la main dans mon dos pour poser la main dessus. Jai soudain une envie folle de son sexe, de ses couilles. Je me retourne, me mets aussitôt à genoux devant lui et mattaque à sa ceinture. En moins de temps quil ne faut pour le dire, jouvre, je débraguète et tire lensemble jean boxer vers le bas pour laisser apparaitre sa queue qui est en effet tendue à bloc. Et, immédiatement, je la mets en bouche.
Il me semble que ça nous fait autant de bien à lun quà lautre : pour moi, cest comme si jassouvissais une envie terrible, jai le sentiment de prendre sa queue comme un mort de faim
De son côté, ses gémissements indiquent bien quil y trouve son compte. Jenfonce sa queue plus loin que jamais dans ma bouche, jai envie de la prendre entière, sans pour autant y arriver. Je veux que mon visage aille buter contre ses poils. Je menivre de son odeur. Je retire ma tête et gobe ses couilles, comme il mavait fait hier soir.
Olivier prend alors ma tête, me remonte et dis :
- Viens, on va sur le plumard. Il se dégage de ses tennis, enlève complètement son jean et son boxer et mamène vers le lit sur lequel quelques minutes plus tôt jai été rasé. Sur le lit, il finit de se déshabiller, enlevant le tee-shirt et les chaussettes. A nouveau, il est totalement nu devant moi. Je suis aux anges sans pour autant savoir quoi faire de sa nudité. Jai envie de tout à la fois, et je ne sais pas par quoi commencer.
Comme dhabitude, il me facilite le boulot en prenant linitiative :
- Tas pas faim ?
Il se retourne, passant à plat ventre sur le lit et me permettant au passage dadmirer son cul. il allonge la main vers la table de nuit où il avait posé la bombe de Chantilly. Sen saisissant, il se retourne et met une noix de Chantilly sur chacun de ses têtons, dessine un filet entre son nombril et la base de son sexe, senduit le sexe et les couilles, puis pose la bombe, passe ses bras sous la tête et déclare :
- Bon appétit !
Je nai évidemment pas besoin dexplications complémentaires
Et je passe à table ! A chaque endroit où il y a de la crème, la crème ce nest que le hors duvre, ce qui est vraiment bon, cest de continuer à lécher lendroit quand il ny a plus de crème. Je mapplique sur chaque centimètre carré indiqué par la crème. Les pointes de ses seins me passionnent. Je les lèche, les mordille, les pince, les embrasse, les caresse puis les lèche à nouveau. Olivier mencourage en sortant un bras de dessous sa tête et en posant la main sur ma bite.
Je suis le chemin indiqué par la crème et cest fantastique de progresser ainsi doucement du nombril vers le sexe, le nez et la langue sur les poils. Je suis obligé de soulever la queue qui, bien bandée, remonte vers le nombril et empêche au fond de nettoyer avec tout le soin que je voudrais la crème juste au-dessus du sexe
En soulevant son sexe, je le branle un peu, mais lentement
Et ça semble plaire ! Le seul hic, cest que je me mets de la crème sur les doigts. Il me prend la main et dis :
- Donne
Ce faisant il lèche les doigts et dit :
- Tu peux continuer !
Il faut sattaquer maintenant au sexe
à moins quil faille commencer par les couilles ? Je pose la question à Olivier :
- Les bourses ou la queue, maintenant ?
- Commence par les couilles, tu garderas la queue pour la fin. Mais, viens là : mets-toi au-dessus de moi !
Quelle bonne idée : je me mets à califourchon au-dessus de lui et offre ainsi à son regard ma queue, mes couilles, et sans doute aussi mon trou. Il appuie alors ses deux mains sur mes fesses et, sans lâcher mes fesses, il imprime un mouvement vers le bas à mon bassin pour approcher mes couilles de son visage. Je sens aussitôt sa langue dessus
Sa langue sur mes couilles fraichement rasées.
Je métire pour atteindre les siennes et enlever la crème, puis les gobes et les lèches avec le plus grand soin.
- Pas mal ta recette de boulettes à la crème !
Je dégage enfin le manche de sa crème, puis le met en bouche et commence une belle fellation pendant laquelle je sens que ma queue aussi entre dans sa bouche. Cest insupportable : jai envie de me concentrer sur tout à la fois sans y arriver, comme si le fait de me concentrer sur sa queue mempêchait dêtre attentif à ce quil fait de la mienne et réciproquement
Je décide de lâcher prise et de me laisser aller à livresse de linstant. Et livresse de linstant, cest sa queue que je regarde pour en mettre les moindres détails en mémoire : je la sors de ma bouche, scrute le gland, le frein. Puis remets en bouche
Cest à ce moment-là que je reçois une petite claque sur les fesses :
- Bon, allez, moi aussi, jai faim !
Olivier se dégage et je mallonge sur le lit croyant comprendre le plan à venir : crème sur mon torse, la queue etc
Mais pas du tout : Olivier dit :
- Tu ne veux pas te mettre plutôt à quatre pattes ?
Je pense aussitôt : « Bon, ben ça ne va pas être complètement comme jimaginais ». Mais, en même temps, il y a beaucoup de douceur dans sa voix. Et cela donne vraiment envie de suivre
Je me mets donc à quatre pattes sur le lit. Olivier écarte doucement mes jambes, caresse mes fesses, passe la main dans la raie
et saisit la bombe de Chantilly !
Je sens un filet de Chantilly du haut de la raie des fesses, davantage de crème sur le trou, puis il continue sur lintervalle entre le cul et les couilles quil enduit également de crème
Pour finir par une dose abondante sur les boules. Pour les couilles, je vois bien leffet que ça fait car, la tête sur le lit je peux voir mes bijoux de famille. Mes couilles qui sont déjà ce soir passées de poilues à lisses il y a une demi-heure sont maintenant « enneigées » !
Olivier repose la bombe sur la table de nuit
et ses mains sur mes fesses.
Son festin (et le mien) commence. Des baisers sur mes fesses, puis sa langue qui démarre, probablement à la limite entre les zones bronzées et pâles. Jai limpression que cela progresse si lentement que cest quasiment une . Tous mes sens sont maintenant dirigés vers mon trou. Je nai jamais ressenti cela avant. Le pire, cest que quand sa langue sapproche de mon trou et que je pense enfin avoir ma récompense, il saute létape et part vers les couilles pour finir le chemin en remontant !
Joublie assez vite mon trou tant sentir sa langue sur mes couilles rasées est agréable. Il les lèches, les gobe lune après lautre, puis les prend en main, les rassemble et les enfile toutes les deux dans sa bouche.
Quand il les sort, je sens bien sa langue remonter des couilles au trou
Dont elle se rapproche lentement mais sûrement
Ca y est : la langue fait maintenant clairement le tour de la rondelle. A mon avis, il ny a plus de Chantilly ! Sa langue fait le tour du trou, senfonce un petit peu, sous mes tremblements.
Olivier se relève, et me demande :
- Ça va ?
- Oui, continue !
Sa langue revient sur mon cul et sy attarde longuement. Je nai jamais ressenti mon cul de cette manière
Olivier enlève sa langue et je sens clairement un doigt sy enfoncer puis ressortir. Je trésaille. La langue et le doigt alternent, puis à un moment je sens que ça prend plus de place : je pense quil a dû mettre deux doigts
Cela reste vraiment bon. Je profite du moment avec des « Mmmh » sans doute significatifs
Si bien que je sens Olivier se rapprocher, ses cuisses contre mes cuisses, son sexe raide sur ma raie.
Il appuie son torse contre mon dos, étend le bras vers la table de nuit où attendent le reste des courses. Il prend le tube de gel et les préservatifs, me les montre et murmure à mon oreille :
- On y va ?
Je suis complètement dans un état second et deviens délicieusement accro à ce quil est en train de faire subir à mon derrière
Je ne dis pas oui, mais je prononce un :
- Doucement, quand même !
Qui, au fond, est un oui
Je réalise que dici quelques minutes, je vais être sodomisé pour la première fois. Je redoute autant que jespère cet instant où je vais sentir son sexe sintroduire en moi
Est-ce que ça va faire mal ? est-ce que je vais le sentir ?
- Jenfile le préservatif
Jentends la boite souvrir, puis lenveloppe du préservatif se déchirer
Plus de bruit : jimagine le préservatif se dérouler sur la longue queue dOlivier. Je regarde entre mes jambes pour voir où Olivier en est, mais je ne vois rien
Olivier ouvre alors le tube de gel et en met sur sa main droite avec laquelle il masse mon trou, enfonçant un doigt pour faire pénétrer le gel dans mon conduit.
Quand Olivier dit « je mets de gel sur ma queue », ça me donne limpression dêtre dans un acte commenté par quelquun dautre. Cest comme irréel, comme si ce nétait pas de sa queue à lui, ni de mon trou à moi quil sagissait
Puis je sens sa queue sapprocher et se positionner à lentrée de mon cul. Dans mes mains, jaccroche loreiller de toutes mes forces. Olivier dit :
- Tranquille, je vais y aller doucement. Si tu as mal, tu dis
Pas de souci.
Je murmure un :
- Oui, viens !
Ca y est, je sens son sexe entrer en moi
Jai limpression quil est énorme, sans rapport avec celui que je caressais et avait en bouche tout à lheure
Je bloque ma respiration sous la stupeur. Il arrête sa progression :
- Détends-toi, respire !
Puis il reprend son avancée dans mes entrailles, comme précautionneusement, tout doucement. Il recule ensuite de deux centimètres puis avance de trois
Si bien que petit à petit, il est de plus en plus profond en moi. Ça ne me fait pas mal. Au contraire, je sens une sorte de plaisir à ressentir ce sexe en moi. Pas au point de me faire jouir, de nature différente. Une forme de plénitude. Différent dune éjaculation, plus durable. Jai envie quil reste là. Puis, je sens clairement ses couilles venir buter sur mes fesses, et jen déduis quil est à fond dedans
Son torse se penche à nouveau sur mon dos.
De sa main droite, il saisit mon sexe quil commence à branler doucement en me murmurant à nouveau à loreille :
- Ca va ?
- Super, Olivier, vas-y
Commencent alors des va et vient à lintérieur de moi. Je ne sais plus combien de temps ça a duré. Je me souviens juste quà un moment Olivier a accéléré tous ses mouvements : autant celui de son sexe dans mon ventre que celui de sa main sur ma queue.
Je me suis alors senti au bord de léjaculation.
- Freine, Olivier, ça va venir !
Il a alors lâché ma queue et sest retiré de mes fesses. Il ma retourné, mis sur le dos, passé un coup de langue sur mes couilles puis sucé mon sexe pour deux ou trois aller-retour ? Il sest alors assis sur mes cuisses, face à moi, et ma regardé droit dans les yeux. Puis, me montrant le paquet de préservatifs il ma lancé :
- Tu veux essayer ?
Sans refus de ma part, il a ouvert un préservatif, la déroulé tout au long de mon sexe. Puis il la enduit de gel. Il sest mis un peu de gel dans lanus. Sest avancé vers moi, a avancé ses fesses, redressé mon sexe bien perpendiculaire par rapport à mon corps et se lest lentement introduit dans lanus jusquà être complètement assis sur mes couilles.
Je redressais la tête à men faire mal aux muscles du cou pour ne pas perdre une miette de ce spectacle
Son ventre musclé, ses petits têtons très bruns, les poils noirs au-dessus de son sexe
Je sentais mon sexe enserré dans son anus et voyais le sien libre, magnifiquement érigé, se balançant au rythme des montées et descentes. Jétendais la main pour le toucher, pour fouiller dans ses poils, pour le branler. Il se levait puis redescendait sur mon sexe. Cétait délicieusement bon. Je me sentais comme ivre. Pas pareil quavec le sexe dune fille parce que je sentais comme une rondelle monter et descendre le long de mon membre. Quand il était en bas, contre les couilles, je ne voyais que sa queue, et dès quil montait, je voyais aussi ses couilles qui pendaient et se balançaient elles aussi
Je le branlais au rythme de ses aller-venues sur mon sexe.
Il a accéléré ses va et vient.
- Attends, attends
ça monte !
Il a alors sorti mon sexe de son anus, ma enlevé le préservatif qui lentourait
Et fini le travail à la main.
Je nai jamais joui si fort. Sans doute plusieurs giclées de sperme, mais surtout le sentiment que le plaisir se propageait à des zones de mon corps auxquelles je navais jamais prêté attention : sous mes couilles, sur mes seins
Jétais encore dans les vaps quand jai senti de nouvelles giclées sur mon torse et entendu son râle
Je ne sais pas combien de giclées, mais jen ai partout
Cest bon, cest chaud. Je passe les mains dessus. Jai envie de la porter à la bouche, mais je nose pas vraiment
Il venait de maccompagner dans une jouissance quasi simultanée. Il sécarte de mes cuisses et prend mon sexe ramolli dans sa bouche comme pour le nettoyer
Lui, il ose ! Mais bon : moi, je débute !
Je suis ivre de plaisir et de fatigue.
Olivier me demande :
- Alors ?
- Génialissime, merci Olivier.
Je me redresse pour lembrasser.
- Tu veux aller à la douche ?
- Non, passe juste la serviette !
Jessuie sommairement mon torse, me retourne, murmure un petit « trop fort, bonne nuit Olivier »
Et mendors quasi instantanément !
La nuit fut bonne, mais je me réveille fourbu. Ce matin, cest moi qui ouvre les yeux en premier. Olivier est allongé sur le lit, à côté de moi, nu. Je le regarde longuement et ne peux mempêcher de me dire quil nest quand même pas mal
Et que je nai pas rêvé !
Il ouvre les yeux à son tour, me voit en train de le mater et affiche un large sourire, attire ma tête contre la sienne et me roule une bonne pelle. Jessaye de me souvenir de notre séjour depuis notre arrivée jeudi soir
et jai bien limpression que cest notre première pelle : on finit par le commencement
à moins que je nen aie oublié quelques-unes échangées dans le feu de laction
Il faut déjà préparer les valises. Jai envie de continuer à mater et ce na pas lair de lui être désagréable puisque, sorti de la douche il continue à circuler à poil dans la chambre pour préparer sa valise
Et moi, pareil.
Lheure vient pourtant : les valises sont prêtes. En dehors des valises, il ne reste plus que nos deux boxers, nos deux sweats, les jeans, chaussettes et chaussures. Il prend son boxer à la main, sapproche de moi, me met la main sur les fesses, embrasse ma queue et mes couilles en lâchant :
- Elles sont mieux comme ça !
Je rebande déjà
Je lui rend son baiser sur le sexe en ajoutant :
- Putain de week-end, tout de même ! Merci le CE !
Nous nous rhabillons
Valises dans la bagagerie, petit déjeuner
Ce dimanche matin, fin de ce week-end prolongé, nous avons quartier libre à Naples : shopping pour les uns, dernière balade dans les vieux quartiers pour les autres.
Personnellement, je choisis de traverser la Via Toledo pour une balade dans les quartiers espagnols avant une montée au Castelnuovo
Jy suis avec 4 ou 5 garçons et filles des RH. Olivier, lui fait shopping, Via Toledo et dans la galerie Victor-Emmanuel, avec quelques autres du service communication.
Le rendez-vous pour le départ est à 13 heures pour déjeuner puis monter dans le car, direction laéroport
décollage à 17h30 pour un retour à Paris.
Des images plein la tête, de Naples, mais pas seulement
Dans lavion, je me suis demandé comment tout cela allait continuer
Au bout du compte, au retour de Naples, nous ne nous sommes que peu croisés Olivier et moi. Deux ou trois cafés à la cafétéria, un verre partagé un soir en sortant, en belle complicité, sans peur du toucher, mais sans pouvoir aller plus loin. Puis sont venues les vacances, en juillet pour moi, en août pour Olivier
Puis la rentrée et ma mutation dans une filiale du groupe à Toulouse
15 ans après, cette expérience reste une expérience unique et sans lendemain, même sil marrive parfois de regarder différemment les garçons dans la rue.
Il reste les souvenirs
et les couilles toujours rasées depuis Naples.
Le premier moment de surprise passé, mon épouse a trouvé cela sympa, et je continue à entretenir avec soin !
Cette semaine, par un concours de circonstance trop long à expliquer, je suis tombé sur le site Histoires de sexe
Cest cela qui ma donné envie décrire mon histoire à moi
FIN
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