Arrestation
Gaëlle Robent se regardait dans le miroir. Sans complaisance, elle examinait son corps nu. Rien de tel que de vérifier par soi-même sa forme et ses formes. Dans l'ensemble, c'était pas trop mal. Ouais, ses seins commençaient à s'affaisser, mais rien de bien dramatique. Ses fesses avaient pris du volume, mais l'apparence restait ferme et lisse. Ses jambes étaient toujours aussi belles, enfin, autant que possible, soupira-t-elle.
Miroir, mon beau miroir, suis-je toujours la plus belle? Les yeux bleus, les cheveux bruns mi-long, ça va! Le visage est presque mieux. Elle soupira. Sauf le nez, un peu fort. Et ces maudites "lignes de caractères", qui lui ridaient le visage.
Aujourd'hui, c'était le grand jour. Elle avait mûrement envisagé sa décision. Aujourd'hui, elle ne serait plus la ménagère fidèle qui attendait sagement sa tribu au foyer. Elle allait s'encanailler, boire, danser, passer un bon moment et
Gaëlle hésitait à ajouter autre chose à cette suite de turpitudes. Il était temps de s'habiller.
Elle sortit au grand jour ses achats soigneusement dissimulés. Une paire de bas résille, le porte-jarretelles noir et rouge, le string et le soutien-gorge balconnet assortis. Quand elle avait acheté cette panoplie d'allumeuse, elle était rouge écrevisse en passant à la caisse. Elle s'équipa entièrement, chaussa ses talons et s'installa devant son miroir pour exécuter une danse lascive qui aurait fait honte à une effeuilleuse professionnelle. Ravie par son image, elle posa une main sur sa hanche, se dandinait, copiant le mouvement que font les prostituées pour appâter le client.
"J'ai l'air d'une pute!" elle rigolait d'elle-même. Elle défiait son image dans le miroir en enfilant la petite robe noire moulante qu'elle avait choisie. Décolleté profond devant et derrière, coupée à mi-cuisses, cette robe laissait peu de place à l'imagination en montrant plus qu'elle ne cachait. Pour Gaëlle, c'était un vrai défi de sortir dans cet accoutrement.
Gaëlle ramassa son sac et ses clés. Elle se demandait si elle devrait laisser un mot à son mari disant qu'elle était sortie. Non, pas besoin d'éveiller sa curiosité. Elle verrouilla soigneusement la porte derrière elle et monta dans sa voiture.
L'établissement dans lequel elle se rendait était situé de l'autre côté de la ville, loin de chez elle, en territoire inconnu. Aussi sûre qu'on peut l'être de ne rencontrer personne de sa connaissance. Cétait une sorte de "pince-fesses" un peu glauque, quune de ses collègues de travail lui avait autrefois recommandé: "De la musique latinos, de la bière fraîche et des mecs patibulaires."
Juste ce qu'il fallait pour se retrouver les pattes en l'air sur la banquette arrière de la voiture.
L'intérieur du bar était sombre et enfumé. Un juke-box fatigué hurlait une salsa connue. Des cris de "Ferme la porte" l'accueillirent.
Elle la claqua précipitamment pour couper le rayon de soleil. Elle se dirigea vers le bar. Espérant que sa voix ne trahisse pas sa nervosité, elle se percha sur un tabouret et commanda une bière. Elle aurait préféré un truc plus fort, un cocktail, mais c'était hors de propos ici.
"Voilà, poupée" dit le barman en posant la bière devant elle: "Vous avez les compliments de la table là-bas, à l'angle."
Gaëlle jeta un coup d'il dans la direction pour voir quatre jeunes hommes attablés avec trois femmes. Ils lui faisaient signe. Rassemblant son courage, elle se dirigea vers eux et, quand on lui approcha une chaise, elle s'assit.
Les présentations ont été rapides et couvertes par le brouhaha. Un type s'est levé pour l'inviter à danser. Il était grand et bien bâti, il y avait de la bonne musique, alors elle a accepté. Elle l'a suivi sur la piste, il s'est collé contre elle en ondulant des hanches pour mieux lui faire sentir la taille de son désir. Elle s'est dit: "ça commence bien!"
Gaëlle dansait collé-serré, ondulant du bassin, éprouvant l'importance de l'érection grandissante de son cavalier.
Mais il se tint coi, baissa la tête et entraîna Gaëlle vers leur table. Elle était vraiment déçue car elle appréciait le contact de son membre contre son ventre et celui de ses mains sur ses fesses. Sans parler de l'agilité de sa langue dans sa bouche. Elle se demandait ce qui se passait et tourna la tête pour dévisager l'importun. Un flic debout dans lentrebâillement de la porte. À contre-jour, il paraissait immense.
Il pénétra dans le bar et elle réalisa qu'il s'agissait d'un officier de la Gendarmerie.
"Je me demande ce qu'il fout ici tout seul!" commenta son cavalier à voix basse.
"Généralement, ils n'entrent pas ici, à moins de chercher quelqu'un ou s'il y a une plainte." Tout le monde quittait la piste de danse, essayant de se tenir à l'écart du flic solitaire. Ni la gêne occasionnée par son intrusion, ni les regards hostiles ne semblaient l'émouvoir. Le flic s'est dirigé vers le bar et a hélé le barman, qui semblait l'ignorer. Agacé, le flic dû changer de ton et instantanément le barman devint servile. Le barman cherchait quelque chose du regard et vit Gaëlle, recroquevillée sur son siège. Gaëlle se raidit quand il pointa son doigt directement sur elle. Le flic hocha la tête et se dirigea vers Gaëlle.
"Puis-je voir vos papiers d'identité, s'il vous plaît, Mademoiselle?" Formulée comme une question, mais c'était une exigence, et Gaëlle se dépêcha de récupérer son portefeuille. Ses mains tremblaient un peu lorsqu'elle a retrouvé son permis de conduire.
Qu'est-ce qui se passait? C'était supposé être un après-midi à s'amuser et vivre une aventure exceptionnelle.
Maintenant, elle craignait d'avoir des problèmes.
"C'est bien votre nom, mademoiselle?" lui demanda-t-il, en comparant la photo et son visage. "Est-ce votre adresse actuelle?"
La bière qu'elle avait bu lui donna l'idée d'une réponse humoristique, mais elle se reprit et hocha simplement la tête.
"Veuillez me suivre, s'il vous plaît, mademoiselle." Il lui prit fermement le bras et l'entraîna vers la porte.
"Hé, qu'est-ce qui se passe?" Son cavalier, que la bière rendait courageux, se dressait au milieu du chemin, furieux de voir sa proie lui échapper.
"Cela ne vous regarde pas, monsieur" le flic lui jeta un regard inamical et dédaigneux: "A moins que vous vouliez nous accompagner au poste?" La voix et le regard du flic étaient teintés de menace. Prudemment, il s'est écarté.
Une fois dehors au soleil, Gaëlle s'adressa au gendarme: "S'il vous plaît, Monsieur, s'il vous plaît, qu'est-ce qui se passe?"
"Mademoiselle, je n'ai pas voulu prononcer ce mot à haute voix pour ne pas vous porter tort, mais vous êtes en état d'arrestation pour racolage." Elle le regarda sans comprendre. "Prostitution" a-t-il précisé.
La bouche de Gaëlle s'affaissa. Elle ne trouvait pas ses mots: "C'est absurde!" Elle a protesté: "Je ne suis pas une prostituée. Vous pouvez appeler mon mari et il va ... il va ..." Sa voix s'étrangla tandis qu'elle pensait: "Il va devenir fou, c'est ça qu'il va faire!"
"Mademoiselle" dit l'officier. "Ce n'est pas à moi de prendre cette décision. Posez vos mains à plat sur le capot de la voiture et écartez vos jambes."
Gaëlle obéit, tremblante. Le flic l'a soigneusement fouillée en utilisant le dos de ses mains plutôt que ses paumes. Puis il ramena fermement une de ses mains derrière son dos. Gaëlle sentit l'anneau de métal froid serrer son poignet. Elle essaya de protester mais il ne lui prêta aucune attention. Il saisit son autre main et l'attacha aussi. Elle était allongée sur le capot de la voiture, les fesses pointées vers le flic. Jamais elle n'avait subie pareille humiliation.
Après avoir vérifié que ses deux mains étaient bien attachées par les menottes dans son dos, il l'aida à se redresser, ouvrit la portière arrière de sa voiture et la fit entrer avec précaution, appuyant sur sa tête afin qu'elle ne heurta point le cadre de la porte.
Gaëlle fouillait frénétiquement son esprit tandis qu'il accélérait. Elle devait trouver un truc, n'importe quoi pour se sortir de cette périlleuse situation.
"Gendarme, s'il vous plaît, ne faites pas cela. Je ne suis pas une pute, je suis une femme honnête qui cherchait un peu d'amusement cet après-midi loin de chez elle pour pimenter un peu sa vie. Je sais que ce n'est pas bien, mais pour l'amour de dieu, j'ai un mari et des s. Cette arrestation pourrait détruire mon ménage. Ils sont tout pour moi. Je ferai tout ce que vous voudrez, TOUT. S'il vous plaît, ne m'arrêtez pas." Gaëlle pleurait à chaudes larmes.
"Mademoiselle, j'entends votre demande, mais je ne peux y répondre favorablement. Je ne détermine ni la culpabilité, ni l'innocence. C'est de la responsabilité du juge. C'est trop tard pour aujourd'hui, peut-être que vous pourrez lui parler demain."
"Demain? Qu'est-ce que ça veut dire?" Demanda Gaëlle, le cur noyé de chagrin.
"Hé bien, le palais de justice ferme tôt, le mercredi après-midi. Une fois votre inculpation clairement notifiée, vous pourrez passer un coup de téléphone mais clairement, vous allez passer la nuit en prison!" lui répondit le policier.
"Oh mon Dieu, vous ne comprenez pas. La seule personne que je pourrais appeler serait mon mari et il me ait sur place. S'il vous plaît" Gaëlle sentait ses forces l'abandonner. "Je ferais n'importe quoi pour me sortir de ça. N'importe quoi. Vous pouvez faire de moi ce qu'il vous plaira. Vous voulez me baiser? Je pourrais vous sucer la bite, je ferais tout ce que vous voulez. " Gaëlle ne pouvait pas croire qu'elle était capable de prononcer de telles horreurs. Elle n'avait jamais utilisé un tel langage.
Un léger sifflement d'incrédulité lui parvint du siège avant. "J'apprécie votre offre." Il regarda Gaëlle dans le rétroviseur. "Vous êtes une femme très sexy. Mais regardons les choses en face. Vous me mettriez dans une situation où je pourrais être jeté en prison. Et si vous craignez la réaction de votre mari, laissez-moi vous assurer que ma femme n'a rien à lui envier!"
"Non, je le désire vraiment" insista Gaëlle. Étonnamment rougissante, considérant la situation dans laquelle elle se trouvait. Par l'intermédiaire du rétroviseur, elle le défiait, les yeux dans les yeux. "Je me suis vêtue cet après-midi comme ça pour passer un moment grisant. Je ne m'attendais pas à ce qui m'arrive, mais je me rends compte..." hésita-t-elle avant de continuer"... je réalise que cette situation me rend incroyablement romanesque. Je voulais du sexe féroce. Et pour le moment, je ne peux penser à rien de plus sauvage que de baiser un flic. Comme ça. MAINTENANT. Je me suis mise dans une position où non seulement je veux le faire, mais je ne pourrais pas me plaindre sur ce sujet après!"
Pendant un long moment, l'officier conduisit en silence, pensif. Puis il ralentit l'allure et bifurqua sur un chemin de terre. Toujours silencieux, il les conduisit vers une grange abandonnée et se gara derrière. Il est descendu, puis il a ouvert la porte arrière et l'a aidée à sortir. Il a ôté sa ceinture avec son arme de service et l'a prudemment rangé dans le véhicule, à l'avant. Puis il s'est tourné vers elle pour lui parler.
"Je vous explique comment ça va se passer. Je ne vous ôte pas les menottes car je n'ai pas envie de vous courir après. Quand nous aurons fini notre affaire, je vous ramènerai à votre voiture et vous retournerez directement chez vous. Comprenez-vous?"
Gaëlle hocha la tête, anxieuse et en même temps si excitée qu'elle sentait sa culotte déjà mouillée. "OK" continua-t-il. "À genoux!"
Gaëlle s'agenouilla maladroitement près de la voiture de patrouille, tremblante pendant que le soldat ouvrait sa braguette. Il a sorti un sexe déjà durcissant. En le tenant d'une main, il gifla chacune de ses joues. Elle l'observait pendant qu'il le frottait sur ses lèvres. C'était un sexe d'une taille respectable, mais sûrement pas le chibre de mammouth dont elle rêvait parfois. De toute façon, elle en avait envie cet après-midi et elle devait s'en contenter.
Elle se pencha légèrement en avant, les mains toujours menottées dans le dos, et entrouvrit sa bouche un petit peu. Lentement, elle glissait ses lèvres sur le gland. Elle s'arrêta un instant pour jouer avec sa langue, englobant la tête, récupérant un peu de liquide qui suintait du méat. Elle commençait à gober son manche rigide, s'enfonçant peu à peu. Ce n'était pas facile, Gaëlle n'était pas une avaleuse de sabre. Quand la queue a touché son larynx, elle a eu un réflexe nauséeux.
"Ah non, ne t'amuses pas à ça" le flic avait prit sa voix cassante: "C'est un uniforme propre et je ne vais pas aller expliquer à ma femme comment une salope a vomi dessus. Détends-toi et prend tout. Sa main s'appuya sur la nuque de la femme, la poussant dessus:" Tu veux arrêter ça? Je peux encore t'emmener en prison! "
Gaëlle respirait difficilement avec la bouche remplie d'une bite raide. Pourtant, elle voulait lui faire plaisir. Elle se souvint d'avoir lu un article, "la fellation pour les nuls". Elle décida d'essayer d'appliquer ce qu'il disait. Concentrant son attention en essayant de détendre sa gorge, mêlée à la pression de la main sur sa tête, le réflexe nauséeux cessa et quelque chose céda. Son nez buta contre son aine et elle réalisa qu'elle avait avalé toute sa queue.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, Gaëlle ressentit un sentiment pervers d'accomplissement et de fierté. Elle l'avait fait. Elle fit glisser lentement ses lèvres tout le long du poteau de chair jusqu'à ce qu'elle ne tienne plus le gland qu'entre ses lèvres. Elle le suça puis s'enfonça de nouveau. Cette fois, il n'y avait plus aucune hésitation ou tâtonnement. Ses lèvres caressèrent la bite raide sur toute sa longueur jusqu'à ce qu'elle atteigne la base. Ensuite, elle a accéléré progressivement son rythme, balançant sa tête de haut en bas. Elle gardait ses lèvres bien serrées sur lui, bavant sans relâche, incapable d'aspirer.
Le flic a gémi. Puis il lui attrapa la tignasse pour la repousser. Un long fil de bave reliait la bouche de Gaëlle à la bite du flic:
"Ça ira comme ça; pour le moment en tout cas."
Sans lâcher sa tignasse, il l'aida à se relever. Un instant, Gaëlle ne put retenir une grimace de douleur. Il la retourna pour la coucher à plat ventre sur capot de sa voiture. Il pesa d'une main sur ses reins et donna des petits coups de pieds contre ses talons. "Écarte!"
Gaëlle s'est soumise, dominée par le machisme du flic. Le buste appuyé sur le capot, les jambes écartées, les mains menottées dans son dos. Le flic releva sa robe et écarta sa culotte d'un doigt: "Tu es trempée! T'aimes ça, salope!" gloussa-t-il.
Gaëlle le sentit coulisser son membre dans sa fente mouillée. Elle sentait qu'elle était prête à l'accueillir. Ce mec l'avait excitée et maintenant elle avait hâte d'être prise: "Oui, viens, baise-moi, je suis prête! Prends-moi!"
D'un mouvement rapide, son tourmenteur s'enfonça brusquement dans sa chatte. D'une seule poussée, sans hésitation, il plongea son membre jusqu'au fond de l'accueillante vulve. Son pubis a claqué contre les fesses joufflues de la femme. Il resta un moment immobile, savourant la chaleur humide du vagin qui l'enserrait.
"AÏE!" cria Gaëlle: "Tu n'es pas doux, brute!"
Mais il se moquait bien de son appréciation. En pesant sur ses reins d'une main, de l'autre il saisit de nouveau sa tignasse pour tirer sa tête en arrière, l'obligeant ainsi à se cambrer pour l'accueillir tout au fond de sa vulve. Elle se tenait sur la pointe des pieds pour essayer de faciliter la pénétration totale de sa chatte. Lorsqu'il se retira presque totalement d'elle, une affreuse sensation de vide l'angoissa et la fit supplier: "Viens, prends-moi toute! Allez, baise-moi!"
Puis il revint avec force s'enfoncer en elle et la plaquer sur le capot. Gaëlle n'en revenait pas. La bite du flic la remplissait comme jamais un sexe ne l'avait fait auparavant. En plus de cela, elle réalisa qu'être prise de cette façon lui plaisait. Ce n'était pas comme quelque chose qu'elle devait subir. C'était devenu un besoin, une envie, une faim. Dans toute la soumission et l'impuissance de sa position, elle était excitée comme jamais. Ses gémissements et ses râles passionnels l'encourageaient tandis qu'elle le suppliait de la baiser plus fort: "Allez, vas-y, baise-moi plus fort. Comme la salope que je suis. Allez, encore plus fort" criait-elle. Le flic accélérait la cadence. Sans ménagement, sans aucune préoccupation pour le bien-être de sa partenaire, il frappait au fond de sa vulve sans retenue. Soudain, pris d'une envie subite, il leva sa main plaquée sur ses reins pour lui gifler le cul à plusieurs reprises.
Gaëlle devint folle: "Ouais, putain, baise-moi, frappe-moi, défonce-moi! Je suis ta pute!"
Le flic serrait les dents, essayant de retenir encore un peu la montée du plaisir, mais à ce moment-là Gaëlle se tordit sous lui, terrassée par la montée de l'orgasme qui lui traversait le ventre. Cette chatte qui enserrait sa bite, les cris de la femme ont vaincus sa résistance et il cracha son venin dans l'utérus fécond et non-protégé de la femelle en transe. Il aurait aimé que ce moment divin dure plus longtemps, mais il s'abattit sur le dos de sa conquête, épuisé et repu. Gaëlle, écrasée par le poids du mâle sur le capot, essayait de reprendre son souffle, ses hanches s'agitant spasmodiquement sous la rémanence du plaisir. Elle sentait des jus mélangés couler à l'intérieur de ses cuisses, et réclama à son despote la possibilité de se vidanger.
Finalement, il se retira d'elle. Il l'aida à se redresser. Elle s'accroupit devant lui pour un besoin naturel. Alors, il approcha sa bite en détumescence du visage de Gaëlle et lui ordonna: "Nettoie-moi ça!" C'est tout ce qu'elle avait besoin d'entendre. Elle a utilisé sa bouche et sa langue pour nettoyer son outil. Il s'est retiré, a zippé sa braguette et lui a grogné:
"J'ai pas tout l'après-midi, grouille-toi!"
Il équipa le siège arrière d'un chiffon pas très propre pour installer Gaëlle, jupe troussée à la taille: "Pas de fuite sur mes coussins!"
Il l'a ramenée à sa voiture, sur le parking à côté du bar. Il l'a aidée à sortir, l'a libérée de ses menottes et elle a pu réajuster sa tenue. Elle s'est assise au volant. Une dernière recommandation: "Je ne veux plus jamais te voir traîner ici!" la prévint-il. Il a ensuite claqué sa portière, est retourné à sa voiture et a attendu qu'elle quitte le parking.
Gaëlle entra dans sa maison, titubante et les fesses en feu. Elle claqua la porte derrière elle. Elle jeta les talons qu'elle portait dans un coin et se dirigea vers la salle de bain parentale. Elle vérifia l'heure et réalisa qu'elle avait encore du temps avant que les s ne rentrent de l'école. En regardant sa tenue chiffonnée, elle était heureuse d'avoir du temps pour elle.
Dans la salle de bain, elle se déshabilla entièrement et jeta ses vêtements en vrac dans la panière à linge. Elle se penchait sur la baignoire pour ouvrir l'eau, lorsqu'elle sentit un courant d'air frais sur ses fesses. Immédiatement, une paire de bras l'enveloppa et une bouche l'embrassa voluptueusement dans le cou:
"Salut!" dit son mari. "As-tu passé un bon après-midi?"
Gaëlle se tourna pour lui faire face. Elle l'examina d'un il sévère de la tête aux pieds:
"Daniel! Tu as tout taché ton uniforme!" Elle désignait de son doigt tendu l'entrejambe de son mari. "Vas te changer et mets-moi ce pantalon sale dans la corbeille avec mes affaires. Je dois faire une lessive."
L'officier de Gendarmerie Daniel Robent a ri en embrassant sa femme: "À tes ordres, chérie, mais j'ai eu une après-midi difficile!"
Ses yeux pétillaient: "Une arrestation qui m'a coûté tout mon après-midi! Je suis crevé!"
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