Les Vacances 13: Après Une Longue Discussion Avec Mon Cousin, On Passe Enfin De 3 À 2
Je viens encore une fois de partager mon infirmière avec mon cousin Stéphane, avec quelques petits moment uniquement entre hommes. Bien que nous venions tout deux de jouir jarrive enfin à le faire réagir quà deux pendant que Marie Anne se rince avant de partir rejoindre son compagnon. Nous sommes toujours complètement nus et en sueur de ce moment intense.
Je massieds sur les cuisses de mon cousin de telle façon que mon gland se pose contre son corps. Je prends son visage entre mes mains et je lembrasse langoureusement, Stéphane est loin dêtre inactif dans cet échange salivaire. Nous sommes brièvement interrompus par mon infirmière qui nous salue avant de partir, nous descellons à peine nos lèvres pour lui dire « au revoir ».
Je glisse une main entre nos deux corps pour attr sa queue, alors que jai commencé à regonfler, lui est toujours flasque. Jai beau le titiller avec mes doigts et la paume de main, je narrive pas à provoquer dautre réaction. Pourtant ses mains continuent de parcourir mon corps mais en y réfléchissant à posteriori cest vrai quil ne caressait que mon dos et ma tête.
Je lui laisse le bénéfice du tout et surtout jespère que son manque dénergie est seulement dû au fait quil ne « recharge » pas aussi vite que moi. Nos lèvres se décollent lentement, je reste encore un peu assis sur lui en faisant du peau à peau. Puis je me lève me décale sur le canapé mais ne le quitte pas du regard alors que le sien est fixé sur lécran noir de la télé.
Sa gêne est palpable et jespère que ça ne va pas encore une fois mettre un blocage entre nous. Je ne sais pas trop comment redétendre latmosphère, en sentant lodeur de transpiration jai lidée dune douche. Je lui propose de la partager mais il préfère se détendre encore un peu avant de préparer à manger. Je reste à côté de lui mais au bout de quelques minutes il me dit:
« Mais vas y toi! »
Jarrive à marcher de mieux en mieux avec mes béquilles mais jaurai bien aimé un coup de main ou même un coup de bite sous la douche.
Me retrouvant seul dans le salon, je vais prendre ma douche en solo. Pendant que je suis sous leau je repense à ma discussion avec mon infirmière concernant mon cousin et ses parents. Il faut quand même que je laide à passer ce blocage mais comment??? Bien que je reste un long moment sous la douche je ne vois pas dautres moyens que la discussion.
Quand je retourne dans le salon, je reste nu sur mon fauteuil par contre Stéphane porte un jogging mais en short et un t-shirt manches courtes. Quand il me voit à poil il me demande si jai besoin daide pour mhabiller, je lui réponds:
« Non je suis plus à laise comme ça, en plus le spectacle est plutôt agréable, non? »
Jespère une réponse mais jai limpression quil fait tout pour mignorer et saffaire en cuisine. Après un long silence pesant, je lui demande:
« On prend pas dapéritif aujourdhui? »
Il me dit quil na pas soif mais que je peux me servir. Jespérais que lalcool allé un peu le détendre mais il ne cede pas.
Au moment de passer à table il sort quand même une bouteille de rouge avec deux verres. Nous néchangeons pas beaucoup pendant le repas, dailleurs Stéphane passe plus de temps à boire quà manger. Je me réjouis en espérant quil se désinhibe rapidement mais ses lèvres souvrent pour surtout avaler des gorgées de vin ou et quelques unes de viande. Par contre je mange très lentement pour lobliger à rester à table avec moi et boire.
Une fois que la première bouteille est finie, il va en chercher une autre, quand il revient sasseoir je le branche sur ses parents. Dabord juste pour demander des nouvelles de mon oncle et ma tante. Jenchaîne sur ses relations de travail avec son père puis ses relations avec lui tout court.
Il faut que je recentre le sujet, mais comment? A lui tout seul il a au moins bu une bonne bouteille de vin alors je met les pieds dans le plat:
« Je payerai pour voir sa tête le jour ou il apprendra que tu aimes de faire enculer! »
Stéphane se fige et devient blanc comme un mort, je suis peut être allé un peu trop loin. Je prends la bouteille pour le resservir et jessaye de la rassurer en lui disant:
« En tout cas ça ne viendra de moi! »
Apparement ce nest pas ça qui le stress, alors je commence un long monologue même si je ne suis pas sur quil mécoute. En gros je lui dit, comme on me la dit dans le passé, quil doit vivre sa vie pour lui. Quil faut quil arrête de se bloquer à cause de ce que les autres pourraient penser, la vie est courte et il faut en profiter. Ensuite je lui parle de mes peurs et mes craintes que jai réussi à surmonter.
La partie « donneur de leçons » ne lui a pas plus mais maintenant que je lui parle de mes ressentis, mon cousin semble être plus attentif. Du coup je continue sur le sujet et il me pose même des questions, elles sont un peu trop personnel pour que je lai développé ici. En tout cas ça a fait avancer le shmilblik, il se remet à parler de lui. Effectivement son blocage se trouve au niveau de ses parents alors je linterrompt.
« Personne ne sait ce quil se passe derrière une porte fermée après cest à toi de décider pour qui tu louvres et pour qui tu la laisses fermée. »
Vu son débit de parole sur ce sujet je lui demande sil en déjà parlé avec quelquun de professionnel ou non. Il me répond un franc:
« Ca va pas la tête! »
Du coup je lui parle dassociations où il pourrait aller au moins écouter les expériences dautres mecs qui sont passés par le même chemin que lui.
Il me demande si jai fait ses démarches alors je lui explique quà lépoque où je voyais une psy, je lui avait parlé de ma bisexualité.
En fait il mexplique que ça fait longtemps quil envisage les hommes mais que les premiers contacts on était lors dun plan à trois. Comme il ne rentre pas plus dans les détails je précise ma question:
« Mais ta première fois 100% entre hommes? »
Je le sens très mal à laise mais il lâche enfin quelque chose:
« Je mautorise à ça, que lorsque je suis en voyage loin de tout ceux que je connais. »
Je lui explique que den parler peut faire du bien, en plus échanger permet de mieux comprendre ce que lon vit. Je me mets à lui parler de HDS et du bien que ça me fait décrire, sans compter les relations que ça permet de créer et jajoute même:
« Cerise sur la gâteau, ça ma aussi permis de faire quelques rencontres! »
Il croit que je me fous de sa gueule alors je pars chercher mon ordinateur. Quand je rentre mes identifiant sur le site, il me demande darrêter en mexpliquant quil ne veut pas tout savoir sur moi.
« Ne tinquiète pas je suis et resterai le seul à tout savoir sur moi. »
Mais je referme quand même mon écran.
Assez de bavardage, il commence à se faire tard et je dois trouver une idée parce que jai envie daction uniquement entre hommes. Il faut que je lattire près de moi, en plus avec les émotions dû à notre discussion, sans même parler de lalcool, à sa place je me laisserai aller pour me défouler.
Jouvre de nouveau lécran de mon ordi et immédiatement il sexclame:
« Je te dis que je ne voulais pas lire. »
Je lui explique que ce nest pas ça mais que je veux profiter de son savoir en informatique parce que je trouve mon ordi très lent ces derniers temps. Il me demande si je vide régulièrement la poubelle? Si la mémoire de mon ordinateur nest pas saturée?
Je lui que non, du coup il vient sinstaller à ma place alors que je me tiens presque debout derrière lui et toujours à poil.
Je retourne derrière lui, je pose ma main sur la sienne pour manipuler la souris et lui montrer que:
« Pourtant jai encore plein de giga de libre
à utiliser
»
Au lieu dans profiter il reprend le contrôle de la souris va dans des dossiers de mon ordinateur totalement inconnu pour moi et se met à taper à toute vitesse sur le clavier.
Jen profite pour continuer à le caresser avec mes mains, ma bite et mes fesses. Plus jinsiste plus ses yeux sattardent sur mon corps et je sens quil nest plus très loin de vouloir activement participer. Alors que je suis pencher sur lui, lécran séteint dun coup puis mon ordi se rallume. Quand il se rallume enfin le dossier avec des photos très privées souvrent, cest assez petit mais je les reconnais. Il y a en de moi en érection mais aussi en action avec un autre mec.
La main de mon cousin dirige la flèche de la souris vers la photo où je suis en plein 69 endiablé avec un ex. Je vois que son doigt hésite à appuyer par contre les miens nhésitent pas à passer devant, sous son t-shirt. Jatt ses tétons qui pointent déjà et je les pince tendrement. Je me penche un peu et je vois quil bande sérieusement dans son jogging, jadore les tissus souples.
Après un bref gémissement, il fait mine de se dégager mais sans grande conviction. Du coup je démarre un diaporama de mes photos, je recule sa chaise et me mets entres ses jambes, en faisant bien attention de ne pas me faire mal. Je commence par caresser sa queue tendue à travers son short molletonné, je sens son prépuce commençait à se replier sur lui même.
Je descends mes mains sur ses couilles et les remonte sur toute la longueur de sa bite de plus en plus longue, grosse et dure. Je lève la tête et vois que ses yeux sont rivées sur mon écran, Je tourne la tête pour les regarder avec lui tout en le branlant à travers son pantalon. Quand on voit mon sexe perforer un cul poilu jai limpression de le sentir encore plus grossir entre mes doigts.
Je nen peux plus, jespère que Stéphane aussi, je baisse son short et sa bite sort comme un ressort. Je me penche et finit de le décalotter avec mes lèvres avant de lenfoncer totalement dans ma bouche. Je remonte lentement, en passant ma langue partout jusquà garder uniquement son gland. Je laspire pendant que je fais tournoyer ma langue.
Mon cousin réagit tout de suite en gémissement plus régulièrement mais aussi en attrapant ma tête pour me motiver encore plus. Je relâche mon étreinte et fais coulisser mes lèvres le long de sa tige. Je fais exprès dy aller tout doucement même si je sens quil en veut plus. Je lève les yeux et je vois quil continue de mater mes photos.
Je masse ses couilles à deux mains alors que lui remue les siennes pour que jaille plus vite sur sa tige. Il prend enfin des initiatives alors je lui fais plaisir. Avec gourmandise, à chaque fois que je lenfonce en moi je le fais aller plus loin jusquà le faire rentrer dans ma gorge. Je reste un moment ainsi à remuer ma langue et r ses couilles.
Je continue de le sucer pour essayer de lui faire la meilleure pipe de sa vie mais je marrête avant quil vienne dans ma bouche. Quand je le recrache, je minstalle dans mon fauteuil et je le tire par les couilles jusquà lamener dans ma chambre. Je massoie sur mon lit et finit de le déshabiller complètement avant de lui dire de sallonger à côté de moi mais à lenvers.
Je reprends sa bite en bouche alors que lui ne bouge pas, jaurai peut être du prendre mon ordi avec moi pour quil continue de regarder mes photos. Je me tords pour attr sa main et la pose sur ma tige bien raide elle aussi. Il se met à me branler plus au moins au même rythme que je le suce. Bientôt ses lèvres viennent rejoindre sa main mais il est encore timide. Je me déplace pour menfoncer entre ses lèvres.
Ca y est il se déchaîne enfin sur mon sexe, je le sens saliver sur moi. Toute sa cavité y participe: sa langue, ses lèvres, ses dents
et même sa glotte. Je me penche un peu plus sur son entrejambe et jattaque son petit trou. Il est déjà bien ouvert, cest pas possible, il passe ces journées avec un plug dans le cul ou quoi???
Je me décale un peu plus pour que ma bouche et mes doigts soccupent de sa rondelle. Du coup il na plus beaucoup plus que mon gland entre ses lèvres, sa langue soccupe de mon frein. Je ne sais pas sil trouve la position désagréable mais il se dégage et se met sur le ventre. Il att un coussin quil glisse sous son ventre pour être bien cambré.
Il ne men faut pas plus pour venir minstaller entre ses cuisses et bien écarter ses fesses à deux mains. Il est tellement ouvert que je darde directement ma langue dans ses entrailles mais je le sens se contracter. Je retire doucement ma langue et recommence de le laper pour quil se détende. Mon index vient aussi le titiller et rentre en lui sans crier garde.
Je le lime lentement alors que ma langue continue de lécher le tour de sa rondelle ou descend sur ses couilles. Jintroduis facilement mon majeur pour ne pas que le premier doigt se sente seul. Ils glissent facilement en lui, jai limpression quil mouille bien du cul, ça doit être de famille! Il mexcite tellement que je résiste pas à lui donner une petite fessées.
Il gémit et se met même à faire onduler son bassin pour accompagner mes mouvements. Je me lâche jusquà lui dire:
« Cest bon de te voir faire la salope. »
Il retourne son visage me sourit et me répond:
« Alors bouges toi, jai trop envie de sentir ta queue en moi. »
Je me soulève et place mes jambes au milieu des siennes. Avec une main jécarte ses fesses et de lautre je pose mon gland sur sa rondelle que je masse un peu. Entre son ouverture naturelle et mes doigts je nai aucun problème à menfoncer doucement en lui. Je ne marrête quune fois mon pubis contre ses fesses. Je reste un moment immobile en lui et je prends appuie sur le matelas pour commencer à le ramoner doucement.
Jaccélère progressivement le rythme et lui me suis dans ses cris de plaisir. Il se cambre même encore plus pour que je puisse encore mieux rentrer en lui. Evidement régulièrement je fais claquer ses fesses qui se mettent à rougir. Au bout dun moment je décule complètement et je prends mon temps pour le posséder à nouveau.
Quand mon gland passe il gémit tellement que je ne menfonce pas complètement et ressort. Je lui titille la rondelle et fait passer mon champignon un peu plus ardemment. Malgré une petite douleur il adore ça alors je recommence avec encore plus de vigueur. Je joue ainsi pendant un moment mais la position acrobatique, à cause de ma jambe blessée, est de plus en plus inconfortable.
Je roule sur le côté pour mallonger sur le dos avec ma bite dressée qui sert de mat et lui dit avec une voix essoufflée:
« Je nen peux plus, à toi de travailler un peu. »
Il se soulève et menjambe, sans dire un mot, il empoigne ma queue et se sodomise tout seul. Une fois quil est bien assis sur moi, Stéphane fait passer ses jambes devant pour prendre une vraie position assis.
Il lance ses jambes derrière et commence à monter avant de se laisser redescendre. Mes yeux passent de cette jolie pénétration à son visage détendu et radieux. Ses vas et viens sont de plus en plus rapide en plus le coquin se met à contracter ses sphincters autour de ma tige. Quand il sassoit sur moi, par moment, il remue du bassin, il est tellement penché vers larrière quil me masse les couilles.
Au bout de dix bonnes minutes, il change de positions. Ses jambes repartent derrière alors quil pose ses mains sur mon torse et satt à mes poils (jaurai préfère mes tétons). Il reprend ses mouvements de vas et viens mais directement à un rythme bien soutenu. Comme je nai plus une vue plongeante sur ses entrailles et mon sexe, jempoigne le sien pour le branler vigoureusement.
Très rapidement je sens ses veines gonfler dans ma main alors je le serre fermement entre mes doigts et je concentre mon pouce sur son frein. Bien quil se morde la lèvre supérieure, je lentends nettement gémir. Jaccentue la pression quand je sens encore plus ses entrailles brouillait ma tige. Mes couilles se crispent, je vais moi aussi jouir.
Mon cousin lâche une première giclée qui sécrase sur son torse tout comme la suite. Quand je sens la troisième contraction de ses entrailles, je ne me retiens plus et commence à me vider en lui. Pendant ce temps, Stéphane finit de se rependre sur moi tout en continuant à monter et descendre mais de plus en plus lentement. Pendant que jenvoie mon dernier jet, je vois son sperme couler de son torse au mien ce qui me donne un dernier frisson.
Je prends appuie sur le matelas pour me soulever et lembrasser langoureusement alors que ma bite, qui ramollie, est toujours en lui. Quand nos bouches se dessoudent, je regarde la marre sur mon ventre et lui dit en rigolant:
« Il va falloir prendre une nouvelle douche! »
Il me fait lentement déculer dans un gros bruit et se met à me lécher pour récupère ton son jus.
Je lui dit de ne pas avaler et une fois que je suis propre, je passe mes mains sous ses cuisses et agrippe ses fesses. Je le fais remonter sur moi jusquà ce que ses fesses soient au dessus de mon visage. Je nai pas besoin de le lécher pour déjà sentir mon jus couler dans ma bouche. La petit salope, tout à lheure il faisait sa vierge effarouchée et maintenant il pousse avec ses sphincters pour évacuer la preuve de ma jouissance.
Je récupère, avec ma langue, les dernières gouttes en allant les chercher le plus profondément possible. Une fois que jai moi aussi la bouche bien pleine, il redescend le long de mon corps en me caressant avec ses fesses et nous partageons nos spermes respectifs dans une bonne pelle.
Epuisé, il sallonge à côté de moi. Je le fait rouler sur le côté et me mets en cuillère derrière lui. Nous sommes tous les deux épuisés mais avant de fermer les yeux je lui dis:
« La prochaine fois cest toi qui me prends. »
Il trouve la force de me répondre:
« Ok »
Et nous nous endormons tous les deux
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