Il N'Y A Que Le Plaisir Qui Compte Dans Notre Famille 2/2

Dans quelle aventure étions nous embarqués ? nos parents nous ont poussés dans nos derniers retranchements, impossible de refuser au risque de passer pour des fanfarons, le soir même Julie est venue me retrouver pour en parler une dernière fois … ça a fini en levrette ….
- Après tout pourquoi ne pas essayer ? ton père me regardait d’un autre œil et ma mère cherchait à voir ton zizi
- Zizi ? un zizi pour moi c’est une pette bite, c’est quoi ce que j’ai dans la main ?
- Un braquemart chéri ! excuse-moi ! et si tu me le mettais ici ton braquemart?
- Dans ton cul ?
- Il est vierge et tu l’as bien mérité
- Tu m’as appelé ‘chéri’ ?
- Oui et je le confirme tu es ‘mon chéri ’même si je baise avec Michaël ça ne changera rien à mes sentiments pour toi
- Je t’aime aussi Julie… tu vas tout accepter de mon père ?
- Nous y voilà …la jalousie ? je te dirais tout mais ne refuserais rien
- Même la sodomie ?
- Même la sodomie … à présent met-là-moi dans le petit trou
- Nous irons au sauna dans quelques temps ?
- Pourquoi pas ? ainsi nous ferons la connaissance de leurs amis ? aaaaaaiiiieeeeeeeeeeeee !!!!
- C’est fait tu n’es plus vierge du cul !
- Baise moi bien Nicolas, fait moi ressentir ce que tu vas faire a maman
- Je la prendrais ainsi par les hanches et haaaaaaaann, hhhhhaaaaaaann, hhhhhaaaaaaann !!
- Salaud, tu me déchire l’anus !
Repus, enlacés, nous nous somment à nouveau profondément assoupis pour la nuit, au petit matin j’ai été réveillé par la bouche de Julie sur ma queue, elle voulait me prouver que rien n’est sale en amour, je lui ai répondu par une longue feuille de rose …
La journée a été longue pas par envie de le faire mais plutôt par appréhension, l’après-midi nous nous somment baladé tous les eux en forêt pour décompresser, Julie n’a pas mis de petite culotte afin que je la touche en marchant, moi ? j’avais le braquemart sorti du pantalon !
Vingt heures, heure du diner …vêtements légers pour tout le monde, pas de temps perdu à se déshabiller mutuellement, Julie est à côté de papa et Sabine à mon côté, cuisses contre cuisses, c’est la première fois que je vois sont entrejambe aussi dénudé.

.. culotte ou pas culotte ?
- Que cherche tu a voir Nicolas ? si je porte un slip ? regarde … hé oui ! mais il est fendu ! au fait ? j’espère que ma fille ne t’a pas trop épuisé aujourd’hui ?
- Nicolas est increvable au lit maman, tu vas chanter la tyrolienne !
- Michaël est très tendre au début mais c’est un vrai tyran à la fin
Le repas n’est pas terminé que Julie et moi donnons des signes d’impatience, les parents se concertent du regard, papa se lève et entraine Julie dans sa chambre, elle m’envoie un baiser du bout de ses doigts …Sabine me tend la main …
- Vient me montrer ton savoir-faire Nicolas
Mon érection s’est déclarée en parcourant les quelques mètres du couloir
- Inutile de fermer la porte, nous voulons que vous vous entendiez gémir ou crier, écoute ? Julie rie déjà aux éclats ! dans peu de temps tu vas l’entendre geindre sous la langue de ton père
- Assez ! tu me déconcentre
- Occupe-toi de moi alors … comment aborde tu une femme consentante ?
- Je l’enlace étroitement pour l’embrasser a pleine bouche, mon genoux s’insère entre ses cuisses afin que ma main accède librement à son sexe, tandis que mon autre main enveloppe un sein a même la peau
- Biiiieeeennnnn …ooooouuuiiiiii fouille ma chatte
Mes doigts ont vite trouvé l’ouverture du slip dissimulée par deux bordures de fine dentelle, le sexe étant mouillé prêt à subir tous les outrages, il m’est facile d’enfoncer deux doigts jusqu\'à la dernière phalange, les genoux vacillent sous l’excitation, elle geint en salivant abondement dans ma bouche, je crois que j’ai réussi mon entrée en matière, Sabine se laisse tomber à la renverse sur le lit, dans l’autre chambre les gémissements annoncé par sa mère débutent allant crescendo… je dois absolument faire hurler Sabine pour ne pas perdre la face
- Pose tes jambes sur mes épaules
- Inutile d’annoncer tes désirs, une bonne maitresse anticipe les envies de son amant, j’ai compris que tu veux me bouffer le minou ?
- Oui, excuse mon inexpérience
- C’est trop mignon, oublie ma réflexion et continue … hhhhuuuuummmmmmmm, mord mon clito et met moi deux doigts … petit saligaud, tu ne perds pas le nord tu veux aussi mon cul ?
Comme je ne peux pas m’exprimer je continue à enfoncer un doigt dans son anus qui me semble très dilaté, je suppose que la sodomie n’est qu’une formalité pour elle... par contre Julie va souffrir avec la bite de mon père dans son anus a peine dépucelé, pour amener Sabine a l’extase je reproduit la même chose qu’avec Julie la veille lorsqu’elle m’a guidé sur les zones érogènes de sa chatte, ça semble porter ses fruit, la femme commence à onduler et gémir sous mes coups de langue de plus en plus prononcés, menant de pair l’action de mes doigts , ma maitresse couvre largement les lamentations qui proviennent de l’autre chambre , je crie victoire lorsque sa mouille gicle sur mon visage, essoufflée Sabine devient subitement inerte sur la couche inondée de son jus intime
- Petit salaud ! tu m’as bien eue ! il y a longtemps qu’un mâle ne m’avait envoyée en l’air si rapidement
- Ah bon ? je te laisse récupérer ou je te prends maintenant
- Tu ne veux pas que je te suce ?
- Boff, nous verrons plus tard, quelle position choisis-tu ? ça te dit une levrette ?
- Ce gamin est incroyable … c’est ma position préférée
- Alors en piste …montre toi sous ta plus belle physionomie
- Et vicieux avec ça … ma fille a trouvé chaussure à son pied !
Je prends le temps d’examiner ses deux trous côte à côte, reliés par des trainées visqueuses, il me sera aisé de changer de trou à ma guise, la chatte est béante et l’anus bien défripé, pour l’impressionner je pose mon gland alternativement sur les deux orifices
- Tu te décides ? prend celui que tu veux mais je t’en supplie baise moi, je suis à bout de nerf !
- Quelques coups dans l’un ? quelques coups dans l’autre, ça te va ?
- Petit pervers, c’est exactement ce qui me fait jouir en deux minutes
A l’applaudimètre c’est de notre chambre que proviennent le plus de lamentations ! Sabine est en nage sa chatte est difforme, les lèvres éclatées, beurrées de jus épais, son anus n’est qu’un bourrelet de chair rougi par la friction de ma pine, dire que ma verge est comme neuve serait mentir ! pourtant Sabine s’en empare une dernière fois pour la lécher façon cône glacé histoire de vérifier que mes bourses sont complètement vides, quelques gouttes de foutre suintent de mon méat, réveillant l’irritation de mon gland
- Je crois que je vais te laisser te reposer Nicolas, sache que tu n’as pas démérité, je suis exténuée, je t’envoie Julie, dormez bien

- Nicolas ? tu dors ?
- Non, je t’attendais Julie chérie … comment ça s’est passé pour toi ?
- Plus que bien, mais heureusement que ton père avait ‘festoyé’ la veille sinon …ouille-ouille-ouille ma chatte !
- Et ton …
- Mon anus ? regarde ?
- Il ne te l’a pas mis ?
- Non, il a eu pitié de mon dépucelage récent, mais la prochaine fois….
- Qu’avait vous fait ?
- Pour commencer il s’est évidement jeté bouche ouverte sur ma vulve, finalement je préfère tes cuni !
- Merci ! ta mère a aussi apprécié mon savoir faire
- C’est une salope …ensuite j’ai sucé ton père sans perdre une goutte de semence, pas très abondante, car il avait baisé la veille, c’est normal, ensuite je l’ai chevauché de dos, il voulait voir sa bite perforer ma petite chatte, c’est là que j’ai eu peur car il me doigtait le cul en même temps, je lui ai dit que ça me brulait alors il n’a pas insisté … et toi ? tu as enculé maman ?
- Oui ….. j’ai alterné de sa chatte à son cul, tu m’en veux ?
- C’est pour ça qu’elle marche en canard ? ! bien fait pour elle !
- Ça c’est arrêté là pour toi ?
- Non, comme il ne pouvait ne pas me sodomiser ton père m’a basculée en levrette, j’ai joui trois fois …
- Hé bien tu vas jouir une quatrième fois …
- Tu bande encore ?
- Rien que de voir ta chatte encore suintante me donne des idées …
- Quel genre ?
- Levrette alternative …. ?
- Cul et chatte ? t’es insatiable gros cochon, vas-y j’en ai très envie avec toi … que fais-tu ?
- Je te lèche avant de te la mettre pardi, rien n’est sale en amour !