Les Réceptions De M. Le Marquis (Partie Ii)
On file à la douche au pas de course. Même pas le temps de se présenter. On commence à se doucher, mauvaise surprise : l'eau est froide. M. Le Marquis ricane :
- Oh, c'est vrai, j'avais oublié de vous prévenir : les douches des garçons de service n'ont pas d'eau chaude. Il faudra vous y habi car vous risquez d'être amenés à vous doucher un certain nombre de fois dans la soirée.
Chacun notre tour, on se fait laver par les deux autres garçons. Mon tour vient en dernier.
Pendant qu'on est en train de me glisser du savon dans le trou, M. Le Marquis nous lance :
- Alors, les garçons, je pensais vous avoir dit de faire connaissance ?
Mon camarade brun, qui avait la main sur mon sexe à ce moment-là, lève la tête et me regarde dans les yeux. Ni une, ni deux, il me plaque contre le mur de la douche et commence à m'embrasser langoureusement. Je me laisse faire, il tient mes poignets collés au mur. Je renchéris même.
Pendant ce temps, le blond a commencé à lui sucer la bite, il ne perd pas de temps celui-là.
- Attention messieurs, interdiction de jouir. Je ne veux pas que vous en perdiez une goutte pour mes invités. Considérez cela comme une mise en bouche pour ce soir
Nous fricotons ainsi sous lil attentif de M. Le Marquis, qui semble analyser chacun de nos faits et gestes.
Javoue que ça me met légèrement mal à laise, mais tant pis
De toute façon il faudra bien shabi.
Soudain, trop excité, mon camarade brun me retourne et me plaque le torse au mur. Je me cambre et lui tend les fesses pour quil mencule. Brun caresse mon trou de son gland. Sa bite raide est toute lubrifiée de la salive de Blond, il sapprête à me pénétrer.
La voix de M. résonne et le coupe aussi sec :
- Ça suffit ! Je ne vous ai pas autorisés à copuler.
Brun sécarte net.
- Allez tous les deux, mains dans le dos, face contre le mur, le cul en arrière.
Il ajoute avec un léger rictus :
- Rassurez-vous ce sera loin dêtre la dernière. Ce sera dix claques sur les fesses chacun pour commencer, histoire de vous habi. Je vous préviens nous passerons très vite au martinet et au fouet.
Nous nous mettons tous deux en position. M. Le Marquis passe derrière nous, nous palpe les fesses, puis déclare :
- Tiens, jai une idée. Cest votre camarade le blondinet qui vous infligera la punition. Cela vous apprendra à ne pas trop fraterniser : vos seuls amis ici sont les invités et moi. Allez au travail, je veux vous entendre compter à haute voix.
Blond se place derrière nous et menvoie une claque. Je compte. Puis il en met une à Brun. Il compte. Puis à moi. Je compte. M. Le Marquis nous arrête :
- Non, non, non. Ce ne sont pas des claques ça. Ce sont des caresses. Applique-toi sinon tu seras châtié toi aussi. Recommence.
Blond sy remet avec beaucoup plus de force. En fait ça fait très mal. Il nous fesse tour à tour, et nous, on compte. Un
Deux
T...Trois
Au fur et à mesure que les coups se succèdent, je développe une certaine colère à légard de Blond. Il ny va pas de main morte. Autant dire que quand son tour viendra, je men donnerai à cur joie ! Il ne perd rien pour attendre.
On arrive enfin à dix. M. Le Marquis nous intime de rester en position. Il passe derrière-nous lentement, et nous inspecte le cul en le caressant très doucement.
- Bien, vous pouvez reprendre vos ébats. Attention je vous surveille.
Japerçois les fesses de Brun, elles sont vermeille. Jimagine que les miennes sont pareilles, vu comme elles me chauffent.
Blond colle Brun dos au mur, et se colle à son torse. Il lembrasse langoureusement, et caresse son entrejambe avec son genoux. Il ny aucune ouverture pour que je puisse me joindre à eux. Il ma laissé sur la touche.
Stupéfait, je regarde M. Le Marquis, ébahi. Loin de se montrer compréhensif, il me fusille du regard.
Je comprends vite que si je ne remédie pas à cette situation, je vais devoir trinquer.
Blond commence vraiment à ménerver. Je nai pas envie daller le cajoler, pourtant cest la seule solution. Je viens me coller à son dos et commence à lembrasser dans le cou. Mon sexe collé à ses fesses commence à durcir. Je glisse doucement mes doigts entre les torses de mes deux camarades et commence à titiller les tétons de Blond qui durcissent immédiatement.
Mon sexe se frotte à sa raie, mais je veille bien à ne jamais faire quoi que ce soit qui puisse être interprété par M. comme une tentative de pénétration. De toute façon, ce nest pas mon truc de pénétrer les mecs.
Blond embrasse toujours Brun à pleine bouche. Je décide de signifier mon mécontentement en lui pinçant brutalement les tétons. Il soupire et lève les yeux au ciel, puis se remet à embrasser Brun. Je vais devoir y aller plus fort. Je tourne ses tétons entre mes doigts et les tire.
Lentement, je descends ma main droite vers son entrejambe, sans pour autant cesser de titiller ses tétons de la gauche. Jempoigne son sexe et commence à le branler. Dabord très lentement, puis de plus en plus vite.
M. Le Marquis nous laisse « faire connaissance » comme ça un long moment, sans jamais montrer le moindre signe de baisse dattention. Il semble tout analyser scrupuleusement.
Nous sommes tous trois très échauffés et prêts à exploser à chaque stimulation.
Pendant nos ébats, jai eu le temps de découvrir le corps des garçons.
Blond est le plus grand, il nous dépasse tous deux largement. Brun, quant à lui, est à peine plus grand que moi.
Sans surprise, puisque nous avons été sélectionnés entre autres sur photos, ils ont lun comme lautre de véritables physiques de dieux grecs.
Brun a un corps admirablement musclé, un sexe un peu plus gros que le mien qui pend fièrement sous un pubis rasé prolongé par deux lignes qui forment un V dont les branches indiquent ses abdominaux parfaitement dessinés. Au dessus, un torse épilé dont les deux pectoraux bombés sont surmontés de tétons saillants légèrement bruns. Côté visage, il a la mâchoire carrée légèrement colorée par les racines de ses épais poils de barbe, pourtant rasés de près. Sa bouche aux lèvres pulpeuses est encadrée par deux rides qui semblent la mettre entre parenthèses. Ses yeux dun bleu profond donnent le vertige rien quà se plonger dedans, on croirait pouvoir sy noyer.
Cest blond qui a le plus gros sexe, un véritable monstre. Lui aussi a le pubis rasé, et une belle ceinture abdominale. Cependant, contrairement à brun, il a une très fine couche de gras qui trouble légèrement la forme de ses abdominaux. Son torse est couvert de duvet blond et ses pectoraux, également bombés, sont ornés de deux tétons aux aréoles rose bonbon.
Son visage est nettement plus fin que celui de Brun et totalement dépourvu de rides. Ses grands yeux verts et sa bouche charnue et sensuelle lui confèrent un aspect général sympathique et juvénile.
Impossible darrêter un avis quant auquel des deux a les plus belles fesses : ils ont tous deux des culs dignes des plus beaux éloges, fermes bien que bombés et admirablement soulignés par le creux au bas de leur dos.
Ce sont assurément deux très beaux spécimens de mâles qui semblent taillés dans le marbre par quelque Pygmalion homosexuel. Et cest un véritable honneur dêtre ainsi présenté à leurs côtés.
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