Un Jeune Amant Pour Nous

Parfois les lectures sur le site donnent des envies d’écriture et ce sera le cas aujourd’hui. Ce récit est la traduction de faits réels que nous assumons sans les regretter.

Mon petit-fils vient pour trois semaines à la maison, en raison d’un stage professionnel. Quand je dis mon petit-fils, je devrais dire de cœur, car j’ai épousé sa mère alors que je savais très bien qu’elle avait été fécondée lors d’une expédition en Amazonie ; j’étais alors simple exécutant, mais follement amoureux de cette femme , médecin de l’expédition. J’étais aux premières loges pour savoir le déroulé de ses sorties, mais à notre retour, je l’ai épousé et je ne le regrette pas. Elle a mis au monde une petite fille adorable, que j’ai reconnu . Celle-ci s’est mariée à son tour et c’est son fils qui est à la maison ; donc génétiquement aucun lien avec nous, puisque Nicole est ma deuxième femme.
En rentrant plus tôt que prévu, je l’ai surpris, sans qu’il me voie, à visionner un cd que nous avions fait avec Nini de certains de nos débats amoureux, et excité de ce qu’il visionnait, il était facile de voir qu’il se masturbait. Pour ne pas le surprendre, j’ai claqué la porte d’entrée et à ma deuxième entrée, tout était en ordre, bien que son visage soit encore bien rouge et son pantalon encore bien gonflé. Discrètement, le soir avec Nini, nous avons regardé le cd en question ( nous en avions fait plusieurs) et je comprends fort bien son excitation.il avait pu nous voir en pleine action et surtout découvrir la totale nudité de mon épouse.
Le surlendemain, alors que nous étions tous les deux au bord d’un étang, à attendre le bon vouloir du poisson, je lui ai dit ce que j’avais vu. Afin de ne pas trop le rendre mal à l’aise, je ne l’ai pas grondé, bien au contraire en lui faisant remarquer qu’en raison du contenu du cd, je comprenais très bien sa masturbation. Je ne sais si le rouge de son visage traduisait la gêne ou l’excitation, en revanche son pantalon bien tendu était explicite.

« Tu avais déjà vu des cd comme celui-ci ? Silence de sa part, puis timidement, il avoue qu’il avait déjà vu celui que j’avais fait lors d’une séance d’exhibition dans la forêt avec nini.
« Je suppose que cela t’a donné envie d’en voir d’autre » ; un signe de tête confirme ; comme il a 19 ans ,je suppose qu’il a connu quelques aventures, mais à ma grande surprise , il me dit que non, simplement avec un garçon ; il se rend compte alors de son aveu et il baisse la tête. Cette fois il ne bande plus, trop gêné par sa révélation. Je ne réagis pas, bien au contraire, je reporte la conversation sur le premier cd :
« et cela t’a plu de voir nini en petite tenue, car si j’ai bien compris, c’est la première fois que tu vois une femme nue , en dehors peut être de la télé. Je pense qu’à la maison, tu as dû essayer de la voir ; as-tu réussi ? ton silence me dit que tu l’as fait, allez, raconte, je ne t’en veux pas, j’en aurai fait autant »
« J’ai essayé de la voir, mais je n’ai pas totalement réussi, simplement en sous-vêtements »
« Tu aimerais la voir nue, dis-le franchement ; tu as pu voir que nous sommes libertins et que cela ne me gêne pas »
« Je le savais car j’ai entendu un jour mes parents parler de vos sorties en club et je crois comprendre qu’eux aussi le sont » « tu ne m’as pas répondu ! « un nouveau silence puis un chuchotement « oh oui » ; il essaie de cacher la protubérance de sa queue, avec sa main, mais je le taquine :
« ne te cache pas, je comprends très bien que tu bandes, d’ailleurs tu vois moi aussi et si tu en as envie, tu peux te masturber, cela ne fait pas de mal, bien au contraire. Finalement il résiste et nous prenons la décision de rentrer, sans aucun poisson. Si ce n’est pour lui, comme pour moi, l’espoir d’une suite. En arrivant, il fait une bise à Nicole et il se réfugie dans sa chambre
Je lui fais part de notre conversation et elle me dit l’avoir en effet surpris à la mater alors qu’elle rentrait dans la chambre en sortant de la salle de bain. Lorsque je lui dis que j’aimerais qu’il la découvre un peu plus, puisqu’il en a envie ; elle hésite, avec un petit sourire coquin, elle me dit « cela tombe bien, car sa mère, en bonne libertine, m’a demandé si cela me gênait de le déniaiser un peu ; ce soir, je viendrai regarder la télé en tenue coquine » ; pour cela je lui fais confiance. Que les femmes savent être libertines entre elles . Il ne m’en faut pas plus pour avoir envie d’elle et l’entrainant dans la chambre, sans la déshabiller, mais en lui arrachant son string, je la possède vigoureusement, tout en sachant que sa jouissance sans retenue va être entendu par Lucien d’autant plus qu’elle aussi stimulée par le jeu à venir se libère.
Alors que la soirée s’avance, Nini arrive dans le salon et je suis surpris : elle si peu exhibitionniste ne porte qu’une nuisette transparente, avec un mimi string et un soutien sein, découvrant ses tétons déjà tendus. S’asseyant à côté de moi sur le canapé, alors que julien, lui est sur le fauteuil face à nous ; d’où il est, il peut découvrir le minou à peine caché par la mince bande de tissus, d’autant plus qu’avec les mouvements, sans doute, très calculés de nini, je m’aperçois que la ficelle s’est infiltrée entre les petites lèvres.
« J’ai envie de revoir nos cd , à moins que cela déplaise à julien ; je sais qu’il en a commencé un, qu’il a apprécié de me voir en petite tenue, donc finissons la lecture » julien est rouge, de confusion sans doute car elle vient de dévoiler indirectement notre conversation. Quand le film commence , elle se colle à moi et prend ma main qu’elle dépose sur ses cuisses largement ouvertes, sous le regard médusé de julien. Son regard va de l’écran aux cuisses de Nini. Elle se frotte sur moi, alors que ma main approche de sa grotte ;féline , c’est elle qui délasse sa nuisette, ses seins surgissant à notre vue ; ses pointes sont saillantes et mon sexe se trouve de plus en plus comprimé. « Viens près de moi, il y a la place , tu verras mieux. » après un petit moment d’hésitation, il se déplace, essayant de cacher son érection, bien visible et viens se loger tout contre elle, les yeux fixés sur l’écran.
Se levant, elle se place en face de nous et commence une danse lascive, accompagnée d’un effeuillage. Sa nuisette tombe au sol ; elle tourbillonne, puis dégrafe son sous -sein ; ses seins lourds, pleins, gonflés de désir tressautent devant lui, les yeux exorbités. Elle lui tend la main, puis come il semble collé au canapé, elle l’attire à lui, posant ses mains sur sa poitrine offerte ; puis l’embrassant sur le coin de la bouche, elle lui demande de retirer son string. Il hésite ; elle lui pose les mains sur sa tête , pour le faire s’accroupir, puis elle les pose sur le mince filet de sa taille . Le string est sur ses mains, et enfin hésitant, il le fait glisser sur les jambes qui se soulèvent pour lui faciliter la tâche ; ce faisant à chaque fois, le minou est offert à sa vue, et d’où je suis, je peux voir quelques gouttes de rosée aux bords de ses lèvres.
Pour chacun de nous, le film qui se déroule n’a d’importance, alors que sur l’écran, Nini se fait sauter par deux hommes en double vaginale ; la réalité est beaucoup plus excitante, car timidement julien a posé ses mains sur le corps dénudé et commence doucement à caresser ce bassin offert ;me regardant, provocatrice, elle plaque le visage sur sa chatte , et relevant une jambe qu’elle pose à côté de moi, elle lui dit :
« Suce-moi la chatte, pose tes lèvres sur mon abricot, goutte à mon plaisir de m’offrir à tes fantasmes ; je sais que tu as envies de me prendre, mais avant fait moi jouir avec ta bouche. » pour lui manifestement c’est une nouveauté et finalement elle le guide, ouvrant en grand le triangle de ses cuisses. petit à petit, il se libère et je peux constater que sa langue doit faire son effet, car elle ferme les yeux, , se cambrant à la recherche de cette bouche qui lui dévore le bouton ; il prend ses premiers gémissements pour de la douleur et il s’écarte brutalement, la bouche maculée de cyprine ; mais elle le rassure et lui demande au contraire de lui mettre un doigts entre ses petites lèvres ; c’est la grande découverte pour lui, mais maladroitement d’abord , puis plus frénétiquement ensuite, il commence à lui fouiller la grotte béante, pleine de semence ; son visage s’éclaire, il a compris qu’il a cette femme qu’il a souvent désiré à portée et qu’elle s’offre à lui sans détour ; finalement il enfourne deux puis trois doigts dans la matrice, accompagné des cris de jouissance de ma belle ; la jouissance la ratt et s’agrippant à cette main qui pour la première fois fait jouir une femme, elle s’allonge sur le tapis, pour s’abandonner un peu plus au plaisir.
Pour moi le tableau a vite fait de me faire bander et quittant mes vêtements, je me caresse doucement le chibre pour ne pas jouir trop rapidement. Sur le tapis, nini a repris un peu ses esprits et fébrilement , elle dévêt julien, découvrant un beau morceau , bandé, le gland déjà décalotte, avec une goutte de jus à la pointe de son méat ; tout en l’encourageant à continuer de la doigter, elle emprisonne le vit et commence à le masturber, emprisonnant parfois ses boules pour revenir ensuite à cette jeune tige qu’elle convoite. Mais pour lui la tension est trop vive et sa jouissance éclate en longs et puissants jets qui s’écrasent sur la poitrine et le visage de Nicole. Sa branlette ne se termine que lorsque son éjaculation s’épuise, alors que lui , surpris, a oublié la chatte offerte. Finalement, il s’écroule sur le tapis, les yeux brillants de plaisir.
Je sais que pour elle , le plaisir est incomplet et sans hésiter, je me penche sur elle et lui remontant les cuisses sur les épaules, je la pénètre d’une seule poussée, ma queue s’enfournant sans aucune difficulté entre ses parois lubrifiées par son jeune amant. sous la soudaineté de la pénétration, elle pousse un « oh oui » tant ses envies sont entières ; m’adressant à julien qui nous regarde éberlué, « regarde bien comment on fait jouir une femme, tu l’as vu sur l’écran et cela t’a excite, mais ensuite cela va être à toi de la posseder, tu vas y perdre ton pucelage et cela fera de toi un homme » sans plus m’occuper de lui, je la pourfends profondément , mon gland venant percuter le fond de sa matrice, sous ses cris d’encouragements ; finalement, profondément enfoncé dans sa grotte, je fins par jouir, lui déversant ma semence longtemps retenue. Tous les deux repus, nous restons un long moment inerte, et quand je me redresse, je peux constater qu’il a repris la forme et qu’il est prêt à prendre ma place.

À suivre