Table De Sapin 11

Alors que je m’affairais à installer une rampe à l’escalier qui mené aux chambres, je fus interpelé par la sonnette de la porte d’entrée. Par la transparence du carreau poli, j’ai reconnu tout de suite la silhouette imposante de ma belle mère. Mais que fut ma surprise en ouvrant la porte de constater qu’elle n’était pas seule. La cadette de ses filles au nom de Patricia se tenait à ses côtés. Fraichement séparée de son concubin, elle était revenue avec sa fillette de 7ans squatté la demeure de ses parents. Le temps de ce refaire une santé ! Avais-je entendu dire. C’est vrai qu’elle s’était affinée depuis la dernière fois que je l‘avais vu. C‘était lors de mon mariage.
- Elle a assisté pour venir. Fit ma belle- mère en pénétrant mon domicile. Elle n’est pas là ta femme ? Ajouta-t-elle après avoir jeté un coup d’œil dans le salon.
- Elle travaille.
- Mince ! Répliqua Colette.
- Pourquoi mince ? Répliquais-je.
- Si je dérange je peux retourner à la maison. Fit Patricia en refermant la porte d‘entrée derrière elle.
- Mais pourquoi mince ? Vous ne me dérangez pas. Répondis-je.
- Je vois que tu bricoles. Dit ma belle-mère, comme pour changer de sujet.
- Oui, j’installe une rampe.
- C’est vrai que ça manqué. Ce sera moins dangereux pour les s. Bon ! Qu’est-ce que tu fais Patricia, questionna-t-elle. Tu restes ou je te ramène à la maison.
- Je ne sais pas moi. Je ne sais pas si je dérange ou non ?
- Pas le moins du monde. Où va tu cherchais cela, Patricia. Il fait bon dehors, emmène donc ta fille jouait avec les miens dans la court…
Il n’en fallut pas plus à la fillette de se libérer des mains de sa mère pour s’empresser de rejoindre les miens, dehors.
- Je vous offre un café belle-mère ?
- Non…non, il faut que je file. Bafouilla-t-elle. J’ai rendez-vous chez… chez mon gynécologue.
Je n’étais pas dupe. Son rendez-vous était bidon.

Elle allait plus tôt se faire mettre quelque part. Sans doute avec le couple fraîchement rencontré au court d’une soirée, et dont ils s’entendaient comme cul et chemise.
Il faudrait que nous ayons un jour une discussion concernant cette relation. Son cul est tout de même ma propriété aussi.
Une fois la porte refermait sur ma belle-mère, j’ai proposé à ma belle sœur de prendre place dans le salon.
- Et pour toi, un café. Fis-je à Patricia.
- Oui je veux bien si tu en as de fait.
- Je vais en faire.
- Ne te dérange pas pour moi.
- Cela ne me dérange pas. Je m’apprêtais à en faire un pour moi.
Après avoir pris le café, je me suis remis à ma rampe, alors que Patricia a été rejoindre les s, dehors. Mais mon répit fut de courte durée, la voilà revenue tenant en main une culotte que je devinais n’être pas la sienne.
- Je m’excuse, mais ma fille vient de se faire dessus. Je peux prendre une culotte de ta fille ?
- Oui bien sûr. Tu sais où se trouve sa chambre.
- Oui, répliqua-t-elle.
- Dans l’armoire tu fouilles. Fais comme chez toi.
Je me suis effacer et elle a grimpé les marches. Honteusement, je n’ai pas pu résister de porter mes yeux sur le balancement de son fessier. Que sa jupe en jean au dessus de ses bottes, lui moulé comme une seconde peau.
À peine une demi heure plus tard, elle revint me voir de nouveau toujours pour la même sollicitation. Une culotte de ma fille. Puisque sa gamine c’était à nouveau soulager dedans.
Mais cette fois-ci je ne me suis pas effacer. Je suis resté en position accroupi, vissant le barreau que j‘avais préalablement positionné. Elle s’est frayé un passage entre moi et le mur. J’ai alors profité qu’elle me tourne le dos pour errer mon regard sous sa jupe. Et plus elle gravissait les marches, plus le panorama sous la toile était affriolent. J’ai même pris la peine de me coucher sur les marches pour en voir un peu plus. Comme un besoin chez moi, de savoir quel sous-vêtement qu’elle portait.
Il était de couleur noir.
Pensant sans doute qu’elle ne c’était pas assez exhiber à mes yeux, elle renouvela sa représentation pour la troisième fois. À une exception près, cette fois ci, sans culotte. J’ai pris cela comme une invitation muette de sa part. Au point de me faire bander. Elle n’a même pas prit la peine de descendre jusqu’à sa fille. Elle lui envoya sa culotte de la fenêtre du salon.
- Débrouille-toi, vilaine fille. Lui avait-elle dit, en se penchant sur le rebord, exhibant sa croupe lourde, ainsi que sa fente béante.
Je n’ai pas pu résister à la tentation. Je me suis avancé jusqu’à elle en me massant l’entrejambe. Mon érection n’a fait qu’augmenter à mesure que je m’approchais d’elle. Et que dire, quand je me suis frotté
Contre la croupe rebondie. Elle ne pouvait pas ignorer l’appétit qui m’avait alors envahit. J’ai glissé une main sous sa jupette pour son plus grand plaisir. Sa tête en arrière en appui sur mon épaule, elle s’est trémoussée autant que sur la piste de danse le jour de mon mariage. Alors que sa respiration se faisait plus vite.
- Ce n’est pas bien ce que l’on fait ! Dit-elle sans pour autant me repousser.
- Peut-être. Mais il ne fallait pas commencé…
- Comment ça ?
- A m‘exhiber ton cul.
- Il ne t’a pas laissé indifférent à ce que je vois.
- A ne pas pouvoir résister d’y plaquer mes mains.
- On ne pourrait aller ailleurs que devant la fenêtre protesta-t-elle.
J’ai laissé échapper un petit ricanement, tout en la maintenant contre moi.
- Je t’en pris, sois raisonnable, objecta-t-elle. Allons faire ça dans une chambre… en haut…
- Dans celle où dort ta sœur…
- Pourquoi pas !
- Et qui va surveiller les s ?
Elle a poussé un gémissement étouffé quand j’ai commencé à pincer son clito entre deux doigts. Elle n’a pas mit longtemps à jouir. Elle semblait vraiment apprécier ce genre de caresse.
- Tu sens comme j’ai envie ! Fis-je en me frottant toujours contre elle.
Ça ne te fait pas envie !
- Devine ?
- Je ne sais pas si je dois.
Elle a caqueté énervée, alors que mes doigts ont alors glissé dans l’épaisse toison noire et furent comme aspirés dans le sillon humide. Agitant les reins, elle s’est mit à haleter. J’ai pétris l’odorant marécage, plongeant entre le sillon des lèvres. Dans sa liesse, elle a faillit perdre l’équilibre. Lèvres retroussées, elle a poussé des soupirs rauques tout en se tortillant sur ma main.
- Je vais… je vais jouir ! Haletait-elle.
Sans prendre la peine de couvée complètement son orgasme, elle s’est occupée à me dégrafer la braguette. Libérant de main de maître, mon sexe dur qui trépignait d’impatiente dans mon slip. Sans perdre de temps, elle a fait coulisser sa menotte sur ma hampe. S’attardant parfois sur le gland.
- Comment la trouves-tu ?
- Pas mal ! Me chuchota-t-elle.
Sentant monter de mes reins les picotements annonciateurs d’une très proche jouissance, et avant qu’il soit trop tard je me suis reculé. Puis je me suis agenouillé derrière elle et j’ai posé ma bouche sur ses fesses. Les embrassant par petites touches, avant que ma langue l’inonde de léchage humide. Elle s’était tout de suite cambrée pour se faire plus profonde alors que j‘avais faufilé ma langue entre ses fesses. Dégustant son anus. Au goût bien amer.
Puis je suis revenu à sa hauteur avec la ferme intention de lui donner ce qu’elle désirait. J’ai pliais pour ça, mes genoux et j’ai poussé. L’extrémité de ma verge a disparut entre ses fesses sans rencontrer la moindre résistance. Surpris par un tel accueil, j’ai marqué un temps d’arrêt. Par spasmes, le sphincter s’est refermé autour de mon gland. L’agrippant comme si il ne désirait pas que je me retire.
- Oui… enfonce la entièrement… haleta-t-elle.
- Tu as l’air d’aimer qu’t’en prenne par là !
Sans attendre sa réponse, j’ai poussé mon ventre en avant et ma verge a complètement disparu avec facilité entre les fesses.
Allant et venant doucement dans ses reins. La sortant de temps à autre, complètement de ses entrailles pour mieux la lui remettre. Le nez à la fenêtre ma belle-sœur se mit à gémir.
- Vas-y ramone… ramone. Oui ! Ramone-moi plus fort…
Il m’était difficile de ne pas obéir, et s’est excédé que je me suis déchaîné sur elle à grands coups de reins. Me sentant à la limite de jouir je me suis blottie contre elle, la verge au plus profond de son fion, je me suis soulagé. L’éjaculation fut très puissante.
J’ai attendu que ma verge est dégonflée pour me retirer. Fasciné j’ai fixé son anus. Béant, d’où sortaient les longs filaments mêlant mon sperme à ses excréments.
Ma belle-sœur s’est ensuite redressée. Des larmes coulaient de ses yeux.
Quand ma femme a fait son apparition, après sa journée de travail, j’étais en train de tout ranger. La rampe était installée. J’avais plus qu’à la vernir. Mais pour ça j’attendrai d’être seul. Il n’en fallait pas plus pour la rendre heureuse. Au point de garder sa sœur à dîner.
Après la partie raclette, je me suis proposé de ramener Patricia chez mes beaux-parents pour le plus grand bonheur de mon épouse, trop épuisé pour encore reprendre le volant.
Alors que je conduisais, je ne pensais qu’à une chose : la baiser de nouveau. A mes côtés, les jambes sagement croisées, Patricia regardait stoïquement la route. J’ai posé une main sur son genou, la glissais sous sa jupe. Sans que j’aie eu besoin de lui dire elle a décroisé les jambes. Je lui ai caressé la chatte au travers de sa culotte qu’elle allait remis. J’ai enfoncé le tissu entre ses lèvres.
- Tu es toute mouillée. Tu as aimé, n’est-ce pas ?
- Oui, ça m’a fait du bien. Ça faisait longtemps que je n’avais pas pris une queue de ce côté-là.
- Surtout tu ne dis rien à personne.
- Tu peux compter sur moi.
Après un court silence, elle a enchainé :
- Mais dis-moi, maintenant que je te tiens, j‘aimerais savoir une chose.
- Oui, et quoi donc ?
- Est-ce que tu te tapes ma mère ?
- Qui t’a dit cela ?
- Personne ! C’est juste une intuition.
- Eh bien ton intuition s’est trompée. Je me vois mal me taper ma belle-mère.
- Tu t’es bien taper ta belle-sœur.
- Ce n’est pas la même chose.
- Ah oui ! Et pourquoi ?
- Je ne sais pas moi. Tu en as de drôle de question. Et d’ailleurs pourquoi ta mère ferait cela ?
- Par ce que je la connais très bien. Tu sais que quand tu as demeuré à la maison, elle s’empressait de récupérer le slip que tu venais de retirer.
- Comment tu peux dire cela… et de ta mère.
- Parce que je l’ai vu tout bonnement. Et le plus beau c’est que c’était contagieux.
- Toi… aussi ?
- Je ne m’en cache pas de te le dire.
- Et alors ?
- Je trouvais ça très excitant. Fit-elle avant de rire bêtement.
Pendant cette discussion, j’avais continué mon exploration, en plongeant ma main dans sa culotte. Et je l’ai gardé bien au chaud jusqu’à arrivée devant la grille des parents.
Comme c’était prévisible ma belle-mère n’était pas rentrée. Heureusement qu’il y avait le trousseau de clé sous le pot de fleur. Alors que Patricia s’est occupée d’ouvrir la demeure je me suis chargé d’aller mettre dans son lit la fillette qui s’était endormie sur le siège arrière de la voiture. À mon retour, Patricia se tenait devant la table de sapin. Attendant sans doute une suite à notre première relation.
Elle n’a pas prit la peine de patienter plus longtemps. Se jetant sur moi, se débarrassant de tout se qui pouvait la gêner pour arrivée à ses fins.
- Eh là ! Fis-je, ta mère ?
- J’ai verrouillé les portes. Et en plus l’en entendra arrivée.
Me désignant la fenêtre côté rue. Elle a approché sa bouche de mon sexe. Posant la pointe de sa langue sur mon gland. Un long frisson m’a parcouru. Avec l’impression que ma tête me tournait. Décidément elle savait s\\\'y prendre. J’ai sentis son souffle chaud sur ma verge. Elle a arrondit la bouche et a commencé faire pénétré mon gland dans une caverne brûlante et humide. Doucement presque imperceptiblement elle a avalé entièrement ma queue. Frottant son nez dans ma toison. Elle avait les yeux rieurs.
J’ai attendu d’être à la limite de la jouissance pour retirer ma queue de sa bouche. Je l’ai repoussé pour lui coller le dos contre la table de sapin. Et après avoir déchiqueté sa culotte noire, j’ai tâtonné un peu avant de trouver l’orifice du vagin. D’un seul coup de reins je me suis invité dans son antre, alors qu‘elle laissa échapper un râle sourd. Ses muscles intimes se sont refermés sur ma verge. J’ai commencé à la limer, d’abord lentement, puis de plus en plus fort, de plus en plus vite. Elle a geignis, respirant bruyamment. Une fièvre est montée dans mon corps, brutale et affolante, au point de la besogner sans aménagement. Nous avons été pris d’une sorte de folie, l’un comme l’autre. Jamais, je ne crois, je n’avais baisé une femme avec autant d’énergie. Et ce fut la même chose pour elle.
J’allais et venais comme si mon sexe n’avait pas été humain, mais animal. En quelques giclées, j’ai propagé mon sperme dans son ventre, alors qu‘elle s‘est accrochée à moi, le ventre secoué de spasmes.
J’ai attendu de reprendre mon souffle pour me retirer. Après un café, j’ai pris congé. Pour information, ma belle-mère n’était toujours pas entrée.

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