Du Miel Et Du Lait Chez Les Scouts
Cette histoire est arrivée lors d'un Jamboree (un rassemblement mondial des scouts). Il avait lieu en Angleterre.
Je me souviens que je ne l'avais rencontré que vers la fin du jamboree et que nous nous étions tout de suite plu : moi j'étais encore musculeux à l'époque, indien aux yeux et aux cheveux d'un noir profond et elle, d'une silhouette mince, aux yeux bleus et blonde. Jarborais encore une mâchoire légèrement carrée et un regard à la fois doux mais profond (selon ses dires). Elle avait un sourire charmeur et des yeux pétillants. Ses cheveux volaient au vent quand elle ne les attachait pas en queue de cheval, serrés à la mode polonaise. Jaimais passer du temps avec elle, main dans la main, à flâner ici et là au gré de nos envies. Il nous arrivait de nous enfuir du campement pour aller nous aventurer, complices, et doucement
nous tombions amoureux
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Si je devais me décrire à cette époque, je dirais que jétais grand, serviable, aventureux et désireux de connaître les choses de lamour. Elle, avait déjà eu un copain avec qui cela sétait mal terminé. Elle me racontait quils navaient fait que quelques préliminaires mais quavec son ami denfance, elle avait appris « pas mal de chose concernant les mecs ». Je nen revenais pas de son audace, de sa féminité et de sa fougue. Jétais subjugué de voir a quel point elle était à laise avec son corps, quelle ne sinterdisait jamais de montrer, que ce soit simplement son ventre, un décolleté ou encore ses longues jambes fines de jeune femme. Son nez était légèrement droit et sa bouche pulpeuse mais bien dessinée. Quand elle souriait je voyais apparaître des ridules sur le coin de ses lèvres et jaimais la manière dont les arêtes de son nez se retroussaient légèrement. Elle arborait quelques taches de rousseur très mignonnes.
Un soir, après avoir acheté une glace puis un chocolat chaud dans une échoppe ambulante pour ma douce amoureuse, nous avions décidé d'aller voir le lac central car il y avait là un bois calme où nous pourrions parler tranquillement.
Quand nous sommes arrivé près du lac, il était déjà tard dans la nuit. La nuit était noire car des nuages obscurcissaient la lune. Nous navions quun portable avec une vague lumière pour nous éclairer et tentions de nous avancer entre les buissons et les arbres bordant une clairière jouxtant le lac. Lorsque je déplaçai la lampe du portable dune main, je me figeai et elle suivit le geste. Nous entendions des petits bruits étranges. En tendant loreille, je me concentrai pour saisir la provenance de ces bruits. Je compris alors avec un sourire. Il sagissait de bruit de bouches mouillées entrelacées et de langues se glissant dans la bouche de lautre et de gémissements étouffés. En me concentrant mieux, jentendis des bruits de vêtements serrés, de liquide giclant sous lassaut répété de doigts fureteurs. Faisant le faux naïf, je brandis la lampe sur un couple en pleins ébats. Un tunisien se faisait branler par une autrichienne (daprès leurs chemises et foulards reconnaissables) tout en lui mettant la main dans la culotte. Mon cur battait la chamade et je pense que jinsistai un peu trop car le couple sarrêta pour me lancer un « duuuude » mais jétais fasciné par la main de cette autrichienne, aux doigts si fins, enserrant une colonne de chair et par la main de ce tunisien dont je devinais les mouvements à travers le tissus de la culotte violacée de sa partenaire.
Je me tournai pour éclairer les lieux et découvris que lendroit était envahis de couples en chaleur. Je me retournai alors vers Anna et lui dis quil nous fallait trouver un autre endroit
javais peur de sa réaction face à ce déferlement dhormones et de senteurs marines. Elle souriait.
Elle me fixa, mis une main sur ma nuque, lautre entre mes omoplates et membrassa langoureusement. Elle posa sa lèvre supérieure entre mes lèvres et sa lèvre inférieure agrippa la mienne avec force. Je sentis son souffle couper le mien et je fermai les yeux, envahis de plaisir. Rien dautre ne comptait plus.
Nous nous sommes alors dirigé vers un coin que nous apprécions pour y avoir passé du temps avec des amis et que nous savions esseulé. La lune réapparu. Elle me tenait la main et je sentais ses doigts glisser et caresser les miens tandis que nous nous arrêtions parfois pour nous embrasser intensément.
A un moment alors que nous « discutions », j'ai senti ses yeux devenir comme flous ou habité d'un lumineux et pétillant désir alors je décidai de l'embrasser : ma langue et la sienne tourbillonnaient dans la bouche de l'autre et la salive se mélangeait doucement tandis que je sentais ma partenaire et ma queue s'émoustiller doucement. Elle devait commencer à sentir mon désir monter car la bosse de mon short était fortement visible à présent et en la tenant fermement contre moi pour lembrasser, je savais quelle devait sentir ma queue gonflée de désir contre son mont de vénus.
J'en profitais pour poser mes mains d'abord sur sa joue puis sur son occiput afin de caler doucement ma langue autour de la sienne.
Mes mains devenaient de plus en plus vagabondes. Comme indépendantes, mes mains commencèrent à remonter de ses hanches et du bas de son dos pour soulever, un doigt après lautre, son t-shirt bleu ciel. Je senti alors sa peau, douce et ferme et commençai à doucement et lentement parcourir son échine. Lors dun échange de salive intense, jen profitai pour lui « griffer » légèrement le dos et je la senti se cambrer et gémir. Je passai de ses lèvres humides à des joues, son nez, son cou, sa nuque et je descendis jusquà ses clavicules. Je la sentais se laisser faire et prendre du plaisir aux caresses et baisers parcourant son corps. Elle gémissait doucement « HhhhHhhhh » puis de plus en plus fort « Mmmmhmmh ». Tandis que je sentais ses mains rester pudiquement sur mon dos et ma tête, je l'enserrai plus fort contre moi et lorsqu'elle senti mon sexe dur pressant sur son jeans, elle eu un soubresaut et un gémissement étouffé. Je relâchai alors mon étreinte et la regardai dans les yeux et elle me surprit...
Elle m'avait attrapé les fesses d'une main et de l'autre, ma queue, qu'elle commençait à frotter à travers le jeans: d'abord doucement puis plus sauvagement. Je sentais sa paume frotter contre ma bite turgescente puis petit à petit ses doigts enserrèrent mon gland et je sentis du liquide visqueux et chaud sortir un peu plus de mon gland et mouiller mon caleçon.
Ses yeux lançaient des éclairs d'envie et je n'hésitai plus : je glissai alors une main sur ses fesses. Je passai mes mains sous sa culotte serrée pour venir apprécier le forme et la fermeté de ses magnifiques fesses galbée. Je commençai par passer ma paume de main sur lentièreté de ses fesses puis mes doigts les malaxèrent doucement pour finir par les pincer et les serrer fermement alternativement. Mon autre main en avait profité pour caresser son ventre, jétais passé sur son nombril où javais inséré une fraction de seconde mon index pour remonter, le temps de baisers langoureux, vers son soutien gorge et ses clavicules. Cette main-là était passé sur les baleines et avaient senti des petits mamelons dur sous le tissu. Je ne my étais pas attardé et avant caressé le haut de ses seins. Puis dun coup sec mais léger javais décidé de glisser mes doigts sous la coque des baleines et javais senti un sein chaud et doux. Que javais enlacé dans mes doigts pour les presser de différentes manières. Je titillais ses mamelons durs et les pinçai fermement mais amoureusement ce qui la fit gémir plus fort que jamais.
Ses seins me prenaient toute la main et je ne pouvais m'empêcher de les malaxer et de titiller doucement l'aréole puis le mamelon que je sentais devenir comme la pierre.
Je commençai alors à lui détacher un bouton de son jeans et lorsque celui-ci sauta sous mes doigts rageurs, sans hésitation, j'enfonçai ma main droite dans sa culotte. Ma main se fraya un chemin en forçant sous la pression de la braguette non ouverte et de la petite culotte. Je senti sous mes doigts inexpérimenté un mont de vénus doux et soyeux puis quelques poils rêches mais fins. Je parcourrai sa forêt avec douceur tandis que son corps entier ne semblait tenir que par cette main fouineuse. Je descendis encore pour arriver à une légère fente. Je sentais les doux poils s'engluer de cyprine et je parcouru alors de mon majeur ses grandes lèvres... droite puis gauche
elle gémit alors fort... et encore... et encore à mesure que je glissais mes doigts plus proche de son temple.
Je remontai le long de ses grandes lèvres, les écartai et découvris les petites lèvres
Je senti alors le voile de son vagin et remontai sur son bouton damour gorgé denvie. Je fis des mouvement de haut en bas partant des bases de ses lèvres jusquà son clitoris que je m'ingéniais à tantôt titiller tantôt pincer légèrement...Alors de deux doigts, je serrai un mamelon et remontant son t-shirt, je lui suçai le sein doucement en passant ma langue autour de son téton puis je le mordillai gentiment en même temps que je trouvai l'orifice de son vagin dégoulinant. Je commençai alors à parcourir de nouveau ses fesses, ma main gauche cherchant à rejoindre ma droite qui agaçait le clitoris de ma belle Anna. Mes mains se rejoignirent dans un de ses gémissements qui faisaient figure de cri étouffé. Mon majeur gauche tentait de pénétrer millimètre par millimètre son vagin qui faisait ventouse sur mes doigts humide tandis que mon majeur droit titillait son clitoris avec fermeté
Je ne sentais plus mon gland tellement lui donner du plaisir mexcitait
.
Alors qu'elle gémissait tendrement et sauvagement, je la senti se ressaisir, ce qui me surpris : elle m'embrassa alors fougueusement et tira mes mains de leurs douces rêveries. Elle me regarda dans les yeux, passa sa langue sur sa lèvre supérieure et sans me parler, me fit comprendre que je devais m'allonger sur le sol humide
Ce que je fis sans tarder.
Elle respirait fort, elle était haletante et je remarquai quelle souriait. Assise, elle recommença a me frotter la queue à travers mon jeans et je commençai alors à bander comme jamais avant. Je sentais ses doigts devenus expert apprécier la longueur, la grosseur et lexcitation de ma bite. Elle entoura mon gland quelle titillait en appuyant fort dessus.
Alors que je prenais déjà mon pied, fermant les yeux, jentendis quelle abaissa ma braguette. Ni trop vite, ni trop lentement. Et je senti ses doigts fins écarter les pants de mon short en jeans puis se glisser à l'intérieur et me frotter le pénis turgescent, comme avant, avec gourmandise. La sensation de ma queue frottant sur mon caleçon et ses doigts enserrant complètement ma queue à travers le tissu me fit gémir fort. Elle prit alors son temps pour caresser mon bas ventre de ses doigts et de me susurrer à loreille « tu aimes ça ? » je répondis par un gémissement intense lorsquelle soulevant de deux doigts lélastique de mon caleçon avant dy passer la main. Je senti alors sa paume chaud et ses doigts parcourir les veines de ma bite. Je sentais ses doigts caresser superficiellement la peau fine de mon fourreau ce qui me procura une sensation de chatouillis érotiques.
Quand elle prit mon gourdin dans sa petite main, je frémis.
Elle gémissait dans mon oreille quand elle le fit. « Laisse moi faire » me dit-elle. Je ne la contredis pas et voulu mettre mes mains sous ma tête mais une odeur de cyprine, une odeur âcre, salée, marine monta dans lair au moment où je passai mes mains au dessus de mon visage. Alors, tandis quelle caressait doucement ma queue, je pris le temps de sentir mes doigts et de me délecter de cette odeur. Jintroduisis un doigt dans ma bouche et le suçai afin de récolter le reste de cette cyprine
Je voulu lui en faire profiter et lui caressai la joue avec mon doigt de mon autre main, je glissai mon majeur vers sa bouche et introduisis facilement mon doigt entre ses lèvres pulpeuses. Elle passa sa langue sur mon doigt en gémissant et remonta, en un mouvement de va et viens, ses lèvres sur mon doigt.
Elle libéra dun coup ma queue de son caleçon et je senti lair frais de la nuit contrastant avec sa main chaude. Cest à ce moment là que, par surprise, elle commença à me décalotter. Ce décalottage sauvage me fit émettre un « oooh putaiiin » de satisfaction. Mon gland à lair libre semblait pulser denvie. Elle devait sentir le poids de mon pénis dans sa main car elle me rassura en disant « Jadore ta queue, elle est parfaite, laisse toi faire » avec un sourire charmeur devant mon regard inquiet de puceau. Elle se pencha vers moi et me roula une pelle en fermant les yeux tout en commençant à me branler doucement : elle faisait des vas et viens sur ma hampe et parfois jouait de ses doigts sur mon gland afin de titiller mon frein ou les bords de mon gland... Je tremblais littéralement de plaisir et je sentais tous mes nerfs à vif me parcourir le corps... Des éclairs me transperçaient de partout
J'étais dans un rêve, je fermais les yeux et je ne pouvais me focaliser que sur mon gland, unique source de mon bonheur d'alors... Je sentais ma rosée de désir parfaire le glissement de ses doigts des bords de mon gland à la base de ma queue.
Dans mes rêveries, je senti alors un changement. Je la sentis se pencher en gémissant et soudain, une caverne brulante et trempée étreignait à présent mon gland gonflé
J'ouvris les yeux et contemplai une jeune femme me regarder amoureusement tandis que ma queue avait disparu entre ses lèvres que je voyais monter et descendre tandis que je sentais sa langue tourner à l'intérieur autour de mon gland, lui écrasant la pointe et les bords dans un étaux moelleux et douillet. Je sentais chaque fibre de mon corps transpercé déclair de plaisir et je vis de la salive perler le long de ma hampe, ce qui ne fit que mexciter davantage
Ses yeux me fixaient avec amour tandis que je sentais ma queue se mouiller entièrement et entrer dans ce logis chaleureux à chaque mouvement. Je gémissais tellement fort et je sentais qu'elle aussi gémissait en me suçant... Je la voyais parfois me libérer de son étreinte buccale et titiller mon méat avec sa langue, descendre le long de mon frein jusqu'à mes couilles, qui à chaque fois s'engluait un peu plus de salive et de jus... Elle prenait alors doucement chacun de mes testicules et d'une pression, les faisait rouler dans ses doigts ce qui me procurait une douleur radieuse....
A chaque reprise en bouche, je me tordais de plaisir et ne cessais de gémir et de mécrier « oh ouiii » « jaime çaaa » « continue » « je taiiime ». Ce à quoi elle répondait par des sourires, des gémissements, des coups de langues bien placé ou une pression plus forte sur mes couilles
Parfois, elle venait membrasser et en profitait pour enduire un peu plus mon pénis de salive. Elle continuait de me masturber doucement tout en membrassant
Je sentais alors le gout de ma queue, sa salive et un peu de sperme couler dans ma bouche
Je la trouvais magnifique
Alors, sans prévenir, jeu un sursaut, je senti mes couilles se presser légèrement, un peu de liquide parcourir mes couilles vers mon gland, ma queue gluante sursauter et mon gland grossir... « Je vais venir mon amouur » dis-je dans un souffle, parcouru par un plaisir si intense que je manquai de défaillir. Je lâchai mon jus chaud et salé dans sa bouche alors qu'elle mordillait mon gland en le frôlant de sa langue... Elle gémit de plaisir et me regarda avec des yeux doux... Je la senti me pomper doucement, doucement, doucement, et avaler une partie du liquide crème avec gourmandise et sauvagerie... avant de membrasser langoureusement, partageant ma semence dans une étreinte amoureuse.
« Attend, je vais t'aider à te tenir en forme » dit-elle en saisissant ma hampe de ses fins doigts de fée... elle me branla dans le reste de mon sperme non avalé et lorsqu'elle senti ma queue redevenir aussi dure que de la pierre, elle me dit : « A ton tour mon coeur... » avec un sourire malicieux...
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