Colombie 2
Je passais la porte de mon appartement en poussant un soupir de satisfaction. Comme à l'aller le retour dans le train avait été une horreur absolue avec une marâtre qui s'était mit dans l'idée de hurler tout haut que j'étais un sale dégénéré de service qui faisait honte à la morale. Ah non non, je n'avais rien fait de spécial, juste roulé un gros patin à ma kenyanne sur le quai...Je vous jure des fois on se croirait dans un autre monde.
Je jetais négligemment mon sac et mon manteau sur mon canapé avant de me rendre d'un petit détail...Ma porte n'était pas fermée..Avant dire tout haut le « eh m**** » de circonstance Je sentis des bras m'entourer.
-Hmm bon retour mon mignon.
-Je ne me souvenais pas que je t'avais confié mes clés ?
-J'ai crocheté ta serrure...Je suis sure que tu as besoin de te détendre.
Tout en parlant elle me caressait à travers le tissu des vêtements. Elle me serrait dans ses bras noueux comme l'aurait fait un serpent. Alors que je tournais la tête pour chercher ses lèvres et son regard hypnotisant. Joueuse, elle fit courir sa langue sur mes lèvres et passa ses mains sou mon tee shirt. Je crus qu'elle allait me le retirer et en lieu et place elle fit glisser mon pantalon sur mes genoux.
-C'est ce vêtement la que j'adore le plus. D'abord il n'y a rien, juste une une masse. Puis j'y met ma main, et je masse un peu...hmm je sens que ça prend de l'ampleur, ça devient chaud.
-Tu sais, ce que j'adore surtout c'est quand tu me l'enlèves...Oui j'aime bien aussi quand tu y vas aussi doucement en jouant avec l'élastique...Non ne le tire pas !
-shhht, je veux juste le voir jaillir..
Et elle fut satisfaite car mon sexe bondit littéralement, dur et prêt à la combler, dans tous les sens du terme. Elle releva légèrement mon tee shirt. Pendant un moment elle me le caressa du bout des doigts puis elle l'empoigna franchement et commença une vigoureuse branlette.
Elle me malaxait les bourses en les soupesant comme si elles étaient remplies d'or et commentait avec délice à quel point elles avaient l'air bien remplies, et ce malgré les attentions de la belle kenyanne. Cependant avec la manière qu'elle avait d'insister sur le gland et de passer son autre main sur torse elles allaient bientôt se vider quelque peu.
J'avais chaud mais punaise, c'était tellement excitant que je me retenais de lâcher la sauce alors que cela faisait même pas cinq minutes qu'elle avait ma bite entre les mains. Ma colombienne me serra encore plus fort d'un bras et accéléra le mouvement de sa branlette, alternant entre le gland et la hampe dure comme une branche de chêne, avec la sève qui commençait à se faire visible.
-Ha...ha...je vais jouir..arrête.
-Allé mon mignon, lâche toi...j'ai tout prévu. Jouit, je veux te voir te vider...ferme les yeux.
A peine eus je fermé les yeux qu'elle me relâcha. Sentant ma bite se tendre ma belle mi femme-mi poivre/sel insista à fond et serra (pas trop) fort mon frein. Sous ce traitement efficace je jouit et me déversait à grand jet, le sexe tressautant et heurtant quelque chose de froid. Une fois vidé j'ouvris les yeux et vit un verre (complètement bien sur) rempli de mon sperme.
Je m'affalais dans mon canapé, toujours débraillé et avec un sourire ma belle colombienne but d'un coup le contenu. Elle sembla lapprécier un moment avant de me dire le plus naturellement du monde.
-Hmm, de tous les grands crus c'est mon préféré
Elle s'assit à coté de moi et se mit à m'embrasser. Après quelques moments elle fit glisser une main et se mit à jouer négligemment avec mon sexe à portée. Je me débarrassais vivement de mes vêtements alors qu'elle se couchait sur moi en me couvrant de caresses. En sentant sa poitrine ferme je devinais qu'elle ne portait pas de soutient gorge et j'avais la nette impression qu'elle ne portait pas de culotte non plus.
Je l'entourais de mes bras pour la caresser mais aussi pour la faire se redresser. Ce n'était pas que mon sexe reprenait petit à petit de la vigueur mais je voulais la voir nue et profiter d'une partie de baise où cette fois ci j'aurais le dessus, pas juste commandé les choses mais bien la dominer à grands coups de reins.
Histoire de jouer les aguicheuse elle mit tout son temps pour enlever son haut, me laissant le soin de déboutonner son pantalon. Et la coquine ne portait pas de culotte. Je glissai un doigt autour de sa fente et immédiatement elle se mit à murmurer des mots en espagnols que je comprenais néanmoins.
Au moment où ma belle colombienne fut le plus vulnérable, son haut lui masquant la vue et son pantalon baissé jusqu'aux chevilles, je la saisit par les hanches et avant qu'elle n'achève son cri de surprise l'avais plaqué contre la table de ma cuisine. J'étais dur comme du bois à l'idée de la prendre en levrette, son minou hurlait d'être pénétré par mon pieu. Et bloqué comme elle l'était..
-Ouh !
-Je t'ai fait mal ?
-Non mon beau. J'hâte de te sentir..et je suis coincé dans mon shirt !
-Attends que je te culbute...tu vas pas pouvoir t'en sortir...
J'enlevais mon pantalon tombé puis d'une main j'insérai mon sexe en elle dans un grand frisson de plaisir. Je m'enfonçais entièrement et profitait délicieusement d'être aussi profondément en elle, mon ventre contre ses fesses. Je l'encastrais encore plus contre la table pour l'empêcher de bouger et lui léchais son dos avant d'aller en arrière et de commencer un grand mouvement de rein.
Ma belle colombienne poussa un gémissement étouffé par son haut. Je tenais son cul à pleine main, faisant de grand vas et vient qui faisaient claquer mes couilles contre sa peau. Elle essayait bien de participer mais ses jambes prises dans son pantalon la gênait trop et je la démontait avec trop de force pour qu'elle finisse de se déshabiller.
Elle parvint finalement à sortir une main et tenta de sagripper à la table. Ah ça non ! Je me mis sur elle pour l'empêcher de bouger et me mit à la pilonner de plus en plus vite. Elle cria en espagnol sous ce traitement et je sentit ses jambes flancher. Sans appui son corps et surtout ses seins s'écrasait sur la table. Ma colombienne fut agitée de spasme et cria sa jouissance que le tissus étouffa à peine. Satisfait je me retirai d'elle pour me masturber devant son joli fessier et je giclai dans un grand soupir sur son cul appétissant.
Ayant enfin enlevé ses dernier vêtement mon amante se retourna vers moi, son visage d'ordinaire pâle était empourpré. Elle s'agenouilla devant moi et nettoya mon sexe de sa langue, concluant ce moment intense.
Nous avons passé les deux heures suivantes à papoter, manger et prendre une bonne douche chaude un tout petit peu coquine avant d'aller sous la couette épaisse. Ah vraiment qu'elle était belle. Franchement j'aurais été déchiré si j'avais dû choisir entre elle et la kenyanne. Heureusement la situation ne se posait pas ; et je tiens à préciser que ce n'était pas qu'une question de sexe. Faut avouer qu'au final ce n'était pas trop étonnant, on était tout les trois borderline sur les bords et pas vraiment pétri d'éducation classique (et le/la premier qui dit que le sexe aide beaucoup.....a raison) puis bon...
Enfin bref je sentais sa main qui me caressait le flanc et je commençais à sentir venir le désir d'une dernière partie de sexe avant le sommeil.
-Hmmm j'ai l'impression que tu n'arrêtes jamais.
-Tu t'es déjà regardée dans un miroir ? Le miracle serait que je ne sois pas excité.
-Hahaha c'est flatteur, surtout que je suis plus vieille que toi.
-Mais non, à peine. Tu as 4 ans de plus seulement.
-Je me souviens que 4 fait beaucoup non ?
-La non.Tu as peut être des cheveux blancs mais cela te rend hyper sexy et tu débordes de vitalité quand on fait l'amour.
-Tu es maladroit.
-....
-Aller viens la.
Ma colombienne repoussa la couverture et se mit sur mon ventre. Elle passa ses mains calleuses sur mon torse et commença un délicieux massage. Ses paumes étaient chaudes, ce qui contribuait à m'exciter quelques peu. De temps en temps ses seins se pressaient quand elle croisait ses bras ce qui était absolument sexy.
Je ne la laissais pas faire tout le travail ainsi et glissais mes mains sur ses hanches. Elle me répondit par un soupir et pressa encore plus mon torse. Je continuais en allant vers son ventre puis en malaxant sa poitrine qu'elle avait bombé en une invitation charmante. Pendant ce temps mon sexe c'était dressé contre ses fesses qu'elle remuait un peu histoire d'apprécier ma dureté.
Nous avons promené nos mains sur nos corps pendant de longues minutes avant que soudainement elle ne plaque mes mains sur ses seins et me demande de les pétrir. J'obéis avec joie bien sur, ses tétons durcis par l'excitation....hmmmm. Elle recouvrit en partie sa poitrine avec ses cheveux ce qui rajoutait a son sex appeal.
Ensuite....eh bien ce fut un moment intense mais pas déchaîné. Dans le noir, avec juste la lumière filtrée par les rideaux. Il y avait une atmosphère...beaucoup plus intimiste je dirai, encore plus isolé du monde dans le noir, rien hormis nous deux.
Au début nous étions un peu maladroit, on avait du mal à se coordonner, souvent j'étais surpris quand elle se penchait sur moi pour m'embrasser à pleine bouche ou que je heurtais son bras quand je voulais la caresser. Elle ne donnait pas de grands coups de reins mais préférait se déhancher lentement et sensuellement sur mon pieu.
On ne parlait plus, les choses devenait instinctives, nous avons basculé en position de l'aigle (c'est ma colombienne qui me l'a dit ensuite, j'avais pas encore tant d'expérience) et synchronisé nos mouvements, reculant et avançant ensemble avec la même régularité comme si nous voulions fusionner l'un dans l'autre.
Le plaisir qui grimpait en nous était comme un arc tendu, c'était juste trop bon de faire l'amour avec cette femme. Et l'arc de notre plaisir se détendit d'un coup, l'orgasme nous frappa tout les deux, je jouissais à grand jets en même temps que son antre de plaisir se serrait de manière erratique. Nous nous somme endormis peu après, sa douce haleine contre mes lèvres.
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