Tel Est Pris Qui Croyait Prendre - Chapitre 1
Jétais en 1er, javais 18 ans, les hormones en ébullition. A cet âge, les mecs courent après les filles au lycée, et doivent montrer leur virilité afin dobtenir leurs premières conquêtes, le respect des autres et de la confiance en soi. Dans une autre classe, il y avait un mec, Julien, petit, pas très beau, et souffrant dun handicap, il boitait en permanence dune manière ostensible. La loi du plus fort est malheureusement cruelle et sans pitié. Il était différent et donc moqué par ses camarades, souvent ciblé par des blagues pas très sympas et souvent la risée dans la cour. Venait sajouter à cela un manque de confiance en soi, et une difficulté à sexprimer.
Etant assez banal et suiveur à cet âge-là, je suivais les mecs sûrs deux et chefs de bande. Je participais de temps en temps à ces moqueries pour être du bon côté du troupeau et me faire accepter plus facilement. Pourtant, je savais depuis quelques temps que je nétais pas comme les autres. Les gars mattiraient et je fantasmais souvent sur les beaux gosses du lycée, en mastiquant régulièrement en pensant à eux et en mimaginant à la place des filles quils conquéraient.
Un jour, je me suis inscrit sur une application de rencontres en ligne car jétais de plus en plus en chaleur et javais besoin de découvrir les joies du sexe entre mecs. Très vite, je commençai à discuter avec un mec, avec qui jaccrochais bien. On a discuté de nos envies, nous avons avoué que nous étions tous les deux puceaux et que nous souhaitions la plus grande discrétion. Sur son profil, il y avait quelques informations : cétait apparemment un mec assez petit, de corpulence mince mais il navait pas mis sa photo. Très vite, on a commencé à se chauffer. Il ma promis que son outillage était dun bien plus gros diamètre que la moyenne. Je lui rétorquai que la porte dentrée et le couloir étaient très étroits chez moi mais quil pourrait tenter de sy glisser. « Tes passif ? » me demanda-t-il.
Il habitait dans la même ville que moi. Il était donc temps déchanger nos photos afin de faire, pourquoi pas, plus ample connaissance. Il menvoya sa photo en premier. Je fus pris de stupeur en constatant quil sagissait de Julien. Je fermai lapplication et ne répondis plus. Ce serait la honte de faire ma première fois avec un mec handicapé. Je vaux mieux que ça. Je souhaitais donc que cette conversation nait pas de suite. Quelques jours plus tard, je me reconnectai pour chercher dautres profils, ne répondant pas aux questions de Julien qui sénervait que je ne donne plus signe de vie, pensant que je ne trouvais pas son physique attirant. Mais les hormones étaient là et insistaient pour que je trouve un mec le plus vite possible. Finalement, je ne trouvais pas Julien si moche que ça. Si je ne lavais jamais fréquenté auparavant au collège, il maurait plutôt attiré dun premier abord, son visage juvénile avait un certain charme et traduisait à la fois un manque de confiance charmant mais également une envie de se faire sa place dans ce monde. En plus, les mecs petits mattiraient assez dans le genre « je suis peut être petit mais je vais vous montrer ce que jai dans le ventre ».
Il fallait que je me décide. Dun côté on sentendait bien et javais envie de sexe le plus rapidement possible. De lautre, je pensais à la honte que ce serait si mes amis apprenaient cela. En plus, à ce moment-là, je navais parlé de mon attirance pour les mecs à personne. Mais je me disais quaprès tout il ny avait pas de raison que Julien ébruite cette relation.
Après quelques jours dhésitation, je mexcusais de ne plus lui avoir répondu et je le relançai : « en fait on se connait » en lui envoyant ma photo. A son tour, il ne donna plus signe de vie. Cétait de bonne guerre. Je comprenais tout à fait surtout quil avait pu penser que je cherchais à le piéger pour quil soit une fois de plus moqué par les autres.
On se retrouva à un bar un samedi en fin daprès-midi aux alentours de 17h30. Jarrivai en premier pour inspecter les lieux. Pas de camarade de classe à lhorizon. Je massis à la terrasse du bar, scrutant nerveusement autour de moi. Cinq minutes plus tard, je le vis arriver, boitant comme dhabitude du pied gauche et pas rassuré. A cet instant je ne comprenais pas ce qui mavait pris daccepter un rencard avec lui. Quest ce quil marrive ? Je devrais être avec une fille, en train de la charmer. Au lieu de cela, je mapprête à sortir avec un mec et en plus un mec moqué et handicapé. Après une grosse hésitation et lenvie de menfuir en courant, je décidai de rester. Après tout, je nétais quun mec banal, ni sportif ni trop gros, ni trop petit ni trop grand, qui avait envie de découvrir les joies du sexe entre mecs.
Il sassit, me salua, très gêné. Après quelques secondes de silence, je fis leffort de lancer la conversation sur des trucs banals. Comme sur lapp, on sentendait bien. On discutait de tout et de rien, on avait quelques passions en commun et je sentais quil prenait de plus en plus dassurance. Vu la foule autour de nous, on évitait bien sûr de parler de choses intimes. Mais je narrivais pas à me contrôler, jétais en ébullition à lintérieur de moi. Sans comprendre pourquoi, il mexcitait. Rien que de me rappeler la taille possible de son engin me faisait légèrement cambrer le bassin. Javais déjà tenté de me mettre des doigts mais là on parlait dautre chose.
Je me demandais si finalement moi je lattirais. A 18h15, on demanda laddition puis on partit. Après un nouveau silence, la phrase que jattendais retentit « ça te dit de passer chez moi ? Mes parents ne sont pas là du weekend, on peut faire du jeu vidéo ou autre
». Jacceptai et on alla chez lui. « Et pas besoin de maider par rapport à mon handicap, je sais tout gérer moi-même » précisa-t-il. Je sentis beaucoup de fermeté dans ces propos, me rappelant par la même occasion quil n y a encore pas si longtemps, je me moquais de lui.
Une fois chez lui, je commençai à me sentir en zone dinconfort alors que lui fut de plus en plus à laise, les rôles étaient inversés par rapport à dhabitude. Je découvris son appartement situé dans un quartier populaire. Cétait un 4 pièces avec un grand salon. Deux chats gambadaient dans nos pattes. Il me demanda si je voulais boire, jacceptai. Je bus une gorgée et reposa mon verre. Je commençai à lui demander à quel jeu il voulait jouer quand il sapprocha de moi par surprise et me roula une pelle aussi soudaine que délicieuse. Jétais encore assis sur ma chaise, je ne mattendais pas à une telle prise dinitiative. La surprise passée, jacceptai sa langue en offrande, je me levai à mon tour pour létreindre et je tentai de répondre avec ma langue à ses tours de palet incessants. On sallongea sur le fauteuil familial et on se roula des galoches pendant de longues minutes. Nos deux sexes étaient au garde à vous, durs comme du béton. Japerçus une forme à travers son pantalon et remarquai quil navait pas menti.
Au départ, jessayais de garder le contrôle. Je suis un mec quand même, je me moquais de lui il y a encore quelques jours, il faut que je garde la face, que je mène la danse et que je sois actif, me disais-je. Jessayais donc de prendre des initiatives, de le tourner. Mais très vite je sentais quil était très à laise.
Il me glissa à loreille « Je croyais que tu nétais pas passif ? Ça ma tout lair du contraire. Ça tombe bien. Tu nas pas été très sympa avec moi ces derniers temps et jaimerais te donner une bonne leçon. Tu ne seras pas déçu. » Je fis mine de ne pas être daccord. « Ok, alors je vais te prouver tout de suite que tes un vrai passif ». affirma-t-il. Il ouvra sa pantalon et sortit son engin. Après une seconde dadmiration en voyant cette magnifique forme oblongue, je me penchai immédiatement vers son sexe pour commencer à le sucer avec appétit. Son sexe était comme je lavais imaginé, 18 cm de long mais surtout pratiquement 6cm de large, un sexe de compétition qui ma mis dans tous mes états rien quen le voyant, je devenais encore plus en chaleur. « Tu vois je te lavais bien dit ». dit-il fièrement en pointant le miroir. Je me retournai et me voyais en train de lui tailler une pipe. Il rangea son sexe « pas trop vite, je sais que tu en meurs denvie mais attends un peu ». Je finis par lancer un pathétique « je suis heureux de te connaitre », digne dune pucelle conquise par le mâle. Ce fut un signe de victoire pour lui car javais définitivement accepté sa domination sur moi et une forme de soumission, jétais à lui. Mon corps lui était offert et il pouvait en jouir comme il le voulait. Il mavait dragué sur une appli de rencontre, mavait fait venir chez lui, mavait embrassé et je métais retrouvé avec son sexe dans ma bouche, tout cela sans que je refuse un seul instant ses avances. Et ce nétait que le début.
Après quelques jeux de corps à corps viril et quelques prises de lutte acrobatiques où je valsais dans tous les sens, il commença à menlever mon t-shirt, à me déboutonner le pantalon, à me glisser sa main dans lentrejambe et le long de mes fesses. Puis il mordonna « désape toi entièrement ». Jobéis et enlevai le reste de mes habits. Je me retrouvais nu devant lui alors que lui était encore totalement habillé. Par acte de soumission, cétait à moi de me dévoiler le premier. Il recommença à membrasser et me donna des claques sur les fesses. Javais le cul assez rebondi, bien dessiné, légèrement musclé car je faisais du football et javais naturellement de belles formes. « Ça ma lair très accueillant par ici » sexclama-t-il en me caressant le long de la raie. Jétais de plus en plus excité et impatient de voir et de sentir son corps. Jétais pressé de pouvoir manipuler plus profondément son sexe que javais déjà pu goûter. Il se leva, prit ma main et mentraina par la même occasion par terre sur le tapis. Alors quun mec normal aurait tout de suite réagi en se défendant et en répondant à ce geste, je ne fis rien. Jétais à lui. Je mapprochai immédiatement de son entrejambe. Jétais à genoux entièrement nu, et lui était debout, attendant que sa femelle lui fasse une gâterie. Je ne me fis pas prier pour baisser son pantalon et son boxer. Je lui lançai un regard mêlant satisfaction, envie et soumission. Il me répondit avec un petit sourire en coin et me dit « jai peut-être un handicap pour marcher mais comme tu le vois jai dautres atouts et tu vas pouvoir en profiter ».
Je mempressai de commencer à lécher son sexe, le branler avec ma main, jadorais sentir ce gros cylindre dans mes mains, il était dur, innervé et on voyait les veines tendues comme jamais. Je faisais de mon mieux pour lui procurer du bonheur, comme cétait la première fois que je suçais une bite. Je tentais de reproduire les scènes que javais pu voir sur le net. Son sexe était si épais quil nétait pas facile de le mettre en bouche. Mais je me doutais quavec un peu dentrainement, ce ne serait quun jeu d. Je commençai à exécuter des mouvements de va et vient, ma gorge se détendit progressivement et je fus désormais capable dapprofondir la chose. Je lentendais pousser des soupirs et des gémissements, il aimait ça. La scène était encore inimaginable il y a quelques jours : moi entièrement nu, à genou en train de tailler une pipe à un mec qui était la risée du lycée, mais qui était membré comme un dieu. Même les chats dans le salon me regardaient de manière étrange, tellement je prenais du plaisir. Jaimais tout : voir son sexe rentrer dans ma bouche, lodeur et le goût de son sexe, le bruit quon entendait quand je suçais et la sensation de bouche pleine quand son pénis entrait entièrement dans ma bouche. Alors que je lui léchai ses deux grosses boules avec envie, il commença à enlever ses vêtements et dévoila son corps imberbe au niveau du torse mais avec une légère pilosité au niveau des jambes et des fesses. Il était frêle, peu sportif mais pas gras. Il avait même quelques petites formes de musculature ici ou là, il semblait avoir le corps dur, comme un vrai mec. Cela augmentait encore mon niveau dexcitation.
Il plaça ses mains sur ma tête. Il voulait prendre les choses en main. Il me donna quelques bifles que je sentis passer vu la taille de lengin et enfonça son sexe énergiquement au fond de ma gorge. il fit des mouvements de va et vient, en me serrant les cheveux. Il était en train de me défoncer la bouche et ne me laissait que de courts répits pour respirer. Il poussait des gémissements de plaisir et je ne pouvais rien faire dautres que de le regarder, totalement pétrifié par ce pénis de classe mondiale. Je navais jamais imaginé que ce sexe puisse passer aussi facilement dans ma bouche. Il allait de plus en plus loin, je commençai à donner des signes de fatigue alors il arrêta un instant. « On dirait que tu as sucé des bites toute ta vie dis donc, taimes vraiment ça » Jacquiesçais de la tête avec un sourire qui en disait long. Alors que je récupérais encore mon souffle, il fit une deuxième fournée et il arrêta car il ne voulait pas éjaculer tout de suite. « Jen nai pas fini avec toi » me prévint-t-il. Il mordonna de me lever, me donna une bonne claque sur les fesses et me poussa vers lavant. « Allez on va dans ma chambre, à toi lhonneur ». Je le vis dissimuler quelque-chose dans ses mains mais je ne pus déterminer ce que cétait.
Sa chambre était une chambre dados classique, avec des posters de films, une console de jeux, une petit TV, des étagères et un lit une place. Il y avait également un clic-clac qui faisait office de fauteuil pour la TV. Il était déjà ouvert en position lit, signe que Julien espérait bien quon arrive jusquà cette étape. Nous étions tous les deux entièrement nus, jattendais quil dirige la suite des opérations. Il me poussa sur le lit avec autorité. Je savais que jallais passer un sale quart dheure, mapprêtant à me faire dépuceler par une queue bien épaisse. Il me roula une pelle de réconfort, me suça la bite quelques instants ce qui me procura quelques frissons. Puis je me mis à plat-ventre sur le lit. Sa bouche arriva jusquà la raie de mes fesses. Il commença à me lécher lanus, ce qui me fit pousser un cri de gémissement puis il cracha violemment sa salive dans mon trou. Jadorais la sensation de sa langue sur mon anus, cela provoquait des chatouillis et des frissons. Il commença à jouer avec ma rondelle avec un doigt. Mon anus fut un peu réticent au début mais au fur et à mesure je sentais quil se détendait et que la lubrification faisait son effet. Avec ces deux doigts, il réussit à atteindre ma prostate quil massa. Jétais déjà en chaleur mais là cétait indescriptible, jétais complètement en extase et je me retenais à le supplier de me foutre son gros sexe tout de suite. Après quelques minutes de préparation, il enleva ses doigts et prit un flacon de gel daloe vera quil avait piqué à ses parents pour appliquer le liquide sur son sexe toujours aussi dur. Ça y est il n y avait plus déchappatoire possible.
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