Le Pion 1
Une sortie en club libertin avec ma moitié a réveillé de vieux souvenirs
Je vais passer sur les aventures de Léa, mon épouse pour arriver à un moment où après que son amant dun soir venait de lui jouir sur les seins, elle ma demandé, non seulement de lécher le sperme, mais surtout de lécher le sexe de lhomme, tout maculé de cyprine et avec encore une goutte de sperme sur le méat. Dabord rétif, je me suis exécuté, déposant mes lèvres sur le gland offert , pour finalement le gober et le sucer jusquà ce quil soit propre ; puis ce fut le tour des seins de Léa pleins de jute ; bizarrement, cela non seulement ne ma gêné, mais jy ai pris un certain plaisir, ce quelle a pu constater en me branlant la tige bien bandée.
De retour à la maison, elle na pas manqué de revenir sur le fait , ce qui ma permis de me souvenir dune aventure, il y a très longtemps, alors que jétais au lycée.
A lépoque, pour ma terminale, jai été pensionnaire, mes parents étant en déplacements professionnels trop loin pour jaille sans problème dans mon lycée où javais fait toutes mes études. Sportif, jétais bien bâti et je le reconnais très porté vers les filles et bêtement je men vantais parfois. A lépoque, le bizutage existait encore, et une nuit, lors dun week-end, je me suis retrouvé entouré de plusieurs anciens, qui me mettant à poil, ont commencé à me branler, en me disant « tu connais les filles, on va te faire connaitre le plaisir avec un mec »
Javoue que rapidement sous leffet de plusieurs mains , me branlant, me triturant les couilles, je me suis mis à bander, puis à éjaculer sur moi. Mais pour eux le jeu nétait pas fini ; maintenu par plusieurs mains énergiques, je me suis retrouvé les jambes relevées, dévoilant ainsi mon sillon et avant que jai pu réagir, malgré ma réaction de défense, et bâillonné pour que je ne puisse crier, lun dentre eux, crachant sur mon anneau a introduit puissamment son gland dans mon conduit, vierge de toute possession ; lorsque lanneau a cédé, un violente douleur ma traversé le corps, puis le membre sest enfilé dans mes entrailles ; alors que deux dentre eux venaient de juter sur moi, me souillant le ventre je me faisais sodomiser, heureusement par un membre de petite taille et malgré les coups de butoirs, la douleur diminuait, faisant place à une douce chaleur dans mon ventre ; je ne résistais plus, bien au contraire et quand il a giclé, me remplissant de sperme, ma jouissance a déferlé : je venais de perdre mon pucelage et javais finalement apprécié.
Afin de me nettoyer , je quittais la chambrée, pour la salle deau, encore fébrile du plaisir que javais ressenti ; jai dû faire trop de bruit car jai vu arrivé le pion, en pyjama, qui me voyant a vite compris ;
« va te couvrir et reviens , nous devons parler » ; un peu inquiet jai rejoint la chambrée et jai raconté ma rencontre avec le pion
« Rassure-toi, ce nest pas la première fois, et si tu es compréhensif, tout se passera bien » javoue que je nai pas compris et cest tendu ( pas le sexe) que je lai rejoint ; dentrée, il attaque les questions :
« Que test-il arrivé, je veux savoir pourquoi tu te laves si tard, » debout devant lui , je nen mène pas large, mais il ne semble pas agressif, mais le rappel est ferme : » tu te décides ou lon voit cela demain devant le censeur ! »
« Rien de grave, jai eu le droit un bizutage, rien de plus » « continue ! » Rouge de honte, je lui raconte les faits sans dire que je me suis fait sodomiser ;
« À voir la bosse dans ton pantalon, je suppose quil ny a pas eu que cela, alors raconte ! » En effet je bande ferme, mais gêné par la tournure des événements, je me tais .
« Et toi, tu les as touchés » jen profite pour dévier la conversation « non-Monsieur » « tu es sûr de tout me dire, car à voir comment tu bandes, je suppose que cela a été plus loin » il sest rapproché de moi « et tu aurais aimé les toucher, dis la vérité »
Un signe de tête de ma part. il est à côté de moi et il se frotte discrètement contre mon épaule ; il est facile de voir que lui aussi bande « je ne toblige pas mais tu mas excité et si tu veux, tu peux toucher. » Je la sens battre contre moi, mais je nose pas. Je pense quil a compris car me prenant la main , il la pose sur la bosse tendue « vas-y sort là » je ne contrôle plus, et comme un automate, jouvre son pantalon et sa queue jaillit, épaisse, énorme par rapport à la mienne ou à celle qui vient de me déflorer. Me prenant la main, il la pose sur son sexe ; un courant me traverse le corps et je nai plus quune envie me faire à prendre à nouveau ; jai envie de la sentir en moi, de jouir comme tout à lheure lors que je me suis fait emplir les entrailles.
Mais cest lui qui prend les commandes et me faisant mettre à genoux, il me présente sa queue devant la bouche « suce moi ! » Il pousse sa tige entre mes lèvre, il investit ma gorge ; cest la première fois que je suce un homme, mais le gout ne me gêne pas, jy retrouve celui de mes mains quand je me branle. Jai compris son envie et la mienne mencourage ; je lui tire sur les boules, lèche son méat, avant quil ne senfourne complètement dans ma gorge et quil commence à me pistonner. Soudain sa queue gonfle et avant que jaie pu me retirer, il jouit dans mon gosier, mobligeant ainsi à avaler ; jai déjà gouté mon sperme et jy retrouve le même plaisir ; sa jute me coule à la commissure des lèvres et sans même mettre toucher, à mon tour jéjacule.,
« Va te coucher maintenant, pas un mot et on se reverra demain »
Jai beaucoup de mal à trouver le sommeil, je repense aux événements de la soirée et je perçois un manque ; je comprends que jaurais aimé quil aille plus loin ; la queue a nouveau tendue, je sais que cet homme mattire et que je vais lui appartenir sil le veut
À suivre si cela vous plait ( lhistoire est réelle, même si elle est vielle de 40 ans)
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