Le Pion 2
le pion 2
Le lendemain matin, mon voisin de lit, celui qui ma sodomisé, a un petit sourire « tu es revenu bien tard
rassure toi, il mest arrivé la même chose »
Je dois avoir piqué mon fard. « tu as aimé ? Dis-moi ce quil ta fait « heureusement la sonnerie du petit déjeuner repousse ma réponse. ; au retour, cest le Week end et donc quartier libre. Et le soir, bien entendu, il revient à la charge, mais cette fois en parlant de lui : « après mon bizutage, comme toi, il ma fait venir dans sa chambre et finalement jai eu des relations avec lui, en revanche, javais déjà eu une aventure avec un copain, jai donc bien aimé, plus tard, je lai parfois rejoint dans sa chambre, pour mon plus grand plaisir A toi maintenant »
Je suis toujours gêné, mais ses révélations ont réveillé mes envies e je commence à être à létroit dans mon pantalon ; allongé sur le lit, Marc a sorti son sexe et il se caresse doucement « vas-y raconte, tu vois je ne me gêne pas » cest ce que je fais finalement et sous ces questions précises, je reconnais mon plaisir. « Viens me sucer, jaime les hommes et je crois que toi aussi » Cela me tenaillait depuis quelques minutes et sur la queue qui ma dépucelé que je pose ma bouche, maladroitement au début, puis ma langue senroule sur le gland ou lèche le méat ; ma main sest emparée de ses couilles et finalement je le gobe entièrement, sa queue butant sur mon palais ; je viens de lavaler et un gémissement traduit son plaisir.
pour la deuxième fois, je suce une queue ; il me baisse la bouche et je prends un plaisir immense ; je recueille la perle qui suinte au bout de son méat ; soudain il se retire , enlève mon pantalon et il me plaque à plat ventre sur le lit ; ses mains parcourent mon sillon, et un doigt triture mon anneau ; mon corps est parcouru de frissons ; je sais quà nouveau , je vais subir une sodo et cela mexcite ; sous moi, ma queue est tendue. Un jet de salive atteint mon petit trou et son doigt sinfiltre dans le conduit que je sens souvrir.
son gland se positionne sur lanneau accueillant et il pousse doucement « vas y encule moi, prend moi maintenant » une douleur me coupe la parole : il sest enfoncé, et comme hier , il ma perforé lanneau dune seule traite ; jai le feu au cul, mais je bande comme un fou ; jai une queue dans le fion qui me dilate, et mon plaisir monte de plus en plus ; la douleur se mélange à une vague qui me ravage les entrailles et je prends un plaisir de plus en plus grand ; pour la deuxième fois, je vais jouir grâce à un mec et à sa queue enfoncée jusquaux couilles , il se met en mouvement, de plus en plus vite , de plus en plus fort ; il me défonce, son bassin cogne contre mes fesses ; sous mon ventre , sa main a emprisonné mon mandrin et il le branle ; il ne me faut pas longtemps pour juter et ma semence lui remplit les doigts. Délaissant ma tige, il me remonte et emprisonnant mes hanches, il me percute le fessier comme un forcené ; cest à son tour de se vider et ses jets me remplissent les entrailles. Je dois me retenir pour ne pas crier mon bonheur mais quand il se retire, un grand vide ; jaurais aimé que cela dure plus longtemps face à face avec sa bite, bien plus grosse que celle de marc
Je repense alors à hier soir, et totalement nu, je me dirige vers les lavabos, sans prendre de précaution pour le bruit ; et le résultat est là. le pion me rejoint ; il comprend vite la situation et que je suis là pour lui ; me prenant par la main, il me tire vers sa chambre « si je comprends bien, tu as vite évolué, et je vois que tu as fait exprès de faire du bruit « je fais signe que oui, et dès la porte fermée, je me retrouve face à face avec une bite bien plus grosse que celle de marc ; la mettre en bouche me rappelle la nuit précédente et ma queue prend de lampleur ; jai à peine le temps de le sucer quil me retourne et magrippant par les épaules, il me plaque la poitrine sur la table et sans hésitation, il se positionne sur lanneau dilaté, encore plein de semence « je vois que tu viens dy gouter, ton trou est très accueillant et je vais te le démonter »
Sans aucune hésitation, il se plante et me perfore et même je suis bien dilaté, sa queue est beaucoup plus grosse que marc ; une violente douleur me transperce et je ne peux retenir un hurlement ; un vêtement me bâillonne, couvrant ainsi mes gémissements « tu vas voir tu vas vite apprécier ma grosse bite ; jai vite compris que tu aimais cela et ton cul va beaucoup apprécier et réclamer à lavenir ma queue » il ne se trompe pas, plus il me prend, plus le plaisir monte, et je jouis presque en continue ; ma jute sest rependue sur le sol.
En effet pendant toute lannée, je lui ai appartenu, le retrouvant dans sa chambre chaque fois quil était de permanence , ainsi quà lextérieur. Pendant six mois, je lai sucé, il ma possédé à volonté, me livrant même un soir , à un de ses amis ; les deux hommes mont possédé à tour de rôle, et ce tout un Week end . Inutile de dire ma jouissance après toutes se saillies et cest le cul défoncé que je reprenais les cours.
Aujourdhui le temps a passé ; javais oublié ces événements et il a fallu lenvie de ma femme pour me le rappeler et cela aller nous ouvrir dautres jeux, car maintenant dans nos soirées à trois, elle me livre parfois à son amant.
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