Collection Anne Ma Muse. Joyeux Noël (2/8)
Vous me connaissez, je mappelle Anne, jai 58 ans, je travaille à Besançon dans une entreprise de transport comme secrétaire.
Encore quelques mois et enfin la « quille » comme le dirait Chris71 dans ses récits du temps où il était dans la marine nationale.
Jai eu ma belle-sur Épiphanie, femme de Jacques mon petit frère, au téléphone de la Martinique où ils habitent.
Elle mapprend que mon neveu et filleul est arrivé en France ce matin par un vol direct jusquà Paris et quil va arriver à 17 heures à la gare de Besançon.
Avec Pierre, mon ami et amant, nous avons préparé la maison comme jai appris à le faire depuis ma plus tendre enfance, pour la période des fêtes de fin d'année.
Chez nous Noël était la fête majeur de notre famille, nous avions lhabitude de tous nous réunir dans ces années-là autour du sapin.
Cette année, comme les précédentes, mon frère seul parent qui me reste sera loin de moi, mais par la pensée nous serons réunis.
Mon fils, quant à lui est aussi loin de moi-même.
Il est en France, mais il fait partie de ceux qui ne sont pas de repos cette nuit là pour que nous soyons en sécurité.
Je suis triste, mais de savoir que Noël, mon neveu, sera là, cela me met en joie.
Avec Pierre, ce matin nous avons rempli le frigo de tout ce que nous aurons à manger.
Je vais préparer la dinde demain après-midi avec le foie gras pendant que Pierre soccupera de la table.
Nous dînerons aux chandelles à côté du sapin et du feu de bois quil aura préparé et allumé dans la cheminée.
Si nous avions été seuls tous les deux comme cétait prévu initialement, après le dessert et louverture des cadeaux, je me serais bien vue, nue sur notre peau de bêtes en pure imitation.
Sans être écolo, puisque je mange du foie gras, je fais attention à la nature qui fout le camp !
Pierre sest occupé des boissons, nous avons acheté du sucre en bouteille d'une marque bien connue persuadés quà son âge Noël est friand de cette saloperie.
Pierre voulait acheter des bananes pour les faire flamber le 25 à midi.
Jadore ce dessert, surtout avec le marc de Bourgogne qui permet de les flamber, mais je trouve que ça fait cliché.
Je noublie pas que Noël est "café au lait", plus lait que café car il a pris plus la couleur de son papa que celle de sa maman.
La dernière vision que jai de lui, cest une photo de tous les trois, il avait une coupe afro, les cheveux bouclés lui faisant un casque sur la tête.
Le train est annoncé.
Depuis combien de temps ne lai-je pas vu ?
Cest facile, ils sont venus de la Martinique pour que nous fêtions mes 50 ans.
Jétais encore mariée avec ce pourri de Léonard qui ma trompé le mois suivant avec une jeune pétasse alors quil avait tout ce quil fallait à la maison.
Je lai vue une fois, cette rivale, certes elle était jeune, mais comparée à moi qui ai des seins qui pourraient faire bander les morts, cette salope est plate comme une limande.
Combien de fois, quand mon mari me baisait en levrette, ne mavait-il pas dit quils étaient les plus beaux du monde, malgré mes cinquante ans !
Oui, bien sûr, le problème a dû certainement être mes 50 ans car cette pouffiasse en avait à peine 19.
Trente ans décart, même un peu plus, cest comme si moi Anne, je couchais avec Noël mon neveu.
Quel incongruité !
Toutes ces pensés me permettent de ne pas avoir trop froid, car le temps est couvert. Ils annoncent même de la neige pour demain dans la nuit.
Cest un tout autre garçon qui descend du train, un sac de sport placé sur son épaule quil tient dune main alors quil semble bien lourd, que celui que j'ai connu il y a quelque temps.
La première chose que je remarque, cest sa coiffure.
Fini lafro, il a une coupe normal si les cheveux bouclés et courts sont une coupe normale.
Il semble musclé dans sa parka, il est vrai quil a dû être surpris ce matin à sa descente davion.
Combien au départ de chez lui ?
30° à 35° avec une humidité de 70 %. 0° ici, plus dun serait surpris ne connaissant pas notre climat.
- Anne, je suis contente de te revoir, Pierre, je te reconnais tu étais sur les dernières photos que maman ma montrées.
- Bonjour Noël, je te félicite de ton bon travail à la fac et de lobtention de ton permis de conduire, quest-ce que tu as grandi.
Je taurais croisé sans savoir que tu venais, je ne taurais pas reconnu.
Tu es un homme maintenant.
Nous nous rendons à la maison, je lui montre sa chambre, la même que celle quil avait il y a huit ans.
Il est fatigué par le voyage et le décalage horaire.
Sans manger, il va se coucher.
Je suis dans ma cuisine quand je le vois arriver, couvert dun simple boxer blanc.
Je peux voir quil a un beau paquet, la bosse est impressionnante.
Ce qui mimpressionne aussi, cest la touffe de poils qui couvre sa poitrine, son ventre et bien sur ses cuisses. Cest le premier garçon que je vois si poilu. Des poils très noirs.
- Bonjour Anne, tu es déjà réveillée, jai dormi comme un bébé, que je ne suis plus.
Tu vas rire Anne, la dernière fois où je suis venu, tu portais le même peignoir.
Oui, le matin, je suis très souvent en peignoir pour mes occupations à la maison.
Un peignoir court en éponge fermé par une ceinture.
Depuis quil est arrivé, jaime quil mappelle Anne et non pas tante ou marraine. Anne ça me va, ça me rajeunit.
Il vient derrière moi et membrasse dans la cou, je ny prête pas attention je ne le prends pas pour un geste déplacé.
Mais je remarque qu'il est si grand quil me dépasse dune tête.
- Tu sais, jai un beau souvenir de ma venue ici.
Aide-moi à retrouver latmosphère que jai vécue et qui mobsède depuis ce jour.
- Que veux-tu que je fasse, tu as un fantasme ?
- Cette chaise, ma vie à commencé, mais sest arrêtée sur cette chaise, assieds-toi.
Le jeu mamuse, je massois, attendant la suite avec curiosité.
Je tire sur mon peignoir pour cacher mes jambes qui sont dénudés, mais comme il est court il ne cache pas grand chose, un peu mes cuisses mais pas mes mollets.
- Laisse les dénudées, elles étaient comme ça dans mon souvenir.
Nai pas peur, je vais masseoir sur tes genoux, cest comme cela que jétais quand jai eu ma première érection.
Mon sexe était encore petit et tu ne las pas remarqué.
Je suis surprise de ce que viens d'entendre et de la façon si décontractée ou il en parle.
En me disant ces mots, il sassoit comme il létait dans le passé, bien quaujourdhui il soit plus lourd.
Les souvenirs me reviennent, cest vrai que je lavais assis sur mes genoux lors de sa dernière venue, sans penser que jallais déclencher en lui une frustration.
- Anne, je vais faire un geste que jespère tu ninterpréteras pas mal.
Tu mavais pris dans tes bras et mon bras s'était retrouvé collé à ton sein.
Si tu savais depuis ce jour, le nombre de fois ou ce moment mest revenu en rêve.
Au début, jenvoyais des "cartes postales" dans mes draps que maman mobligeait à dire à Monsieur le curé pour que le bon dieu me pardonne.
Depuis, mon sperme ne partant plus tout seul, je me masturbe régulièrement en rêvant au galbe parfait de ton sein que je voyais comme maintenant je le vois dans le décolleté de ton peignoir.
- Noël, je suis flattée, que veux-tu que je fasse ?
Je vois mal ce que je peux faire.
- Anne, je suis encore puceau car jai ce souvenir dans ma tête.
Aide-moi à franchir le pas et devenir un vrai homme.
- Mais c'est impossible.
Tu es très jeune, surtout que Pierre est dans ma chambre, tu sais il est mon homme, même si aucun lien officiel ne nous lie.
Je deviens folle, je me rends compte que même sil est un peu lourd, ma main vient de se poser sur son sexe par dessus son caleçon.
Je vois aussi en baissant mon regard qu'il a une belle vue sur un de mes seins qui baille au travers le peignoir dont un pan s'est écarté.
Il doit voir mon aréoles large et brune et mon téton gros et dur.
Je baisse ma tête, son gland et une grande partie de sa verge sont maintenant sortis du boxer.
En allongeant, son gourdin n'avait plus assez de place dans le caleçon.
Il bande, je nai jamais vu une verge de ce volume et de cette longueur.
Je le caresse, je sens quelle palpite.
Je passe doucement ma main sur cette tige de chair.
- Lève-toi Noël.
Il le fait, je me lève à mon tour.
Je le fais sasseoir tout en mettant à nu son pieu.
Cest à mon tour de me présenter fasse à lui, décarter mes cuisses et de venir mempaler sur cette verge qui nen finit pas dentrer en moi.
Je suis peux être complètement folle, mais le plaisir qui menvahit est si bon et si fort quil est loin le moment où jaurais pu reprendre le contrôle de moi-même.
Je me mords les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir quand il me saisit sous les fesses et quil me fait monter et descendre sur sa verge.
Il est fort et musclé.
Il me soulève comme si j'étais une plume.
Que disait Épiphanie, sur ce que je faisais de mon sexe avec mon amant ?
Comme je suis placée, je vois la porte-fenêtre menant au jardin, la neige tombe, la partie de pelouse que je vois est déjà toute blanche.
Un moment jai envie de le sortir de moi de le prendre par la main et daller me rouler dans les quelques centimètres de poudreuse qui sont déjà tombés.
- Anne, merci, je vais jouir en toi, tu viens de faire de moi le plus heureux des garçons.
Je suis un homme grâce à toi et je sens que jai réalisé mon fantasme.
À ce dernier mot, il décharge inondant mon utérus me faisant jouir, jouir, jouir, je ne suis quun orgasme, je suis lorgasme.
Ma tête est en arrière, ma bouche est ouverte, je halète en essayant d' mes cris pour ne pas réveiller mon homme.
Je m'agrippe au jeune corps de Noël, c'est si fort.
Je suis dans les vapes quand je sens que ma poitrine reçoive sa visite, sa bouche dun côté, sa main de lautre.
Il me caresse, me malaxe mes mamelles.
- Tes nichons sont beaux, on dirait de grosses poires juteuses.
Je vois souvent ceux de maman, ses débardeurs sont généralement trop grands, ta poitrine est incomparable en rapport de la sienne.
Regarde il neige, lève-toi et viens.
Cest avec regret que je quitte sa bite qui a regonflé en moi, quel jeune homme, un véritable étalon.
Il se lève et me prends la main.
Y a-t-il de la transmission de pensée entre Noël et Épiphanie ?
Il ouvre la porte menant au jardin et mentraîne nue sur notre pelouse.
- Cest la première fois que je vois de la neige autre part que devant un écran.
Il se jette au sol comme le font les footballeur ayant marqué un but et glisse sur trois à quatre mètres.
Je suis devenue folle, je limite glissant moins loin, il se retourne et jarrive sur sa bite qui na pas retrouvé son calme.
Malgré le froid, elle est dure encore.
Je le prends dans mes mains.
Mes seins et ma chatte sont dans la neige, mais je men fiche, il entre dans ma bouche et je lui fais une fellation en gorge profonde malgré sa grosseur.
Ma bouche est ouverte au maximum.
Je frissonne, je frémis mais je men fiche.
Là, dehors, sur cette couche de neige, je me place en levrette, il se place derrière moi et je sens divinement son chibre revenir en moi.
C'est terrible.
Mes lèvres s'écartent.
Mon vagin s'ouvre et je sens son sexe qui coulisse.
De plaisir ma tête se lève.
Oh, Pierre est derrière la fenêtre de notre chambre nen perdant pas une miette.
Il nous regarde, il me fixe.
Le froid de la neige, le froid du frisson que cette saillie déclenche en moi et le froid de la peur à la pensée que je viens de perdre mon amant, traversent mon corps.
Cest dommage, jaimais bien mon Pierre, même si certains jours son âge pose un début de problème.
Mais cette pensée est vite abandonnée car Noël me remplit de nouveau, je lève ma tête, Pierre à disparu
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